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Médaille d’Argent Dufrenoy de l’Académie

Présentation
La médaille d’argent est destinée à récompenser une thèse de grande qualité,soutenue dans le cadre d’une école doctorale française, dont l’analyse, réalisée par l’Académie, est publiée sur le site de l’Académie d’agriculture de France et dans le Mensuel. Peuvent être candidats des personnes ayant soutenu leur thèse dans la période commençant au début de l’année académique précédant l’année d’attribution de la médaille d’argent. Les candidats doivent adresser leur thèse à l’Académie (sous forme numérique ou papier), ainsi qu’un certain nombre de documents authentifiant le titre de docteur, listés sur le site de l’Académie. Une communication de recherche, mettant en valeur un fait marquant de la thèse, et validée par un académicien référent, pourra utilement compléter le dossier de candidature. Cette publication sera également publiée sur le site de l’Académie. Les propositions concernant l’attribution de ces médailles sont effectuées chaque année par chacune des dix sections de l’Académie, qui détermine les nominés. Le Bureau de l’Académie peut également proposer un nom. Les sections peuvent, à leur initiative solliciter les organismes de recherche et d’enseignement susceptibles de faire des propositions de travaux à récompenser. Un lauréat par section et un par le Bureau de l’Académie sont proposés à la Commission académique, qui attribue les médailles. Elles sont remises aux récipiendaires lors de la séance solennelle de rentrée de l’Académie. Les lauréats de la médaille d’argent sont invités à présenter leurs travaux au cours d’une séance publique de l’Académie
Candidature
Les propositions concernant l’attribution de cette médaille peuvent être faites chaque année par chacune des dix sections de l’Académie ou par le Bureau de l'Académie. Les candidats doivent adresser leur thèse à l’Académie (sous forme numérique ou papier).
Attribution
Les candidats sont des personnes choisies parmi celles qui ont soutenu leur thèse l’année précédant l’année d’attribution de la médaille d’argent, et dont la thèse a fait l’objet d’une analyse publiée sur le site de l’Académie d’agriculture de France, Chaque section détermine des nominés et propose un lauréat à la Commission académique qui attribue les médailles.
Pour en savoir plus : aller sur l'onglet Publications, puis Analyses de thèses

https://www.academie-agriculture.fr/publications/jeunes-scientifiques-et-academie/analyses-de-these

2024

Adeline CORTESI, pour son travail original, intelligent et multidisciplinaire, sur l’impact environnemental des produits alimentaires, une nouvelle dimension à associer à la nutrition et à la sensorialité pour définir la qualité.

Anaïs ECHCHATBI, pour sa thèse en sociologie analysant l’origine, le développement et les limites de filières céréalières alternatives pour une transition écologique du producteur jusqu’au consommateur.

Jérôme PENNEC a soutenu une thèse droit public sur le thème : « La rénovation des cadres juridiques de gouvernance foncière dans les pays en développement : étude de cas croisée du Niger, d'Haïti et de l'Afrique du Sud ».

♦ La thèse de Sandra JAUDOU-DUREUIL a permis, par une approche de métagénomique, de proposer un schéma analytique original et performant pour la détection in situ dans le lait, de souches virulentes d’E.Coli enterohémorragiques. Ces travaux ont été réalisés en partenariat franco (Anses)-allemand (Bfr).

♦ Lethicia MAGNO MASSUIA DE ALMEIDA, pour ses travaux novateurs sur les effets des stress thermiques sur le rendement et la qualité grainière du colza réalisés avec des approches d’écophysiologie et de modélisation.

Samy CHELIL, pour son remarquable travail de modélisation hydrologique du transfert des nitrates dans des systèmes de drainage artificiel des sols qui ouvre la voie à une estimation spatialement intégrée des stocks résiduels de nitrates.

♦ Le travail de thèse d’Alice MAISON apporte une contribution originale et significative, de portée scientifique et sociétale, à la modélisation du microclimat urbain, avec un accent mis sur l’impact des arbres sur la qualité de l’air, de l’échelle de la rue à celle de la ville.

♦ Gaëtan NOUAL, pour sa contribution novatrice à la compréhension du rôle des forêts sur le cycle de l’eau, particulièrement en ce qui concerne les processus conduisant à la formation des nuages.

♦ La thèse de Maxime DELSART est un éclairage bienvenu sur les risques d’infestation des élevages de porcs «alternatifs». Elle souligne les nécessaires ponts d’attention pour conduire ces élevages.

♦ La robotisation de la traite, objet central de la remarquable thèse de Théo MARTIN, et élément essentiel du devenir de l’élevage bovin laitier français et européen, est étudiée magistralement sous tous les angles : historique, technique, économique, sociologique, humain.

2023

♦ La thèse d’Agathe BALLU aborde des questions fondamentales et appliquées pertinentes sur l'évolution et la gestion de la résistance aux fongicides chez un agent phytopathogène cryptogamique d’importance économique par une approche d’évolution expérimentale. (Rapporteur : Marc Bardin).

Pauline CAMPAN, pour son travail remarquable sur le devenir des produits phytosanitaires dans les sols volcaniques antillais et l’évaluation du risque de contamination des eaux, au moyen d'une modélisation adaptée au contexte particulier des Antilles. (Rapporteurs : René Seux, Daniel Tessier).

Gabriel CARDOSO GONÇALVES, pour son travail original sur l’élaboration de revêtements biosourcés anti-corrosion, ses retombées industrielles potentielles et l’intérêt pédagogique des protocoles expérimentaux décrits. (Rapporteurs : Jean-Luc Peyron, Xavier Deglise).

♦ La thèse d’Hélène CECILIA traite de « la dynamique de transmission du virus de la fièvre de la vallée du Rift : modélisation mathématique de l’échelle micro à l’échelle macro ». Application au Sénégal. (Rapporteur : Michel Thibier).

Kossigan Bernard DEDEY a conduit un travail original concernant les phénomènes de rupture des films de pâte à pain par une approche expérimentale dans des conditions de cuisson et par modélisation. (Rapporteur : Gérard Cuvelier).

Clément LARUE, pour ses travaux novateurs sur la biologie florale et la pollinisation entomophile du châtaigner et pour son souci de transmettre ses résultats à la profession afin d’améliorer la production. (Rapporteurs : Hervé Lecoq, Yves Lespinasse).

Delphine LAURANT a réalisé une thèse sur les fermes collectives, forme d’agriculture porteuse de diversification et d’agroécologie, par une démarche systémique et participative en sciences agronomiques. (Rapporteure : Isabelle Goldringer).

Eva LOPEZ FORNIELES, pour son travail de thèse destiné à évaluer l’apport des séries temporelles d’images multispectrales collectées par les satellites Sentinel 2, pour la conduite et la caractérisation des cultures à différentes échelles spatiales. (Rapporteur : Guy Waksman).

Magali RAMEL, pour sa thèse sur le droit à l’alimentation, inscrit dans la Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1947, considéré comme un instrument de justice sociale incluant des dimensions quantitatives, qualitatives, et culturelles.  (Rapporteur : Jean-Louis Rastoin).

2022

  Aurore BERAL, recrutée chercheuse à RAGT-Semences, après un parcours de formation éclectique, une contribution remarquable pour la sélection de variétés de blé plus résilientes au changement climatique, une soutenance de thèse exceptionnelle. (Rapporteur : Yves Lespinasse).

♦  Benjamin CLÉMENCEAU, pour sa thèse de droit portant sur le droit à l’alimentation : thèse importante par son volume et son érudition mais surtout pionnière par son objet- le droit à l’alimentation- distinct du droit de l’alimentation et d’un droit alimentaire. (Rapporteur : Bertrand Hervieu).

♦  Manon DARDONVILLE a réalisé une thèse sur le concept de résilience, la caractérisation de différents systèmes agricoles de la région Grand-Est, par l’évaluation opérationnelle de leurs services écosystémiques, de leurs résiliences face aux perturbations climatiques et économiques. Elle montre les logiques de performances qui les sous-tendent, une étape clé pour avancer dans la hiérarchisation de la résilience, la vulnérabilité et la robustesse des systèmes agricoles. (Rapporteure : Chantal Gascuel).

♦  Pour les travaux d’Étienne DAVID réalisés dans le cadre de sa thèse sur « Le défi de l’estimation robuste des traits avec l’apprentissage profond sur des images RVB à haute résolution », contribuant au phénotypage à haut débit dans les travaux de sélection variétale. (Rapporteur : Guy Waksman).

 ♦ Ronan GRIOT, pour la qualité de ses travaux sur la sélection génomique et le déterminisme génétique de la sensibilité à des maladies infectieuses chez le bar et la daurade. (Rapporteure : Claire Rogel-Gaillard).

Juliana MELENDREZ RUIZ, pour sa contribution à l’étude des mécanismes sous-jacents au choix d’aliments riches en protéines végétales avec de nombreuses recommandations pour lever les freins à la consommation. (Rapporteure : Pascale Hébel).

♦  Muhammad Tanveer MUNIR, pour son travail original et rigoureux à la convergence des disciplines « sciences du bois » et « microbiologie » et ouvrant sur un meilleur emploi du bois en milieu hospitalier. (Rapporteur : Bernard Thibaut).

♦  Alexis PORCHER montre tout l'intérêt de prendre en compte le métabolisme oxydatif du bourgeon axillaire pour l'induction du débourrement du bourgeon ou son maintien en dormance. (Rapporteurs : Jean-François Briat, Guilhem Bourrié).

 ♦ Aurore RIMLINGER, pour ses travaux pionniers et son approche interdisciplinaire de la biodiversité d’un arbre fruitier endémique d’Afrique centrale, le safoutier, en vue de sa valorisation et d’une gestion durable de ses ressources génétiques. (Rapporteurs : André Charrier et François Lefèvre).

Simon VONTHRON, pour une thèse de grande qualité, rigoureuse et mêlant quantitatif et qualitatif sur les pratiques alimentaires en regard de l’offre alimentaire (commerces et restauration) dans la métropole de Montpellier. La thèse  qui explore des concepts anglosaxons (foodscape, désert alimentaire) avec des données empiriques importantes ouvre sur des questions fortes de précarité et de justice alimentaire. (Rapporteure : Monique Poulot).

2021

1.000 € à :

Clémence BARDAINE, pour l’intérêt de sa thèse sur l’émergence des pratiques agro-forestières dans le Bassin Parisien et les perspectives ouvertes en matière environnementale et paysagère. (Rapporteur : Pierre Marie Tricaud)

♦ La thèse Anne-Lise BOIXEL permet de mieux comprendre les effets de l'hétérogénéité thermique sur l'adaptation des phytopathogènes, avec comme modèle la septoriose du blé. (Rapporteurs : Bernard Itier, Yves Lespinasse, Odile Carisse).

Chloé BROUZES, à partir de l’analyse des déséquilibres nutritionnels de jeunes femmes égyptiennes, vivant en milieu urbain, des stratégies nutritionnelles permettant d’améliorer le régime alimentaire ont été identifiées via des méthodes mixtes. L’intérêt de ce travail, basé sur une approche pluridisciplinaire associant des méthodes quantitatives, qualitatives et de modélisation, est d’avoir identifié des changements alimentaires permettant de répondre à des enjeux de santé publique tout en étant acceptables économiquement et culturellement pour une population très peu étudiée. (Rapporteur : Sylvie Issanchou).

Laëtitia CARDONA, sa thèse « Faire progresser les biotechnologies environnementales par le biais d’approches d’écologie moléculaire : de la description à la gestion » contribue à une meilleure connaissance des micro-organismes impliqués dans le fonctionnement des bioréacteurs anaérobies, sources de production d’énergie renouvelable. (Rapporteur : Gilles Poidevin)

Hélène FARGEON, pour son remarquable travail sur l'évolution du risque incendie de forêt en France en contexte de changement climatique qui sera très utile aux politiques publiques. (Rapporteur : Yves Birot).

Valentine GUÉTIN-POIRIER a réalisé une excellente thèse, consacrée à l’étude des freins épidémiologiques, économiques et sociologiques à l’éradication de la tuberculose bovine en France, problème particulièrement complexe. (Rapporteur : Michel Thibier).

Souhil HARCHAOUI, recherche remarquable par son caractère pluridisciplinaire combinant sciences de l’ingénieur et sciences sociales et sa contribution scientifique au thème de la transition durable des systèmes agricoles et alimentaires. (Rapporteur : Jean-Louis Rastoin).

♦ La thèse de Rémi HOCQ intitulée «Clostridium beijerinckii DSM 6423, une souche plateforme émergente pour la bioproduction de solvants porte sur le développement de produits biosourcés qui permettent de réduire les gaz à effet de serre et le développement d’une chimie verte en produisant de l’isopropanol à partir de Clostridium beijerinckii ». (Rapporteur : Paul Colonna).

Margot LECLERE, pour sa démarche méthodologique et multi-acteurs afin d’accompagner la transition agroécologique par la diversification des espèces au sein d’un territoire – cas de la cameline. (Rapporteurs : Philippe Gate, Yves Lespinasse).

Loïc MAZENC, pour sa thèse apportant des connaissances nouvelles sur « Les chefs de culture, interprètes contrariés du nouveau capitalisme agricole », analysant « le dualisme d’une professionnalisation » et reposant sur un très important travail d’enquête de terrain. (Rapporteur : Bertrand Hervieu).

2020

1.000 € à :

♦  Candy ABBOUD, pour sa très belle thèse de mathématiques appliquées propose et teste plusieurs cadres de modélisation épidémiologique bayésienne, pour mesurer la rapidité d’expansion des espèces invasives, et améliorer leur biosurveillance. Ce travail porte sur l’étude de cas de la bactérie Xyllela fastidiosa, mais pourra sans doute être appliqué avec succès à bien d’autres espèces. (Rapporteur : Philippe Stoop).

♦  Delphine ACLOQUE, pour une thèse de grande qualité sur le front pionnier désertique égyptien. Une analyse fine des mécanismes de développement d’une agriculture de firme grâce à un important travail de terrain réalisé du fait d’une bonne maîtrise des langues (anglais et arabe). (Rapporteurs : Bernard Bourget, Monique Poulot).

♦  Elise BORDET, pour sa remarquable analyse des perturbations de la réponse immunitaire innée et humorale induites chez le porc par le virus du syndrome dysgénésique et respiratoire, et ses exceptionnelles qualités de communicante. (Rapporteurs : Claude Allo, Jeanne Grosclaude).

♦  Marie DUPRÉ, travail intéressant dans sa dimension pédagogique : le travail d’enquête manifestement bien préparé en amont a permis un ensemble d’entretiens avec un large panel d’agriculteurs, qui leur a permis de mettre en valeur leur évolution. Le travail de modélisation a été aussi le moyen d’un partenariat entre la jeune chercheuse et ses interlocuteurs chargés de suivre la conduite de la politique agricole de l’île de la Réunion. (Rapporteur : Jean-Claude Germon).

 ♦ Charlotte HENRIET, pour ses résultats originaux et remarquables basés sur des approches de génomique des systèmes mettant en évidence une synergie entre stress hydrique et carence en soufre chez les graines de pois en développement. (Rapporteur : Dominique Job)

♦  Benjamin KOPP, pour sa thèse sur les nouvelles approches en toxicologie prédictive pour l’étude de la toxicité des mélanges de contaminants présents dans l’alimentation française. (Rapporteure : Dominique Parent Massin).

♦  Anne-Sophie LISSY, pour l'originalité de son étude par imagerie quantitative des macropores du sol et la caractérisation de leur remplissage ou non par l'eau. (Rapporteur : Pierre Delage).

♦  Mariem OMRANI a montré un parcours exceptionnel de cohérence entre sa formation en Ecole d’ingénieurs, ses choix d’apprentissages complémentaires au cours de stages, et ainsi sa pratique de l’interdisciplinarité au cours de sa thèse – résistance durable chez l’abricotier ; esprit de synthèse, aptitudes à la communication et à la vulgarisation. (Rapporteurs : Michel Dron, Françoise Dosba).

♦  Camille PIPONIOT, pour une évaluation rigoureuse du bilan carbone et des compromis entre services écosystémiques (bois d’œuvre, biodiversité et carbone) des forêts amazoniennes et Guyanaise, pour penser les stratégies de production forestière entre plantations nouvelles et exploitation à faible impact de la forêt naturelle. (Rapporteurs : Bernard Roman-Amat, Meriem Fournier).

♦  Camille ROBERT-BŒUF, pour ses travaux sur les jardins collectifs en Île-de-France et dans la région de Kazan en Russie, pour ses résultats qui mettent en évidence leur dynamique de renouveau et pour l'originalité de l’approche géographique développée selon plusieurs échelles d’analyse. (Rapporteur : Marie-Claude Maurel).

2019

1.000 € à :

Sandrine ALLAIN, pour sa démarche d’évaluation multi-critères multi-acteurs utilisant des simulations informatiques. (Rapporteur : Christine King).

Clélia BIANCHI, pour ses travaux pour l’élaboration d’une méthode de conseils alimentaires personnalisés visant à améliorer l’adéquation nutritionnelle des régimes de femmes enceintes en France. (Rapporteur : Ismène Giachetti).

Laurent BLEUZE, pour sa thèse sur le rouissage du chanvre industriel, sa dynamique et sa modélisation sous environnement contrôlé pour une filière de production de fibres naturelles multiusages. (Rapporteur : Daniel Tessier).

Anaïs DENARDOU-TISSERAND, pour sa thèse originale sur la transition forestière en France, associant statistiques, modélisation de la croissance des arbres et histoire environnementale, qui sera très utile aux politiques publiques. (Rapporteur : Jean-Luc Peyron).

Joao Pedro DOMINGUES, pour sa thèse particulièrement audacieuse et innovante qui aborde le métabolisme territorial de l’élevage français avec une approche de comptabilité environnementale et ouvre un front de recherche original dans une vision globale et prospective de l’élevage. (Rapporteur : Joseph Bonnemaire).

Duarte GOUVEIA, pour ses travaux remarquables permettant de caractériser finement, via des méthodes optimisées et à haut débit, l’impact des polluants chimiques sur les milieux aquatiques. (Rapporteurs : Dominique Job et Dominique Laborde).

Mickaël HUGONNET, pour la qualité de sa recherche et de la portée de son analyse des mécanismes de transformation et de financiarisation de la production laitière en Nouvelle-Zélande. ( Rapporteur : Gilles Bazin).

Paul JUTTEAU, jeune chercheur très actif auteur d’une thèse remarquable portant sur les relations entre méthanisation et agriculture en Allemagne, thèse qui lui a valu l’obtention d’un double doctorat des Universités de Perpignan et de Fribourg-en-Brisgau. (Rapporteurs : Marie-Claude Maurel et Jean-Paul Charvet).

Lucile MUNERET, pour la mise en œuvre de l’agroécologie chez la vigne, la conception de paysages agricoles multi-fonctionnels, permettant de concilier préservation de la biodiversité et maximisation des régulations naturelles. (Rapporteur : Yves Lespinasse).

Coralie PICARD, pour sa thèse sur l’épidémiologie spatiale : une approche originale de la modélisation d'une maladie des plantes prenant en compte la géographie de l'épidémie. (Rapporteur : Guy Waksman).

2018

♦ El Mehdi ABBOU-OU-CHERIF, pour sa thèse sur l’amélioration de la précision de l’épandage d’engrais minéraux dans des parcelles ayant un certain relief. Ce travail intéressant, conduit de façon rigoureuse, est remarquable par son approche tout à fait multidisciplinaire. (Rapporteur : Guy Waksman).

♦ Iola CROUÉ, pour la qualité et la quantité de travail accompli qui sont tout à fait remarquables de montre la pertinence du sujet et la maîtrise des outils utilisés, comme en attestent les trois publications dans des revues internationales de génétique appliquée et les nombreuses communications à des colloques. La thèse débouche directement sur la mise en œuvre de nouvelles évaluations des reproducteurs laitiers français pour mieux répondre aux attentes des filières concernées et de la société pour un élevage durable. (Rapporteur : Emmanuel Rossier).

♦ Nicolas DEFFONTAINES, pour sa thèse de très grande qualité mettant en évidence le « sursuicide » des agriculteurs et le caractère non conjoncturel de ce phénomène lié notamment au caractère familial du cadre du travail (Rapporteur : le Bureau).

 ♦ Fabien ESCULIER, pour la reconfiguration et la valorisation en agriculture des ressources d’un système d’alimentation/excrétion des territoires urbains reposant sur le « tout à l’égout ». (Rapporteur : Sylvain Pellerin).

 ♦ Maëlle GÉDOUIN, pour la qualité de sa recherche et de la portée de son analyse des mécanismes de la financiarisation de la production agricole en Amérique latine. (Rapporteurs : Gilles Bazin et Jean-Paul Charvet).

♦ Anaïs GOULAS, pour ses travaux sur la biodisponibilité dans les sols agricoles, sujet d’actualité, très important et traité de façon pertinente. (Rapporteur : Arlette Laval).

Par la qualité de sa thèse, Cédric HARTARD contribue de manière significative à la virologie environnementale par sa proposition d’un nouvel indicateur intéressant, les phages ARN F-spécifiques, pour évaluer la contamination virale des eaux et des aliments. (Rapporteur : Didier Majou).

♦ Nelly LEBLOND, pour une thèse novatrice analysant les politiques agricoles dans le Nord du Mozambique et leurs effets inégaux sur le territoire, dans une approche interdisciplinaire. (Rapporteur : Gérard Chouquer).

♦ Julie MATAGNE, pour le caractère novateur et la très grande originalité de sa thèse « Littératie médiatique et environnement, évaluation de l’autonomie cognitive des jeunes envers les médias traitant des forêts». Ce travail pionnier dans le domaine de la forêt débouche sur de nombreuses perspectives d’application. (Rapporteur : Yves Birot).

♦  Delphine MIEULET, pour le sujet de la recombinaison et de l’apomixie ou comment mieux maîtriser les outils de création, ou non de la diversité pour une amélioration plus performante et adaptée du riz. (Rapporteur : Françoise Dosba et Yves Lespinasse).

 ♦ Clémence RAVIER, pour l’intérêt de son travail de thèse sur la conduite de la fertilisation azotée du blé démontrant la possibilité de limiter les apports par un suivi mieux maîtrisé du fonctionnement et de l’estimation des besoins de la plante. (Rapporteur : Jean-Claude Germon).

2017

Alix ALLARD, pour l’étude du déterminisme génétique de deux caractères complexes liés à la floraison du pommier dans le contexte du changement climatique et de la réduction des pesticides. (Rapporteurs : Françoise Dosba et Yves Lespinasse).

Jean-Philippe AMAT, pour son travail remarquable, d’une part sur le plan scientifique il développe des méthodes d’évaluation variées tant qualitatives que quantitatives et sociologiques, et, d’autre part, il est utile à la filière. (Rapporteur : Barbara Dufour).

♦ La thèse de Benoît BRANDELET a permis des avancées significatives dans l’analyse et la compréhension des phénomènes de combustion générateurs de particules, donc de pollution, en provenance du chauffage domestique au bois. (Rapporteur : Michel Vernois).

Antoine DUCASTEL, pour sa thèse sur la financiarisation de l’agriculture en Afrique du sud, particulièrement innovante et conduite par une analyse scientifique rigoureuse et pluridisciplinaire. (Rapporteur : Gérard Chouquer).

Lucie MICHEL, pour l’apport aux acteurs de l'épidémio-surveillance des cultures d’outils statistiques qui permettent de mieux valoriser les données pour l'analyse des risques et d'améliorer l’efficacité des réseaux, tout en s’efforçant de maîtriser les coûts. (Rapporteurs : Guy Waksman, Émile Choné et Bernard Ambollet).

Kevin MOREL, pour sa thèse d'agronomie sur la viabilité de fermes maraîchères biologiques sur très petite surface, privilégiant des logiques écologiques, la diversification et les circuits courts. (Rapporteur : Bernard Roux).

Anaïs OVERNEY contribue de manière significative à une meilleure compréhension des mécanismes physiologiques de réponse à des stress de Listeria monocytogenes. (Rapporteur : Didier Majou).

Ophélie SAUZET, pour sa remarquable avancée en matière de compréhension de l’effet des pratiques anthropiques sur les processus pédogénétiques. Par des techniques innovantes, elle a pu quantifier la part relative des processus de lessivage et de bioturbation dans des sols ayant des histoires culturales différentes. Elle montre que l’activité humaine influence la pédogénèse sur des pas de temps plus courts et avec des intensités plus fortes qu’admis jusque-là (Rapporteurs : Claude Cheverry et Christian Walter).

Sanâa WAHBI, pour sa thèse sur le potentiel de la microflore du sol dans la productivité et la résistance des agrosystèmes méditerranéens, dans l’association céréale/légumineuse. (Rapporteur : Jean-François Briat).

Julia ZINSMEISTER, pour sa thèse qui ouvre de nouvelles perspectives originales quant à l’amélioration des graines de plantes légumineuses qui sont d'intérêts économique et nutritionnel. (Rapporteurs : Françoise Corbineau et Dominique Job).

2016

♦ Ludivine BONANNO, pour sa thèse de doctorat en microbiologie des aliments sur la circulation des gènes de Shiga-toxine chez les souches d’Escherichia coli, bactéries d’intérêt majeur en santé publique. (Rapporteurs : Didier Majou et Jean-Christophe Augustin).

♦ Alexis GONIN, pour une remarquable étude anthropologique des pasteurs peuls et des conflits entre élevage transhumant et agriculture sédentaire dans les pays sahéliens. (Rapporteur : Jean-Marc Boussard).

♦ Audrey GUILLET, dont le travail de thèse sur la commande locale décentralisée de robots mobiles en formation représente une contribution significative à la robotique en milieu ouvert. (Rapporteurs : Guy Waksman, René Autellet et Claude Sultana).

♦ Stéphane GUITET, pour ses travaux très originaux sur la typologie des habitats forestiers de Guyane, sources de nombreuses applications dans la gestion durable de ces formations tropicales. (Rapporteurs : Jean-Luc Peyron et Yves Birot).

♦ Mathilde HUTIN, pour sa thèse qui apporte des résultats fondamentaux et appliqués de premier plan sur la caractérisation de gènes de riz conférant la tolérance à la bactériose vasculaire chez cette plante. (Rapporteur : Sophien Kamoun).

Agronome et géographe Etienne MONIN a réalisé une thèse pionnière sur la gouvernance agricole et alimentaire d’une des grandes métropoles mondiales : Shanghai. (Rapporteur : Jean-Paul Charvet).

♦ Marc MORAINE, pour sa thèse en agronomie des territoires, intitulée Conception et évaluation des systèmes de production intégrant culture et élevage à l'échelle du territoire, remarquable par la nouveauté de ses apports méthodologiques. (Rapporteur : François Papy).

♦ Antony Jesu PRABHU a réalisé une thèse sur la nutrition minérale des poissons de très grande qualité saluée par ses deux organismes de tutelle, AgroParisTech et l’Université de Wageningen. L’académie reconnait l’importance et la valeur des études menées alors que la thématique est difficile à aborder et fait  l'objet de trop peu de travaux bien que qu’étant un enjeu pour l'aquaculture française et mondiale. (Rapporteurs : Muriel Mambrini-Doudet et Gérard Maisse).

♦ François TAULEMESSE, pour son travail de thèse sur la physiologie de l’absorption post-floraison de l’azote chez le blé, qui représente un cas exemplaire de travail scientifique proposant des solutions appliquées au monde agricole. (Rapporteurs : Philippe Gate et Guy Waksman).

♦ Laure VOGEL, pour sa thèse sur la modélisation de la biodégradation des résidus végétaux dans les sols en fonction de l'accessibilité physique à l’activité biologique. (Rapporteurs : Ary Bruand et Daniel Tessier).

2015

• Thomas CHASTANG, pour avoir proposé une méthode originale de biosynthèse du resvératrol à partir de cellules végétales isolées, ouvrant la voie à une nouvelle économie de sa production. (Rapporteur : Daniel-Éric Marchand).

• Maylis DESROUSSEAUX, pour sa remarquable avancée en matière de Droit des diverses conceptions de la qualité des sols, montrant que la qualité environnementale des sols n’est pas intégrée actuellement. Et aussi pour la réflexion qu’elle mène sur la propriété du sol en posant la question : les services écosystémiques peuvent-t-ils être dissociés du Droit de propriété ? (Rapporteurs : Michel-Claude Girard et Christian Walter).

