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L’actualité de l'enseignement

Concours Make IT Agri, destiné aux élèves Ingénieurs bac+3, 4 et 5, tous secteurs confondus, vient de lancer sa sixième édition. Pour cette nouvelle saison il s’adresse également aux masters I & II des universités et aux écoles vétérinaires. Il vise à sensibiliser les étudiants à l’innovation dans les domaines de l’agriculture et de l’alimentation durables. Make IT Agri souhaite également accompagner les équipes participantes dans le développement de leur projet afin qu’elles puissent envisager l’entrepreneuriat et la création de startup. Une boîte à idées est proposée sur le site du Concours afin d'aider les étudiants qui souhaitent participer mais qui manquent d'inspiration.

Ce rendez-vous, organisé par l'Institut Sapiens, est programmé le 5 octobre 2023, de 17h00 à 19h00, en direct sur YouTube.

Les sujets qui seront traités par l'Académicienne et les autres intervenants, sont les suivants :

  • Qu’est-ce que les New breeding techniques (NBT ? (Historique, fonctionnement technique, différences avec les OGM, rôle des NBT dans la santé animale, végétale et humaine)
  • Les NBT, un outil essentiel pour relever les futurs défis agricoles
  • La nécessité d’opter pour une régulation juste, au service de l’agriculture européenne
  • Le marketing de la peur, ou comment le principe de précaution et la volonté du risque zéro freinent l’innovation

​Pour en savoir plus sur la conférence-débat du 5 octobre et y participer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Elle a pour titre : "Quels enseignements de mathématiques pour la biologie ?"

Elle a été rédigée par Jacques Haiech (École supérieure de biotechnologie de Strasbourg - ESBS).

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Un point de vue sur l’enseignement des mathématiques en biologie y est présenté.

Il est fondé sur la définition de la notion d’organisme vivant, la description d’un espace didactique intégré, où un cursus est un chemin dans cet espace, et, enfin, une proposition d’un cadre d’enseignements allant de la licence au doctorat et prenant en compte l’objectif des étudiants, soit scientifique, soit tourné vers l’ingénierie. Ces réflexions ont pour but de déclencher une discussion sur la présentation de programmes pour l’enseignement des mathématiques dans les cursus de biologie, permettant d’établir les objectifs à atteindre de la première année de licence à la seconde année de master.

Mots clés : 

Enseignement des mathématiques, biologie, biologie des systèmes, langage formel, théorie des graphes, systèmes d’équations différentielles

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A viewpoint on the teaching of mathematics in biology   is   presented.  

It is based on a definition of the notion of the living organism, a description of an integrated didactic space where a curriculum is a path in this space, and, finally, a proposal for a framework of teaching extending from the bachelor's degree to the doctorate and taking into account the students' objective, either scientific or engineering. The aim of these reflections is to trigger a discussion on the presentation of programmes for the teaching of mathematics in biology curricula, making it possible to establish the objectives to be achieved from bachelor to master.

Key words :
Mathematics education, biology, systems biology, formal language, graph theory, systems of differential equations

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Pour lire cette Note académique, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Il vise "les étudiants des Grandes écoles d’ingénieurs, des Universités et des Écoles vétérinaires, qui souhaitent contribuer à une agriculture et une alimentation durables par la création d’innovations numériques, robotiques et informatiques pour améliorer les pratiques du champ à l’assiette et accélérer les transitions". Les projets pourront comporter une ou plusieurs dimensions : l’environnement, l’économie, l’amélioration des procédés, la sécurité alimentaire, les modes de consommation, etc.

La phase de pré-sélection est fixée du 15 septembre 2023 au 15 décembre 2023 minuit. Les candidats doivent télécharger et compléter un dossier de candidature avant le 15 décembre 2023.

Les membres fondateurs du Concours "Make IT Agri" sont, rappelons-le, la Fondation Avril, l’Académie d’agriculture de France et  AgroParisTech. Le Concours reçoit le soutien de partenaires qui participent à son financement ainsi qu’au jury et à son Comité de Pilotage.

Pour en savoir plus sur la saison 6 du Concours "Make IT Agri" et y candidater, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Rédigée par Adrien Le Navenant, Laurent Gomez, Hélène Gautier, elle a pour titre : "Etat des connaissances scientifiques concernant l’utilisation des plantes de service dans la régulation des populations du ravageur Myzus persicae".

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Son résumé est le suivant :

L’intensification de l’agriculture et le développement de la monoculture, depuis plusieurs années, induisent de nombreux problèmes de gestion des ravageurs, particulièrement ceux à multiplication rapide comme les pucerons, qui ont mis en place des mécanismes de résistance à la plupart des familles d’insecticides. Ces constats, accentués par le retrait progressif de produits phytosanitaires autorisés, ont  guidé les  réflexions vers un  changement de paradigme, afin de concevoir des systèmes agroécologiques fondés sur des combinaisons de stratégies. Parmi celles-ci, l’introduction de plantes de service (PdS) est particulièrement étudiée pour lutter, de façon directe ou indirecte, contre Myzus persicae, le puceron vert du pêcher. Les PdS peuvent, par exemple, détourner le ravageur des zones d’intérêt économique vers des cultures pièges, ou limiter son déplacement dans les parcelles. Elles peuvent également perturber le cycle de développement du ravageur ou modifier son comportement alimentaire, diminuant les risques de transmission de virus. Les PdS peuvent aussi réguler les ravageurs de façon indirecte, en attirant leurs ennemis naturels ou en modifiant la composition des plantes cultivées d’intérêt. Malgré les contraintes d’usage et la nécessité d’études complémentaires en vue de réduire la variabilité des réactions observées, les PdS et leurs produits dérivés sont l’un des leviers encourageants ouvrant de nouvelles possibilités de gestion de ce ravageur. La recherche sur l’intégration de plusieurs de ces leviers et la potentialisation de leurs effets combinés semblent particulièrement prometteuses, afin de dépasser les limites et contraintes individuelles et d’améliorer leur efficacité en production.

Mots clés :
Myzus persicae, puceron, plantes de service, plantes compagnes, lutte alternative, ennemis naturels, composés organiques volatils

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Its summary is as follows:

The increase of insecticide resistance in pests, especially in Myzus persicae, leads to a decrease in the efficiency of the regulation mechanisms previously used in agriculture. This effect, combined with the progressive withdrawal of authorized phytosanitary products, shows the need for a paradigm shift in the design of new agrosystems. The development of these new systems is based on alternative strategies using multiple solutions. Companion plants (CP) fit perfectly into this framework of development of new control strategies against Myzus persicae, inducing effects that can be grouped into two main categories: direct and indirect. The first type can act on the detection and attractiveness of the crop, by diverting the pest from areas of economic interest to trap crops, or by limiting its movement in the economic crops. A disruption of the development cycle or a decrease in virus transmission can also be induced by CP. Indirect effects act through intermediaries to regulate this pest, notably by attracting natural enemies and their perpetuation in the crops, or by modifying the metabolism of the crop plant. Although some limitations are still present and require more studies to reduce the variability of the observed responses, CP and the products derived from them are one of the promising tools, opening new possibilities for the management of this pest. Research on the integration of all these tools and the potentiation of their combined effects seems particularly promising to overcome individual limitations and constraints and to obtain a more constant efficiency in the crops.

Keywords :
Myzus persicae, aphid, companion plants (CP), alternative control, natural enemies, Volatile Organic Compounds (VOC)

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Pour lire cette note académique, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Signé de notre confrère Christian Lévêque, il est intitulé : "Agir avec la nature au XIXe siècle. A propos d'oiseaux, d'agriculture et d'émergence de l'écologie".

Le résumé en est le suivant :

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Le débat qui s’est instauré au milieu du XIXe siècle sur le rôle des oiseaux insectivores en tant qu’auxiliaires de l’agriculture, s’inscrit dans la démarche « agir avec la nature ». Les scientifiques ont fait l’hypothèse que les dégâts causés par les insectes aux cultures, résultaient de l’érosion des populations d’oiseaux insectivores soumis à une forte prédation par la chasse et le braconnage. On parlait déjà à cette époque, de la disparition prochaine de plusieurs espèces d’oiseaux de la faune française.

Si la protection des oiseaux sera acquise en 1902, la distinction opérationnelle entre utile et nuisible s’est avérée difficile et ce débat perdure. C’est durant cette période que les concepts de l’écologie ont émergé : rôle des facteurs de l’environnement sur la distribution des espèces, équilibre des systèmes écologiques, régulation des populations par les chaines trophiques, etc. Des concepts hérités à la fois de la pensée créationniste et du sens commun dont certains seront remis en cause par la suite.

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Pour en savoir plus sur l'ouvrage paru au Presses des Mines et le commander (tarif promotionnel -20% jusqu'au 15 octobre 2023), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Cette journée a comme titre : "Elevage et société. Quelle expertise scientifique pour une transition agroécologique réussie ?"

Elle se tiendra le 21 septembre 2023, de 9h00 à 18h00, en présentiel à l'Ecole nationale vétérinaire d'Alfort (espace de conférence AGORA, Grand amphithéâtre 003) et sera accessible en visioconférence.

Notre confrère, membre de la Section "Elevage" de l'Académie d'agriculture de France interviendra sur le thème : "Elevage des ruminants au cœur des systèmes agroalimentaires circulaires et durables".

Pour en savoir plus sur la prochaine journée thématique de l'Académie Vétérinaire de France et y participer, cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Ce colloque scientifique se tiendra le jeudi 28 septembre 2023 dans les locaux de la Compagnie (18, rue de Bellechasse - 75007 Paris)

A son programme : 

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9h30-12h30 : « ADNe : méthode et domaines d’application »

  • 9h30-9h50 Mots de bienvenue par Marion Guillou, présidente et Constant Lecoeur, secrétaire perpétuel de l’Académie d’agriculture de France et hommage à Dominique Job (membre de l’Académie, section 6 - Sciences de la vie)
  • 9h50-9h55 Remise par Agnès Ricroch, secrétaire de la section 6 - Sciences de la vie, du prix de thèse conjoint de la Société française de biologie végétale et de l’Académie d’agriculture de France 2023
  • 9h55-10h00 Introduction par Serge Poulet, directeur de recherche émérite au Cnrs et membre correspondant émérite de l’Académie (section 6 - Sciences de la vie)
  • 10h00-10h15 Introduction générale à l’ADN environnemental par Pierre Taberlet, directeur de recherche émérite au Cnrs, Grenoble et professeur invité, The Arctic University of Norway, Tromso Museum, Tromso
  • 10h15-10h30 Potentiel et limites de l’ADN environnemental et du métabarcoding ADN pour des applications en écologie par Lucie Zinger, maître de conférences en écologie et génomique environnementale à l’Ens, Université Paris Sciences & Lettres, Paris
  • 10h30-10h45 Exemples d’applications de l’ADN environnemental pour l’agriculture Aurélie Bonin, directrice générale de la société ARGALY, Bourget-le-Lac
  • Pause-café (30 min)
  • 11h15-11h30 Biodiversité des génomes viraux, avec un focus sur le SARS-CoV-2 : détection et analyse de la variabilité des génomes viraux dans l’environnement par Bruno Lina, virologue et directeur du Centre national de référence contre les virus respiratoires, membre du Covars
  • 11h30-11h45 La génomique environnementale microbienne par Francis Martin, directeur de recherche émérite à l’Inrae et membre de l’Académie (section 6 - Sciences de la vie)
  • 11h45-12h15 Discussion et réponses aux questions avec comme Modératrice Claire Rogel-Gaillard, directrice scientifique adjointe Agriculture à l’Inrae, membre de l’Académie (section 3 - Elevage)
  • 12h15-12h30 Conclusion par Chris Bowler, directeur de recherche au Cnrs, institut de biologie de l’Ens, professeur au Collège de France, Paris et membre de l’Académie (section 6 - Sciences de la vie)

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Déjeuner libre

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14h00-15h00 Discussion avec les conférencières et conférenciers

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15h00-17h50 : « Nouvelles compréhensions et gestion de la biodiversité »

  • 15h00-15h05 Introduction par Serge Poulet, directeur de recherche émérite au Cnrs et membre correspondant émérite de l’Académie (section 6 - Sciences de la vie)
  • 15h05-15h20 L'ADN fossile, une machine à remonter le temps : les tests d’ADN en archéologie par Ludovic Orlando, directeur de recherche au Cnrs, directeur du centre d’anthropologie et de génomique de Toulouse à l’université Paul-Sabatier
  • 15h20-15h35 Sélection animale et microbiote intestinal par Claire Rogel-Gaillard, directrice scientifique adjointe Agriculture à l’Inrae, membre de l’Académie (section 3 - Production animale)
  • 15h35-15h50 Études sur l’ADNe pour décrire les régimes alimentaires de mammifères (singes, félins et loutres) par Erwan Quéméré, chargé de recherche à l’Inrae, équipe Dynamique et durabilité des écosystèmes : de la source à l’océan, Rennes
  • Pause-café (30 min)
  • 16h20-16h35 L’ADN environnemental ne manque pas d’air par Yves Brunet, directeur de recherche à l’Inrae, équipe Interactions Sol-Plante-Atmosphère, Bordeaux, membre de l’Académie (section 7 - Environnement et territoires)
  • 16h35-16h50 ADN et ARN environnementaux : découverte et fonctions par Patrick Wincker, directeur dénéral et scientifique du Génoscope, Evry
  • 16h50-17h05 Conclusion par Pierre Taberlet, directeur de recherche émérite au Cnrs, Grenoble et professeur invité à The Arctic University of Norway, Tromsø Museum, Tromsø, Norvège
  • 17h05-17h35 Discussion et réponses aux questions avec comme Modératrice Claire Rogel-Gaillard, membre de l’Académie (section 3 - Production animale)

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17h35-17h50 Conclusion générale par Joël Doré, directeur de recherche à l’Inrae, membre de l’Académie (section 8 - Alimentation
humaine)

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En savoir plus sur le colloque : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/colloque/academi...

S'y inscrire : https://my.weezevent.com/ADNe

Tarif : 30 euros (gratuit pour les étudiants)

Il s'agit de Gabrielle Bouleau et de Nathalie de Noblet-Ducoudré.

La première intervient sur le thème : "Crises environnementales : l'eau un révélateur de nos vulnérabilités et de nos choix".

La seconde sur celui du : "Changement climatique et usages des sols".

Le cycle est organisé par l'Université Paris-Saclay.

Il se tient du 04 au 07 septembre 2023, dans les locaux de CentraleSupélec.

Pour en savoir plus sur le cycle de conférences, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour accéder aux CV des deux Académiciennes, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Son éditeur, l'Académicien Patrick Ollivier, nous informe de la mise en ligne :

- De la "Question sur..." n°03.09.Q10 : "Biodiversité et domestication en aquaculture", rédigée par son confrère Jérôme Lazard, qui enrichit ainsi ses écrits sur l'aquaculture. La lire : https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/questions-...

- De quatre vidéos consacrées aux radis dans la sa série "Légumes à gogo" de notre partenaire Semae - l'Interprofession des semences et plants:

A ce jour l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France contient 526 documents de formats différents faisant le point sur divers sujets dans les secteurs de l'Agriculture, de l'Alimentation et de l'Environnement. Accéder à la table des matières de ces documents : https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/table-mati...

L'Académicien vient, pour ce faire, d'enregistrer une vidéo diffusée sur la chaîne YouTube de notre Compagnie.

Accéder à la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=KctOvkBHBww

Notre confrère est LE SPECIALISTE PASSIONNE de notre histoire collective, qu'il relate dans une collection d'ouvrages, à lire absolument pour comprendre pourquoi et comment depuis 1761, nous avons "une passion connaître" et une "ambition transmettre" ce que sont les secteurs de l'agriculture et de l'alimentation dans un contexte de développement durable.

En savoir plus sur la collection d'ouvrages : https://www.academie-agriculture.fr/publications/les-academiciens-ecrive...

Celle du rapport, que vient de publier le Science Advice for Policy by European Academies (SAPEA), intitulé : "Towards sustainable food consumption (Vers une consommation alimentaire durable)".  

En voici le résumé en français :

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Pour que l'Europe atteigne ses objectifs de santé et de durabilité, la façon dont nous produisons et consommons les aliments doit changer. Notre système alimentaire actuel a un impact majeur sur l'environnement, et une alimentation de mauvaise qualité est également liée au risque de maladie, d'obésité et de surpoids, qui touche environ 60 % des adultes et 30 % des enfants dans les pays européens.

Pour résoudre ces problèmes, nos régimes alimentaires doivent évoluer vers davantage d'ingrédients à base de plantes, riches en légumes, fruits, céréales complètes et légumineuses. Notre alimentation devrait être limitée en viande rouge, viande transformée, sel, sucre ajouté et produits animaux riches en matières grasses, tandis que le poisson et les fruits de mer devraient provenir de stocks gérés de manière durable.

Jusqu'à présent, l'objectif principal de la politique de l'UE était de fournir davantage d'informations aux consommateurs. Mais ce n'est pas assez. Les gens choisissent la nourriture non seulement par réflexion rationnelle, mais aussi en fonction de nombreux autres facteurs : disponibilité de la nourriture, habitudes et routines, réactions émotionnelles et impulsives, ainsi que leur situation financière et sociale.

Nous devrions donc envisager des moyens de soulager le consommateur et de faire d'une alimentation saine et durable un choix facile et abordable. Cela nécessitera une combinaison d'incitations, d'informations et de politiques contraignantes régissant tous les aspects de la production et de la distribution alimentaires. Les politiques doivent porter sur l'ensemble de l'environnement alimentaire, partout où la nourriture est obtenue, consommée et discutée. L'environnement alimentaire de l'UE est diversifié, comprenant des magasins, des restaurants, des maisons, des écoles et des lieux de travail, ainsi que des environnements informels tels que les aliments cultivés sur place. De plus en plus, il inclut également les médias numériques.

Les éléments de preuve indiquent en particulier cinq éléments clés :

Tarification : Il existe des preuves évidentes que les mesures directes sont efficaces. Cela comprend les taxes sur le sucre, les taxes sur la viande et la tarification des produits en fonction de leurs impacts environnementaux, ainsi que des taxes réduites sur les alternatives saines et durables. Ces politiques doivent être mises en œuvre de manière équitable, en particulier pour les personnes issues de milieux défavorisés, par exemple en restituant les recettes fiscales aux citoyens vulnérables.

Disponibilité et visibilité : les options alimentaires saines et durables sont plus fréquemment choisies si elles sont affichées dans des endroits bien en vue. La publicité d'aliments malsains ou non durables s'ils sont consommés régulièrement devrait être restreinte. Les codes de conduite volontaires dans ce domaine n'ont pas été efficaces.

Composition : Réduire la teneur en matières grasses, en sucre et en sel malsains et ajouter davantage d'alternatives à base de plantes peut être utile, mais uniquement si ces mesures sont obligatoires et complètes. Les preuves montrent que les accords volontaires antérieurs ont eu un effet limité.

Étiquetage : L'étiquetage des aliments pour montrer leurs effets sur la santé a un effet faible à modéré. Il existe maintenant de nombreux programmes de ce type, et d'autres apparaissent tout le temps. Puisque l'efficacité des labels dépend de la confiance des consommateurs, nous avons besoin de normes claires et cohérentes pour les étayer.

Environnement social : L'influence des pairs et de la société s'est avérée efficace pour améliorer une saine alimentation. Les technologies numériques offrent d'autres possibilités, mais présentent également d'énormes risques de stimulation d'une consommation malsaine et non durable, par exemple par le biais de stratégies de marketing de l'industrie.

Certaines de ces politiques impliquent des changements à plus long terme et plus transformationnels que d'autres - mais la nécessité de commencer à apporter des changements est urgente. Pour y parvenir, il ne s'agit pas seulement de mettre en œuvre de nouvelles politiques, mais également de supprimer ou de modifier les politiques existantes qui détournent de nos objectifs, telles que les subventions à la production alimentaire malsaine ou non durable.

Il sera essentiel de créer un environnement permettant à toutes les parties prenantes de travailler vers l'objectif d'une alimentation saine et durable, en suivant des règles équitables. Cette approche peut également aider à surmonter l'opposition de ceux qui profitent du système actuel, y compris certaines grandes organisations du secteur privé aux voix puissantes.

Si nous impliquons tout le monde, nous pouvons améliorer considérablement nos régimes alimentaires et rendre le système alimentaire européen plus durable.

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Pour lire le rapport, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Pour accéder au CV de Pierre Feillet, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Un groupe de travail de l'Académie d'agriculture de France s'est penché sur ces questions. Il vient de rendre public la synthèse des échanges entre ses membres, qui n'engage que ses signataires

En voici la conclusion :

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Les sociétés occidentales sont de plus en plus à la recherche d’un équilibre entre l’intérêt des animaux et ceux des propriétaires/détenteurs, autrement dit entre la reconnaissance de la nature sensible des animaux et l’acceptation de leurs utilisations économiques. L’évolution d’écriture du Code civil a ouvert la porte à de nouvelles discussions entre ceux qui veulent accorder des droits aux animaux et ceux qui réfléchissent à des traitements juridiques organisés autour du droit des biens. Ce débat reste largement ouvert. Les travaux menés par de nombreux juristes universitaires et la prolifération de formations universitaires sur le sujet montrent tout l’intérêt de ce sujet qui continue d’évoluer. Afin de garantir une évolution du traitement juridique des animaux en harmonie avec les progrès de la science sur la sensibilité émotionnelle des animaux et leurs utilisations économiques, notamment en élevage, il est impératif d’accompagner les filières dans le développement à long terme de pratiques respectueuses des animaux et d’assurer la diffusion dans la sphère publique des connaissances scientifiques sur la sensibilité animale.

Etant donné les difficultés économiques et sociales que rencontre l’élevage notamment en France, le présent rapport s’est penché sur l’intérêt général de l’élevage qui répond aux nombreux besoins de la société. La légitimité de l’élevage étant rappelée, le rapport s’est intéressé à la construction du droit qui s’applique aux animaux, en particulier ceux utilisés à des fins d’élevage. Par la suite, différents scénarios d’évolution du traitement juridique des animaux ont été explorés. Enfin, pour chacun des scénarios définis, les conséquences sur la pratique de l’élevage ont été analysées : trois scénarios ont été retenus pour concilier la nature sensible des animaux et les activités d’élevage. Les membres du groupe de travail sur le statut juridique des animaux de l’Académie tiennent toutefois à souligner que ces trois scénarios nécessitent une analyse juridique plus approfondie pour s’assurer que les modifications proposées du traitement juridique des animaux ne remettent pas en cause les activités d’élevage.

