Andrée Corvol Dessert et Geneviève Rey en sont membres fondateurs.
Geneviève Rey préside la Commission "Ressource forestière" de l'Association.
"Restaurons Notre-Dame" milite notamment pour une "véritable restauration-recontruction de la Cathédrale dans les règles de l'art et la prise en considération des chartes et conventions du patrimoine mondial pour ce faire".
Il est bien normal d'y retrouver ces Académiciennes.
En effet, 15 jours seulement après le tragique incendie de la Cathédrale, plusieurs membres de la section "Forêts et filière bois" de l’Académie d’agriculture de France avaient souhaité exprimer leur "Point de vue sur..., la charpente de cet édifice et sur les perspectives de sa reconstitution".
Or ce "Point de vue d'Académiciens sur..." (document issu de la réflexion collective de plusieurs membres de la Compagnie dont le contenu n'engage que ses signataires) affirmait "qu'il était possible de refaire rapidement la charpente médiévale de Notre-Dame de Paris, en chênes du 21ème siècle". Car "la quantité d’arbres, nécessaires pour refaire la charpente de Notre Dame de Paris, ne représente qu’une goutte d’eau dans nos forêts : au maximum 2 000 m3 pour une récolte annuelle française en 2017 d’environ 2,3 millions de m3 de grumes de chêne destinées au sciage".
Les signataires expliquaient, par ailleurs, que "le bois de chêne est un produit 100% naturel, que produisent des forêts gérées durablement et certifiées comme telles. Issu des terroirs français, et des techniques sylvicoles perfectionnées au fil des siècles par les forestiers français, il est mobilisable en circuit court. De plus, chaque m3 de bois produit résulte du prélèvement dans l’atmosphère d’une tonne de CO2".
Pour en savoir plus sur l'Association "Restaurons Notre-Dame", télécharger le fichier PDF, ci-dessous :
Pour (re)lire le "Point de vue d'Académiciens sur...", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :