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WATTEAUX Magali

04.01.Q07 : La carte archéogéographique, outil d'analyse des héritages de l'écoumène (partie 1)

Le principe de la carte archéogéographique – ou carte compilée – repose sur la compilation – sur un même fond géographique de référence – d'un ensemble de données et informations diverses (géographiques, géomorphologiques, archéologiques, historiques, écologiques, etc.), relevées sur la documentation planimétrique récente et ancienne, ainsi que dans les bases de données archéologiques.
     L'objectif est de permettre l'analyse des cohérences morphologiques visibles dans la planimétrie héritée, et de faire interagir les héritages de toutes sortes. Ces cartes permettent – outre la connaissance historique des espaces anciens – de développer une expertise au service des politiques d'aménagement et d'urbanisme, au service de la gestion des risques (ex. inondations), de la valorisation culturelle et touristique des territoires (ex : pour asseoir un dossier de zonage historique remarquable) et de la gestion du patrimoine archéologique.

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon final_04.01.q07_carte_archeo_part_1.pdf

04.01.Q08 : La carte archéogéographique, outil d'analyse des héritages de l'écoumène (partie 2)

     Le principe de la carte archéogéographique – ou carte compilée – repose sur la compilation – sur un même fond géographique de référence – d'un ensemble de données et informations diverses (géographiques, géomorphologiques, archéologiques, historiques, écologiques, etc.), relevées sur la documentation planimétrique récente et ancienne, ainsi que dans les bases de données archéologiques.
     L'objectif est de permettre l'analyse des cohérences morphologiques visibles dans la planimétrie héritée, et de faire interagir les héritages de toutes sortes. Ces cartes permettent – outre la connaissance historique des espaces anciens – de développer une expertise au service des politiques d'aménagement et d'urbanisme, au service de la gestion des risques (ex. inondations), de la valorisation culturelle et touristique des territoires (ex : pour asseoir un dossier de zonage historique remarquable) et de la gestion du patrimoine archéologique.

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon final_04.01.q08_carte_archeo_part_2.pdf

13.01.Q05 : L'ouverture des collecteurs interprétatifs : centuriation, openfield, bocage & parcellaire de pierre sèche

     En ouvrant des collecteurs ou des paradigmes censés représenter un état génétique d'une société agraire à un moment de son histoire, on ouvre toutes sortes de boîtes de Pandore. Ainsi, la centuriation romaine ressort moins romaine qu'il n'y paraît ; l'openfield cache des planifications agraires en bandes coaxiales plus tardives ; les bocages et les openfields reposent sur des trames morphologiques héritées de l'âge du fer ; les parcellaires de pierre sèche mêlent les époques et ne peuvent être systématiquement réputés d'origine.
     Les mots clés de la réévaluation sont : les effets constants de la transmission, la dissociation entre formes et fonctions, comme entre formes et modelés.

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PDF icon final_13.01.q05_collecteurs_inter.pdf

13.01.Q08 : Pourquoi parle-t-on de plan radio-quadrillé ?

     La forme radio-concentrique des terroirs, dont on a cru pouvoir faire un marqueur des paysages médiévaux, n'existe pas en tant que forme d'organisation consciente des terroirs après l'an mil.
     Le cas général est, au contraire, une forme dite radio-quadrillée, associant une trame d'origine antique (laténienne et romaine) et un réseau radial de voies et chemins, polarisé par le regroupement de l'habitat médiéval.

Fiche téléchargeable au format PDF, ci-dessous :

PDF icon final_13.01.q08_radio-quadr.pdf