L’élevage, une activité d’intérêt général qui répond aux besoins de la société

L’intérêt général de l’élevage étant généralement sous-estimé par les citoyens, le rapport rappelle la légitimité de l’élevage en évoquant les nombreux services qu’il rend à la société et aux humains. L’élevage satisfait avant tout aux besoins nutritionnels, mais il répond également à de nombreux autres besoins de la société : complémentarité avec les autres activités agricoles et notamment développement des systèmes de polyculture, amendements des sols, traction animale, aménagement du territoire par la mise en valeur de milieux naturels, accroissement de la biodiversité. Cependant, mettre en avant l’intérêt général de l’élevage ne peut en aucune manière légitimer les systèmes d’élevage productivistes qui ne répondent pas aux besoins comportementaux des animaux. Le débat actuel autour de la condition animale et du traitement juridique des animaux doit être perçu comme une opportunité pour accélérer la transformation de l’élevage vers des pratiques plus respectueuses du bien-être des animaux, des humains et de l’environnement.

Questionner l'avenir de l'élevage de rente au XXIème siècle au regard de l’évolution du droit des animaux implique également de s'intéresser à l'évolution des rapports entre l'Humain et les animaux. C’est particulièrement nécessaire dans les sociétés occidentales où la rupture entre les pratiques d’élevage et les citoyens-consommateurs est grande et où les animaux y compris les animaux de rente sont souvent personnifiés dans les ouvrages, films et documentaires animaliers destinés aux enfants et plus largement au grand public. De nombreuses questions restent en suspens. Quelle évolution de la relation entre l'Humain et les animaux ? Que devient l'acceptabilité sociétale de la mort de l'animal d'élevage de rente ? Comment éviter l’opposition stérile entre le bien-être des animaux et celui des humains étant donné les interactions entre le bien-être des animaux et la qualité de vie des éleveurs, que tente de souligner le concept « un seul bien-être » ? Le tout avec un regard économique nécessaire pour la viabilité de l’activité d’élevage en France.

Une nécessaire clarification du droit appliqué aux animaux

Aujourd’hui, ce sont des valeurs morales qui dominent les réflexions autour du traitement juridique des animaux, que portent les défenseurs de la cause animale. Par conviction ou par pure adaptation aux mouvements d’opinion, certains acteurs politiques revendiquent également ces valeurs éthiques. Néanmoins, la complexité juridique et les approches historiques et socioéconomiques des usages qui sont faits des animaux, ne sont pas suffisamment appréhendées dans les débats. Il importe donc d’approfondir les attendus de toute évolution du droit appliqué aux animaux à la lumière de la durabilité des activités d’élevage pour pallier l’absence de prospective lors de l'adoption de la loi du 16 février 2015.

Il faut rappeler que la rédaction du Code civil, notamment l’introduction de l’article 515-14 qui pose les règles d’appropriation des animaux, est loin de déterminer à elle seule le droit s’appliquant aux animaux. Il existe également des dispositions spécifiques dans le Code rural, le Code pénal ou encore le Code de l’environnement, complétées par des textes techniques (arrêtés, circulaires…) tous issus notamment de la réglementation européenne ou précisés par la jurisprudence. L'ensemble de ces textes forme un arsenal juridique conséquent et offre déjà une véritable protection aux animaux appropriés, domestiques en général et d’élevage de rente en particulier. Néanmoins, un effort devrait être entrepris pour parvenir à un arsenal juridique plus lisible, plus accessible à la compréhension du plus grand nombre et mieux appliqué.

Le questionnement du droit dans le traitement des animaux

Le groupe de travail de l’Académie a identifié huit scénarios possibles d’évolution du droit des animaux, allant du maintien des animaux dans leur statut actuel d’objet de droit jusqu’à un statut de sujet de droit qui leur permettrait de disposer d’une personnalité juridique. Explorer l’évolution du traitement juridique des animaux, c'est se demander si l'ensemble des règles les protégeant n'aboutiront pas à terme à leur reconnaitre un ensemble de droits de protection qui irait jusqu’à en interdire toute forme d’utilisation. La disparition de l’élevage ne serait pas forcément provoquée par une législation actant explicitement une interdiction de l’élevage. Mais elle pourrait résulter d’un changement de statut des animaux, bouleversant la relation entre les humains et les animaux, ou de l’empilement de réglementations s’ignorant les unes les autres et toujours plus exigeantes envers les activités d’élevage. Sur les huit scénarios identifiés, le scénario « Animal sujet » qui accorde aux animaux une personnalité juridique, vise clairement à abolir toute utilisation des animaux et notamment l'élevage de rente. Trois autres scénarios - « Animal objet », « Demi-personnalité » et « Du vivant » - extraient les animaux de la catégorie des biens sans pour autant en faire des sujets de droit, ils restent compatibles avec l'élevage de rente sous réserve de les accompagner de mesures particulières. Le scénario « Animal sui generis », quant à lui, paraît difficilement acceptable car il impose de sortir les animaux du Code civil.

Pour tous ces scénarios, à l’exception du scénario « Animal objet », il ressort un décalage entre la réalité juridique de l’inclusion de la sensibilité de l’animal dans le Code civil et les interprétations militantes qui considèrent que cette modification du Code civil sort l'animal de la catégorie des biens. En réalité, s’il reconnait sans la définir la sensibilité aux animaux toujours soumis au régime des biens, l’article 515-14 ne met pas un terme aux pratiques d’élevage dès lors qu’elles sont conformes à la réglementation en vigueur, dont le caractère protecteur pour les animaux est appelé à se renforcer prochainement lors de la révision de la réglementation européenne en matière de bien-être des animaux.

Trois scénarios juridiques d’intérêt pour l’élevage

Les trois scénarios restants - « statu quo », « biens animaux » et « biens vivants » - apparaissent compatibles avec l’existence de l’élevage. Le scénario de « statu quo » est nommé ainsi au regard du statut juridique actuel dans le Code civil, mais il faut noter son caractère évolutif étant donnée l’introduction possible de nouvelles législations protectrices de cette catégorie particulière en raison de la sensibilité reconnue aux animaux. Ce scénario permet de poursuivre la transformation de l’élevage pour faire concorder l'évolution des connaissances scientifiques sur la nature sensible des animaux et le maintien d’un élevage économiquement et socialement soutenable. Quant aux scénarios « biens animaux » et « biens vivants », ils affichent de manière très claire que si les animaux ou les espèces vivantes demeurent des bien appropriables, ils sont « particuliers » et doivent donc recevoir un traitement particulier les différenciant nettement des autres biens et impliquant des devoirs « particuliers » de leur propriétaire à leur égard. Il demeure cependant nécessaire d’approfondir l’analyse des attendus et des conséquences des modifications législatives proposées dans ces deux scénarios afin d’éviter tout risque d’interférence avec les activités d’élevage respectueuses des animaux.

L’évolution du droit s’est toujours inscrite dans le temps long avec pour perspective la construction d’une harmonie sociale. La construction du droit à la fois descendante et ascendante est à la base des grands changements juridiques. Du statut juridique des animaux découlent des régimes juridiques particuliers qui orientent les conditions de leur appropriation, de leur utilisation et de leur consommation. A l'inverse, le développement de régimes juridiques protecteurs au nom de la sensibilité des animaux conditionne un statut juridique de plus en plus protecteur. Néanmoins, au-delà de l’écriture des lois et du débat sur la nécessité de reconnaitre ou non des droits aux animaux, Robert Badinter (Anonyme, 2020) suggère de s’accorder plutôt sur les devoirs des êtres humains envers les animaux.

Le groupe de travail de l’Académie avait pour ambition d'identifier des scénarios d’évolution du droit pour les animaux, qui concilient le caractère sensible des animaux et leur qualité de biens, préservant ainsi les usages économiques des animaux dès lors que les conditions de leur utilisation respectent leurs besoins physiologiques et comportementaux. Pour chacune des trois hypothèses d’évolution du droit qui apparaissent compatibles avec l’existence de l’élevage, il reste à mieux évaluer les conséquences sociales, économiques et environnementales des évolutions juridiques avancées et à les rendre publiques pour
s’assurer qu’elles sont versées au débat et correspondent bien aux attentes sociétales. En effet, au-delà des nécessaires analyses par les spécialistes, toute perspective d’évolution du droit concernant les animaux d’élevage devrait passer par un exposé clair des attendus et par un débat public informé sur l’ensemble des conséquences de la transformation.

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Pour lire l'intégralité du rapport "Le statut juridique des animaux en France : Quelles évolutions ? Quelles répercussions pour l'élevage ?", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le jury du Prix de l'information scientifique de l'Académie d'agriculture de France 2023, s’est réuni le 15 juin dernier.

Il a longuement instruit les 22 dossiers réalisés en 2022 (transmis par 13 autrices et 8 auteurs) qu’il avait reçus, en ce début d’année, traitant de sujets variés reflétant les préoccupations du moment.

A l’issue de sa délibération et après consensus entre tous ses membres, il a décidé d’attribuer :

  • Le Prix (catégorie presse écrite) à Stéphane Horel pour son article de 3 pages intitulé : « Pesticides : la grande illusion de la protection des agriculteurs », publié dans le journal Le Monde daté du 17 février 2022, dans lequel elle détaille le résultat de ses investigations sur ce sujet préoccupant, menées avec la collaboration de 8 autres médias. L’article, extrêmement bien documenté, dénonce l’insuffisance des vêtements de protection des agriculteurs lors de l’épandage de pesticides.
  • Le Prix (catégorie presse audio-visuelle) à Pierre Girard pour son documentaire-interview de 33 minutes intitulé : « De la terre-mère au sol vivant » diffusé sur ARTE.tv dans la série Roots. L’auteur s’y entretient avec deux agriculteurs, l’un est spécialisé dans les légumes en Périgord, l’autre cultive des céréales dans son exploitation aveyronnaise, qui jouxte le lac de Pareloup. Lui travaille en agriculture biologique sur des terres ingrates, transformées en sol vivant et fertile ; elle pratique l’agriculture de conservation, sans travail du sol, avec une couverture végétale permanente.

Le jury a, par ailleurs, eu un coup de cœur pour le livre de Gilles Luneau, intitulé : « Les paysans face au chaos climatique ». Cet ouvrage publié en janvier 2022 chez Impacts Editions est composé d’entretiens auprès de 19 agriculteurs, qui font part de leurs réactions, entre volonté de s’en sortir, expériences originales mais aussi désarroi.

Le Prix de l'information scientifique (médaille, diplôme) est décerné chaque année (depuis 2018) par l'Académie d'agriculture de France, qui considère de sa responsabilité de mettre à l'honneur, dans ses champs de compétence, des travaux journalistiques remarquables et d'encourager les journalistes à prendre en compte les enjeux du développement de demain.

La Compagnie souhaite, en attribuant ce prix, récompenser l'esprit critique et la rationalité plus que jamais nécessaires au débat public. Le Prix concerne la presse écrite, les émissions de radio ou de télévision, les sites Internet ou les blogs, sur des supports classiques ou numériques.

Le jury, présidé par Paul Vialle, est composé de trois académiciens et de trois journalistes, dont généralement le/la lauréate de l’année passée.

Lors de son évaluation, ce jury tient compte, plus particulièrement, de la sélection de l'information, du souci de séparer les faits de leurs interprétations, de la qualité des explications apportées, de la mise en contexte, de la clarté de l'exposition et, enfin, de la forme retenue.

Pour en savoir plus sur le Prix de l'information scientifique 2023 de l'Académie d'agriculture de France, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/presse/communiques/lacademie-dagricu...

Pour accéder au CV de Paul Vialle, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/membres/annuaire/paul-vialle

Pour voir le documentaire de Pierre Girard, cliquer ici : https://www.arte.tv/fr/videos/107211-002-A/roots/

Pour lire l’article de Stéphane Horel, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Trois "Questions sur..." :

  • "Le lin oléagineux" (QS n° 01.02.Q08) , par l'Académicien Philippe Leterme;
  • "Le blé dur" (QS n° 01.02.Q17), par les Académiciens Alain Bonjean et Philippe Leterme; 
  • "L'élevage des tilapias" (QS n° 03.09.Q07), par l'Académicien Jérôme Lazard.

Une "Fiche Repère" (n° 09.01.R07) :

  • "Qualité de l’eau de boisson, comparaison de valeurs guides (WHO/OMS) avec les valeurs maximum correspondantes en vigueur dans l’Union européenne", par l'Académicien Jean-Louis Bernard. 

Pour lire ces documents via la table des matières de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Cette finale du concours dont l'Académie d'agriculture de France est un partenaire "historique" se tiendra, demain 16 juin 2023, sur la péniche Thalassa, qui mouille au port de Javel à Paris

Notre Secrétaire perpétuel prendra la parole à 10h00.

Les 10 finalistes présenteront, ensuite, leurs projets au jury du concours, présidé par notre confère Philippe Gate.  

La Cérémonie de remise de prix aux lauréats se déroulera entre 18h00 et 18h30.

Pour en savoir plus sur la finale du concours Make it Agri - Saison 5, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur le concours Make it Agri, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Il s'agit d'une "Question sur..." intitulée : "Qu'est-ce qu'un additif alimentaire ?", dont la rédaction a été assurée par l'Académicienne Dominique Parent-Massin, qui nous invite à en retenir que :

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"Les additifs alimentaires autorisés dans l'Union européenne font l'objet d'évaluation du risque et de régulières réévaluations pour le consommateur si de nouvelles données scientifiques introduisent un doute sur leur innocuité. Ils ne sont autorisés qu'à la seule condition qu'ils ne soient pas dangereux pour la santé.

On ne peut donc que s'étonner des campagnes de presse qui accusent systématiquement les additifs d'être mauvais pour la santé quand des contaminants naturels – que l'on peut éviter grâce aux additifs alimentaires – font courir des risques avérés pour la santé des consommateurs".

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Pour lire la "Question sur..." n° 08.04.Q10, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Une concertation pour préparer le projet de pacte et de loi d’orientation et d’avenir agricoles visant une large mobilisation, tant au niveau national que régional nationale est en cours.

Elle se fonde sur les objectifs, et perspectives, tracés par le président de la République et s’appuie sur les besoins et idées exprimés par les acteurs – et en particulier des actifs agricoles, qui sont au cœur du sujet – pour répondre aux grands défis de souveraineté alimentaire et de transitions climatique et agroécologique d’ici 2040, et pour construire ensemble des propositions pour le pacte et la loi.

La concertation est pilotée par le ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, en étroite association avec Régions de France.

Le ministre a fait appel à contributions, notamment auprès de l’Académie d’agriculture de France, dont il est le président d’honneur, car la Compagnie à pour vocation depuis 1761 à :
• RÉFLÉCHIR sur le progrès dans les domaines de l’agriculture, de l’alimentation et de l’environnement ;
• EXPLIQUER les enjeux techniques, économiques, sociaux et environnementaux ;
• ÉCLAIRER la société et les décideurs ;

L’Académie d’agriculture de France vient d’envoyer sa contribution au ministre sous la forme de six fiches synthétiques préparées par des membres de la Compagnie avec des sections et groupes de travail sur les thèmes suivants :
1. Le renouvellement des actifs dans la diversité des statuts et la formation ;
2. Pour une agriculture résiliente : avec quel pilotage et avec quels accompagnements ? ;
3. Protéger et améliorer la ‘santé des sols’ doit devenir d’intérêt général ;
4. La biodiversité : valoriser un atout majeur pour la résilience de l'agriculture face au changement climatique ;
5. Incitation à la baisse de taxation des terres agricoles en cas de baux ruraux à clauses environnementales (BRE) afin de lutter contre l’artificialisation des terres et d’encourager les services environnementaux ;
6. Articuler soutiens économiques et environnementaux du FEADER dans le cadre de Contrats de transition agroécologique (CTAE).

L’Académie d’agriculture de France reste attachée à sa mission de prendre en compte les préoccupations de la société et de contribuer à l’évolution de l’agriculture et du monde rural pour le développement durable de la planète.

Pour en savoir plus sur la concertation pour préparer le projet de pacte et de loi d’orientation et d’avenir agricoles, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Pour prendre connaissance de la contribution de l'Académie à cette concertation, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

L'initiative est prise à l'occasion des "1 an de la sortie de l'ouvrage La Fabrique de l'Agronomie".

Les deux Académiciens, coordinateurs du Groupement d'intérêt scientifique (GIS) - Grandes Cultures, précisent que les webinaires, qui se dérouleront chaque vendredi, du 26 mai au 23 juin 2023, de 11h00 à 12h15, permettront "d'approfondir certains chapitres, discuter des enjeux et des conditions de poursuite de l'ouvrage, avec ses auteurs".

Au Programme :

  • 26 mai 2023 : "La recherche en agronomie, l’agronomie dans la recherche"
  • 2 juin 2023 : "Construction et déploiement de l’agronomie dans et par la formation"
  • 9 juin 2023  : "Contribution du système de développement agricole à la dynamique de l’agronomie"
  • 16 juin 2023  : "Politiques publiques et agronomie : avec, pour ou malgré tout ?"
  • 23 juin 2023 : "L’innovation au cœur de l’histoire de l’agronomie"

Pour en savoir plus sur cette série de webinaires et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Agate pour "Agriculture, Alimentation, Territoires et Environnement" est la bibliothèque numérique patrimoniale de l'Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) et la 18e bibliothèque numérique à rejoindre le programme "Gallica marque blanche".

Ce dispositif de coopération numérique permet de partager les savoir-faire et l’expertise technique de la BnF avec ses partenaires afin de mieux valoriser leurs collections en ligne.

Agate donne accès à environ 600 monographies et fascicules de revues, 1 000 images anciennes conservées par INRAE, auxquels s’ajoutent près de 10 000 images provenant des Archives nationales. Elle est aussi enrichie de documents issus de Gallica.

Accessible à des publics de non spécialistes, Agate, disposant de sa propre éditorialisation, propose des focus thématiques qui facilitent la compréhension et l’appropriation pour des usages variés, et permettent de faire un lien avec les recherches actuelles à l'INRAE.

Dès l’ouverture d'Agate, les collections accessibles couvrent les sujets de l’agriculture, la botanique, les territoires de montagne. Courant 2023, elles seront complétées de numérisations à venir, dessins de pathologie végétale, de revues, d’ouvrages sur les abeilles, la foresterie, droit et économie rurale, d’images de machinisme agricole ou de terrains de montagne.

Agate favorise l’accès à des ouvrages, des revues et des photos de l'INRAE, ayant un intérêt historique, scientifique ou technique, enrichie de documents issus de Gallica.

Pour en savoir plus sur Agate, consulter :
• le communiqué de presse : https://cms-www-adm.bnf.fr/sites/default/files/2023-04/CP_Gallica_marque...
• la brève d'actualité sur bnf.fr : 
https://www.bnf.fr/fr/actualites/agate-bibliotheque-numerique-de-linrae-...

L'Académicien est l'un des mieux placés pour ce faire, car il a coprésidé cet hiver, le groupe de travail du Conseil supérieur des programmes (CSP) sur le sujet, qui vient de rendre public son rapport.

Guillaume Sainteny précise, à cette occasion, "nous avons été deux ou trois à peser pour que les sujets de l’alimentation et de la biodiversité n’y soient pas oubliés, ce qui n’ pas été si simple étant donné la dominance absolue de la question climatique. Mais enfin elle y figurent bien".

Voici la synthèse du rapport :

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Les grandes questions de société relatives au changement climatique, à l’érosion de la biodiversité, aux problématiques énergétiques, à l’évolution démographique, aux pandémies, se posent de façon récurrente depuis les dernières décennies. Ces questions ont conduit à une prise de conscience collective, informée et documentée, des interactions de nature scientifique, technologique sociologique, économique et culturelle de l’Homme, de ses activités et de son environnement.

Tout élève doit bénéficier de cette formation tout au long de sa scolarité afin d’acquérir des connaissances et des compétences indispensables à l’exercice d’une citoyenneté environnementale éclairée, éthique et responsable. L’éducation au développement durable (EDD) a pour finalité de permettre aux élèves d’appréhender le monde contemporain dans sa complexité en prenant en compte les interactions existantes entre l’Homme, l’environnement, la science, la technologie, la société, l’économie et la culture. Au terme de leur scolarité, les élèves doivent ainsi être en mesure de s’emparer des enjeux du développement durable, d’adopter des comportements individuels et collectifs responsables, d’envisager des avenirs équitables et réalistes, de participer aux débats de société, voire de s’engager.

L’EDD est une éducation transversale qui repose sur plusieurs grands principes :

  • une intégration dans l’ensemble des enseignements scolaires et dans des actions et projets éducatifs faisant intervenir des partenaires de l’École ;
  • une approche globale, systémique et pluridisciplinaire ;
  • la promotion d’une conception positive et prospective des questions de développement durable. L’EDD peut ainsi être une nouvelle façon de lire et de penser le monde d’aujourd’hui et celui de demain, un moyen privilégié d’aider les jeunes à donner un sens au monde dans lequel ils vont vivre, à leur donner un horizon, à leur fournir des clés pour participer à la construction de futurs qui ne sont pas écrits d’avance ;
  • une diversité de thématiques ne se limitant pas strictement aux questions écologiques ou de changement climatique. Ainsi, à partir d’entrées de nature environnementale, tout le registre scientifique, technologique, social, économique et culturel peut être exploré (ressources naturelles, risques majeurs, changement climatique, biodiversité, éducation à la santé, ville durable, transports et mobilité, aménagement et développement des territoires, agriculture durable, gestion de l’eau, et alimentation de la population mondiale, enjeux démographiques, développement et inégalités, solidarité, paix, éthique, etc.).

Les apprentissages proposés tout au long de la scolarité permettent ainsi de s’approprier les clés de la compréhension systémique des phénomènes à l’oeuvre, tout en identifiant des moyens concrets d’agir.

En complément des dispositions déjà prises concernant les enjeux du changement climatique dans les programmes d’enseignement, et sans apporter de modifications aux programmes en vigueur, cette nouvelle étape pour renforcer l’éducation au développement durable de l’école au lycée vise à aider les équipes enseignantes et éducatives à :

  • renforcer la formation des élèves aux questions environnementales dans le cadre de trois volets éducatifs : éducation scientifique, éducation à la complexité et à l’analyse systémique, éducation à la citoyenneté environnementale ;
  • rendre plus explicites les apports disciplinaires et interdisciplinaires à l’appropriation des grandes questions de société relevant du champ de l’EDD ;
  •  mettre en oeuvre une réelle progressivité dans les apprentissages et dans le développement de compétences environnementales des élèves ;
  • améliorer la visibilité de la contribution des projets éducatifs menés dans le cadre de l’EDD aux objectifs poursuivis ;
  • faciliter l’articulation avec les autres éducations transversales (éducation à la santé notamment) et enjeux éducatifs (valeurs de la République, citoyenneté, égalité filles-garçons, éducation à la solidarité, etc.). Les objectifs de développement durable (ODD) constituent dans ce registre un outil essentiel, du fait des liens qu’ils établissent entre les champs environnementaux, sociaux, économiques et culturels.