• Luis Alexander GONZALEZ MARTIN, pour sa thèse de doctorat qui apporte une contribution importante à la connaissance du fonctionnement de l’organe de règlement des différends de l’OMC et du contentieux relatif aux produits issus de l’agriculture des pays de l’Amérique latine. (Rapporteurs : Joseph Hudault et Jean-Marc Boussard).

• Charlotte GROSSIORD, pour ses travaux originaux sur le rôle de la diversité spécifique arborée dans le fonctionnement hydrique et carboné des forêts européennes mélangées. (Rapporteur : Yves Birot).

La thèse de Camille MANSANET apporte des résultats fondamentaux et appliqués de premier plan sur les contrôles génétiques et moléculaires de la fonction ovarienne. (Rapporteur : Yves Combarnous).

• Samir El OUAAMARI, pour ses nombreuses enquêtes de terrain effectuées en Ethiopie qui lui ont permis d’établir une synthèse tout à fait nouvelle et remarquable sur les conditions de la production de café dans ce pays. (Rapporteur : Gilles Bazin).

• Ariane PAYNE, pour sa thèse universitaire d’épidémiologie, qui évalue les risques de transmission de la tuberculose entre faune sauvage et bovins, remarquée pour la grande qualité des observations, la rigueur de la méthodologie et son impact pratique. (Rapporteurs : Barbara Dufour et Gilbert Jolivet).

• Mathieu POTTIER, pour son excellent travail de thèse sur l’étude de la remobilisation des métaux au cours de la sénescence foliaire dans le cadre de la réhabilitation des sols pollués. (Rapporteur : François BLONDON).

• Virginie POUYET a conduit un travail particulièrement original et fructueux concernant les déterminants de l’appréciation et de la consommation alimentaires chez les personnes âgées atteintes de troubles cognitifs. (Rapporteur : Hervé This).

• Eva RABOT, pour sa thèse sur le contrôle de la production et l’émission de protoxyde d’azote par la structure et le fonctionnement hydrique des sols. (Rapporteurs : Ary Bruand et Daniel Tessier).


 

2014

Yulia ALTUKHOVA apporte une contribution internationale - comparaison France-Russie - en matière d’intégration des critères de développement durable dans les comptabilités agricoles. (Rapporteur : Roland Pérez).

• Romain BOUTEILLE, pour la contribution remarquable à l’étude de la sensation de « fraîcheur » des gels laitiers de type yaourt et la mise au point de nouvelles méthodes d’analyse. (Rapporteur : Guy Linden).

Cécile DARDEL, pour la qualité exceptionnelle de sa thèse et ses résultats originaux sur «Entre désertification et reverdissement du Sahel : Diagnostic des observations spatiales et in situ le sahel est depuis 30 ans en phase de reverdissement ». (Rapporteur : Alain Perrier).

Solènne DESPAX-MACHEFEL, pour avoir proposé une méthodologie originale pour la synthèse du 5-hydroxyméthylfurfural à partir de biomasse ligno-cellulosique, ouvrant la voie à la fabrication de l’acide téréphtalique bio-sourcé. (Rapporteurs : Daniel-Eric Marchand et Jean-Louis Bernard).

Nicolas FANIN, pour sa thèse sur la réponse des populations microbiennes aux contraintes nutritives des sols et des litières en milieu tropical forestier. (Rapporteur : Jacques Roy).

Zachary GAUDIN, pour l’étude de l’implication de l’azote, du soufre et du puits parasitaire que représente l’orobanche pour le colza; application à la définition de critères de sélection pour les variétés de colza. (Rapporteur : Yves Lespinasse).

Louisa LOULOU, pour sa contribution remarquable à l’analyse de la durabilité de l’assemblage mixte bois-béton collé sous chargement et hygrométrie variable. (Rapporteur : Georges-Henri Florentin).

Niccolò MIGNEMI, pour sa thèse sur les coopératives agricoles en Sicile et en France montre, de façon précise et novatrice, le rôle qu’elles ont joué dans la modernisation de l’agriculture (1900-1950) et les différences importantes entre les deux pays. (Rapporteur : Nadine Vivier).

Julie TOMAS, pour son travail original qui permet de mieux comprendre le rôle des bactéries primo-colonisatrices vis-à-vis du développement des fonctions intestinales et des mécanismes qui contribuent à la stabilité du couple microbiote-hôte. (Rapporteur : Hubert Laude).

2013

Mickaël AGACH, pour la synthèse et la caractérisation de tensioactifs exclusivement issus des végétaux : acide succinique, glycérol et acide laurique. (Rapporteur : Émile Choné).

Frédérique ANGEVIN, pour ses compétences en agronomie lui ayant permis d’étudier le sujet difficile de la coexistence entre cultures OGM et conventionnelles de façon exhaustive et rigoureuse. (Rapporteurs : Yvette Dattée et Antoine Messéan).

Stéphanie BARRAL, pour sa thèse de doctorat en sociologie sur le « Nouvel esprit du capitalisme agraire » renouvelant les connaissances sur les formes d’organisation de la production en agriculture. (Rapporteur : Bertrand Hervieu).

Marie DERVILLÉ, pour l’analyse économique très novatrice et solidement construite qu’elle a su développer dans une thèse fort pertinente sur la territorialisation du secteur laitier en montagne dans le contexte actuel de disparition des quotas. (Rapporteurs : Joseph Bonnemaire et Jean-Paul Jamet).

Mathilde DOUILLET a contribué de manière exceptionnelle, par sa thèse, à la compréhension des enjeux de l’intégration commerciale pour l’agriculture en Afrique subsaharienne. (Rapporteur : Jean-Christophe Debar).

Anne-Sophie FICHEUX, pour sa thèse permettant une meilleure évaluation du risque d’exposition aux mycotoxines émergentes. C’est une contribution importante en toxicologie alimentaire et en santé publique (Rapporteur : Jean-Michel Wal).

Jean-Baptiste LAMY, pour sa contribution remarquable à l’analyse de la variabilité génétique de la résistance à la cavitation du Pin maritime. Son travail ouvre de nouvelles pistes pour l’amélioration de la résistance à la sécheresse des arbres. (Rapporteurs : Yves Birot et Hervé Cochard).

Hélène MARROU a réalisé une thèse d’excellente facture sur un sujet particulièrement innovant concernant les systèmes de culture dits « agrivoltaïques » (cultures sous panneaux solaires). (Rapporteur : Yves Brunet).

Patrick STELLA, pour sa thèse sur l'évaluation et la paramétrisation des dépôts d’ozone sur le sol et sur la végétation en situation de plein champ. (Rapporteur : Bernard Itier).

Eloi VERRIER, pour son travail original sur les mécanismes de résistance aux virus chez les Salmonidés, contribution à la compréhension de l’évolution de l’immunité antivirale riche d’applications potentielles en sélection aquacole. (Rapporteur : Hubert Laude). 

2012

Claire BERTON, pour sa thèse consacrée à la construction raisonnée d'interfaces pour protéger les lipides émulsionnés contre l'oxydation faisant usage des travaux scientifiques les plus avancés, avec des applications importantes pour l'industrie alimentaire. (Rapporteur : Hervé This).

Sébastien CAILLAULT, pour les très grandes qualités de maîtrise des concepts et des outils de modélisation dont il a fait preuve dans sa thèse de doctorat d'intérêt international sur le rôle des feux de brousse dans le façonnement des paysages de savane actuels dans la région ouest du Burkina Faso. (Rapporteur : Nicole Mathieu).

Guillaume CHARRIER, pour son travail de thèse destiné à rechercher et expliquer les mécanismes de résistance au froid chez une espèce ligneuse : le noyer. (Rapporteur : Yvette Dattée).

Aurélie DARPEIX, dont la thèse et les travaux révèlent des mécanismes (largement inconnus jusqu’ici) régissant le travail salarié dans l’agriculture familiale. Il en résulte une explication des changements dans la composition du travail agricole, une meilleure compréhension des décisions des exploitants et des suggestions pour les politiques publiques. (Rapporteur : Philippe Lacombe).

Nadège GARAMBOIS, pour sa thèse en Agriculture comparée qui porte sur l’analyse et l’évaluation technique, économique et sociale du développement des systèmes bovins herbagers économes dans le Bocage poitevin (centre ouest français). Elle a reçu les félicitations du jury à l’unanimité. (Rapporteur : Gilles Bazin).

Michael LECOURT, spécialiste reconnu du raffinage des pâtes mécaniques ayant innové dans le raffinage des pâtes chimiques pour économiser l’énergie par traitement enzymatique. (Rapporteurs : Daniel Guinard et Jacques Sturm).

Véronique LESAGE, pour son travail original, en interface avec la recherche fondamentale et la recherche appliquée, sur le rôle des puroindolines dans la dureté des grains de blé, caractère fondamental de la valeur d’utilisation des blés tendres en panification ou en biscuiterie. (Rapporteur : Françoise Corbineau).

Edwige POLUS-LEFEBVRE, pour un travail de recherche pluridisciplinaire novateur dans la modélisation géochimique et la simulation des processus de transport au sein des cours d’eau.(Rapporteurs : Chantal de Fouquet et Ghislain de Marsily).

Claudio VERGARI, pour son travail original sur la mesure de la force qui s’exerce dans les tendons du doigt chez le cheval, offrant des applications en médecine équine et en médecine humaine. (Rapporteur : Gilbert Jolivet).

