Ces experts l'ont déjà affirmé dans leur "Point de vue", en date du 8 février 2018, intitulé "Inondations, agriculture et société : le besoin d’une parole juste" coordonné par Guillaume Benoit, membre de l’Académie d’agriculture de France, Ingénieur général des ponts, des eaux et des forêts et Président du groupe eau et sécurité alimentaire du Partenariat français pour l’eau .
Déjà à l'époque, ils dénonçaient :
"A nouveau, la France subit des inondations qui recouvrent des terres et des zones habitées provoquant dommages économiques et humains, angoisses et interrogations bien justifiées. L’agriculture « intensive » a été accusée par certains commentateurs laissant entendre que l'agriculture biologique pourrait être une solution au problème. Ceci a conduit à une série de réactions et questionnements. Le monde agricole s’est dit victime de la « double peine » : celle de la perte de récoltes et d’infrastructures alors que tant d’exploitations sont déjà en situation de fragilité, et celle du sentiment d’injustice quant à sa responsabilité supposée. Le monde académique a été questionné par certains de ses pairs. Des journalistes se sont d’eux-mêmes attachés à dénouer le faux du vrai dans les affirmations qui avaient été reprises par certains de leurs confrères. Ayant contacté les experts qualifiés de l’IRSTEA et de l’INRA, ils ont constaté que celles-ci étaient sans fondements".
APPAREMMENT LE MESSAGE N'EST ENCORE PASSE !
Pour relire le "point de vue" des Académiciens, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :
(Photographie : Ouest-France)