Ces propositions du Conseil supérieur des programmes comprennent :

  • des éléments de contexte concernant l’EDD : références institutionnelles internationales et nationales en matière d’enjeux, d’objectifs, de principes et de valeurs ;
  • un référentiel de compétences scolaires de l’EDD identifiant  les quatre champs de compétences suivant et proposant des repères de progressivité du cycle 1 au lycée :
  1. – s’ouvrir à la complexité des thématiques de développement durable ;
  2. – faire preuve d’esprit critique pour appréhender les problématiques de développement durable ;
  3. – adopter un comportement éthique et responsable vis-à-vis de l’environnement et des sociétés humaines ;
  4. – agir individuellement et collectivement pour construire un monde durable.
  • des conseils de mise en oeuvre de l’EDD.

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Pour prendre connaissance des "Propositions du Conseil supérieur des programmes pour renforcer l’éducation au développement durable de l’école au lycée : principes, référentiel, démarches pédagogiques", télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Tel est le "Point de vue" de nos consoeurs et confrères : Gérard Maisse, Michel Thibier, Michel Duclos, Claude Allo, Michel Rieu, Michel Candau, Jean-Michel Besancenot, Jacques Brulhet, Pierre Del Porto, Bernard Denis, Jean-Pierre Digard, Barbara Dufour, Anne-Marie Hattenberger, Jean-Paul Jamet, Pierre Julienne, Sadasivam Kaushik, René Lésel, Eric Palmer, Jean-Claude Pette, Emmanuel Rossier, Dominique Verneau et Etienne Verrier.

Qu'ils concluent ainsi : 

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"Le concept de 'biens vivants' existe déjà dans les textes réglementaires français ; il apparaît explicitement dans le Plan comptable général concernant les opérations relatives à l'activité agricole (Article 618-10 de l'arrêté du 29/12/2020 publié au JO du 31/12/2020) en associant animaux et végétaux. L'innovation juridique ne serait donc pas de créer un nouveau concept mais d'inscrire ce concept de 'biens vivants' dans le Code civil lui donnant ainsi une forte valeur symbolique.

Cette introduction consacrerait le rôle d'intérêt général et l'importance fondamentale de l'agriculture et de l'agroalimentaire pour notre sécurité alimentaire ; une telle initiative serait primordiale dans un contexte de changement climatique impliquant à la fois une transition agroécologique, s'appuyant notamment sur la biodiversité domestique, et une transition alimentaire,
respectant nos besoins nutritionnels dans des régimes équilibrés. Partant de la place majeure du Code civil dans le droit français, les autres codes, la jurisprudence et la réglementation seraient ainsi amenés à préciser les mesures de protections dont doivent bénéficier les biens vivants. 

Vis-à-vis de l’animal, elle nous engage à l’essentiel : adapter les formes d’élevage pour prendre en compte les dernières connaissances scientifiques sur la sensibilité animale".

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Pour lire ce "Point de vue d'Académicien", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Les "Points de vue" sont l'expression d’académiciens sur un point d’actualité suscitant débat. Le Bureau s’assure de la véracité des faits avancés dans le contenu du texte mais laisse s’exprimer toutes les controverses, en veillant à équilibrer, si possible, l’expression des différents points de vue. Ces textes n’engagent que les académiciens signataires.

Sur notre site Internet, en photographies, ici : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations...

Sur notre chaîne YouTube, en vidéos, ici : https://www.youtube.com/channel/UCxERz8wtBBH9VXfgJOfVODA

Sur les principaux Réseaux sociaux (LinkedIn, Twitter, Facebook, Instagram et TikTok), via les posts identifiés #AAFauSIA2023

Ce colloque intitulé : "AgroParisTech : les systèmes par nature ? promouvoir et développer l’enseignement et l'application de l’approche systémique dans nos filières" se tiendra le 23 Mars 2023, de 18h à 20h en présentiel à l'Agro-Campus Paris-Saclay, Amphi B1 et en distanciel.

Ses organisateurs précisent :

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"Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement, intégrée dans l’Université Paris-Saclay, AgroParisTech forme à étudier les écosystèmes pour mieux interagir avec eux, nourrir les populations en préservant les ressources naturelles, et gérer durablement les territoires. C’est un établissement de référence international dans 4 domaines : agriculture et foresterie ; transformation alimentaire et non alimentaire ; environnement ; santé. Ses 25 000 alumni irriguent tous les secteurs de l’économie et de la société, notamment le secteur public et associatif. Sa Fondation lui permet de soutenir des projets innovants, à la pointe des enjeux de durabilité.

Systémiques par nature, les métiers d’AgroParisTech et de sa communauté traversent tous les niveaux du vivant et de la société, de la biologie moléculaire à la géopolitique internationale. L’approche systémique n’y est pourtant pas enseignée en soi - malgré sa nécessité croissante pour dépasser les contradictions d’une économie "à bout de souffle" selon les mots d'un collectif d'étudiant.e.s lors de la remise de leurs diplômes en avril 2022.

Ce colloque permettra de lancer une réflexion sur la pratique des sciences systémiques à AgroParisTech et, au-delà, dans l’ensemble de sa communauté, au service d’un avenir vivant et viable".

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Outre Sophie Devienne, membre de l'Académie d'agriculture de France, professeure d’Agriculture Comparée, spécialiste des systèmes agraires à AgroParisTech, interviendront à ce colloque : 
• Anne Gouyon, présidente AgroParisTech Alumni
• Olivier Brousseau, coach, formateur et thérapeute, Lact
• Laurent Buisson, Directeur AgroParisTech
• Nathalie Frascaria-Lacoste, professeure
• Elias Chouli et Tadeg Grall, étudiants de 3A (Master) à AgroParisTech/Université Paris-Saclay
• Sylvie Bénard, présidente, Fondation AgroParisTech

Pour en savoir plus sur le colloque organisé par AgroParisTech Alumni et AgroParisTech, et y participer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Fervent adepte du "dialogue intergénérationnel", l'Académicien nous demande d'inciter ces jeunes à concourir aux prix suivants :

  • Prix de l'Association pour la valorisation de la recherche en économie et gestion agroalimentaire (AREA) 2023

Les Prix AREA récompensent des Thèses, Masters (Recherche et Professionnel), Mémoires d'Ecoles d'ingénieurs, autres Ecoles et Instituts. Le champ des travaux concernés s'étend des intrants et de l'environnement des productions agricoles, alimentaires et agro-industrielles, artisanales et industrielles, aux services et aux consommations finales, alimentaires ou non. Les travaux doivent comporter une approche économique pour être recevables.

Les dossiers de candidature doivent parvenir à l’AREA au plus tard le 15 avril 2023.

  • Prix Marcel Loncin 2022 de l'Association des chimistes, ingénieurs et cadres des industries agricoles et alimentaires (ACIA)

D’un montant de 2.500€, ce prix récompense le travail innovant d’un-e jeune scientifique (ingénieur-e, universitaire ou docteur-e), dans les domaines des : industries alimentaires, biotransformations, chimie verte.

Le prix a été créé par le Professeur Marcel Loncin (1920-1994), Professeur à l’Université de Louvain (Belgique), de Karlsruhe (Allemagne) et à l’École nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires (ENSIA - AgroParisTech - Massy).

Les candidat-e-s doivent être diplômés d’organismes formant des cadres ou des chercheurs pour les industries alimentaires et connexes ou sont membres de/ ou rattachés à/ de tels organismes et avoir moins de 35 ans au 1er janvier de l'année de remise du prix.

Ils doivent avoir développé une activité scientifique ou technologique innovante, attestée par dépôt de brevet, thèse, publication ou tout autre document équivalent, dans un des domaines :
- Des industries alimentaires,
- Des biotransformations,
- De la chimie verte.

Les dossiers de candidature doivent être envoyés à l'ACIA, sous forme électronique, avant le 31 janvier 2023.

Pour en savoir plus sur ces prix et y concourir ou y faire concourir, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Dans le "panier de savoir" de l'Académie d'agriculture de France, transmis au plus grand nombre :

Deux vidéos d'Hervé This, notre "chimiste cuisinier" :

Trois fiches "Question sur..." d'Académiciens, accessibles ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/table-mati... :

  • "Oméga 3 et oméga 6" (n° 08.04.Q04) de Jean-Michel Lecerf; 
  • "Le monde ne manque pas de céréales, mais les prix sont fort élevés" (n° 10.04.Q01) d'André Neveu, une fiche qui ouvre un nouveau chapitre du Grand Thème 10 de l'Encyclopédie en ligne; 
  • "La filière viande bovine brésilienne : quelles caractéristiques, quelle importance ?" (n° 03.01.Q50) de notre confrère brésilien Jose Luiz Rigo Rodrigues.

L’ambition de ce Dictionnaire de l’enseignement agricole, coordonné par Edgar Leblanc, président du Comité d’histoire de l’enseignement agricole est double :

  • sortir l’enseignement agricole des images d’Épinal qui sont encore largement diffusées ;
  • proposer une vision pluraliste et nuancée d’un dispositif d’enseignement qui a fortement contribué aux transformations du monde rural.

Il s’adresse d’abord aux acteurs présents aujourd’hui dans l’enseignement agricole qui y trouveront à la fois la présentation de faits et l’analyse de situations. Et plus largement à ceux qui s’intéressent à l’éducation, à la formation professionnelle et au monde rural qui y retrouveront les cadres institutionnels situés dans leurs contextes, quelques acteurs qui ont marqué cette histoire, des présentations d’établissements, des études régionales, des analyses de questions politiquement et socialement sensibles.

Pour rassembler cette somme de connaissances sur l’enseignement agricole, sur les établissements publics comme privés, sur leur histoire et leur organisation, le Comité d’histoire de l’enseignement agricole a réuni une cinquantaine de contributeurs, pour la plupart anciens acteurs de l’enseignement agricole ayant joué un rôle modeste ou plus en vue au cours des années 1960-2010, ainsi que des intervenants d’aujourd’hui, fins connaisseurs de tel ou tel aspect.

Le cœur de l’ouvrage est constitué de 186 notices, classées par ordre alphabétique des mots-clés du titre, plus ou moins développées selon les sujets abordés. 

Pour en savoir plus sur le Dictionnaire de l’enseignement agricole et en acquérir un exemplaire, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Elle le sera le 29 novembre 2022, de 14h30 à 16h30, au Centre de conférences d'Orléans (Loiret)

Cette Fresque est un "dispositif pédagogique ayant pour objectif de sensibiliser et de faciliter la compréhension des enjeux qui gravitent autour de ce sujet complexe".

Elle permet de découvrir ou d’approfondir ses connaissances sur le Bien-être animal, grâce à "des échanges constructifs et bienveillants".

Il s'agit, pour ce faire, de co-construire en équipe, sur 2 heures d’atelier, une fresque retraçant les sujets importants liés à cette préoccupation  très importante. 

Ses concepteurs précisent : "en créant la Fresque du Bien-être animal, l’Open Agrifood souhaite améliorer la compréhension sur cet enjeu de société grandissant comme nous avons pu le remarquer ces dernières années. Au Forum Open Agrifood, il s'agira alors de présenter les contributeurs et les objectifs du projet à 12h30 puis de jouer à la Fresque de 14h30 à 16h30 sur inscription. C'est à l'image de la Fresque du Climat, un atelier d’échanges entre participants qui vise à les sensibiliser et à développer leurs connaissances sur la question. L’objectif étant de réaliser, en groupe, une fresque murale en positionnant différentes cartes les unes par rapport aux autres, les différentes cartes représentant une notion du bien-être animal".

Pour en savoir plus sur la "Fresque du Bien-être animal" et participer à son lancement, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

... Et nous en sommes fiers !

L'évènement se déroulera le 15 novembre 2022 à 18h00.

Toutes les forces vives qui permettent à ce projet de "prendre forme" seront présentes :

  • AgroParisTech;
  • l'association des alumni AgroParisTech;
  • la Maison des Ingénieurs Agronomes;
  • l'ensemble de nos grands donateurs;
  • nos partenaires;
  • et toutes les personnes qui contribuent à cette réussite.

Depuis dix ans, la Fondation AgroParisTech est "une boite à outils pour donner à chacune et chacun de la communauté AgroParisTech les moyens d’agir face aux objectifs de développement durable" dont voici la description :

  • Initiative S’engager ! : la Fondation accompagne des initiatives toujours plus nombreuses visant des réponses solidaires et responsables.
  • Initiative Apprendre ! : la Fondation finance des bourses pour permettre à nos étudiants boursiers d’Etat d’étudier à l’étranger et à des jeunes étrangers d’étudier à AgroParisTech.
  • Initiative Entreprendre ! : la Fondation encourage chacun à oser innover en équipe en apportant aux projets un mécénat financier et de compétences.
  • Co-construire : Les chaires partenariales portées par la Fondation AgroParisTech constituent une opportunité d’allier des expertises complémentaires autour d’une ambition commune et de pouvoir ainsi appréhender efficacement des sujets complexes pour produire ensemble des solutions face aux enjeux majeurs à venir.

En dix ans, la Fondation a rassemblé plus de 70 partenaires de toutes tailles et horizons, collecté 8,2M€, soutenu plus de 650 « colibris » porteurs de solutions, mobilisé 30 ambassadeurs étudiants et lancé sept chaires partenariales de mécénat.

A l'aune de ses succès et pour asseoir son engagement et son autonomie, la Fondation se constitue pour devenir autonome en tant que Fondation reconnue d'utilité publique.

L'Académie d'agriculture de France est, à cette occasion, positionnée dans la gouvernance de la Fondation comme partenaire institutionnel.

Pour en savoir plus sur la Fondation AgroParisTecn, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Pour en savoir plus sur l'inauguration de l'association de préfiguration de la Fondation AgroParisTech, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Deux "Notes Académiques" :

  • "Louis Pasteur à Lille : de la chimie à la microbiologie / Louis Pasteur in Lille: from chemistry to microbiology", de Jean-Michel Lecerf, membre de l'Académie d'agriculture de France;
  • "Notre ami Dominique Job (1947-2022) / Our friend Dominique Job (1947-2022)", d'Hervé This, Nadine Vivier et Christian Ferault, membres de l'Académie d'agriculture de France.

Les lire : https://www.academie-agriculture.fr/publications/notes-academiques/annee...

Deux "Questions sur..." :

  • "Le blé tendre", fiche n° 01.02.Q02 rédigée par Philippe Leterme, membre de l'Académie d'agriculture de France;
  • "Colorants et sécurité alimentaire", fiche n° 08.02.Q12 rédigée par Dominique Parent-Massin, membre de l'Académie d'agriculture de France.

Les lire : https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/table-mati...

Deux "Présentations pair à pair" d'ouvrages d'Académiciens :

  • Présentation, par Bertrand Hervieu, de l'ouvrage de Pierre Feillet "Pour une éthique de l’alimentation - Apprivoiser la nature";
  • Présentation, par Marie-Claude Maurel, de l'ouvrage de Bertrand Hervieu et François Purseigle "Une agriculture sans agriculteurs - La révolution indicible".

Les lire : https://www.academie-agriculture.fr/publications/les-academiciens-ecrive...

Ces Bourses sont attribuées par Crédit Agricole d'Ile-de-France Mécénat et l'Académie d'agriculture de France à de jeunes chercheurs travaillant sur les thématiques suivantes :

  • génétique,
  • phytotechnie,
  • zootechnie, élevages,
  • sylviculture,
  • cultures spécialisées,
  • agroéquipements (nouveauté 2023),
  • chimie biologique,
  • microbiologie,
  • phytopharmacie,
  • sciences de la nutrition,
  • statistique,
  • sociologie agricole,
  • nouvelles techniques de l'information et de la communication,
  • économie,

appliquées à tous les domaines agronomiques.

Les travaux doivent avoir été menés dans une optique :

  • tournée vers des problématiques qui concernent l'agriculture en Ile-de-France,
  • et pouvant contribuer aux attentes des acteurs professionnels et à la promotion des produits régionaux.

Les bourses attribuées par Crédit Agricole d'Ile-de-France Mécénat et l'Académie d'agriculture de France ont pour objet de :

  • faciliter un stage ou sa prolongation, dans un centre de recherches ou dans un service technique en France et à l'étranger ;
  • permettre la participation d'un jeune chercheur à une manifestation scientifique ;
  • aider à la présentation de résultats scientifiques ou technique.

5 ou 6 bourses d'un montant de 2.000 euros sont attibuées chaque année.

Pour participer à l'édition 2023, les jeunes chercheurs doivent envoyer leur dossier à l'Académie d'agriculture de France avant le 15 décembre 2022.

Plus en savoir plus sur l'Appel à candidatures pour les Bourses Crédit Agricole d'Ile-de-France Mécénat, édition 2023, télécharger le fichier PDF et cliquer sur le lien internet, ci-dessous : 
 

A la date du 04 octobre 2022, la liste (précisant les membres de l'Académie responsables de ces groupes de travail) était la suivante :

  • Les groupes thématiques

- Agriculture biologique : Bernard Le Buanec (depuis septembre 2021, CR 2022)
- Agricultures et biodiversités urbaines : Philippe Clergeau et M. Pierre Donadieu (depuis 2021)
- Agricultures ultramarines : Jean-Pierre Bastié (CR 2022)
- Chroniques agricoles : Philippe Gate (en cours de création 2022)
- EGALIM : Yves le Morvan (début novembre 2021)
- Foncier : Hubert Bosse-Platière (en cours de formalisation 2022)
- International : Marie de Lattre-Gasquet et Guy Fradin (CR 2022)
- L’avenir du conseil agricole : Franck Garnier (début juin 2021) 
- One Health : Arlette Laval (début en 2021 rapport 2022)
- Politique agricole commune : Gilles Bazin (CR 2022)
- Statut juridique des animaux : quelle évolution possible de ce statut pour les animaux de rente ? : Marie-Françoise Chevallier-Le Guyader et Alain Boissy (début en 2021)
- Groupe interacadémique pour le développement (GID) : Jacques Brulhet
- Antibiorésistance : groupe hepta-académique Jean-Louis Bernard, Arlette Laval et René Lésel (colloque 2022 projet de colloque 2023)

  • Les groupes fonctionnels

- Analyse de thèses : Anne-Marie Hattenberger (CR 2022)
- Comité éditorial de l’Académie : Le Secrétaire perpétuel, assisté de Philippe Kim-Bonbled
- Comité livres de l’Académie : Catherine Regnault-Roger (CR 2022)
- Commission fonds documentaire : André Fougeroux (en cours de reconstitution 2022)
- Débats : Jean-François Molle (en cours 2022)
- Document annuel : Jean-Jacques Hervé (groupe projet en cours de création 2022)
- Echanges croisés : Jacques Brulhet (en cours 2022)
- Encyclopédie : Patrick Ollivier avec Jean-Louis Bernard et Jean-Luc Peyron (CR 2022)
- Mémoires d’études et Prix Fondation Xavier-Bernard : Fabienne Trolard
- Notes académiques : Hervé This (CR 2021)
- Relations Académie/Enseignement agronomique : Michel Dron et Grégoire Thomas

​Pour obtenir cette liste au format PDF, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le dictionnaire d'agroécologie (dicoAE) propose un nouveau défi aux étudiants et enseignants des écoles supérieures en agrobiosciences au travers d'un exercice réflexif dédié à l'agroécologie.

Leur défi est de proposer 5 mots en lien avec l'agroécologie non définis dans le dictionnaire qui renvoient à des pratiques, à des concepts, à des processus biologiques ou sociaux qui font sens dans la transition contemporaine de nos systèmes agricoles et alimentaires vers l’agroécologie !

  • Pourquoi participer ?

Pour :

- Découvrir le dictionnaire d’agroécologie, un outil pédagogique fiable à remobiliser pour consolider ses connaissances sur les termes et concepts de l'agroécologie (accéder au dicoAE : https://dicoagroecologie.fr/).

- Contribuer à la construction et la diffusion de nouvelles connaissances en proposant de nouveaux termes à définir pour le dicoAE.

- Aider tous les acteurs mobilisés autour de l’agroécologie à mieux comprendre les processus de changement en cours et à construire progressivement un langage partagé.

- S’exercer à la recherche bibliographique et à la compréhension des usages des termes sur le terrain.

- Échanger, s’enrichir les uns les autres sur des sens variés qui peuvent être donnés aux mots, et débattre ensemble sur des problématiques liées à l’agroécologie, des actualités et des concepts.

  • Quels attendus ?

Les étudiants ont jusqu'au 2 décembre 2022 pour fournir :

- 5 termes qui ont du sens pour l’agroécologie non définis dans le dictionnaire

- un court argumentaire justifiant de leur intérêt pour être défini dans le dictionnaire

- 4-5 références bibliographiques prenant en compte les différents points de vue des pairs du domaine, voire de réseaux d’acteurs non-académiques qui s’expriment sur le sujet

 - une traduction anglaise de chacun des termes proposés

  • Où et comment participer ?

En se rendant sur la page dédié au défi'AE : https://dicoagroecologie.fr/defiae-proposez-5-mots-pour-le-dicoae/

Un formulaire de participation permet aux étudiants par groupes de 4 (maximum) de participer !

  • Les étapes à retenir 

- 24/10/2022 : Ouverture de la participation au défi’mots pour l’AE avec inscription via un formulaire dédié

- 02/12/2022 : Clôture de la participation au défi’AE à minuit

- 05/12/2022 au 16/01/2023 : Le comité éditorial du dictionnaire déterminera les termes retenus. Chaque terme retenu apportera un point, permettant de classer les écoles lauréates du concours.

Les gagnants du défi’AE seront connus et récompensés en janvier 2023 !

Toutes deux ont été conçues par Jean-Louis Bernard, ancien Président de la Compagnie.

La première (08.03.R01), intitulée : "Concentration et répartition de l’insécurité alimentaire selon les grandes régions du monde", commente, chiffres à l'appui, l'opinion répandue suivante : "Le nombre des personnes souffrant de la faim dans le monde est stabilisé et devrait diminuer grâce aux efforts de la communauté internationale". 

La seconde (08.03.R02), intitulée : "Programme européen d’analyse des résidus de produits phytopharmaceutiques dans l’alimentation", contredit, toujours chiffres à l'appui, l'opinion répandue suivante : "Toutes les productions agricoles traitées avec des pesticides contiennent des niveaux de résidus dangereux pour la santé".