2011

Mélanie ATRUX, pour une thèse qui narre l’histoire de l’APCA et analyse les facteurs qui ont conduit à l’émergence d’un corps de notables, puis à son déclin, et enfin à un renouveau récent (Rapporteur : Bertrand Hervieu).

Pierre COZANNET, pour un travail approfondi de caractérisation de la valeur nutritionnelle des drêches de blé pour les animaux monogastriques et l’estimation de leur marché (Rapporteur : Émile Choné).

Frédéric FROTTIN, pour son travail remarquable et original sur le mécanisme moléculaire universel d’initiation de la biosynthèse des protéines, aux applications très prometteuses, en cancérologie notamment (Rapporteur : Dominique Job).

Bernard HEUDE, pour une thèse qui présente une analyse historique critique des innovations biologiques et techniques qui ont soutenu du XVIIIe siècle à nos jours le projet de faire de la Sologne un pays d’élevage ovin, projet qui a échoué (Rapporteur : Jean-Michel Besancenot).

Marie-Pierre LEFEBVRE, pour une analyse originale de la spatialisation des risques de tassement des sols cultivés à l’échelle de la France et ses conséquences pour les céréales d’hiver et de printemps (Rapporteur : Daniel Tessier).

Clément de LOUBENS, pour ses travaux originaux sur la libération des composés à l’origine de stimuli orosensoriels. La thèse est assortie d’un nombre considérable de publications scientifiques décrivant les nouvelles méthodes mises au point (Rapporteur : Hervé This).

Coline PERRIN, pour une thèse analysant de façon comparative originale, de 1950 à 2000, le mitage et le recul devant l’étalement urbain, des espaces agricoles à la fois d’Aix-en-Provence et de Florence en Italie (Rapporteur : Jean-Paul Charvet).

François PIMONT, pour une thèse qui présente le meilleur d’une recherche finalisée : excellence dans un domaine très pointu, la modélisation physique des feux de forêts, et souci des applications (Rapporteur : Yves Birot).

Adrien RUSCH, pour une thèse mettant en évidence les rôles respectifs de l’environnement, des pratiques agricoles et des parasitoïdes dans la prolifération des méligèthes du colza et ses conséquences (Rapporteur : Marie-Hélène Jeuffroy).

Rodolphe SABATIER, pour une thèse remarquable sur la conciliation entre objectifs de production et de préservation de populations d’oiseaux dans la gestion des écosystèmes prairiaux (Rapporteur : François Papy).

2010

Nicolas DELPIERRE, pour avoir amélioré l’estimation des échanges gazeux des écosystèmes forestiers notamment pour la respiration nocturne, et la modélisation de leurs variations saisonnières chez les conifères comme chez les feuillus. (Rapporteur : Bernard Saugier).

Abdoulaye DIARRA, pour sa thèse sur la filière lait au Sénégal, dans laquelle il démontre sur modèle la possibilité pour le pays de produire ses propres produits laitiers sans dommage pour les consommateurs. (Rapporteur : Jean-Marc BOUSSARD).

Rima GHEMRAOUI, pour avoir proposé un processus de prise en compte du risque évoluant simultanément avec un processus de conception. Cette méthode originale a été appliquée avec succès à l’étude de la liaison tracteur-outil. (Rapporteur : Jean-Bernard Montalescot).

Valérie JAULNEAU, pour son étude du gène au champ sur les ulvanes, polysaccharides extraits à partir de la biomasse algale des marées vertes, qui élicitent les défenses des plantes contre les maladies. (Rapporteur : Marie-Thérèse Esquerré-Tugayé).

Christelle LONCKE, pour sa contribution remarquable à la modélisation de la prédiction des nutriments énergétiques réellement disponibles physiologiquement chez les Ruminants. (Rapporteur : Jeanne Grosclaude).

Rui PINTO, pour ses travaux originaux, de qualité internationale, en chimiométrie. (Rapporteur : Hervé This).

Marion PRUDENT, pour sa thèse portant sur l’analyse des variations de poids et de teneurs en sucres du fruit de tomate selon une approche intégrative combinant des études écophysiologique, génétique et moléculaire. (Rapporteur : Yves Lespinasse).

Mariana ROYER, pour sa remarquable contribution à la compréhension du rôle des extractibles de bois guyanais dans leurs propriétés physico-mécaniques et de résistance à la pourriture. (Rapporteurs : Francis Cailliez et Bernard Thibaut).

Nicolas SABY, pour sa remarquable synthèse sur l’utilisation statistique et géographique des banques de données de sol actuellement disponibles au niveau régional, français et européen et plus particulièrement sur la surveillance du carbone organique et d’éléments traces minéraux. (Rapporteur : Michel-Claude Girard).

Anthony TCHEKEMIAN, pour ses travaux sur l’impact des politiques françaises et européennes de développement agricole et rural après enquête approfondie dans six territoires français. (Rapporteur : Raymond Mérillon).

2009

Magalie BOURBLANC, pour son remarquable travail comparatif entre les politiques française et hollandaise dans le domaine du traitement des eaux polluées par les déjections animales. (Rapporteur : Claude Servolin).

Chloé GABORIAUX, pour sa très remarquable thèse de sciences politique sur le ralliement des paysans français à la République. (Rapporteur : Bertrand Hervieu).

Bertrand LÉGER, pour son travail brillant sur la mise au point de procédés experts pour conduire une protection intégrée du vignoble. (Rapporteur : Jean-Bernard Montalescot).

Élise LÔ-PELZER, pour sa contribution originale au développement d’une agriculture utilisant moins de fongicides. (Rapporteur : André Gallais).

Nadéra MANSOURI-ATTIA, pour les avancées fondamentales sur le dialogue foeto-maternel etles nouvelles perspectives d’évaluation des biotechnologies de la reproduction qu’offre sa thèse. (Rapporteur : Jeanne Grosclaude).

Alejandro MARTINEZ-MEIER, pour son excellent travail sur la capacité d’adaptation des arbres aux conditions de milieu extrêmes. (Rapporteurs : Georges Touzet et Roger Lafouge).

Raia Silvia MASSAD, pour ses travaux originaux sur l’étude du point de compensation stomatique de l’ammoniac chez les plantes en relation avec le métabolisme azoté. (Rapporteur : Jean-François Morot-Gaudry).

Arsène Alain SANON, pour sa thèse de Doctorat portant sur le concept de niche écologique associé à la co-existence des espèces végétales. (Rapporteur : Jacques Berthelin).

Bénédicte WENDEN, pour ses travaux de modélisation des mécanismes de la floraison chez le pois, à la lumière des nouvelles données moléculaires. (Rapporteur : Georges Pelletier).

Juan VALVERDE, pour son excellent travail d’analyse des contenus pigmentaires de végétaux comestibles avec le suivi des modifications au cours des traitements culinaires. (Rapporteur : Hervé This).

2008

 Anne LAUVIE, pour sa remarquable thèse interdisciplinaire sur la gestion des populations animales locales à petits effectifs. (Rapporteur : Joseph Bonnemaire).

 Florent LYON, pour la qualité de sa thèse de doctorat, préparée au sein du laboratoire de mécanique et génie civil de l’université de Montpellier. (Rapporteur : Daniel Guinard).

The Quyen NGUYEN, pour la réalisation d’un prototype de spectromètre Raman de nouvelle conception permettant de nombreuses applications inédites aussi bien dans l’industrie que dans l’éducation. (Rapporteur : Hervé This).

Julien PELLETIER a contribué à l’identification et la caractérisation de gènes impliqués dans la perception périphérique des phéromones chez le ver à soie. (Rapporteur : Charles Descoins).

Catherine RIO a apporté une contribution majeure à la modélisation du cycle diurne de la couche limite continentale et des nuages. (Rapporteur : Katia Laval).

Hélène ROTH, géographe spécialisée dans l’analyse des espaces multifonctionnels et ruraux auteur d’une thèse de grande qualité intellectuelle sur la Vogtland (Allemagne). (Rapporteurs : Jacqueline Bonnamour et Violette Rey).

David ROUX, pour son étude de l’effet du rayonnement électromagnétique 0,9 GHz sur l’expression du génome chez la tomate, et les conséquences attendues pour une meilleure compréhension de l’action de ces rayonnements sur la matière vivante et de la sensibilité des végétaux aux stimuli de l’environnement. (Rapporteur : Michel Thellier).

Lucie SALVAUDON, pour la qualité et l’approche originale de sa thèse sur les interactions entre hôtes et parasites, thématique d’actualité en agriculture. (Rapporteur : Yvette Dattée).

Dans le débat actuel sur l’avenir de la politique agricole commune, la thèse d’Aurélie TROUVÉ sur le rôle des régions européennes dans la redéfinition des politiques agricoles, apporte une contribution déterminante. (Rapporteur : Jean-Christophe Kroll).

Teddy VIRIN a réalisé des études brillantes, sanctionnées par un important travail scientifique, lors de son mémoire de thèse, sur un sujet d’actualité «modélisation, optimisation et contrôle d’un processus d’épandage pour les applications agricoles ». (Rapporteur : Jean-Bernard Montalescot).

2007

Laurianne CANARIO, pour son excellente thèse sur les aspects génétiques de la mortalité des porcelets à la naissance et en allaitement précoce : relations avec les aptitudes maternelles des truies et la vitalité des porcelets. (Rapporteur : Joseph Bonnemaire).

 Fatiha FORT, pour la qualité de sa thèse sur les relations entre les produits, les marques et les terroirs dans le secteur agroalimentaire. (Rapporteurs : André Neveu et Jean-Louis Rastoin).