Ces deux fiches ont, par ailleurs, permis d'ouvrir le Chapitre 08.03 "Sécurité alimentaire : nourrir le monde" de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France.

Pour accéder aux deux nouvelles fiches "Repères" cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Il s'établit à 327

L'Académicienne, qui est en charge de l'organisation de l'analyse de ces thèses au sein de notre Compagnie, s'en réjouit.

Elle souligne : "Cela représente une mine d’informations, qui sont mises à disposition de toutes et tous sur le site Internet de la Compagnie et relayées dans notre Mensuel".

Anne-Marie Hattenberger remercie, par ailleurs, ses consoeurs et confrères qui s'investissent dans la lecture attentive et critique des (nombreux) travaux des jeunes docteurs, qui lui sont adressés.

Pour accéder au détail par année du nombre de thèses analysées au sein de l'Académie télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour accéder aux analyses des thèses, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Rédigée par l'Académicien Claude Debru, elle a pour titre : "Louis Pasteur et les maladies des vers à soie : un regard épistémologique sur les recherches sur la pébrine/Louis Pasteur and the silk worm diseases: an epistemological view on the researches on pebrine".

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Résumé :
Les travaux de Pasteur sur les maladies des vers à soie, de 1865 à 1870, ont constitué un tournant qui lui a permis de passer de la microbiologie à la médecine vétérinaire, puis à la médecine humaine. Une relecture épistémologique de l’histoire de ses recherches montre comment s’effectue le passage d’une conception erronée de la maladie dite pébrine à une conception justifiée comme maladie contagieuse due à un parasite. Ce passage a pu se produire par l’alliance de diverses méthodes utilisées avec constance, microscopie, statistique comparative, observations longitudinales des conséquences d’intoxications expérimentales, mises en évidence par l’autopsie de phénomènes jusqu’alors   inconnus  dans  l’organisme   malade, cette dernière ayant apporté la preuve finale du caractère infectieux de la maladie.

Abstract :
Pasteur’s works on the silkworm diseases, from 1865 to 1870, were a turning point that allowed him to proceed from microbiology to veterinary and human medicine. Rereading the history of his research from an epistemological point of view allows to show the transition from an erroneous conception of the disease named pebrine to a justified conception of the disease as a contagious one due to a parasite. This transition could take place thanks to the alliance of various, persistently used methods, such as microscopy, comparative statistics, longitudinal observations of the consequences of experimental intoxications, autopsy revealing previously unknown phenomena in the diseased organism. This last method brought the final proof of the infectious character of the disease.

Mots clés :
autopsie, maladie contagieuse, intoxication expérimentale, microscopie, pébrine, statistique comparative

Keywords :
autopsy, contagious disease, experimental intoxication, microscopy, pebrine, comparative statistics

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Pour lire la nouvelle Note académique, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :  

Il s'agit de :

  • la Fiche QS n° 01.02.Q01 : "Le maïs en France et dans le monde", rédigée par André Gallais, membre de l'Académie d'agriculture de France, se concluant ainsi "En France, depuis les années 1960, le maïs est devenu une plante essentielle pour l'agriculture et l'élevage, tant pour la production de grain que pour la production d'ensilage. En tant que plante établissant son rendement pendant la phase estivale, il est à cultiver là où l'eau ne sera pas trop limitante. Il garde sa place dans une agriculture diversifiée".
  • la Fiche QS n° 03.01.Q11 : "La filière lait de chèvre en France", rédigée par Dominique Verneau, membre de l'Académie d'agriculture de France, se concluant ainsi : "Avec un peu plus de 600 millions de litres de lait de chèvre produits à l'année, en progression continue depuis des décennies, la filière caprine est une petite filière dynamique, qui, depuis quelques années a su maîtriser les volumes pour permettre une bonne rémunération de ses acteurs. Le métier d'éleveur est cependant difficile, avec un travail d'astreinte de près de 20 heures/1 000 litres de lait. En dehors des 2 500 fromagers fermiers, environ 70 transformateurs produisent essentiellement du fromage (dont 15 AOP), et, plus récemment, des produits frais et du lait de consommation. Pour assurer son avenir la filière se doit de relever de nombreux défis tels que :
    - Le renouvellement des générations (promotion de nouveau mode d'installation et de financement).
    - La montée en gamme qualitative (AOP, bio, nouvelles destinations à l'export).
    - L'évolution des modes de production pour répondre aux attentes sociétales (diminution des GES,
    bien-être animal, sobriété énergétique).
    - La transformation de la structuration de l'amont et des relations contractuelles.
    - L'innovation : système herbagers et autonomie, éthologie, réduction des gaz à effet de serre".
  • La Fiche QS n° 03.06.Q02 : "L'efficience de la transformation des ressources alimentaires par les animaux d'élevage", rédigée par Daniel Sauvant, membre de l'Académie d'agriculture de France (décédé depuis peu),se concluant ainsi : "On dispose depuis assez longtemps de nombreux critères mesurables pour évaluer l'efficience alimentaire des animaux d'élevage, en raison de sa relation positive avec les niveaux de performance. Depuis plusieurs décennies, ces mesures ont été mises à profit pour améliorer, chez les porcs et volailles, différentes composantes de l'efficience dans les élevages. Les ruminants possèdent une efficience brute moins bonne que les monogastriques, en raison de leurs particularités physiologiques et de la nature plus grossière des rations ingérées. En revanche, pour les mêmes raisons, ils sont autant efficients, voire plus, que les monogastriques si l’on tient compte du fait qu'ils sont peu ou pas concurrents alimentaires des hommes et sont aptes à valoriser des surfaces non cultivables. Dans un avenir proche, nous pouvons penser que les progrès en matière d'élevage de précision vont permettre d'effectuer de nombreuses mesures en conditions d'élevage, et ainsi améliorer nos approches en matière d'amélioration de l'efficience des animaux domestiques".

L'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France contient, à ce jour : 

  • 335 fiches "Question sur...";
  • 57 fiches "Repères";
  • 26 Vidéos.

L'ensemble de cette production a été réalisé grâce aux contributions de 141 membres de l'Académie et de 50 experts extérieurs.

Pour accéder à la table des matières de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Quelle semaine vécue à l’Académie, point d’orgue du dialogue intergénérationnel !

La séance solennelle s’est déroulée dans le cadre de l’Hôtel des Invalides, grâce au partenariat du Crédit Mutuel. Nous pouvons remercier notre confrère Sébastien Prin et le Président de la Fédération du Crédit mutuel agricole et rural de la qualité de cet accueil. Avec ce même organisme, nous sommes associés au concours à destination des scolaires « Je filme le métier qui me plait ».  Cette action montre la capacité des jeunes à créer des scénarios sur des métiers du monde rural. Nos confrères Charles Dereix et Philippe Kim-Bonbled sont membres du jury.

Les prix financés par la Fondation Xavier-Bernard et attribués en commun avec l’Académie d’agriculture de France ont été remis le mardi 20 septembre après-midi lors de la présentation des mémoires de fin d’études d’étudiants des écoles agronomiques. Les exposés de grande qualité ont été l’occasion d’un dialogue nourri avec les référents et la salle. Merci à Christine King et à tous les membres du jury.

Crédit Agricole Île-de-France Mécénat, en partenariat avec l'Académie, a décidé d'attribuer des bourses à de jeunes chercheurs travaillant sur des sujets tournés vers les problématiques de l'agriculture en Île-de-France, et pouvant contribuer aux attentes des acteurs professionnels et à la promotion des produits régionaux. Les Lauréats ont présenté la synthèse de leurs travaux de recherches devant les membres du jury mixte le 8 septembre 2022. Pierre Del Porto a pris le relais de Patrick Ollivier pour en assurer la coordination de la sélection des dossiers.

Les Médailles d'Argent Dufrenoy ont été remises à la suite des présentations des thèses en salle des séances, ce mercredi 21 septembre. Quelle matinée avec des jeunes docteurs exposant leurs travaux, lesquels sont toujours menés au sein d’équipes de recherche de haut niveau ! Les questions des rapporteurs, mais pas seulement, ont été nombreuses et précises. Un bel éventail des recherches en cours. Un vrai régal ! Grand merci à Anne-Marie Hattenberger d’avoir coordonné la réception des thèses auprès des écoles doctorales. Soulignons aussi le travail considérable des membres du jury avec qui notre consœur assure, comme avec les jeunes doctorants des relations très chaleureuses

Oui réalité ! Le dialogue intergénérationnel est bien ancré au sein de l’Académie d’agriculture de France avec un excellent niveau conceptuel. Merci à tous ceux qui le mènent.

Constant Lecoeur, Secrétaire perpétuel de l’Académie d’agriculture de France

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What a week we had at the Academy, the high point of the intergenerational dialogue!

The formal session took place in the Hôtel des Invalides, thanks to the partnership of Crédit Mutuel. We can thank our colleague Sébastien Prin and the President of the Fédération du Crédit Mutuel agricole et rural for the quality of this reception. With this same organisation, we are associated with the competition for schoolchildren "Je filme le métier qui me plait".  This action shows the capacity of young people to create scenarios on rural jobs. Our colleagues Charles Dereix and Philippe Kim-Bonbled are members of the jury.

The prizes, financed by the Xavier-Bernard Foundation and awarded jointly with the Académie d'agriculture de France, were presented on Tuesday 20 September afternoon during the presentation of the final theses of students from agronomic schools. The high quality presentations provided an opportunity for a rich dialogue with the referees and the audience. Thank you to Christine King and all the members of the jury.

Crédit Agricole Île-de-France Mécénat, in partnership with the Academy, has decided to award grants to young researchers working on subjects related to the problems of agriculture in Île-de-France, and who can contribute to the expectations of professional actors and the promotion of regional products. The winners presented a summary of their research work to the members of the joint jury on 8 September 2022. Pierre Del Porto took over from Patrick Ollivier to coordinate the selection of the files.

The Dufrenoy Silver Medals were awarded following the presentation of the theses in the session room on Wednesday 21 September. What a morning with young doctors presenting their work, which is always carried out within high-level research teams! The questions from the rapporteurs, but not only, were numerous and precise. A nice range of current research. A real treat! Many thanks to Anne-Marie Hattenberger for coordinating the reception of theses by the doctoral schools. Let us also underline the considerable work of the members of the jury with whom our colleague ensures, as with the young doctoral students, very warm relations

Yes reality! Intergenerational dialogue is well established within the French Academy of Agriculture with an excellent conceptual level. Thank you to all those who lead it.

Constant Lecoeur, Permanent Secretary of the French Academy of Agriculture

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Pour revivre la séance solennelle en vidéo, cliquer ici : https://www.youtube.com/watch?v=8yupBd3xUvM&t=412s

Pour accéder aux documents de la séance solennelle,
cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seances-solennelles

Pour revivre la Remise des Prix de la Fondation Xavier Bernard en vidéo,
cliquer ici :  https://www.youtube.com/watch?v=C3w8NT8iR_o&t=13s
et ici : https://www.youtube.com/watch?v=YA7Hh1QeXIw&t=85s

Pour accéder à une grande partie des prix et médailles 2022 de l’Académie récemment décernés,
cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/medaille-argent-academie
et ici : https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/prix-fondation-xavier...
et ici : https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/prix-memoire-fin-etud...
et ici : https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/bourses-credit-agricole

La date limite de dépôt des communications écrites sur la plateforme est fixée au 19 septembre 2022.

Ces Journées de recherche Société Française d'Economie Rurale (SFER) - Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (INRAE) - Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD) se dérouleront à Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme) les 15 et 16 décembre 2022.

Elles constituent "un important rassemblement de la communauté scientifique francophone en sciences économiques, humaines et sociales, qui travaille dans les domaines de l’agriculture, de la pêche, des forêts, de l’alimentation, de l’environnement et du développement territorial".

Toute contribution originale de recherche (économie, gestion, sociologie, science politique, droit, géographie, histoire, anthropologie, psychologie sociale) n’ayant fait l’objet d’aucune publication, en français ou en anglais, est bienvenue.

Une place particulière sera réservée aux jeunes chercheurs et aux doctorants.

Pour en savoir plus sur l'Appel à communication aux 16èmes Journées de recherche en sciences sociales SFER-INRAE-CIRAD et y répondre, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

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La date de dépôt des dossiers a été repoussée au 12 septembre 2022

Ce prix décerné par l’Académie nationale de Pharmacie, d’un montant de 4.000 euros doté par la Mutuelle générale de l'éducation nationale (MGEN), est destiné à "encourager un jeune chercheur menant un travail de recherche original visant à mettre en évidence des relations entre facteurs environnementaux et santé".

Pour y concourir il faut réunir les conditions suivantes :

  • être chercheur en début de carrière, statutaire ou non, ayant soutenu une thèse de Doctorat d’Université,
  • être âgé de moins de 36 ans,
  • mener ses travaux au sein d’un organisme de recherche public ou privé en France.

Le dossier, rédigé de préférence en français (anglais accepté), doit être soumis en ligne (info@acadpharm.org), accompagné d’une version papier adressée à l’Académie nationale de Pharmacie (4, avenue de l’Observatoire, 75006 Paris). 

Le lauréat s’engage à consacrer l’intégralité du montant du Prix qui lui sera versé à la réalisation de son projet et à en présenter les résultats à l’Académie nationale de Pharmacie et, le cas échéant, à la MGEN.

Pour en savoir plus sur le Prix "Recherche et innovation en santé environnementale" et déposer un dossier, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

75 367 jeunes, près de 2 000 établissements ont participé au concours en saison 15, plus de 700 vidéos ont été retenues en sélection officielle.

Sous le haut patronage du ministère de l’Éducation Nationale, de la Jeunesse, et des Sports, du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et du Ministère du Travail, parrainé par des noms prestigieux, soutenu par des partenaires économiques engagés, "Je filme le métier qui me plaît" est une occasion unique pour les élèves de découvrir le monde professionnel, de s’approprier des codes, des savoir-faire et savoir-être spécifiques aux différents métiers, et pourquoi pas de découvrir leurs propres talents et leur voie.

  • Les organisateurs précisent : 

"Engagés dans l’aventure, les jeunes vivent des moments d’exception tant sur le plan éducatif qu’humain :

- Créateurs, ils enquêtent, découvrent, comprennent, restituent… En équipe, ils rencontrent, écoutent, débattent, tolèrent, animent, argumentent, partagent… En mode projet, ils gèrent, prévoient, expliquent, organisent, planifient… Sur le terrain, ils s’adaptent, négocient…

- Producteurs,  ils gèrent, négocient,  calculent, anticipent, administrent, décident…

- Réalisateurs, ils imaginent, conçoivent, écrivent, scénarisent, filment, montent, communiquent…

- En compétition, ils exigent pour eux et pour les autres, se dépassent, se challengent…

- Au Grand Rex (lors de la remise des prix), ils ont le trac, frissonnent, s’expriment, rencontrent, découvrent, explosent de joie… et bien plus encore !"

  • Comment participer au concours ?

En réalisant un reportage vidéo d’une durée de 3 minutes maximum sur un métier, du scénario au montage.

  • Qui peut participer ?

Tous les élèves, étudiants, stagiaires, avec les équipes éducatives de collèges, de lycées d’enseignement général et technologique, de lycées professionnels, de lycées agricoles, d’universités, d’IUT, de CFA , de centres de formation en France ou d’établissements français à l’étranger, d’écoles de la deuxième chance, de maisons familiales et rurales… et avec leurs animateurs de missions locales, associations d’insertion, clubs vidéo, cyberbases, PIJ, PAIO,  maisons de l’emploi, cités des métiers, pôles emploi …

  • Quelles entreprises approcher ?

Toutes les organisations (entreprises, administrations, associations) peuvent faire l’objet de la réalisation d’un film, sous le contrôle d’un enseignant ou d’un adulte référent, porteur du projet pédagogique. 

  • Quels métiers filmer ?

Tous les métiers peuvent faire l’objet de vidéos, mais nous invitons les participants à se mobiliser sur les métiers d’avenir, ceux qui recrutent portés par les entreprises partenaires engagées dans le concours sur une douzaine de catégories. 

  • Quels sont les critères d’évaluation ?

Composé de personnalités du monde de l’éducation, des médias, de l’entreprise, de la production audiovisuelle et pour la catégorie "Agriculture et Territoires", du Crédit Mutuel et de l'Académie d'agriculture de Francele jury prend en compte les critères suivants pour désigner les lauréats dans chaque catégorie :

- la qualité de présentation du dossier de candidature,

- la cohérence entre le film réalisé avec la catégorie choisie,

- la qualité du contenu du clip vidéo, la richesse et l’exactitude des contenus, et plus particulièrement la profondeur de l’information, son réalisme, et la cohérence globale,

- le choix de l’angle et du mode de traitement du sujet,

- la plus-value du projet pédagogique associée au film,

- la qualité, l’originalité et la créativité de la forme du clip,

- la réalisation technique,

- le respect des délais.

Pour en savoir plus sur le concours "Je filme le métier qui me plaît 2022/2023", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Le document est riche en informations sur cet enseignement qui "prépare à une diversité de métiers et propose pour cela une grande diversité de formations : les métiers des filières agricoles et agroalimentaires, les métiers de la filière forêt-bois, les métiers liés à la préservation et la mise en valeur des milieux naturels, l’entretien et la création d’aménagements paysagers, les services aux personnes âgées ou à la petite enfance en milieu rural, les services dans les territoires (tourisme, animation, communication, commerce et vente)..."

Dans son éditorial, le ministre Marc Fesneau écrit : "L’enseignement agricole est une spécificité française que nous chérissons tous. De par sa capacité à s’adapter en permanence aux besoins des secteurs agricoles, alimentaires, forestiers – de nos territoires en général - en proposant des formations de la 4e au doctorat, il est une fierté, en phase avec les défis de notre temps qu’ils soient climatiques, sociaux, économiques ou écologiques. En effet, à l’heure où la reconquête de notre souveraineté alimentaire, et par elle le renouvellement des générations d’agriculteurs, représente un défi majeur, nous devons continuer à nous appuyer sur la force des plus de 800 établissements présents sur tout le territoire"

Pour lire le dossier de presse "Rentrée scolaire 2022 de l’enseignement agricole", télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

L'audition se déroulera le 8 septembre prochain, à 15h30, dans la bibliothèque de l'Académie d'agriculture France.

Le Secrétaire perpétuel prononcera quelques mots d'accueil et saluera le nouveau Président du Conseil d’Administration du Crédit Agricole d’Ile-de-France,  Guillaume Vanthuyne.

Crédit Agricole Île-de-France Mécénat, en partenariat avec l'Académie d'agriculture de France, a décidé d'attribuer durant 5 ans – à partir de 2020 – des bourses à de jeunes chercheurs "travaillant sur des sujets tournés vers les problématiques de l'agriculture en Île-de-France, et pouvant contribuer aux attentes des acteurs professionnels et à la promotion des produits régionaux".

Ces bourses ont pour objet de :

  • faciliter un stage dans un centre de recherches ou un service technique, en France et à l'étranger ;
  • permettre la participation d'un jeune chercheur à une manifestation scientifique ;
  • aider à la présentation de résultats scientifiques ou techniques.

Pour en savoir plus sur les Bourses Crédit agricole Ile-de-France mécénat et accéder à la liste des lauréats des précédentes années, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :  

Notre Secrétaire perpétuel, Constant Lecoeur, vient d'adresser le message suivant aux membres de la Compagnie :

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Chères consoeurs et chers confrères,

Une nouvelle "Fondation AgroParisTech" reconnue d’utilité publique autonome est en construction. Le Bureau de l’Académie a été contacté et a donné son accord pour être membre du futur collège des institutionnels de cette future instance.

Depuis dix ans, la Fondation AgroParisTech - sous l’égide de la Fondation ParisTech – a contribué à faire émerger des expertises, des talents et des solutions face aux défis du vivant et de l'environnement qui mobilisent de nombreux membres enseignants, chercheurs, entreprises et institutions.

Chaires partenariales de mécénat, bourses étudiantes, prix de l'entrepreneuriat, trophée de la citoyenneté : autant de façons de soutenir enseignants-chercheurs, étudiants et jeunes pousses. En dix ans, plus de 800 porteurs de solutions ont été accompagnés, entrainant 75 partenaires et collectant 9,6M€.

Aujourd’hui, pour ancrer cette Fondation, encore plus au cœur de la communauté des sciences du vivant et du développement durable, l’objectif est de la transformer en Fondation reconnue d’utilité publique autonome.

Pour que cette fondation existe, un appel a été lancé pour participer à la constitution de la dotation initiale de 1,5M€.  Une bonne partie de cette dotation est déjà rassemblée. Reste encore à collecter 200 000€. Les (même tout petits) ruisseaux font les grandes rivières : Chantal Monvois déléguée générale de la Fondation et les dirigeants d’AgroParisTech comptent sur votre contribution !
Chaque don compte : https://fondation.agroparistech.fr/faire-un-don/  

Pour tout connaitre des contreparties de votre don, rendez-vous sur le site internet : www.fondation.agroparistech.fr 
ou contactez l'équipe de la Fondation : fondation@agroparistech.fr

L’Académie soutient cette initiative. Un grand merci !

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Responsables des secteurs agricoles et alimentaires, Cadres de l'Administration et Journalistes ont fait le déplacement.

Le Président de l'Académie, Jean-Jacques Hervé, le Secrétaire perpétuel, Constant Lecoeur et le Responsable du Fonds documentaire, André Fougeroux, leur ont conté la saga (quasi rocambolesque) de la redécouverte des précieux vélins et expliqué la démarche scientifique qui a été entreprise pour contextualiser leur importance pour la viticulture confrontée au changement climatique.

Revivre ce temps fort de l'exposition en photographies : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations...

L'exposition se tient du mercredi 24 août au dimanche 4 septembre 2022, de 11h00 à 20h00 (jusqu'au 31 août) et de 11h00 à 19h30 (à partir du 1er septembre), dans le Pavillon Davioud au Jardin du Luxembourg (55 bis, rue d'Assas - 75006 Paris).

Son entrée est libre et gratuite.

Y venir : https://www.senat.fr/evenement/ete_du_senat/2022/index.html  

En savoir plus sur l'exposition : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/lacademie-presen... et https://www.youtube.com/watch?v=v1EgV2vhHwo&t=13s

Le public est accueilli chaque jour par des Académiciennes et des Académiciens, avec qui il est possible d'échanger.

Quatre l'ont déjà fait, par l'intervention filmée de leur Secrétaire.