Cécile GLADINE, pour la qualité de sa thèse et son expérience d’étudiante dans divers secteurs de la recherche. (Rapporteur : Jean Bézard).

Mickaël HEDDE, pour sa thèse sur la relation entre la diversité des macro-invertébrés et la dynamique de la matière organique dans les sols limoneux des plateaux de Haute-Normandie. (Rapporteur : Daniel Tessier).

Émeline HOUËL, pour la découverte et la caractérisation d’une molécule antipaludienne des tisanes traditionnelles de Guyane. (Rapporteur : Jean-Claude Mounolou).

Maryvonne LASSALLE-de SALINS, pour une thèse très documentée sur les interactions entre décideurs privés et publics dans la définition des normes agroalimentaires internationales. (Rapporteur : Jean-Marc Boussard).

Nicolas MAUNOURY, pour la qualité de sa thèse sur l’analyse du transcriptome de Medicago truncatula lors de l’organogenèse de la nodosité induite par Sinorhizobium meliloti. (Rapporteur : François Blondon).

David MONTAGNE, pour son remarquable travail de thèse dans le domaine de la recherche sur l’impact de la mise en culture et du drainage sur l’évolution récente des sols. (Rapporteur : Marcel Jamagne).

Andrée SONTOT, pour son excellente thèse concernant la création de normes dans un sous système complexe : génétique végétale pour l’agriculture et l’alimentation. (Rapporteurs : Philippe Gracien et Christian Maréchal).

2006

Étienne BEZAULT, pour sa thèse sur une approche comparée du système de déterminisme du sexe chez des populations naturelles et domestiques de tilapia du Nil (Oreochromis niloticus). (Rapporteurs : Roland Billard et Jérôme Lazard).

 Blandine CHEYROUX, pour son excellente thèse sur l’intensification et la diversification arboricole et horticole de l’agriculture du delta de Damanoen Saduak (Thaïlande). (Rapporteur : Gilles Bazin).

Anne LAPERCHE, pour sa contribution originale à l’étude du déterminisme génétique de la tolérance à une carence en azote chez le blé tendre d’hiver ouvrant la voie à la création de variétés demandant moins d’intrants azotés. (Rapporteur : André Gallais).

Martial LEDOUX, pour sa remarquable recherche analytique sur un constituant mineur du beurre et ses propriétés : l’acide ruménique. (Rapporteur : Jean Adrian).

Roland LENAIN, pour son brillant travail de thèse « contribution à la modélisation et à la commande de robots mobiles en présence de glissement : application au suivi de trajectoire pour les engins agricoles », soit une technologie de pointe pour une application originale dans les agroéquipements. (Rapporteurs : Jean-Bernard Montalescot et Christian Maréchal).

Juliette LOUIS, pour sa thèse sur la mesure à distance des signaux de fluorescence et de réflectance (PRI) en relation avec la capacité photosynthétique des couverts végétaux. (Rapporteur : Bernard Saugier).

Jacques MÉRY, pour sa thèse sur le rôle de l’actualisation dans le choix des techniques de stockage des ordures ménagères en décharge qui renouvelle la vision standard du « développement durable ». (Rapporteur : Jean-Marc Boussard).

Jérôme NGAO, pour sa thèse sur la contribution de la respiration du sol au bilan du carbone dans une hêtraie de plaine. (Rapporteurs : Georges Touzet et Francis Cailliez).

Thanh NGO-DUC, pour son excellente thèse sur l’évaluation des variations de l’eau continentale à l’échelle globale. (Rapporteur : Katia Laval).

Loïc RAJJOU, pour sa thèse sur l’élicitation des défenses dans les grains et les graines au moment de la germination afin de réduire l’emploi de fongicides. (Rapporteur : Dominique Job).

2005

Corinne EYCHENNE, pour son excellente thèse sur une nouvelle approche du rôle des estives dans la mise en place d’un usage durable des ressources en herbe et d’un développement territorial à base collective de la « montagne » ariégeoise. (Rapporteurs : Nicole Mathieu et Marcel Jamagne).

Julie FIÉVET, pour son travail original sur les mécanismes biochimiques (les flux enzymatiques) permettant une meilleure compréhension du phénomène d’hétérosis. (Rapporteur : André Gallais).

Patrick HEURET, pour sa thèse sur l’analyse des composantes de la croissance morphologiques et structurales du chêne sessile (Quercus petraea) au cours de sa croissance (modélisation du développement). (Rapporteur : Georges Touzet).

Patrick MARTIN, pour son travail de conception et de réalisation d’une salmoniculture destinée à la production de jeunes saumons pour le repeuplement de l’Allier. (Rapporteur : Rolland Billard).

Jean-Noël PAOLI, pour ses travaux de thèse sur un sujet d’actualité : la fusion de données spatialisées : application à la viticulture de précision. (Rapporteurs : Jean-Bernard Montalescot et Christian Maréchal).

François PURSEIGLE, auteur d’une thèse remarquable sur le mouvement professionnel agricole. (Rapporteur : Philippe Lacombe).

Nuria RUIZ CAMACHO, pour ses travaux de thèse sur la mise au point d’un système de bioindication de la qualité des sols basé sur l’étude des peuplements de macro-invertébrés. (Rapporteur : Armand Chauvel).

Corinne VACHER, pour ses remarquables travaux de thèse sur l’évaluation des risques écologiques associés aux plantes génétiquement modifiées. (Rapporteur : Jean-Claude Mounolou).

Eleftheria VOUNOUKI, pour sa thèse en sociologie portant sur la reproduction des exploitations agricoles en Grèce. (Rapporteurs : Hélène Delorme et André Neveu).

2004

Emmanuelle BOULINEAU, pour sa thèse remarquable par la maîtrise d’un problème complexe de la recomposition territoriale d’un État balkanique. (Rapporteur : Jacqueline Bonnamour).

Caroline BRAUD, pour sa thèse intitulée : Étude de la dynamique d’un écoulement à cisaillements croisés, application au contrôle des transferts polluants lors des effractions dans les flux d’air propre. (Rapporteur : Jean-Bernard Montalescot).

Delphine CHINCHILLA, pour sa thèse sur le rôle des ankyrine protéines kinases dans le développement végétal. (Rapporteur : François Blondon).

Fabrice DASSONVILLE, pour sa thèse sur l’étude de la modélisation couplée des processus microbiologiques et des transformations géochimiques dans les sols. (Rapporteur : Daniel Tessier).

Arnaud DOWKIW, pour sa thèse sur l’analyse génétique de la résistance et de la tolérance des peupliers hybrides aux rouilles. (Rapporteur : Georges Touzet).

Thierry GESLAIN, auteur d’un remarquable audit de la chaîne du froid et des produits réfrigérés du fabricant au consommateur. (Rapporteur : Jean-François du Pin de la Guérivière).

Corentin HERBERT, pour sa thèse portant sur les mécanismes de mise en place du pouvoir pathogène chez des champignons filamenteux parasites de plantes. (Rapporteurs : Désiré-Georges Strullu et Jean-François Morot-Gaudry).

Alexandre JOANNON, pour sa thèse portant sur la coordination spatiale des systèmes de culture permettant la maîtrise du ruissellement érosif dans les bassins versants. (Rapporteurs : Jean-Pierre Deffontaines et Marcel Jamagne).

Catherine MACOMBE, pour sa thèse portant sur une analyse originale du renouvellement et de la pérennité des exploitations agricoles en les situant dans une perspective éthique. (Rapporteur : Roland Pérez).

Bertrand WALCKENAER, pour sa thèse sur la maturation ovocytaire, réalisée sur plus de 2000 ovules de juments. (Rapporteurs : Henry Blanc et François du Mesnil du Buisson).

2003

Annie ANTOINE, pour ses études originales sur le bocage et les fonctions des haies dans l'Ouest de la France. (Rapporteur : Jean-Marc Boussard).

 Olivier AZNAR, pour sa thèse intitulée « Services environnementaux et espaces ruraux ». (Rapporteurs : Jean-Bernard Montalescot et Christian Maréchal).

Caroline DESBOURDES-COUTADEUR, pour sa thèse sur les transferts d'eau dans les couches labourées des sols de grande culture. (Rapporteur : Marcel Jamagne).

Frédéric GLASSER, pour sa thèse sur la physiologie de la carpe herbivore et les perspectives d'élevage qui en découlent. (Rapporteur : Roland Billard).

Hélène JAVOT, pour sa thèse sur la structure et la fonction des protéines transporteurs d'eau dans les racines d'Arabidopsis thaliana. (Rapporteur : François Blondon).

Raphaël MERCIER, pour sa thèse renouvelant notre compréhension de la reproduction sexuée chez les plantes. (Rapporteurs : Jean-François Morot-Gaudry et Jean-Claude Mounolou).

Marc TAFFOREAU, pour une thèse originale sur les phases précoces de la transduction des signaux environnementaux chez le lin. (Rapporteur : Michel Thellier).

2002

Emmanuelle BOURGEAT, Bertrand MONTEL et Yves TRÉGARO, pour leurs thèses se rapportant toutes à la valorisation de la filière porcine et intitulées respectivement "Systèmes d'information et de décision en élevage", "Environnement et changement des pratiques dans les élevages bretons" et "Filière porcine française et exportations". (Rapporteur : Julien Coléou).

 Jean-Michel DEREX, pour sa thèse intitulée "La gestion de l'eau et des zones humides". (Rapporteur : Nadine Vivier).

Vincent FOUCTEAU, pour sa thèse intitulée "Méta-analyse statistique : intégration de trois réseaux d'expérimentation pour améliorer l'efficacité de la sélection des variétés de tournesol". (Rapporteur : Yvette Dattée).

Nicole GOUIRIC, pour son mémoire de l'Université Panthéon-Sorbonne montrant l'interaction entre l'art des jardins et les progrès de l'agriculture en France au XVIIIe siècle. (Rapporteur : Bertrand Hervieu).

Frank HAESELER, pour sa thèse intitulée "Caractérisation analytique, microbiologique et écotoxicologique de terres polluées d'anciennes usines à gaz". (Rapporteur : Claude Gatellier).

Christophe LE GARIGNON, pour sa thèse intitulée "Activités pastorales et paysages méditerranéens". (Rapporteur : Jean-Pierre Deffontaines).

Olivier LOUDET, pour sa thèse intitulée "Bases génétiques de l'efficacité de l'utilisation de l'azote chez Arabidopsis thaliana". (Rapporteur : Jean-Claude Mounolou).

Anne-Gaëlle MANH-AUSSEIL, pour sa thèse intitulée " Modèles déformables pour la reconnaissance d'adventices". (Rapporteur : Jean-Bernard Montalescot).

Stéphane PEYRON, pour sa thèse intitulée "Bases physico-chimiques et structurales de l'aptitude au fractionnement du grain de blé dur". (Rapporteur : Pierre Feillet).

Cristina RUEDA CATRY, pour sa thèse intitulée "Le mouvement professionnel agricole moderne en Espagne". (Rapporteurs : Hélène Delorme et André Neveu).

Sébastien SALVADOR-BLANES, pour sa thèse intitulée "Déterminisme de la distribution spatiale des éléments majeurs et traces en contexte métamorphique". (Rapporteur : Marcel Jamagne).

Emmanuelle VAUDOUR-DUPUIS, pour sa thèse intitulée "Les terroirs viticoles : analyse spatiale et relation avec la qualité du raisin". (Rapporteurs : Suzanne Mériaux et Marcel Jamagne).

2001

Valérie ADAM, pour sa thèse en droit, intitulée "La réforme de la politique agricole commune de l'Union européenne". (Rapporteur : Joseph Hudault).

 Brigitte AZEMAR, pour sa thèse en sciences, intitulée "Étude du rôle de l'ochra-toxine A, une mycotoxine alimentaire, dans l'induction des cancers des voies urinaires chez l'homme". (Rapporteur : Pierre Dupuy).

Thierry BOURLARD, pour sa thèse intitulée "Mise en évidence de nouvelles activités pectine-méthyl transférases chez le lin". (Rapporteur : Michel Thellier).

Cécile CALLOU, pour sa thèse en sciences humaines, intitulée "La diffusion du lapin (Oryctolagus cuniculus) en Europe occidentale". (Rapporteur : Georges Pelletier).

Hamida DAHMANI-MULLER, pour sa thèse de l'ENGREF, intitulée "Phytoré-habilitation des sols pollués par des éléments métalliques". (Rapporteur : Daniel Tessier).

Sébastien DUPLESSIS, pour sa thèse en sciences, intitulée "Caractérisation par ingénierie génomique des profils d'expression génique de Pisolithus tinc-torius et d'Eucalyptus globulus au cours du développement de la symbiose ectomycorhizienne". (Rapporteur : François Le Tacon).

Claudy JOLIVET, pour sa thèse intitulée "Le carbone organique des Landes de Gascogne". (Rapporteur : Marcel Jamagne).

David MAKOWSKI, pour sa thèse de l'INA-PG, intitulée "Modélisation de l'incertitude de la réponse à l'azote et évaluation de stratégies de fertilisation". (Rapporteur : Gilles Thevenet).

Guillaume QUENEY, pour sa thèse intitulée "Histoire des populations et organisation sociale du lapin européen à travers l'étude des marqueurs satellites". (Rapporteur : Jacques Arnold).

François ROUDIER, pour sa thèse intitulée "Rôle de la cycline Medsa;CycA2 dans la régulation du cycle mitotique et dans l'organogenèse de la nodosité racinaire chez la luzerne". (Rapporteur : François Blondon).

Ludovic SERÉE de ROCH, pour sa thèse en sciences économiques, intitulée "La modernisation de la fiscalité en France (1914-1926), l'exemple du Midi Toulousain". (Rapporteur : Jean-Pierre Théron).

2000

Emmanuelle BONERANDI, pour sa thèse de géographie intitulée "Devenir des espaces ruraux en crise et élus locaux : l'exemple de la Thiérache" (Rapporteur : Jacqueline Bonnamour).

 Roland JUSSIAU, inspecteur principal de l'enseignement agricole, pour avoir réalisé un travail exemplaire d'enseignement zootechnique en publiant "L'élevage en France : 10.000 ans d'histoire" (Rapporteurs : Pierre Zert et Jean-Louis Tisserand).

Véronique LECOMTE-MOREL, pour sa thèse apportant une contribution à la connaissance du transfert de produits phytosanitaires par le ruissellement et l'érosion, de la parcelle au bassin versant (Rapporteur : Marcel Jamagne).

Fabrice LE GALL, pour sa thèse de biologie consacrée à l'expression d'anticorps dans les plantes pour la lutte contre les phytoplasmes (Rapporteur : Jean-Marie Bové).

Xavier LOUCHART, pour son travail de thèse en science du sol, relatif au transfert des pesticides dans les eaux en milieu méditerranéen (Rapporteur : Jean-Claude Favrot).

Céline RICHARD-MOLARD, pour sa thèse de physiologie végétale portant sur "la caractérisation physiologique, génétique et moléculaire de la mise en réserve de l'azote chez Cichorium intybus (chicorée endive)" (Rapporteurs : Jean-François Morot-Gaudry et Jean-Claude Mounolou).

Enric ROBINE, ingénieur au Centre scientifique et technique du bâtiment pour sa thèse portant sur la fixation des aérosols bactériens sur les surfaces inertes (Rapporteur : Richard Moreau).

Alexandra SCHOENY, pour sa thèse traitant de la nuisibilité du piétin échaudage : influence des cinétiques du développement de la maladie sur la croissance, la nutrition azotée et l'élaboration du rendement de blé d'hiver (Rapporteur : Frantz Rapilly).

1999

Jean-Eudes BEURET, pour sa thèse qui traite des relations entre l'agriculture et l'espace rural et pour les concepts qui sont développés. (Rapporteurs : Jean-François Chosson et Raymond Mérillon).

 Thibaud DECAËNS, pour sa thèse qui démontre le rôle joué par certains groupes fauniques (dont les vers de terre) dans le maintien des qualités du sol lors d'une intensification des cultures en milieu tropical. (Rapporteur : Armand Chauvel).

Catherine DREANNO, pour sa thèse apportant des données nouvelles sur l'énergétique du mouvement des spermatozoïdes de poissons marins. (Rapporteurs : François du Mesnil du Buisson et Rolland Billard).

Mina KLEICHE, pour sa thèse intitulée : De l'agriculture coloniale à l'agriculture tropicale : la professionalisation des agronomes tropicaux. (Rapporteur : François Clerc).

Ulla NEUMANN, pour sa thèse qui apporte des données nouvelles sur les mécanismes de pénétration chez des Scrophulariacées parasites de cultures vivrières africaines. (Rapporteur : Daniel Côme).

Marc-André SELOSSE, pour sa thèse apportant une contribution significative à la connaissance des relations ectomycorhiziennes (/.accar/a-Douglas) et au comportement in situ des souches de Laccaria. (Rapporteurs : Bernard Boullard et Pierre Bazire).

Christophe SOULARD, pour sa thèse consacrée à la protection de l'environnement à travers une analyse géographique des relations des agriculteurs à la pollution des eaux. (Rapporteur : Jean-Pierre Deffontaines).

1998

Guy CHAUVEY, créateur d'entreprise, pour son action de pionnier dans le développement de la salmoniculture en Franche-Comté. (Rapporteur : Jacuqes Arrignon).

Isabelle COUSIN, pour sa thèse sur l'étude des relations entre les caractéristiques géométriques d'un sol et ses propriétés de transfert des gaz par diffusion. (Rapporteur : Georges Pédro).

Marie-taure DECAU, pour sa thèse se rapportant au flux d'azote en prairies pâturées par des bovins. (Rapporteur : Jean Salette).

Carole HERNANDEZ-ZAKINE, pour sa thèse sur l'influence du droit de l'envi¬ronnement sur le droit rural en rapport avec la conservation de la faune sauvage. ( Rapporteur : Joseph Hudault).

Valérie JOUSSEAUME, pour sa thèse sur les bourgs-centres à l'ombre d'une métropole : l'exemple de la Loire-Atlantique. (Rapporteur : François Clerc).

Valérie LE CORRE, pour sa thèse portant sur l'organisation de la diversité génétique et l'histoire postglaciaire des chênes blancs européens. (Rapporteur : Jean-Claude Mounolou).

Pascale MERCIER, pour sa thèse Intitulée : Contribution méthodologique à l'étude des matières en suspension en relation avec le transfert des matières fertilisantes et des pesticides. (Rapporteur : Marcel Jamagne).

Anne ROLLET, pour sa thèse sur les stratégies partenariales de construction d'un couple produit/territoire. (Rapporteur : Roland Perez).

Christophe SCHWARTZ, pour sa thèse sur la phytoremédiation des sols pollués et la contribution d'une plante sauvage hyperaccumulatrice de métaux pour le traitement des sols pollués. (Rapporteur : Fernand Jacquin).

Guy MARRE, représentant la coopérative "Les vergers de la haute vallée de l'Aude", pour les réalisations par cette coopérative de microateliers de transformation de fruits et légumes dans une zone agricole difficile : la haute vallée de l'Aude. (Rapporteur : Pierre Dupuy).