Michel Dron a ainsi présenté sa section "Productions végétales", Bertrand Roman-Amat sa section "Forêts et filière bois", Claude Allo sa section "Production animale" et André-Jean Guérin sa section "Sciences humaines et sociales".

Pour accéder aux vidéos présentant les sections de l'Académie d'agriculture de France, cliquer ici : https://www.youtube.com/channel/UCxERz8wtBBH9VXfgJOfVODA/videos

Pour en savoir plus sur ces sections, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/# (rubrique Académie)

Il a pour titre : "Morphologie agraire dans le monde".

L'Académicien Gérard Chouquer en est le pilote et le principal rédacteur.

Ce nouveau "grand thème" de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France est actuellement riche des 13 fiches "Questions sur..." suivantes :

  • Chapitre 13.01 : Généralités sur la morphologie agraire

13.01.Q00 : Présentation du Grand Thème 13 : Morphologie agraire dans le monde

13.01.Q01 : Le renouveau des formes agraires

13.01.Q02 : Les termes du classement au patrimoine mondial du parcellaire de l'île de Hvar (Croatie)

13.01.Q03 : Comprendre la transmission des formes planimétriques sur 2 000 ans : le cas de la coupe de Pierrelatte "les Malalones"

13.01.Q04 : Les effets de l'hybridation entre la centuriation et le réseau hydrographique en Romagne (Italie)

13.01.Q05 : L'ouverture des collecteurs interprétatifs : centuriation, openfield, bocage & parcellaire de pierre sèche

13.01.Q06 : Pourquoi faut-il définir des formes intermédiaires dans un parcellaire ?

13.01.Q07 : L'emploi des grilles dans l’analyse d’une morphologie agraire

13.01.Q08 : Pourquoi parle-t-on de plan radio-quadrillé ?

13.01.Q09 : L'analyse d'un réseau routier

13.01.Q10 : Les apports du lidar à l'analyse de la morphologie agraire

13.01.Q11 : La notion de commentaires ou d'instructions en arpentage

13.01.Q12 : La notion de description légale dans la confection des archives cadastrales

  • Chapitre 13.02 : Les formes agraires antiques

13.02.Q01 : Le blé de la mer Noire dans l'Antiquité : un enjeu de la colonisation grecque

Gérard Chouquer promet 70 fiches "Questions sur..." à terme.

Pour accéder à la table des matières de l'Encycopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

L'évènement, placé sous le haut patronage de l’Académie d’agriculture de France, se déroulera le mardi 21 juin 2022, à l'Ecole Nationale Vétérinaire d’Alfort (ENVA), Amphithéâtre d'honneur Girard, 7 avenue du Général de Gaulle, 94000 Maisons-Alfort.

Sur la liste des orateurs appartenant à notre Compagnie figurent : Bernard Denis, Pierre Del Porto, Jean-Pierre Digard, Pierre Quéméré, Jean-Louis Peyraud, Etienne Verrier.

Pour en savoir plus sur le Jubilé de la Société d’Ethnozootechnie et y participer (inscription obligatoire), télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

L’aventure, qui débutera dans les locaux de l'Académie (18, rue de Bellechasse - 75007 Paris), consiste à chercher "Globulina fabulosa. La plante parfaite" et à (re)découvrir ses propriétés extraordinaires.

L’escape game est accessible via l'application mobile Quaestyo, simple et rapide à prendre en main.

Le jeu a été réalisé en collaboration avec l’Académie d’agriculture de France, qui a apporté son expertise agricole et l’IHEDREA (école d’agro-management) qui s’est appuyée sur le point de vue des étudiants, pour y intégrer pertinemment l’histoire de l’agriculture.

"L’expérience sera à faire seul ou en groupe et rapprochera progressivement les joueurs d’une problématique philosophique". Grâce à une histoire plus vraie que nature, les joueurs n'auront qu'à se laisser guider par les grands hommes de l’histoire agricole, dans un circuit autour de l'Académie d'agriculture de France".

Avant de se lancer dans l'aventure, les escape gamers seront invités à visiter l'exposition photographique "Recycler, c’est dans ma nature", actuellement installée dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France.

Pour en savoir plus sur l'"escape game" au départ de l'Académie et découvrir comment y participer, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Pour en savoir plus sur l'exposition photographique actuellement installée dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Cette finale se déroulera le 16 juin 2022 et sera retransmise en direct sur la chaîne #YouTube @ConcoursMakeITAgri

Notre secrétaire perpétuel, Constant Lecoeur y prendra la parole.

Notre confrère Philippe Gate présidera, une nouvelle fois le jury, dont les résultats des délibérations seront communiqués à 18h00.

Le Concours Make IT Agri est organisé par la Fondation Avril, avec l’Académie d’agriculture de France, l’École d’ingénieurs AgroParisTech, Terres Inovia, le Crédit Agricole, Terres Innovantes, Arvalis et TotalEnergies et le Groupe Seenergi.

Il porte sur l’utilisation des nouvelles technologies du numérique, robotique, informatique pour améliorer la performance d’une agriculture et d’une alimentation durables.

Ses objectifs sont les suivants :

  • Apporter des innovations en lien avec les nouvelles technologies – numériques, informatiques, robotiques – au service d’une agriculture et d’une alimentation durables,
  • Sensibiliser les ingénieurs de demain aux domaines de l’agriculture, de l’alimentation et du développement durable,
  • Assembler les compétences des élèves ingénieurs de tous secteurs pour trouver des solutions en réponse aux nouveaux enjeux planétaires,
  • Encourager à la création de start-up innovantes.

Peuvent s'inscrire à ce concours, les étudiants d'une Grande école d’ingénieurs française en 2e ou 3e année.

Pour en savoir plus sur le concours Make It Agri, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Pour perndre connaissance du programme de la finale du 16 juin prochian, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Communiqué du Crédit Mutuel

Paris le 1er juin 2022

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Le Crédit Mutuel, acteur engagé auprès du monde agricole, parraine la catégorie « Agriculture et Territoires » du concours « Je filme le métier qui me plait » et a décerné aux lauréats les Clap d’Or et d’Argent au cours d’une cérémonie de remise des prix qui s’est tenue le 31 mai 2022. L’agriculture était à l’honneur cette année puisque le clap de diamant, plus haute récompense toutes catégories confondues, a été remis à une vidéo agricole par Dany Boon, président du jury.

« Je filme le métier qui me plait » est un concours dont l’objectif est d’aider les jeunes dans leur orientation en les incitant à aller sur le terrain pour filmer un métier ou une filière qui les intéressent. Ces vidéos sont ensuite réunies dans une vidéothèque de l’orientation, parcoursmetiers.tv, où chacun peut trouver des informations sur des métiers, filmés par des jeunes pour les jeunes.

De retour en présentiel après deux années en distanciel, la cérémonie de remise des prix du concours s’est déroulée le mardi 31 mai 2022 au Grand Rex, devant un public de 2700 jeunes et enseignants participants.

Ce fut pour ces jeunes l’aboutissement de plusieurs mois de travail autour d’un projet de création, tournage et montage d’une vidéo sur le métier de leur choix. Les vidéos sont classées dans l‘une des 14 catégories proposées, parrainées chacune par un partenaire.

Le Crédit Mutuel entretient avec les établissements de l’enseignement agricole des relations privilégiées. Il soutient les initiatives permettant de combattre les clichés qui pèsent sur le monde agricole et rural en général et celles permettant d’aider les jeunes dans leur orientation, ce qui en fait un parrain tout à fait adéquat.

Le Crédit Mutuel et ses partenaires (l’Académie d’agriculture de France, les Maisons Familiales Rurales, le Conseil National de l'Enseignement Agricole Privé, l’Union Nationale Rurale d'Education et Promotion et les « agriyoutubeurs » Gilles VK et Lucie de la chaîne « Plein Les Y'oeufs Les Jolies Rousses ») se sont réunis début avril pour visionner les vidéos reçues et choisir les lauréats.

Légère, drôle et porteuse d’un véritable message sur l’horticulture locale, c’est la vidéo « L'Amour est dans le plus près ! » du Lycée d'enseignement agricole privé de Boissay (41) qui s’est distinguée et reçoit le Clap d’Or de la catégorie agricole. Trois autres vidéos reçoivent le Clap d’Argent : « Dépannage Intemporel » du Lycée professionnel Jean Pierre Champo (64), « C'est pas agriculteur : le parage » du Centre de formation en élevage de Canappeville (27) et « Equi' Slam de nos métiers », de la MFR de Bournezeau (85). L’originalité et l’implication des élèves dans ces vidéos ont été particulièrement appréciées.

Visionner la vidéo Clap d’Or, « L'Amour est dans le plus près ! » : https://www.parcoursmetiers.tv/video/12513-lamour-est-dans-le-plus-pres

La mise à l’honneur de l’agriculture ne s’est pas arrêtée là, puisque Dany Boon, président du jury, a choisi de décerner le Clap de Diamant, récompense ultime toutes catégories confondues, à la vidéo « Le cœur à l’ouvrage » de la Maison Familiale Rurale de Bâgé-le-Châtel (01). La beauté des images et la sincérité de la vidéo ont notamment plu à l’acteur.

Visionner la vidéo Clap de Diamant, « Le cœur à l’ouvrage » :  https://www.parcoursmetiers.tv/video/13171-le-coeur-a-louvrage

Cette année, plus de 140 établissements de l’enseignement général et agricole se sont inscrits à la catégorie « Agriculture et Territoires »

En savoir plus sur le concours : https://www.jefilmelemetierquimeplait.tv/

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Pour revivre la cérémonie du Grand Rex filmée par l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

C'est désormais une tradition, qui s'inscrit dans la politique de dialogue intergénérationnel de la Compagnie, dont des Académiciens, d'ailleurs, siègent au jury de cette catégorie du concours parrainée par le Crédit Mutuel.  

La réception a eu lieu le 31 mai dernier au matin.

Au programme :

  • Accueil des participants dans le hall de l’Académie puis installation de l’ensemble des étudiants, accompagnants et invités en salle des Séances;
  • Discours de Constant Lecoeur, Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France;
  • Présentation du parrainage de la catégorie "Agriculture et Territoires " du concours "Je filme le métier qui me plait" par le Crédit Mutuel (5 min);
  • "Démonstration chimique" d’Hervé This, membre de l'académie d'agriculture de France;
  • Visionnage des 5 vidéos lauréates dans l’ordre alphabétique, suivi d’une remise de médailles d’encouragement aux jeunes lauréats;
  • Photo de groupe;
  • Visite de la bibliothèque et présentation de l’exposition Adivalor sur la valorisation des déchets du secteur agricole;
  • Pot convivial.

Pour en savoir plus sur le programme de la réception, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour revivre la réception dans son intégralité, en vidéo, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :                                                                                                           

Cette CHAMBRE D'HÔTES est le catalogue des titres des partenaires recensés par Educagri éditions, une marque de l'Institut Agro.

Accéder à la CHAMBRE D'HÔTES : https://educagri-editions.fr/la-chambre-d'hotes

L'Académie d'agriculture de France se félicite de cette visibilité donnée à son travail de "vulgarisation" dans les domaines de l'Agriculture, de l'Alimentation et de l'Environnement.

L'Encyclopédie mise en ligne par la Compagnie se compose à ce jour de  :
- 203 fiches "Question sur...";
- 106 fiches "Forêt & Bois";
- 57 fiches "Repère";
- 25 "Vidéo-capsules".

Ces 391 documents ont été établis grâce aux contributions de 133 membres de l'Académie et de 40 experts extérieurs.

Au nombre des dernières publications, les fiches "Questions sur..." : 

  • n° 01.06.Q08 : "Pourquoi cultiver les variétés en association ?" rédigée par Claude Pope et Joël Lorgeoux, membres de l'Académie d'Agriculture de France;
  • n° 08.04.Q08 : "Les phyto-estrogènes : des composés végétaux à action hormonale" rédigée par Hervé This, membre de l'Académie d'Agriculture de France;
  • n° 08.01.Q19 : "Quelles différences entre substance, espèce chimique, composé, élément, molécule, atome, élément ?" également rédigée par Hervé This, membre de l'Académie d'Agriculture de France.

Accéder à la table des matières de l’Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France : https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/table-mati...

La réception aura lieu le 31 mai 2021 à partir de 10h15, pour débuter à 10h30 précises.

Il y aura tout d'abord une présentation des activités de la Compagnie par son Secrétaire perpétuel Constant Lecoeur. 

Ensuite, les vidéos des jeunes lauréats seront visionnées par ordre alphabétique et sans révéler leur classement final (qui sera dévoilé lors de la cérémonie du Grand Rex - Paris, l’après-midi), avec une prise de parole des élèves.

Le visionnage sera suivi d'une démonstration chimico-culinaire d'Hervé This membre de l'Académie d'agriculture de France et pape de la "cuisine note à note".

Enfin, les Académiciens feront visiter la bibliothèque de l’Académie et offrirons un "Fraise-Tagada-pot convivial" (jus de fruits, biscuits salés/sucrés, bonbons…) pour clôturer la réception.

Pour en savoir plus sur le concours "Je filme le métier qui me plait" (catégorie Agriculture et Territoires) dans le jury duquel des membres de l'Académie siègent, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La conférence de l'Académicien, Président d’Humanité et Biodiversité, ouverte à toutes et tous, a pour titre : "Comment intéresser à la biodiversité".

Elle se tiendra, à 14h30, dans les locaux de la Société nationale d'horticulture de France (SNHF), sis 84, rue de Grenelle - 75007 Paris.

Pour en savoir plus sur la conférence de Bernard Chevassus-au-Louis à la SNHF et y participer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

  • SCOOP 1 !

La série de photographies commandées par AGRICULTEURS, DISTRIBUTEURS, INDUSTRIELS POUR LA VALORISATION DES DECHETS AGRICOLES - A.D.I.VALOR sera bien exposée, comme prévu, dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France.

Le Directeur général d'A.D.I.VALOR vient de donner son accord. 

Le travail du photographe Didier Michalet : "Recycler, c’est dans ma nature" sera installé au 18, rue de Bellechasse - 75007 Paris, du 31 mai au 19 juin 2022.

Il sera présenté par le Président d'A.D.I.VALOR, en personne, lors d'un 13-14 h de l'Académie, le 1er juin 2022.

En savoir plus sur la série de photographies : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/scoop-une-serie-...

  • SCOOP 2 !

A l'occasion de la deuxième édition des Journées nationales de l'Agriculture (#JNA2022), les 17, 18 et 19 juin 2022, @agridemain, l'IHEDREA-l’Ecole d’Agro Management et l'Académie d'agriculture de France proposeront un Escape game (dont l'accès gratuit sera offert par son concepteur Quaestyo) permettant à tout un chacun de (re)découvrir les hauts lieux de l'histoire de l'agriculture à... Paris.

La réalisation concrète du jeu est d'ores et déjà en cours.

Accéder au progamme  #JNA2022 : https://journeesagriculture.fr/?msclkid=60a8a4eac49b11ec912e5f98efebc015...

Ce prix d’un montant de 4 000 euros, mis en place par l'Académie nationale de pharmacie et doté par la Mutuelle générale de l'éducation nationale (MGEN), est destiné à "encourager un jeune chercheur menant un travail de recherche original visant à mettre en évidence des relations entre facteurs environnementaux et santé".

Toute personne souhaitant candidater doit réunir les conditions suivantes :

  • être chercheur en début de carrière, statutaire ou non, ayant soutenu une thèse de Doctorat d’Université,
  • être âgé de moins de 36 ans,
  • mener ses travaux au sein d’un organisme de recherche public ou privé en France.

La date limite du dépôt du dossier de candidature est fixée au 31 juillet 2022, à minuit.

Pour en savoir plus sur le prix "Recherche et innovation en santé environnementale" et y concourir, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Ce prix, d’un montant de 20.000 euros, assorti d’une invitation à donner une conférence publique au Collège de France, est destiné à récompenser la recherche la plus audacieuse au sein de la jeune relève scientifique et à contribuer à la reconnaissance de la lauréate ou du lauréat.

Thème du prix 2022 est : "Biodiversité et évolution".

La plateforme de dépôt des candidatures sera ouverte entre le 1er avril et le 31 mai 2022.

Pour en savoir plus sur ce prix du Collège de France et y candidater, cliquer sur le lien internet, ci-dessous :

Il s'agit des fiches :

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QS n° 10.07.Q06 : "Coûts cachés et juste prix de notre alimentation"

Son auteur, Jean-Louis Rastoin, membre de l'Académie d'agriculture de France la résume ainsi : 

  • "L'explosion des coûts cachés de l'alimentation, dans tous les pays du monde, incite à repenser le rôle dévolu au marché pour optimiser l'ajustement de l'offre et de la demande pour un bien que l'on peut qualifier de commun, compte tenu de sa nature biologique, culturelle et écosystémique. Le prix des aliments devrait intégrer une partie de ces coûts cachés, afin de responsabiliser tous les acteurs des systèmes alimentaires. Cette évolution des marchés devrait être accompagnée, pour les populations à faible pouvoir d'achat, d'une politique de solidarité afin de garantir à tous un droit à une alimentation de qualité".

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QS n° 06.06.Q02 : "Biologie de synthèse"

Son auteur, François Képès, membre de l'Académie d'agriculture de France la résume ainsi :

  • "La biologie de synthèse est l'ingénierie rationnelle de la biologie. Son but est de concevoir de nouveaux systèmes inspirés par la biologie ou fondés sur ses composants. Elle fait aussi progresser les connaissances sur le monde vivant.
  • Elle représente un domaine techno-scientifique en développement rapide depuis 2004, et un futur poids lourd économique, y compris dans le domaine agronomique.
  • Elle est susceptible de changer totalement notre approche de certaines technologies-clés, ouvrant ainsi la voie à une nouvelle génération de produits, d'industries et de marchés construits sur nos capacités à manipuler la matière au niveau moléculaire".

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L'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, se compose désormais de :

  • 195 fiches "Question sur..."
  • 106 fiches "Bois-Forêt"
  • 57 fiches "Repères"
  • 23 "Vidéos"

L'ensemble de ces 381 documents a été établi grâce aux contributions de 132 membres de la Compagnie et de 40 experts extérieurs.

Pour accéder à la table des matières de l’Encyclopédie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

L'Académicien, Vice-doyen – Recherche et création à la Faculté des arts et des sciences de Montréal (Canada), y prendra la parole lors du Panel 2, intitulé : "Stakeholder perspectives".

La réunion, dont la thématique est : "Pharmaceuticals in the Environment", se tiendra en visioconférence de 13h00 à 15h00.

Le Forum européen de politique biomédicale de la Federation of European Academies of Medicine (FEAM) est une plateforme de discussion sur les questions politiques clés pour la communauté biomédicale.

Il vise à rassembler des représentants du monde universitaire, d'organisations caritatives de recherche, de l'industrie, d'associations commerciales et d'organismes professionnels européens et nationaux, de régulateurs, d'organismes de santé publique et de groupes de patients et de consommateurs.

Pour en savoir plus sur le "FEAM European Biomedical Policy Forum" du 29 mars 2022, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Cette formation en ligne (Mooc) sur l’Agriculture biologique (Bio) s’adresse à "un large public novice ou averti".

Le Mooc Bio s’articule autour d'un tronc commun de 4 séquences thématiques et d’une question transversale au choix qui fait débat dans la société. Des bases du cahier des charges à la production agricole en passant par la diversité, les dynamiques des territoires et les questions de controverse, la pédagogie est fondée sur la simplicité, la rigueur scientifique et l’interactivité.

Ses organisateurs précisent : "avec l’application de la nouvelle réglementation européenne sur l’agriculture biologique, le Mooc Bio a actualisé son contenu afin de proposer aux participants une formation au plus proche de l’actualité".

Le calendrier de la formation est le suivant : 

  • Début des cours : 11 avril 2022
  • Fin des inscriptions : 12 juin 2022
  • Fin des cours : 20 juin 2022

Pour en savoir plus sur le Mooc Bio de VetAgro Sup et s'y inscrire, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Le Salon international de l’agriculture, qui s'est tenu à Paris du 26 février au 06 mars 2022, était cette année attendu avec impatience par tous. C’était l’édition des « retrouvailles ».

Difficile de résumer toutes les rencontres et tous les évènements auxquels l’Académie a participé durant neuf jours.

Notre Secrétaire perpétuel en retient les faits suivants...

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En point d’honneur, la valorisation des jeunes chercheurs s’est illustrée tant sur le stand du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation que sur celui de l’Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae). Philippe Mauguin y a accueilli des jeunes étudiants, les écoles doctorales, AgroParisTech, l’Institut Agro et l’Académie pour écouter des parcours réalisés après une thèse.

Dans le cadre du Salon, l’Académie d’agriculture de France, avec le Groupe interacadémique pour le développement (GID) a également participé activement à la journée sur l’agriculture de Côte d’Ivoire.

Le changement climatique comme la transition agroécologique se sont avérés des thèmes d’extrême actualité sur les plateaux de l’Inrae, @agriDemain, d’AgroParisTech, de Groupama, de l’Association pour la promotion de l’agriculture durable (APAD), et bien d’autres avec la participation de différents membres de l’Académie.

Le bien-être animal s’est invité en tant qu’enjeu sociétal. Comment concilier lien avec l’animal et respect de leur production alimentaire ? Ainsi @agriDemain a présenté des échanges entre producteurs de foie gras, cuisiniers de talent, parlementaires, membres de l’Académie et consommateurs, tous gourmets autour de la table d’hôte organisée.

Sur le stand d’AgroParisTech avec l’Académie, mais aussi à la ferme digitale, comme pour la séquence Make IT Agri sur le plateau du ministère, nous ne pouvions qu’être à l’écoute des innovations développées dans les écoles, les incubateurs et les start-up. Quelles motivations pour tous ces jeunes que l’Académie doit entendre !

Une table d’hôte a permis de présenter les ouvrages de l’Académie. Nous pensons au grand livre de la forêt-bois ou au grand livre de l’alimentation, aux fiches de l’encyclopédie mais aussi aux raisins de Redouté et bien d’autres…

L’invasion russe en Ukraine bouleverse l’actualité. Le soutien à l’Académie d’Ukraine est unanime en Europe avec l’Union européenne des Académies d’agriculture. Le Président Jean-Jacques Hervé a dû répondre à de multiples demandes de la presse : 20 minutes, Marianne, Betteravier français… 

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Pour revivre ces évènements en vidéo, cliquer ici : https://www.youtube.com/channel/UCxERz8wtBBH9VXfgJOfVODA

Pour revivre ces évènements en photos, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations...