1997

Véronique ALARY, pour sa thèse concernant les effets de la libéralisation des échanges sur la culture du cacao au Cameroun. (Rapporteur : Jacqueline Bonnamour).

 Thierry BEGUIRISTAIN, pour sa thèse sur les mécanismes de communication entre l'arbre hôte et son symbiote fongique. Ce travail sur un thème nouveau met en évidence des faits importants, susceptibles d'applications. (Rapporteur : Pierre Bazire).

Sylvie CROS-CAYOT, pour sa thèse sur l'étude expérimentale du ruissellement en région tempérée (Bretagne) et ses conséquences en relation avec les problèmes d'environnement. (Rapporteur : Claude Cheverry).

Lionel DABBADIE, pour sa thèse sur le fonctionnement du réseau trophique dans un système de pisciculture rurale à faible niveau d'intrants dans le centre ouest de la Côte-d'lvoire. (Rapporteur : Julien Coléou).

Valérie GABORIAU-ROUTHIAU, pour sa thèse sur l'étude de l'influence de la microflore intestinale autochtone sur l'établissement de la tolérance à l'ovalbumine chez la souris. (Rapporteur : Robert Ducluzeau).

Jean-Claude MONNET, pour sa thèse sur la définition et la délimitation des terroirs du Comté, qui peuvent servir de modèles à la caractérisation bioé-daphique de nombreux terroirs. (Rapporteur : Georges Pédro).

Anne-Marie VACHOT, pour sa thèse sur la phylogénie de la famille à laquelle appartient le lapin et sur l'origine des populations de lapins, apportant des données applicables à la conservation et à l'exploitation des races domes¬tiques. (Rapporteur : Jacques Arnold).

Béatrice von HIRSCHHAUSEN, pour sa thèse " Nouvelles campagnes roumaines : les débuts de l'après-socialisme ". Cet ouvrage replace la politique de collectivisation dans le cadre de l'histoire agraire d'un pays qui a toujours hésité entre la " grande exploitation " et l'exploitation familiale. (Rapporteur : Jean-Marc Boussard).

1996

Nathalie COLBACH, pour sa thèse consacrée à la modélisation de l'influence des systèmes de culture sur les maladies du pied et des racines du blé tendre d'hiver, modélisation qui rend possible le choix d'un système limitant le risque parasitaire. (Rapporteur : Frantz Rapilly).

Ghislaine PERCHEC, pour sa thèse sur la spermatogenèse chez les pois¬sons (carpe et turbot), qui donne les bases d'une meilleure maîtrise de l'insémination artificielle. (Rapporteur : François du Mesnil du Buisson).

Michel HERVIO, technicien de recherches à la Station de science du sol de l'INRA (Versailles), dont les méthodes de gestion des opérations de préparation et de détermination minéralogique des argiles facilitent grandement les travaux des chercheurs. (Rapporteur : Georges Pédro).

Cécile NEUVÉGLISE, pour sa thèse sur les caractères biologiques et moléculaires d'un champignon entomopathogène dont l'utilisation permet une lutte biologique efficace contre le ver blanc de la canne à sucre dans l'Ile de la Réunion. (Rapporteur : Maurice Ritter).

Marie-Noëlle ROSSO, pour sa thèse consacrée à l'isolement d'anticorps actifs contre des nématodes phytoparasites et à la mise au point de méthodes d'élaboration d'anticorps synthétiques simplifiés. (Rapporteur : Maurice Ritter).

Anne-France DOLEDEC, pour sa thèse sur la mise au point d'une méthode de détermination des terroirs viticoles et l'élaboration d'un outil d'aide à leur gestion avec application au vignoble champenois. (Rapporteur : Michel-Claude Girard).

Isabelle DUVERNOY, pour sa thèse sur la pérennisation de l'activité agricole aux franges forestières d'une région d'Argentine, dont les conclusions peuvent aider à l'étude de divers types d'agriculture en évolution rapide. (Rapporteur : Jean-Pierre Deffontaines).

 

1995

Hervé RÉMIGNON, pour sa thèse (préparée au centre INRA de Nouzilly) sur l'étude histologique et biochimique de deux lignées de volailles, qui apporte des données fondamentales pour l'analyse des facteurs qui contrôlent le développement et la qualité des viandes. (Rapporteur: Jean-Claude Blum).

 Paul COLONNA, directeur de recherches à l'INRA (Nantes), pour ses travaux sur la physico-chimie de l'amidon, qui ont apporté des données nouvelles aux nutritionnistes comme aux fabricants de matériaux en vue de remplacer le polyéthylène dans les emballages. (Rapporteur: Pierre Feillet).

Jean-Louis BERGEOT, pour la création et le développement de son entreprise de production de logiciels intéressant les métiers de la bouche, la gastronomie et le vin, et permettant la diffusion, sous une forme moderne, d'innombrables données utiles aux enseignants comme aux professionnels. (Rapporteur : Pierre Dupuy).

1994

Augustine SHAN SEI FAN, pour sa thèse, préparée à l'ENSA de Toulouse, sur l'étude de la physiologie de la violette, qui lui a permis de proposer des applications horticoles précises (Rapporteur : Robert Minier).

 Nathalie MUNIER-JOLAIN, pour sa thèse, préparée au centre INRA de Dijon, sur la variabilité du poids de la graine chez le soja, qui lui a permis d'élaborer un modèle prédictif du fonctionnement des peuplements de légumineuses et de leur rendement en graines (Rapporteur : Frantz Rapilly).

Annette BÉRARD, pour sa thèse, préparée au laboratoire du CEMAGREF de Lyon, sur les mécanismes des transferts d'azote consécutifs à l'apport à des étangs de pisciculture d'une fumure riche en azote organique, avec application à la fertilisation des étangs en fonction du stade de développement des poissons (Rapporteur : Rolland Billard).

Dominique ARROUAYS, ingénieur à l'INRA, pour ses travaux relatifs à l'évolution des stocks de carbone organique des sols d'une petite région en fonction des techniques de mise en valeur, qui représentent une contribution importante à la connaissance du bilan de carbone (Rapporteur : Georges Pédro).

Caroline DJIAN-CAPORALINO, pour sa thèse, préparée au centre INRA d'Antibes, sur l'étude de molécules qui permettent de lutter contre les nématodes phytoparasites quel que soit le pH du sol, molécules dont elle a mon¬tré l'innocuité envers les autres composantes de la faune et de la flore du sol (Rapporteur : Michel Luc).

Lionel GARNERY, pour sa thèse, préparée au laboratoire INRA/CNRS de Bures-sur-Yvette, qui lui a permis de préciser la phylogénie du genre Apis en faisant appel à la variabilité de l'ADN mitochondrial et de proposer des méthodes de protection de la biodiversité chez l'abeille domestique (Rapporteur : Jean Louveaux).

1993

 Abdelilah BENAMAR, pour son mémoire pour l'obtention d'un diplôme d'étude supérieure spécialisée (DESS) portant sur la recherche des causes de la germination sur pied du blé tendre (Rapporteur : Daniel Côme).

Catherine DENIS, de PADRIA de Normandie, pour son activité dans la constitution et le développement d'un conservatoire de bactéries lactiques relié à un réseau international de collections de micro-organismes (Rapporteur : Pierre Dupuy).

1988

Robert XUÉREF, pour son ouvrage : Deux siècles d'histoire des associations agricoles en terre drômoise. (Rapporteur : Paul Moati).

Marianne CERF et Daniel LENOIR, pour leur ouvrage : Le développement agricole en France. (Rapporteur : François Clerc).

1987

Jean LOZET et Clément MATHIEU, pour leur ouvrage : Dictionnaire de science du sol. (Rapporteur : Georges Aubert).

Jean LABOUCHEIX, pour sa thèse : Contribution à l'étude de la transmission de la virescence florale du cotonnier au Burkina Faso. (Rapporteur : Robert Delattre).

1986

Jean-Luc BOURSE, pour son mémoire : Étude des vibrations sur les sièges des tracteurs agricoles. (Rapporteur : Jean-Marc de Montis).

1985

Claude PY, Jean-Joseph LACOEUILHE et Claude TEISSON, pour leur ouvrage : L'ananas, sa culture, ses produits. (Rapporteur : André Angladette).

Sandrine du CHOUCHET, pour son mémoire : Les légumes frais et transformés à Taïwan. (Rapporteur : Raymond Brès).

Patrick CHASSAGNEUX, pour sa thèse : Étude et modélisation de l'évaporation globale et du bilan hydrique d'un couvert forestier. (Rapporteur : N. Gerbier).

Michel GENARD et Françoise LESCOURRET, pour leur thèse : Les petits vertébrés de la pineraie à crochets, fonction descriptive et rôle dans la régénération forestière : l'exemple du massif d'Osséja (Pyrénées-Orientales). (Rapporteur : Paul Pesson).

1984

 Anne-Marie GRANET, pour son étude d'aménagement des forêts de Boulay-Morin et d'Harcourt. (Rapporteur : Roger Blais).

Jacqueline MONDOT-BERNARD et Michel LABONNE, pour leur ouvrage sur l'avenir alimentaire au Mali. (Rapporteur : Michel Cépède).

Minh-hà PHAM-DELEGUE, pour sa thèse sur le comportement de l'abeille dans le butinage. (Rapporteur : Paul Pesson).

Alain ROQUES, pour l'édition de l'ouvrage : Les insectes ravageurs des cônes et graines de conifères en France. (Rapporteur : Pierre Grison).