Pour relire les posts sur Twitter, taper : #AAFauSIA2022
 

Le Trophée international de l’enseignement agricole (TIEA) est organisé par le Concours Général Agricole avec le soutien de la Direction générale de l’enseignement et de la recherche (DGER) du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation (MAAF) et en partenariat avec le Groupe France Agricole éditeur de la France Agricole et de l’Eleveur Laitier.e.

Il vise différents les objectifs suivants :

  • Valoriser le travail réalisé dans les établissements d’enseignement agricole pour la formation des élèves;
  • Valoriser l’enseignement pluridisciplinaire (enseignement technique, enseignement d’expression française, enseignement; socioculturel, enseignement des Technologies de l’Informatique et du Multimédia (T.I.M.), enseignement des langues étrangères, …);
  • Renforcer le partenariat entre enseignements et professionnels;
  • Valoriser l’élevage bovin laitier ou allaitant dans les exploitations pédagogiques des établissements d’enseignement agricole publics ou privés;
  • Donner une image moderne du métier d’éleveur bovin, …

Le TIEA est ouvert :

  • aux apprentis, stagiaires ou étudiants, âgés de 15 à 25 ans;
  • aux établissements français d’enseignement agricole publics ou privés dont le troupeau bovins laitiers ou allaitants de l’exploitation compte un numéro de cheptel qui correspond au nom de l’établissement et qui doit être adhérent à un organisme de sélection;
  • aux établissements étrangers ayant signé une convention de partenariat avec un établissement français participant.

Le Trophée international de l’enseignement agricole comprend des épreuves écrites et pratiques (Communication, Manipulation d’un bovin en toute sécurité, Grand oral de présentation sur le ring et Notation du comportement des élèves sur le Salon international de l’agriculture) se déroulant en amont et pendant le Salon. 

Pour en savoir plus sur le TIEAC, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce prix, décerné conjointement par la Société française de biologie végétale (SFBV) et l’Académie d’agriculture de France, récompensera une nouvelle fois une thèse excellente dans le domaine de la biologie végétale.

Sont éligibles : "les travaux de recherche appliquée (agronomique) ou de recherche fondamentale se situant en amont d’un possible transfert vers la recherche appliquée (agronomique)".

Pour concourir le doctorant et son directeur de thèse doivent être membres de la SFBV au moment du dépôt de la candidature et la thèse doit avoir été soutenue entre le 1er Janvier 2021 et le 1er Février 2022.

Le jury, composé pour moitié de membres de l’AAF et de la SFBV analysera l’originalité scientifique et / ou méthodologique
ainsi que la valorisation (publications, brevets, congrès …) des travaux menés.

Le-la lauréat-e sera invité-e à présenter ses travaux au congrès de la SFBV (Août 2022), recevra un prix de 500€ lors de la séance de rentrée de l’Académie d’agriculture de France (Septembre 2022) et sera encouragé-e à écrire une note sur son travail de thèse dans les Notes Académiques de l'Académie d'agriculture de France.

Pour en savoir plus sur l'Appel à candidature pour le Prix de thèse SFBV-AAF 2022 et y répondre avant le 31 Mars 2022 minuit, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :
 

Elle a été rédigée par Christian Saber, membre de l'Académie d'agriculture de France et rédacteur en chef du Mensuel de la Compagnie.

Titrée "Le lin, une fibre du futur", cette fiche pédagogique n° 06.03.Q02, propose de retenir que :

  • La fibre de lin est issue d'une culture locale et durable. Elle est reconnue pour ses qualités techniques (légèreté, flexibilité, résistance…), et intéresse les concepteurs et constructeurs pour sa légèreté (transports routiers, aériens et ferroviaires), sa résistance, et sa flexibilité (utilitaires, matériels de sports et de protection…).
  • Les fibres de lin intègrent de plus en plus des matériaux composites. Leurs alliances avec des résines font l'objet de nombreuses recherches pour leurs caractéristiques techniques, ainsi que le réemploi, le recyclage et le cycle de vie de ces matériaux composites. Ces recherches sont déterminantes pour l'avenir de ces matériaux biosourcé.

A ce jour, l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France se compose de :
- 184 fiches "Question sur..."
- 106 fiches "Forêt & Bois"
- 57 fiches "Repère"
- 10 "Vidéo-capsules"

Ces documents pédagogiques ont été établis grâce aux contributions de 125 membres de l'Académie et de 39 experts extérieurs.

Pour accéder à la "Questions sur..." n° 06.03.Q02, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Les deux membres de l'Académie d'agriculture de France donnent ces leçons dans le cadre des Conférences de l’Institut de France, qui reprennent le 10 janvier 2022.

Ces Conférences, initiées en 2019, ont pour ambition : "le partage et la transmission des connaissances".

Voulant être accessibles dans un langage simple, les Leçons de Jean Jouzel et Hervé Le Treut "sont tournées vers les lycéens, dont on sait la sensibilité à leur avenir et l’intérêt pour le sujet. Elles s’adressent également à leurs professeurs et au grand public".

Elles répondront aux interrogations suivantes : 

  • En quoi consiste "la science du climat" ?
  • Que sait-on du réchauffement climatique et de ses impacts, aujourd’hui et demain ?
  • Comment les atténuer, comment s’y adapter ?
  • Quelles interdépendances globales, notamment pour les plus démunis ?
  • Que nous apprennent ces crises, quelles transitions mettre en œuvre ?

Pour en savoir plus sur les huit Leçons de Jean Jouzel et Hervé Le Treut et y participer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

L’Institut de France (l’Académie des sciences, l’Académie française et France Mémoire), l’Institut Pasteur, l’Académie de médecine, l’Académie d’agriculture, l’Académie vétérinaire, l'École Normale Supérieure - PSL, la Fondation La main à la pâte ainsi que l’Institut Pasteur de Lille et l’Université de Strasbourg s’associent en 2022 pour commémorer les 200 ans de la naissance de Louis Pasteur, figure majeure du progrès scientifique et de la Troisième République.

En savoir plus : https://www.institutdefrance.fr/actualites/2022-lannee-du-bicentenaire-d...

A cette occasion, notre Compagnie fera mémoire des travaux de son "illustre membre" (élu en son sein en 1872) :

  • sur "les sols avec ses équipes ukrainiennes", le 16 mars 2022; 
  • en faveur de "l'agriculture, l'alimentation et industries alimentaires", le 14 décembre 2022; 
  • ayant eu des implications sur le concept de "Santé globale", le 15 décembre 2022.

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Plus d'informations sur ces événements prochainement disponibles ici : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/agenda

La nouvelle édition de ce colloque, désormais organisé chaque année par le Compagnie, aura pour thème : "Gaz à effet de serre - Les solutions apportées par l'agriculture".

Au programme : 

  • Une première partie "Eclairages" de 10h00 à 12h30 avec plusieurs interventions scientifiques ;
  • Une deuxième partie "Témoignages" de 14h15 à 16h45 avec deux tables rondes intitulées : "Comment recoupler agriculture et élevage pour lutter efficacement contre l’émission des GES ?" et : "Quelle rémunération pour le carbone que pourraient stocker les exploitations agricoles ?".

Rendez-vous physique (si les conditions sanitaires du moment le permettent) et en visioconférence est donné le 9 février 2022.

Pour en savoir plus sur le programme du colloque "Etat de l'agriculture 2022" et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

La date limite pour ce faire est fixée au 3 janvier 2022.

Une dotation de 5000 € récompensera le ou la meilleur·e candidat·e sélectionné·e par le jury, et deux dotations de 1000 € primeront les deux autres.

Le prix lancé par la Fondation Terre Solidaire vise à "récompenser des travaux de thèse, tous secteurs disciplinaires confondus, participant à améliorer les réflexions, réalisations et solutions des acteurs concernés par la mise en œuvre d'une transition écologique juste et solidaire en France". La Fondation Terre Solidaire veut particulièrement encourager de récents docteurs diplômés depuis 2018, ayant réalisé leur thèse en partenariat avec des acteurs (en particulier parmi les mouvements sociaux, associations citoyennes, syndicats, organisations de l'économie sociale et solidaire, collectivités, et organismes publics) ou ayant fait l'effort de dégager des enseignements pour l'action à partir de leurs travaux doctoraux. Ceux-ci doivent avoir traité d'enjeux relatifs aux transformations écologiques et climatiques, dans le contexte français, et contribuer à la concrétisation des objectifs de justice et de solidarité, par exemple par une attention aux situations d'inégalités ou de dilemmes techniques et sociaux relatifs à des innovations, ou encore en interrogeant la pertinence sociétale de solutions ou stratégies d'adaptation proposées en réponse aux dérèglements environnementaux ou climatiques".

Pour en savoir plus sur le "Prix de thèse de la transition écologique juste et solidaire" et y candidater, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce cycle de conférences organisé par Agreenium, VetAgro Sup et Bertrand Valiorgue (Professeur de stratégie et gouvernance des entreprises) est titré : "Refonder l’agriculture à l’heure de l’Anthropocène : Les acteurs de la transition".

Il est à destination des étudiants, enseignants, professionnels de l’agriculture, agents des services de l’Etat ou des régions, grand public averti.

Au programme :

  • Le 18 janvier 2022 : Comment reconfigurer une filière dans la perspective de l’agriculture régénératrice ? 
  • Le 25 janvier 2022 : Reconnecter l’agriculture et l’alimentation sur un territoire : jusqu’où aller à l’heure de l’Anthropocène ? 
  • Le 1er février 2022 : Comment mettre en place la comptabilité environnementale dans l’entreprise agricole ?
  • Le 8 février 2022 : Les collectifs agricoles peuvent-ils répondre au développement d’une agriculture régénératrice ?
  • Le 15 février 2022 : Le numérique peut-il sauver la biodiversité ?
  • Le 22 février 2022 : Comment dépasser le verrouillage sociotechnique pour une agriculture d’adaptation et d’atténuation du changement climatique ? 

Pour en savoir plus sur les conférences du cycle de "Webinaires Agriculture et Anthropocène" et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien est décidemment un "gros contributeur" de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France !

Sa nouvelle contribution (QS 10.02.Q05) a pour titre : "Les grands courants d'échanges agricoles mondiaux"

Voici ce qu'André Neveu propose d'en retenir : 

  • Pratiquement la moitié de la planète contribue à nourrir l'autre moitié.
  • Quoi qu'on puisse penser des imperfections du commerce international, alors qu'il y a toujours 800 millions de personnes souffrant de la faim, celui-ci a permis d'éviter les famines si fréquentes autrefois et de réduire les pénuries les plus criantes.
  • Il est donc essentiel que le fragile équilibre entre l'offre et la demande continue d'être assuré dans l'avenir, et il serait risqué que des alarmes environnementalistes réduisent drastiquement les capacités productrices de certaines grandes régions, en particulier de l'Europe.

Pour lire la 11e "Question sur..." rédigée par André Neveu, cliquer sur le lien Internet ci-dessous : 

La fiche pédagogique (06.02.Q06) est titrée : "Optimiser la fixation de CO2 par la biologie de synthèse".

Son auteur, l'Académicien François Képès, nous propose d'en retenir les points saillants suivants :

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"Les approches novatrices à la fixation autotrophique du CO2 ne font actuellement qu'effleurer le monde Vivant, généralement celui des microorganismes.

Une fois ces approches portées vers les plantes et algues, resteront encore à valider des solutions appropriées au champ, pour lequel d'autres facteurs environnementaux viennent limiter la production de biomasse.

Un compromis se dessine entre solutions basées ou non sur le Vivant, compromis qui évoluera avec les progrès techniques".

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Pour lire la "Question sur..." n°06.02.Q06, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Le Prix de thèse de la Société nationale d’horticulture de France (SNHF) distingue un travail de thèse de doctorat ayant produit des résultats scientifiques innovants, susceptibles de développements pratiques au bénéfice de l’horticulture au sens large (ornementale, légumière et fruitière).

Ce prix est doté d’un montant total de 3000 €. Un thème particulier est affiché chaque année, correspondant au sujet du colloque du conseil scientifique de la société pour cette année-là.

Il est remis lors du colloque scientifique de la SNHF.

Pour concourir, il suffit d’avoir soutenu avec succès une thèse sur le sujet correspondant au thème affiché par la SNHF dans les deux années calendaires précédant le colloque. Pour 2022, le thème retenu est : “La relation entre la plante et l’eau”.

Le dossier de candidature doit être envoyé par la poste en recommandé avec accusé de réception avant le 1 mars 2022 à minuit.

Pour en savoir plus sur le Prix de thèse de la SNHF et y concourir, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'article révisé est intitulé : "Biologie de synthèse et agronomie".

Son auteur, François Képès, membre de l’Académie d’agriculture de France et de l’Académie des Technologies, le résume ainsi :

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"La biologie de synthèse est l'ingénierie rationnelle de la biologie et le fer de lance des biotechnologies. Les biotechnologies entretiennent depuis longtemps de fructueuses interactions avec les travaux d'amélioration et adaptation agronomiques. Dans cette longue cohabitation, ce document se restreint à examiner le potentiel de la biologie de synthèse pour l'agronomie.

Après avoir défini ce domaine récent, il inscrit la production d'énergie ou de composés chimiques industriels dans le contexte de la bio-économie circulaire et de l'usage de la biomasse renouvelable. Ensuite, il fait le tour de quelques projets phares en amélioration animale puis végétale qui puisent dans les concepts et outils de la biologie de synthèse".

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Les "Potentiels de la science pour une agriculture durable" sont les comptes-rendus d'un gropue de réflexion éponyme de l'Académie d'agriculture de France, animé par l'Académicien Jean-Claude Pernollet, qui "se penche sur les capacités de la science à améliorer la production agricole, en se rapportant aussi à la qualité des produits, à leur conservation et à la préservation de l’environnement. Il s’agit de croiser, sans a priori ni exclusive, les acquis cognitifs les plus récents avec les attentes technologiques nécessaires à une agriculture durable".

Pour accéder aux "Potentiels de la science pour une agriculture durable", cliquer sur le lien Interenet, ci-dessous : 

Elle a pour titre : "Des cristaux d’Auguste Laurent et des techniques d’analyse optique de Jean-Baptiste Biot furent directement à l’origine de la découverte de la chiralité par Louis Pasteur".

Hervé This, membre de l'Académie d'agriculture de France, qui l'a rédigée, la résume ainsi :

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"L'histoire de la séparation de deux des acides tartriques par Louis Pasteur est compliquée, parce que les noms des composés discutés ont changé au cours du temps, les notions de « molécule » et d’« atome » n’étaient pas, au 19e siècle, celles que nous avons aujourd’hui, les textes historiques sont nombreux et parfois contradictoires, comme on le verra ici par des exemples choisis, et nombre de commentaires des travaux pastoriens ont été hagiographiques ou nationalistes, dès le vivant de Pasteur, propageant donc des informations erronées. Dans cet article, on établit notamment que, contrairement à une idée répandue, la séparation des deux types de cristaux de tartrates présents dans les mélanges racémiques n’a pas nécessité d’habileté ou d’acuité visuelle particulièrement remarquables, comme cela a été dit ; en revanche, Pasteur a dû apprendre les techniques de cristallisation, afin de former les gros cristaux (jusqu’à plusieurs centimètres de long) qu’il explorait par des techniques d’analyse optique alors modernes. Pasteur doit surtout être crédité d’opiniâtreté dans ses études de cette question, et son travail s’inscrit dans la longue histoire de l’acide tartrique et des tartrates, au cours de laquelle Jean-Baptiste Biot et Auguste Laurent, notamment, ont joué un rôle primordial, souvent mésestimé. Enfin la reconnaissance des divers acides tartriques et des divers tartrates n’est ni le début, ni la fin de l’histoire de la chiralité.

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Les "Notes Académiques de l'Académie d'agriculture de France" constituent un journal d'information et de formation scientifiques, sous la direction du Secrétaire perpétuel. Sont publiés des articles originaux, des articles d'actualité, des notes de conjoncture, des synthèses, des revues de la littérature, des  rapports, des commentaires critiques d'ouvrage, des opinions, des textes de conférences, des lettres à la rédaction... Le journal est piloté par un comité éditorial restreint et un comité éditorial élargi, comprenant un représentant de chaque section. Chacun des écrits est évalué en double anonymat jusqu'à la publication et éventuellement après celle-ci.

Pour accéder à la Note académique : "Des cristaux d’Auguste Laurent et des techniques d’analyse optique de Jean-Baptiste Biot furent directement à l’origine de la découverte de la chiralité par Louis Pasteur", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

L'Académicien, Directeur de recherche émérite du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), l'a donnée, via Zoom, le 24 Novembre 2021 dans le cadre des séminaires "Qui fait quoi dans la Section Sciences de la vie " de l'Académie d'agriculture de France.

Intitulée : "Séries temporelles marines : messages scientifiques, environnementaux et sociétaux", elle a notamment été l'occasion pour Serge Poulet d'expliquer les conséquences du réchauffement climatique sur les océans. 

Une conférence richement documentée absolument passionnante, mais hélas un peu angoissante quant à l'état de notre planète !

Pour revoir en vidéo la conférence de Serge Poulet, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Pour accéder aux supports de communication de cette conférence, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

La première a pour titre : "Evolution de la collecte des bidons vides de produits d’hygiène de l’élevage laitier (France 2011-2020)".

Voici ce qu'il faut en retenir :

"Durant longtemps, les recommandations officielles pour éliminer les emballages plastiques vides utilisés en agriculture préconisaient leur incinération à la ferme. A la fin des années 1990, une filière plus vertueuse a été créée en France. Elle s’est attachée successivement à la récupération de différentes catégories de contenants.


Un programme de collecte a été mis en place en 2010 par la société A.D.I.VALOR et l’organisme Solution Emballages Produits d’Hygiène (SEPH) en direction des emballages en fin de vie des produits utilisés dans l’élevage laitier. Pour l’essentiel, ils avaient contenu des produits destinés à assurer l’hygiène de la mamelle et surtout, des désinfectants utilisés pour nettoyer le matériel de traite. La profession et l’interprofession laitière (CNIEL) se sont résolument impliquées dans la mise en œuvre de cette action. Depuis lors, les volumes collectés sont en progression constante. En 2020, ils dépassent 80% des emballages commercialisés, soit plus de 1000 tonnes, dont 97% recyclées.

Cette action est appelée à se poursuivre car le recyclage des déchets est un axe fort de la Charte des bonnes pratiques d’élevage à laquelle adhèrent la plupart des éleveurs laitiers, représentant 49 000 élevages bovins laitiers et 97% du lait produit en France".

Accéder à la fiche :

https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/reperes/03...

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La seconde a pour titre : "Evolution de la collecte des emballages vides de produits phytopharmaceutiques (France 2001-2020)".

Voici ce qu'il faut en retenir :

"Durant longtemps, les recommandations officielles pour l’élimination des emballages plastiques vides utilisés en agriculture préconisaient l’incinération à la ferme. Cette recommandation incluait les emballages ayant contenu des produits phytopharmaceutiques. Une filière plus vertueuse a été créée à la fin des années 1990 pour organiser leur élimination contrôlée. Initiée par les industriels et la distribution avec le soutien des organisations agricoles et de l’Etat, elle était alors unique en Europe.


Après plus de vingt années d’exercice, cette filière de récupération a fait la preuve de son efficacité. Elle est actuellement pilotée au niveau national par A.D.I.VALOR en coopération avec COVADA.


En 2020, on estime que 85% des contenants mis en marché ont été regroupés et récupérés. Leur valorisation s’est faite à 80% par recyclage, le reste étant pour l’essentiel utilisé pour la production d’énergie."

Accéder à la fiche :

https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/reperes/09...

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L'Encyclopédie en ligne de l'académie d'agriculture de France est riche à ce jour de :

- 165 fiches "Question sur..." (sous forme de textes, des fiches techniques et scientifiques, traitant chacune d'un sujet précis),
- 106 fiches "Forêt & Bois" (sous forme de textes, des fiches techniques et scientifiques, traitant chacune d'un sujet forêt, bois),
- 57 fiches "Repère" (des fiches pédagogiques et ultra-synthétiques : un graphique, une explication-commentaire et une bibliographie),
- 10 "Vidéo-capsules" (des vidéos courtes et synthétiques, présentées par un membre de l'Académie).

Accéder au catalogue de l'Encyclopédie :

https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie

Vous êtes jeune docteur-e, en passe de le devenir ou sous contrat post-doctoral ? Vous êtes un-e jeune chercheur-se fier-e de vos travaux de recherche et vous pensez qu’une partie de vos résultats pourrait avoir un impact dans la société ? Vous songez à créer une startup autour de ces résultats ?

PULSALYS, l’incubateur et accélérateur d’innovations Deep Tech de Lyon Saint-Etienne, avec le soutien de la Région AURA, lance une nouvelle édition du Programme Jeunes Chercheurs spécial startup !

  • Son objectif : vous permettre de transformer les résultats obtenus dans le cadre de votre thèse ou de votre post-doctorat en une startup Deep Tech !
  • Son enjeu : Développer une startup issue de votre travail de recherche en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé.

Pour être éligible, vous devez :

  • Avoir soutenu une thèse de doctorat en 2019, 2020 ou 2021 à Lyon et Saint-Etienne, ou avoir une date de soutenance prévue en 2021 OU être sous contrat post-doctoral dans un établissement de Lyon et Saint-Etienne ;
  • Avoir un projet de développement d’un produit ou service innovant pouvant être transféré à une future startup en lien avec les résultats de recherche produits dans un établissement de Lyon et Saint-Etienne ;
  • Avoir le soutien du laboratoire dans lequel les travaux ont été menés ;
  • Avoir obtenu des résultats libres de droit, permettant un investissement par PULSALYS.

Pour participer au Programme Jeunes Chercheurs spécial startup, remplir le dossier de candidature ci-dessos (au choix en français ou en anglais et l’envoyer avant le 15 octobre à 12h à l’adresse aap@pulsalys.fr

Pour découvrir les témoignages des ancien-nes lauréat-e-s du Programme Jeunes Chercheurs sur Youtube, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Cette fiche pédagogique n° 08.01.Q17 est intitulée : "Comment la cuisson transforme-t-elle les aliments ?"

Son auteur, Hervé This, y rappelle tout d'abord que : "la cuisson des aliments est une opération typiquement humaine, qui a plusieurs fonctions" :

  1. Détruire les micro-organismes pathogènes de la surface, ainsi que les parasites de l'intérieur.
  2. Modifier la consistance, facilitant la mastication, donc la digestion : cette fonction était plus importante par le passé quand on ne savait pas soigner les dents, mais elle le reste pour nombre de personnes âgées.
  3. Engendrer des composés nouveaux, odorants ou sapides (qui sont même appréciés par d'autres êtres vivants que l'espèce humaine, tels les chats, les chiens ou les singes).
  4. Et souvent, augmenter la bio-activité des nutriments, c'est-à-dire la possibilité que les molécules des nutriments soient libérées par les matrices alimentaires, donc qu'une quantité supérieure soit facilement absorbable ; un cas particulièrement net est celui du bêta-carotène (provitamine A), presque deux fois plus biodisponible dans les carottes cuites que dans les carottes crues.

L'Académicien y explique, ensuite, ce que sont les "transferts de chaleur" et quels sont les "effets de la cuisson sur les aliments".

Et au final, il propose aux lecteurs de la 160e "Questions sur..." de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France de retenir que :

  • La cuisson des aliments, souvent assurée par des transferts thermiques, a été essentielle dans le développement de l'espèce humaine, et elle est la clé de la bonne assimilation des aliments.
  • Elle s'accompagne de modifications de la structure physique des ingrédients traités thermiquement, ainsi que de transformations moléculaires des composés présents dans les ingrédients, transformations souvent utiles pour la nutrition.

​Pour accéder à la "Question sur..." intitulée : "Comment la cuisson transforme-t-elle les aliments ?", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La tabaculture française va-t-elle disparaître ? Cette culture historique, caractérisée par un savoir-faire agronomique et la mise en œuvre des dernières avancées technologiques pour répondre aux hautes exigences environnementales, s’inscrit dans la modernité avec de nouveaux débouchés innovants: bioproduits thérapeutiques pour l’homme, alimentaires pour l’animal ou de la chimie verte pour la transition énergétique. Elle répond ainsi aux préoccupations actuelles alors que se développent de nouvelles approches pour limiter la nocivité de la consommation du tabac incandescent.

Pourquoi ce déclin?

Des membres de l’Académie d’agriculture de France, interpellés par cette situation, se sont penchés (sous la direction éditoriale de leur consoeur Catherine Regnault-Roger et en leur nom propre) sur le sujet pour en examiner les causes et dresser un état des lieux afin d’informer de l’atteinte d’un point critique tous ceux qui s’intéressent à travers la préservation des cultures patrimoniales, à l’agro-indépendance et à la biodiversité des paysages.

Ils ont ainsi engagé un dialogue avec les professionnels de la filière tabacole. Ce livre, fruit de ces échanges, rassemble les témoignages et les réflexions d’acteurs de terrain et du monde académique. Il dresse, en toute liberté, le tableau sans complaisance de la situation actuelle.

La culture du tabac se meurt en France ? Ne regardons pas ailleurs.

Pour en savoir plus sur l'ouvrage et le commander (tarif promotionnel à 20€ au lieu de 25€ jusqu'au 30 septembre 2021), cliquer sur ce lien Internet, ci-dessous : 

Abigail Fields séjourne actuellement à Paris pour faire des recherches dans le cadre de la rédaction de sa thèse provisoirement intitulée "The Literary Field: Agriculture, Identity and the Environmental Imagination in the Nineteenth-Century Novel".

Son travail consiste en "une analyse de la représentation de la terre, du paysan, et du travail agricole dans la littérature française du 19e siècle".

Les recherches d’Abigail s’appuient sur les travaux des grands écrivains : Hugo, Balzac, Sand, Flaubert, Zola et sur tous documents donnant une perspective sur la réalité de l'agriculture française entre 1830 et 1870.

Nul doute que la jeune américaine trouvera des informations importantes pour sa thèse dans les ouvrages de notre riche fonds documentaire !

Pour en savoir plus sur le fonds documentaire de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette première Journée de l’Innovation Agricole est organisée par la Ferme expérimentale de Grignon (Yvelines) - le domaine d'application de l'enseignement et de la recherche pour AgroParisTech; en partenariat avec CORTEVA et le groupe IN VIVO et, en collaboration avec l'Académie d'agriculture de France.

Elle se déroulera le mardi 21 Septembre 2021 de 09h00 à 18h00

Trois pôles majeurs seront représentés lors de cette journée essentiellement basée sur la démonstration : Elevage, Productions Végétales et Energies.

"Chaque acteur de l’innovation souhaitant exposer lors de cette journée pourra y mettre en pratique son innovation".

Le public attendu sera essentiellement composé d’agriculteurs et de prescripteurs des innovations agricoles.

Pour en savoir plus sur la 1ère Journée de l'Innovation Agricole et venir y exposer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Tout d'abord, la Compagnie a accordé son parrainage à ce Colloque organisé à Paris, le 10 novembre 2021, par la Fondation de la Maison de la Chimie.

Ensuite, plusieurs de ses membres font partie du comité d'organisation et/ou sont au nombre des intervenants.

Pourquoi un colloque sur une telle thématique ?

Bernard Bigot, Président de la Fondation internationale de la Maison de la Chimie et Directeur général de l’Organisation internationale ITER, répond : 

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"Les relations actuelles entre Agriculture, Chimie et attentes de la Société sont loin d’être simples, comme l’illustrent les prises de positions publiques récentes de certains. Pourtant, des relations sereines entre ces trois acteurs sont indispensables, ainsi que ce fut longtemps le cas.

Par exemple, la synergie entre l’agronomie scientifique et la chimie a permis au 20e siècle la découverte des fondements de l’alimentation des plantes et de la lutte contre les bio-agressions, si utiles à la production agricole et aux consommateurs.

Au 21e siècle, face aux besoins planétaires en termes d’alimentation et d’environnement, l’urgence est de développer une Agriculture raisonnée qui limite son impact sur les sols, l’eau et l’air, qui préserve la biodiversité et qui consomme le minimum d’énergie envisageable.

Pour produire mieux et plus, il faut développer la recherche et l’innovation technologique. La Chimie a sa place dans cette stratégie avec la conception de nouveaux produits en étroite liaison avec la biologie et l’écologie, et en fonction d’évaluations complètes et intégrées de leurs effets.

Le citoyen et le consommateur souhaitent que les innovations de la chimie contribuent à une amélioration de l’alimentation proposée et de la protection des plantes. Ces enjeux majeurs reposent sur une coopération transdisciplinaire accrue.

Des exemples de cette coopération vous seront présentés par des experts scientifiques, universitaires ou industriels, dans les principaux thèmes actuels de la recherche agronomique et agroécologique".

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Ce colloque est ouvert à un large public avec une attention particulière aux lycéens et à leurs enseignants.

Le "niveau des interventions se veut accessible à tous pour permettre un large débat".

Pour en savoir plus sur le colloque "Chimie et agriculture durable : Un partenariat en constante évolution scientifique" et s'y incrire, télécharger le fichier PDF ou cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien (membre de la Section "Productions végétales"), expert national "Grandes cultures & Biotechnologies végétales" au ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, constate, en effet, "une présence avérée de Rouille noire du blé dans de nombreuses régions de France métropolitaine (Centre-Val de Loire, Île-de-France, Bourgogne ou encore Hauts-de-France), certes anecdotique et sans épidémie mais avec une fréquence jamais observée depuis plusieurs décades". Ces remontées, précise-t-il, "font écho à un premier signalement dans le Sud-Ouest (Gers) début juin et des observations ponctuelles, au moins depuis 2017". 

Face à ce constat, Marc Délos renvoie les professionnels concernés à la séance hebdomadaire de l'Académie d'agriculture de France sur les rouilles des céréales.

Cliquer ici, pour y accéder : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/academie/...

Concernant l'Ergot du seigle, l'Académicien alerte : "dans le cadre de sa politique de haute protection de la santé du consommateur, la Commission Européenne a voté le 15 avril 2021 la révision du règlement européen 1881/2006 concernant les teneurs maximales de certaines céréales brutes en sclérotes d’ergot. Le règlement ainsi révisé entrera en vigueur le 1er janvier 2022, donc concernera la récolte 2021. Avant le 1er janvier 2022, la teneur maximale réglementaire en ergot est de 0.5 g/kg pour toutes les céréales à la récolte, excepté pour le maïs et le riz (non réglementés car non concernés). Cette évolution conduit à un abaissement de la teneur maximale réglementaire pour les sclérotes d’ergot dans les grains pour presque toutes les céréales à paille, décalé pour le seigle car plus difficile à tenir. Sur produit transformés, non réglementés jusqu’ici, ce nouveau règlement prévoit de surcroît, des teneurs maximales réglementaires pour les alcaloïdes de l’ergot".

Marc Délos estime que cette information doit inciter les professionnels concerné à (ré)écouter la séance hebdomadaire de l'Académie d'agriculture de France sur les contaminants naturels des végétaux, sachant que les valeurs seuils pour l'ergot vont être abaissées par rapport à ce qui avait été présenté à l'époque.

Cliquer ici, pour y accéder : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/academie/...

Il les invite également à lire l'article "Contaminants naturels des végétaux" publié dans les Potentiels de la science pour une agriculture durable de l'Académie d'agriculture de France (rubrique : Futur et sécurité de l'alimentation humaine).

Cliquer ici pour accéder aux Potentiels de la science pour une agriculture durable : https://www.academie-agriculture.fr/academie/groupes-de-travail/potentie...           

Marc Délos a apporté des précisions supplémentaires sur la Rouille noire du blé et sur l'Ergot du seigle, qui justifient la vigilance à laquelle il appelle, ci-dessus, les professionnels.

Pour accéder à ces précisions, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

L’ouvrage sera mis en vente le 28 octobre 2021. Son prix en librairie sera de 42 €.

Une précommande spéciale entreprises ou associations est proposée par les Éditions Paulsen (https://www.editionspaulsen.com/au prix de 33.60 € TTC (soit une remise de 20%).

Les souscripteurs, ayant contribué pour un minimum de 50 €, lors de l'opération de Crowdfunding financement participatif) lancée il y a quelques temps via la plateforme Blue bees, recevront l’ouvrage gracieusement.

Les membres de l'Académie d'agriculture de France, pourront quant à eux, précommander l'ouvrage auprès du Secrétariat de l'Académie et venir le chercher au 18, rue de Bellechasse à Paris. 

Dans l'ouvrage : "Les raisins de Pierre-Joseph Redouté : Des aquarelles pour l’avenir de la vigne ", quatre-vingt-trois aquarelles sur vélin de variétés de vignes, retrouvées à l’Académie d’agriculture de France, sont publiées pour la première fois, accompagnées d’un texte explicatif de Jean-Michel Boursiquot, considéré comme le plus grand spécialiste actuel en ampélographie.

Ces planches ont une valeur patrimoniale inestimable. Elles ont été réalisées par les plus fameux illustrateurs botaniques de l’époque, au premier rang desquels Pierre-Joseph Redouté et marquent une date hautement symbolique dans l’histoire de la viticulture française : les prémices de l’ampélographie.

À l’heure du regain d’intérêt pour les cépages autochtones et des nombreuses interrogations que posent le réchauffement climatique, les vélins témoignent de la diversité passée dans un pays où 95 % de la production vinicole reposent aujourd’hui sur 40 variétés.
Au-delà de la reproduction de ces planches, c’est l’histoire du vin et de la vigne qui nous est racontée, ou comment on s’est inquiété de la qualité du vin dès le XIXe siècle.

L’ouvrage se conclut par un éclairage scientifique sur l’avenir de la vigne au XXIe siècle.

Pour feuilleter EN AVANT-PREMIERE la maquette de l’ouvrage, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Pour accéder au bon de précommande spécial entreprises et associations, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

Les trois projets lauréats divulgués par l'Académicien, Président du jury concours, à l'issue des pitches des équipes finalistes; sont les suivants :

1) Inform’élevage (équipe ECAM Lyon/UniLaSalle/CPE)

Inform'élevage est une solution numérique innovante au service des éleveurs français. Sous la forme d'un logiciel conversationnel, cet outil permet d'obtenir rapidement des informations fiables sur les maladies qui touchent les cheptels. Après avoir posé des questions simples à l'éleveur sur les symptômes de son animal, Inform'élevage présente les maladies probables, un guide des bonnes pratiques et les traitements correspondants.

2) Circul’Egg (équipe AgroParisTech)

Circul’Egg développe un procédé innovant permettant d’obtenir une poudre de carbonate de calcium et une poudre de membrane coquillière à partir de coquilles d’œufs. Ces produits seront utilisés en tant que nouvelles matières premières pour l’alimentation des animaux, la composition de compléments alimentaires et le secteur de la cosmétique

3) Tou’roule (équipe Bordeaux Science Agro)

Tou’roule est un outil connecté pour augmenter la sécurité des agriculteurs à proximité des machines. Il est composé d’un boîtier placé sur l’utilisateur (à sa portée immédiate) et de plusieurs récepteurs pouvant stopper les machines appareillées si un danger est détecté (de manière automatique ou manuelle).

Revoir l'annonce des résultats : https://www.youtube.com/watch?v=14Oa0d2kMUE

Plus d'information sur la palmarès : https://makeitagri.org/laureats-2021/

En savoir plus sur le concours : https://makeitagri.org/

 

La fiche pédagogique n°03.02.Q02 traite de : "L'identification des équidés". Ses auteurs, les Académiciens Jean-Michel Besancenot et Emmanuel Rossier, nous y proposent de retenir que :

"Tout équidé présent sur le territoire français doit être identifié, puis enregistré au Système d'information relatif aux équidés (SIRE), et être porteur d'un transpondeur électronique implanté dans l'encolure. Cette identification comporte une puce, un relevé des caractéristiques, un numéro SIRE unique, enfin l'établissement d'un document d'identification et d'une carte d'immatriculation. L'identification concerne en France 1 060 000 équidés (2016) répartis pour 67 % en chevaux (selle, courses, trait), 24 % en poneys et 9 % en population asine".

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Les fiches pédagogiques n°04.01.Q07 et n°04.01.Q08 ont été écrites par Magali Watteaux, maîtresse de conférences en archéologie et histoire médiévales. Elles ont pour titre : "La carte archéogéographique, outil d'analyse des héritages de l'écoumène (parties 1 et 2)". Elles nous expliquent que : 

"Le principe de la carte archéogéographique – ou carte compilée – repose sur la compilation – sur un même fond géographique de référence – d'un ensemble de données et informations diverses (géographiques, géomorphologiques, archéologiques, historiques, écologiques, etc.), relevées sur la documentation planimétrique récente et ancienne, ainsi que dans les bases de données archéologiques. L'objectif est de permettre l'analyse des cohérences morphologiques visibles dans la planimétrie héritée, et de faire interagir les héritages de toutes sortes. Ces cartes permettent – outre la connaissance historique des espaces anciens – de développer une expertise au service des politiques d'aménagement et d'urbanisme, au service de la gestion des risques (ex. inondations), de la valorisation culturelle et touristique des territoires (ex. pour asseoir un dossier de zonage historique remarquable) et de la gestion du patrimoine archéologique).

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La fiche pédagogique n°04.01.Q09, titrée : "Cartographie digitale des sols : entre archéologie, agriculture et aménagement du territoire", est signée Michel Dabas. L'expert du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) y écrit que :

"Basée sur les travaux de détection et cartographie des structures enfouies en archéologie, la cartographie des sols – par des moyens géophysiques (essentiellement la résistivité électrique )– a pu être appliquée à l’agriculture. Cette couche d’information, stable dans le temps et croisée avec des analyses physiques et chimiques ciblées, sert aux modèles de préconisation agronomique. L’intérêt de ces cartes dépasse maintenant l’agronomie, et s'étend à l’hydrogéologie et à l’aménagement du territoire. Les Systèmes d’Information Géographique (SIG) permettent de stocker, croiser et diffuser ces informations.
 

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La cinquième fiche pédagogique porte le n°10.04.Q0. Elle a pour titre : "Changement climatique et production de blé aux États-Unis". Son rédacteur, Jean-Paul Charvet, membre de l'Académie d'Agriculture de France, nous permet de comprendre que :

"Compte-tenu d'une localisation géographique qui la rend plus sensible que d'autres cultures céréalières aux changements climatiques, la production de blé des États-Unis demeure irrégulière ; et n'augmente plus guère, alors que la demande mondiale de cette céréale – qui constitue une des principales bases de l'alimentation des Hommes – demeure toujours croissante."

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Pour accéder aux cinq nouvelles "Questions sur..." de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce palmarès a été dévoilé hier soir, lors de la cérémonie officielle de remise des prix du concours "Parcours Métiers - Je filme le métier qui me plait", diffusée sur les Réseaux sociaux après avoir été enregistrée (sans public, Covid19 oblige) à l'avance au Grand Rex de Paris.

Il est le suivant :

  • Clap d'Or

"Apophyse" du Lycée d’enseignement général, technologique et professionnel agricole de la Lozère (18)

  • Claps d'Argent

"White Gold Farmer" du Lycée professionnel Atlantique (17)

"La formidable histoire d’un ethnobotaniste " du collège La Canopée (97)

FELICITATIONS AUX JEUNES LAUREATS !

Sous le haut patronage du Ministère de l’Éducation Nationale, de la Jeunesse, et des Sports, du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et du Ministère du Travail, parrainé par des noms prestigieux, soutenu par des partenaires économiques engagés, JE FILME LE MÉTIER QUI ME PLAÎT est une occasion unique pour les élèves de découvrir le monde professionnel, de s’approprier des codes, des savoir-faire et savoir-être spécifiques aux différents métiers, et pourquoi pas de découvrir leurs propres talents et leur voie.

L'Académie d'agriculture de France participe activement au jury de ce concours.

Pour voir les vidéos primées (et les autres), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur le travail du jury de la section "Agriculture et territoires" en 2021, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

C'est, en tous les cas, l'objectif des travaux sur la "Lutte biologique contre la gale du collet chez la vigne", que mène Huu-Trong N'Guyen à l'Université de Reims, Champagne-Ardenne. 

L'étudiant en a fait l'époustouflante démonstration lors de la finale territoriale du concours "Ma Thèse en 180 secondes", au cours de laquelle il a décroché le 1er prix du jury.

Pour voir la prestation de l'étudiant, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

La Compagnie avait soutenu, en son temps, la volonté des professionnels concernés de créer un tel évènement, permettant une visibilté accrue de l'agriculture aux yeux du public.

Elle se devait de montrer l'exemple !

L'Académie d'agriculture de France ouvrira donc ses portes les 18 et 19 juin prochains.

Des groupes de 30 personnes seront accueillis en salle des séances, 4 fois par jour : 10h, 12h, 14h et 15h.

Nos invités se verront offert le programme suivant :

  • Connaissance des activités de la Compagnie;
  • Présentation d'ouvrages écrits par des Académiciens;
  • Visionnage de vidéos réalisées au sein de la Compagnie;
  • Réponses aux questions sur l'Agriculture, l'Alimentation dans un contexte de Développement durable.

L'Académie d'agriculture de France rejoint ainsi les 1.500 à 2.000 lieux qui ouvriront leurs portes au public, en juin prochain (du 18 au 20), pour accueillir entre 300.000 et 400.000 visiteurs, quel que soit son âge, pour les inviter à des rencontres, des démonstrations, des dégustations et des ventes directes de produits, des expositions, des visites guidées et des ateliers pédagogiques, reflétant ainsi l’ensemble des activités liées au monde agricole.

La journée du vendredi sera plus particulièrement dédiée aux scolaires et le week-end au grand public.

Pour en savoir plus sur les Journées nationales de l'Agriculture des 18,19 et 20 juin 2021, et en découvrir le programme complet..., cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Son thème : "Les plantes des milieux tropicaux"

Cette nouvelle Web-série est tournée dans les magnifiques Serres du Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN).

Un épisode sort toute les deux semaines, le dimanche.

L’épisode 3 a été mis en ligne hier. Il est titré  : "D’air et d’eau fraîche"... Une occasion de mieux comprendre ce que sont les "plantes épiphytes" !

Pour visionner cette Web-série, et tout particulièrement l'épisode 3, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce prix de l’Association des chimistes, ingénieurs et cadres des industries agricoles et alimentaires (Acia) a été créé par le Professeur Marcel Loncin (1920-1994), Professeur à l’université de Karlsruhe (Allemagne) et à AgroParisTech-Massy, consultant industriel, et auteur de l’ouvrage "Génie Industriel Alimentaire", un expert internationalement reconnu.

D'un montant de 2.500€, il est destiné à "récompenser un travail innovant réalisé par un-e jeune scientifique (ingénieur-e, universitaire ou docteur-e) du secteur public ou privé dans le domaine des industries alimentaires, des biotransformations, ou de la chimie verte".

Le prix est ouvert aux candidats remplissant les conditions suivantes :

  • être membre, rattaché ou diplômé d’un organisme formant des cadres ou des chercheurs pour les industries alimentaires et connexes.
  • avoir moins de 35 ans au 1er janvier de l'année de remise du prix,
  • avoir développé dans le domaine des industries alimentaires, des biotransformations, de la chimie verte, une activité scientifique ou technologique innovante, attestée par dépôt de brevet, thèse, publication ou tout autre document.

Les dossiers de candidature au Prix 2021 doivent être retournés avant le 1er décembre 2021.

Pour candidater, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

L’Ecole, implantée à Toulouse (Haute-Garonne) forme des étudiants en Sciences du vivant, Agriculture, Agroalimentaire, Marketing et Management (En savoir plus : https://ww.purpan.fr/).

Le Bureau des élèves avait souhaité que l'Académicien, qui anime le groupe "Relations Académie/Enseignement supérieur agronomique" au sein de la Compagnie (En savoir plus : https://www.academie-agriculture.fr/academie/groupes-de-travail/relation...), fasse un exposé sur le thème "Covid-19 et agriculture".

Un thème que Michel Dron, connait particulièrement bien puisqu'il a animé un Forum sur le sujet au sein de l'Académie d'agriculture de France et a codirigé l'ouvrage collectif qui en a repris les conclusions (Accéder à la présentaion de l'ouvrage : .https://www.academie-agriculture.fr/publications/les-academiciens-ecrive...).

Pour prendre connaisance de la trame de l'intervention de Michel Dron devant des étudiants de l'Ecole d’ingénieurs de Purpan, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Ce cours, dispensé par l'Académicien (membre de la Section "Sciences de la vie"), est intitulé : "La biodiversité et les écosystèmes à travers le temps et l'espace".

Son confrère Dominique Job, membre de la même section, déclare: "Je recommande vivement d'écouter ce cours. Chris y parle notamment de l'utilisation de la biodiversité naturelle pour lutter contre le changement climatique, mais également de l'évolution assistée des espèces, notamment les coraux (un peu comme les microbiologistes créent/sélectionnent de nouveaux microorganismes par évolution moléculaire dirigée). Et bien d'autres choses encore pour imaginer comment la science et la technologie pourraient permettre de lutter contre le changement climatique sans devoir retourner à l'âge de pierre".

Pour assister, en replay, au cours de Chris Bowler, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien a préparé cette série de "courtes capsules" pour le Muséum national d'Histoire naturelle (MNHN) de Paris, avec la caméra et le montage de Frédéric Dubos.

Elles sont "axées sur les plantes des milieux tropicaux et secs", grâce à des tournages aux Serres du MNHN.

Le premier épisode, intitulé : "Des feuilles parapluies", vient de sortir. Il donne accès aux serres alors qu’elles sont inaccessibles en ce moment...

Pour visionner le premier épisode de la Web-série "La nature des plantes", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

"Un cours unique sur des enjeux reliés à la qualité de l’eau et de l’environnement", selon l'Académicien (membre de la Section "Interactions milieux-êtres vivants").

Le Massiv Open Online Courses (MOOC) est organisé par l’Université de Montréal (Canada).

Il est accessible à tous et ne nécessite pas de prérequis "mais des connaissances en chimie sont un atout".

Le cours comporte les six modules suivants :

  1. Étudier les contaminants émergents, pourquoi?
  2. Les pesticides
  3. Les produits pharmaceutiques
  4. Les cyanotoxines
  5. Les composés perfluorés
  6. Éléments traces métalliques et terres rares 

À son issue, le participant sera à même de :

  • Définir la notion de contaminants d’intérêt émergent
  • Catégoriser les différentes familles de contaminants émergents
  • Mieux comprendre les nouvelles de pollution environnementale
  • Mieux percevoir les risques et les liens de la réglementation environnementale
  • Développer le sens critique sur les problèmes de contamination

​Ce MOOC, d'une durée de 20 heures, se déroule du 12 mars 2021 au 30 septembre 2021.

Il est dispensé en langue française.

Pour en savoir plus sur le MOOC "contaminants émergents" de l'Université de Montréal et s'y inscrire (avant le 12 septembre 2021), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette séance, organisée par notre confrère membre des deux académies (Agriculture et Technologies), sera consacrée à "La modélisation à l’épreuve des grands événements sanitaires, sociaux et environnementaux".

Elle se tiendra par VisioTeams, le 14 avril 2021, de 14h00 à 16h00.

Au programme de la conférence :

  • 14h00 -14h10 : Introduction par Alain Pavé
  • 14h10 -14h40 : Écotoxicologie - modéliser pour mieux évaluer par Sandrine Charles, professeur à l’Université Claude Bernard Lyon (Laboratoire de biométrie et de biologie évolutive, UMR CNRS 5558)
  • 14h40 -15h10 : Modélisation qualitative vs quantitative : autour de la crise de la Covid19 par Juliette Rouchier, directrice de recherches au CNRS, Université de Paris Dauphine, Laboratoire d’Analyse et de Modélisation d’Aide à la Décision, UMR CNRS 7243
  • 15h10 -15h40 : Modélisation multi-agents de l’effet de la ségrégation du quotidien sur les comportements de santé (modèle collectivement élaboré avec C. Cottineau, J. Perret, R. Reuillon et S. Rey-Coyrehourq) par Julie Vallée, directrice de recherche CNRS (Géographie - Cités UMR 8504) 
  • 15h40 -16h00 : Conclusion par Alain Pavé

Pour en savoir plus sur la séance thématique de l'Académie des technologies consacrée à "La modélisation à l’épreuve des grands événements sanitaires, sociaux et environnementaux" et y participer, télécharger le fichier PDF, ci-dessous : 

L'Académicienne a été entendue le 26 novembre 2020 par cette Mission présidée par le député Richard Ramos.

Revoir l'audition ici : http://videos.assemblee-nationale.fr/video.9967183_5fbf5f065fa75.utilisa...

Dominique Parent-Massin est l'une des membres du groupe de travail de l'Académie d'agriculture de France, présidé par son confrère Gérard Pascal, qui à l'issue de longues réunions a remis un rapport intitulé : "Impacts sur les cancers colorectaux de l’apport d’additifs nitrés (nitrates, nitrites, sel nitrité) dans les charcuteries", accessible ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/publications-academie/a...

Le colloque se tiendra le 10 février 2021 de 14h00 à 17h30, à la Fédération Nationale du Crédit Agricole (48, rue La Boétie - 75008 Paris).

Au programme de ce 3e Opus des Etats de l'agriculture désormais organisés chaque année par l'Académie d'agriculture de France :

14h00 - Exposés introductifs de :

  • Julien Denormandie, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.
  • Jacques Brulhet, Président de l’Académie d’agriculture de France.
  • Jean-Christophe Roubin, Directeur de l’agriculture de Crédit Agricole SA.

14h30 à 16h00 - Trois exposés pour mesurer des enjeux sur le thème : "La sécurité alimentaire en France. La crise COVID-19 rebat-elle les cartes ?" de :

  • Patrick Caron, Administrateur du CGIAR, vice-président de l’Université de Montpellier.
  • Jean-Noël Depeyrot, Agro-économiste au Centre d’Etudes et de Prospective du MAA.
  • Sophie Devienne, Professeur d'Agriculture comparée et développement agricole AgroParisTech.

16h00 à 17h15 - Une table ronde pour comprendre et échanger sur le thème : "Après la crise du COVID-19, quelles stratégies nouvelles pour vos entreprises ?", animée par Jean-Marie Séronie, membre de l’Académie d’agriculture de France, avec l’aimable participation de :

  • Christophe Bonno, Directeur des relations institutionnelles agricoles d’Intermarché - Les Mousquetaires.
  • Christophe Grison, Agriculteur céréalier et maraicher dans les Hauts-de-France.
  • Stéphane Layani, Président du Marché International de Rungis.
  • Jérôme Velin, Directeur achats et logistique d’Elior France.

17h15-17h30 - Conclusion par Constant Lecoeur, Secrétaire perpétuel de l’Académie d’agriculture de France

ATTENTION !

En raison de la pandémie de COVID-19 et au vu des règles sanitaires actuelles, la présence physique des participants sera limitée à 80 personnes. Réservation obligatoire auprès de : contact@academie-agriculture.fr 

Les présentations et la table ronde seront accessibles à distance en se connectant sur : https://ca-fnca.webex.com/ca-fnca/j.php?MTID=mcb29ea23980569318de6286df2... (Capacité de la salle virtuelle limitée à 190 personnes)

Actualisation des informations concernant ce colloque sur le lien Internet, ci-dessous ;

Michel Dron, Secrétaire de la Section "Productions végétales", défend l'idée que "L'avenir de la protection des cultures passera nécessairement par une multitude de méthodes", dans une vidéo diffusée sur la toute nouvelle chaîne YouTube de Végéphyl.

Voir la vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=hEjAJXX3Wt0

Georges-Henri Florentin, Membre de la Section "Forêts et filière bois", présente "L’initiative 2024 de la filière forêt-bois française" dans une vidéo difusée par l'organisation professionnelle

Voir la vidéo : https://franceboisforet.fr/2020/10/21/video-georges-henri-florentin-pres...

Catherine Regnault-Roger, Membre de la Section "Productions végétales",débattra du thème d'actualité : "Biotechnologies d'édition du génome et réglementation européenne", par visioconférence, lors de la Séance de l’Académie nationale de Pharmacie du mercredi 2 décembre 2020. 

Lien ZOOM : https://us02web.zoom.us/j/83664154837?pwd=WVk2cExrUDBTNU56U1hNYVFnN2JMZz09

Le Concours national Make IT Agri, auquel est étroitement liée l’Académie d’agriculture de France, est de retour pour la troisième saison avec l'objectif de favoriser la création d’innovations numériques, robotiques et informatiques pour améliorer les pratiques du champ à l’assiette et accélérer les transitions agricoles et alimentaires.

Le concours s’adresse aux élèves ingénieurs de 2ème et 3ème année, tous secteurs confondus.

Que peut apporter le concours aux élèves ingénieurs ? Les équipes finalistes seront sélectionnées par un jury d’experts qui les accompagnera durant la seconde phase du concours pour la conception de leur prototype, les étudiants pourront développer leur réseau professionnel et auront aussi la possibilité de remporter un prix financier pour continuer à développer leur projet

Le dossier de candidature est à télécharger sur le site Internet : http://makeitagri.org/candidature/ et les équipes ont jusqu’au 15 décembre 2020 pour le retourner complet sur l’adresse mail concours@makeitagri.org.

Les finalistes seront annoncés au début du mois de janvier.

L'Académicien est intervenu, pour ce faire, lors d'un séminaire organisé le 4 novembre 2020 par la Section "Sciences de la vie" de l'Académie d'agriculture de France.

Voici le résumé de son exposé :

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Définir une partition de la diversité en composantes intra- et inter-groupes, on dit aussi alpha et beta, est une question récurrente en écologie et en biologie évolutive. Sur le plan appliqué, la partition de la diversité peut être la base de stratégies d'échantillonnage, de stratégies de conservation ou d'indicateurs. Mais le concept de diversité n'a pas une définition mathématique unique et selon les mesures de diversité et les méthodes de partition utilisées on obtient des partitions très différentes, ce qui peut conduire à des interprétations erronées ou à des décisions malencontreuses si on n'y fait pas attention.

Après avoir brièvement rappelé les travaux généraux de Jost (2007) sur les différents indices de diversité en écologie et la partition en composantes intra- et inter-groupes, je mettrai l'accent sur la décomposition de l'hétérozygotie de Nei (1973) classiquement utilisée pour la gestion des ressources génétiques. On oublie souvent qu'il a été montré que les composantes intra- et inter- qui résultent de la décomposition de Nei ne sont pas indépendantes, ce qui peut conduire à de mauvais usages de cette décomposition et à une forte sous-évaluation de l'importance de la diversité inter-groupes. On montre qu'une approche alternative probabiliste permet d'estimer les contributions intra- et inter- indépendantes à l'hétérozygotie totale et fournit un meilleur guide de décision pour la gestion de la diversité. De façon générale, pour la gestion des ressources génétiques, on recommande d'utiliser une partition probabiliste plutôt que la décomposition de Nei.

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L'exposé de François Lefèvre s'est appuyé sur l'article intitulé : "2020. Partitioning heterozygosity in subdivided populations: some misuses of Nei’s decomposition and an alternative probabilistic approach. Molecular Ecology", qu'il a publié avec son confrère André Gallais (https://doi.org/10.1111/mec.15527).

Pour ré-écouter l'intervention de Francois Lefèvre, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :    

Cette série de webinaires, organisée par la Société nationale d'horticulture de France (SNHF), en partenariat avec Agreenium et l’Académie d’agriculture de France, se déroulera tous les lundis du mois de novembre 2020 de 14h30 à 17h00

Il s'agit d'un fractionnement du colloque, sur ce même thème, que la SNHF comptait organiser cette année 2020, proclamée  "Année internationale de la santé des végétaux" par l’Organisation des Nations unies (ONU). Ce que la situation sanitaire lui a empêché de faire !

Son objectif, avec ce cycle de webinaires, "montrer comment la protection phytosanitaire des cultures peut contribuer à éliminer la faim, à réduire la pauvreté, à protéger l’environnement et à impulser le développement économique".

Pour en savoir plus sur ces webinaires de la SNHF de novembre 2020 et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

TRES ATTENDU, ce "Grand Livre des Arbres et de la Forêt" reprend sous une forme simplifiée et plus compacte, tout en autorisant une lecture cursive, une partie significative de l’encyclopédie numérique de l'Académie d'agriculture de France intitulée : "La forêt et le bois en 100 questions" (https://www.academie-foret-bois.fr/), fruit de l’expertise d’une quarantaine d’auteurs (académiciens et experts extérieurs). 

L’ouvrage arrive à point nommé dans un contexte où des changements de paradigme sont attendus aussi bien dans nos modèles économiques que dans la vision de la forêt par la société. 

A son sommaire : 

  • Chapitre 1 : Regards croisés sur les forêts (Les forêts du monde / Les forêts d’outre-mer / Des forêts et des hommes / A qui appartiennent les forêts françaises ? / Le secteur forestier dans l’économie nationale) ;
  • Chapitre 2 : Les écosystèmes forestiers (Le cycle du carbone / Le cycle de l’eau Forêts et biodiversité / Une forêt en bonne santé / Lire les cernes des arbres / Les mycorhizes, un réseau de connexions souterraines / Le bois vivant) ;
  • Chapitre 3 : Le bois et ses usages (Une ressource renouvelable / La construction / L’ameublement / Papiers et cartons / Le bois source d’énergie) ;
  • Chapitre 4 : Les biens et services des forêts (Quelle est la valeur économique d’une forêt ? / Les marchés du carbone / La biodiversité a-t-elle une valeur économique ? / Arbres, forêts et santé humaine) ;
  • Chapitre 5 : Les forêts face aux risques (Des risques multiples / Les tempêtes, ennemies n°1 / La sècheresse, une menace croissante / Les incendies de forêt / Les nouvelles maladies / La faune sauvage) ;
  • Chapitre 6 : Le changement climatique (Les impacts prévisibles / La forêt pour atténuer le changement climatique / Le bois au bénéfice du climat ? / Adapter les forêts) ;
  • Chapitre 7 : Une gestion durable des forêts (Pourquoi gérer les forêts ? / Exploiter la forêt / La gestion durable en pratique Le reboisement (1945-2015) / L’Office national des forêts) ;
  • Chapitre 8 : Forêts et sociétés (Forêt et "naturalité" / Aux racines de l’imaginaire / Le regard des peintres Croyances, cultes et religions / Des sources pour la littérature).

Pour commander l'ouvrage, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

La conférence en ligne, diffusée en direct le 15 octobre 2020, a rassemblé un plateau exceptionnel de 12 personnalités venus, au travers d'interventions de 7 minutes, partager avec les auditeurs leur point de vue sur "ce que l’on sait et l'on ne sait pas sur le coronavirus en cause dans la Covid-19, sur la gestion de la crise sanitaire et sur le contrôle de la pandémie".

Pour accéder au replay de la conférence (qui fait d'ores et déjà l'objet de plus de 8 000 vues), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur ces médailles et accéder au programme de la cérémonie du 23 septembre dernier, cliquer ici :

https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/medaille-argent-academie  

Pour revivre la cérémonie en vidéo, sur notre chaîne YouTube, cliquer ici :

https://www.youtube.com/watch?v=jmGvvIM4dLE&t=94s

C'est le nombre de "Questions sur..." que compte désormais notre Encyclopédie en ligne https://www.academie-agriculture.fr/publications/encyclopedie/presentati...

La nouvelle fiche (S10-06-02) a pour titre : "La ressource en eau, l'irrigation, le climat et l'économie : quelques faits et chiffres (France et pays voisins)". 

Son auteur, Guillaume Benoît, membre de l'Académie d'agriculture de France, propose de retenir de son document pédagogique que :

  • La France est un pays bien doté en ressources en eau. L'efficience dans l'utilisation des ressources s'est beaucoup améliorée, et les taux de consommation sont faibles : 97 % de l'eau qui s'écoule dans notre pays arrivent à la mer. Pourtant, de plus en plus de départements subissent des limitations d'usages de l'eau, et la France – pour assurer son alimentation – importe de plus en plus d'eau virtuelle provenant de pays bien moins dotés en ressources, et dont plusieurs les surexploitent.
  • Le changement climatique révèle et annonce des évolutions redoutables, car nos besoins s'accroissent et les ressources en eau mobilisables en période d'étiage vont se réduire significativement, sauf développement de la ressource mobilisable (stockage, réutilisation des eaux usées et traitées, transferts).
  • L'irrigation d'appoint devient un facteur de durabilité d'une agriculture et de territoires confrontés à des sécheresses agricoles, qui, à terme, vont devenir extrêmes sur tout le territoire national. Sans amélioration de l'accès à l'eau, les répercussions seront lourdes pour nombre de territoires. Dans le midi de la France, les risques de "désagricolisation" (déprise agricole) sont forts.
  • Un nombre croissant de pays voisins investissent dans le stockage et le développement de l'irrigation, y compris comme moyen d'adaptation au changement climatique. Les écarts entre ces pays et la France se renforcent, dangereusement pour nous.

Pour accéder à la fiche QS10-06-02, cliquer sur le lien Internet, ci-desous : 

Le premier de cette rentrée 2020, se tiendra demain à 14h30.

Il aura pour thème : "Innovation en agriculture, réflexion sur le progrès"

Au proramme :

  • Introduction par Jean-Claude MOUNOLOU, 
  • "Quel impact de la génomique végétale sur l’innovation variétale : l’exemple du projet PeaMUST" par Judith BURSTIN ,
  • "The regulatory current status of plant breeding technologies in some Latin American and Caribbean countries" par Marta VALDEZ-MELARA, 
  • "De la religion du progrès au culte de l’innovation : quelques questions" par Claude DEBRU, 
  • "Conclusion" par Jean-Yves LE DÉAUT.

Pour y participer et poser vos questions aux orateurs, incrivez-vous très vite en cliquant sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académie d'agriculture de France, s'est posé la question et s'est efforcé d'y répondre dans le nouvel ouvrage collectif, qu'elle publie aux Presses des Mines, en cette rentrée 2020.

Pour ce faire, quelque soixante membres de l'Académie d'agriculture de France ont mené "leurs propres réflexions", au sein de chacune des 10 sections de la Compagnie. 

Ils ont confronté et fait progresser leurs idées au sein d'un forum numérique animé par Michel Dron, secrétaire de la section "Productions végétales" et Philippe Kim-Bonbled, directeur du développement et de la communication de l’Académie.

Puis, ils ont entamé la rédaction de l'ouvrage, en un temps record, qui comporte les trois parties suivantes  : 

  1. La pandémie et ses réalités agricoles, 
  2. Les vulnérabilités agricoles mises en évidence par la pandémie, 
  3. L’après-pandémie agricole. 

Pour illustrer les chapitres écrits par leurs consoeurs et confrères, des membres engagés au quotidien dans différents secteurs d’activités font, par ailleurs, part de "la manière dont ils ont vécu la pandémie, comment ils ont dû s’y adapter et quelles leçons ils en tirent pour l’avenir"

Pour commander l'ouvrage, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

La Fondation Xavier-Bernard, reconnue d’utilité publique, a institué un prix annuel (3 000 euros) destiné à récompenser, dans l’esprit novateur de son fondateur, les auteurs des meilleurs travaux de recherche pouvant contribuer au développement durable de l’agriculture en répondant aux attentes de la société dans le domaine de l’alimentation, de l’économie et de l’environnement.

Ce prix est attribué par une Commission composée paritairement de membres de la Fondation et de l’Académie d'Agriculture de France.

Pour en savoir plus sur le Prix de la Fondation Xavier-Bernard, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La Médaille d’argent Dufrenoy est destinée à récompenser une thèse de grande qualité, dont l’analyse, réalisée par des membres l’Académie, est publiée sur le site Internet de l’Académie d’agriculture de France.

Peuvent être candidats des personnes ayant soutenu leur thèse dans la période commençant au début de l’année académique précédant l’année d’attribution de la médaille d’argent.

Les médailles 2020 seront remises aux jeunes récipiendaires lors de la rentrée solennelle de l'Académie d'agriculture de France, le 23 septembre prochain.

Pour en savoir plus sur les Médailles d'argent Dufrenoy, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Chaque mois (sauf durant les congés d'été), la Compagnie diffuse son Mensuel électronique à quelque 60 000 destinaires.

Le document repend les informations importantes du mois en ligne sur le site Internet de l'Académie d'agriculture de France, sous une forme rédactionnelle différente, et y ajoute un "A la Une", généralement signé d'une ou d'un Académicien.

Le numéro de rentrée 2020 est en cours de diffusion. "La Une" est signée de Michel Dron, Académicien qui a animé ces derniers mois le "Forum Covid-19" de la Compagnie.

Pour accéder à tous les Mensuels de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Dans un récent article, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation (dont dépend cet enseignement) précise :

"Les écoles d’enseignement supérieur agricole prennent en compte la stratégie sur le bien-être animal 2016-2020 du ministère.

Dans les écoles nationales vétérinaires, la recherche s’appuie sur une approche globale de la santé 'One health' et vise dans ce cadre à proposer et garantir à l’animal un environnement respectueux de son bien-être.

La chaire partenariale bien-être animal à VetAgro sup, avec le bureau de la protection animale de la Direction générale de l’alimentation (DGAL), vient en appui depuis sa création en 2018 au Centre national de référence (CNR) bien-être animal, pour la mise en place de formations. Cette chaire contribue à la production et au transfert de connaissances scientifiques, à la formation et à la création d’outils de formation et à favoriser les échanges afin de sensibiliser l’ensemble des acteurs du bien-être animal.

Oniris et Agrocampus Ouest participent au Laboratoire d’Innovation Territorial Ouesterel. Le bien-être animal y a toute sa place puisque ce dispositif a pour ambition de proposer de nouveaux modèles d’élevage, de transport et d’abattage respectueux des animaux. Il concerne donc l’ensemble du continuum recherche-formation- innovation-transfert et associe tous les acteurs concernés : élus, filières, associations…

Ce dispositif permettra de créer des liens entre élevage et société par l’amélioration du bien-être animal sur toute la chaîne de valeurs et ainsi de répondre à la demande sociétale. Actif sur l’ouest de la France, ce modèle a vocation à essaimer sur l’ensemble du territoire".

Pour en savoir plus, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'ouvrage, édité par Armand Colin (dans la collection U), est intitulé : "Géographie humaine - Mondialisation, inégalités sociales et enjeux environnementaux (4e édition)". 

Jean-Paul Charvet (en savoir plus sur l'Académicien : https://www.academie-agriculture.fr/membres/annuaire/jean-paul-charvet) en a assuré la co-direction éditoriale et a rédigé la totalité du chapitre 7 : "Agriculture et espaces ruraux entre mondialisation et développement durable". 

Monique Poulot (en savoir plus sur l'Académicienne : https://www.academie-agriculture.fr/membres/annuaire/monique-poulot) a, quant à elle, largement participé à la rédaction du chapitre 10 : "Les aménagements du territoire".

Elèves, étudiants, apprentis et stagiaires en formation continue effectuent leur rentrée dans les 823 établissements publics et privés que compte l’enseignement général, technique et supérieur agricole. 

A cette occasion, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation (dont dépend cet enseignement) publie un dossier fournissant tous les éléments de cette rentrée 2020, qui "se déroule dans un contexte particulier marqué par la crise sanitaire de la Covid-19".

Pour accéder au dossier du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L’Académie d’agriculture de France a, en effet, pour habitude de publier sur son site Internet des analyses de thèses de chercheurs présentant un intérêt particulier pour le monde agricole et agroalimentaire. Ces analyses sont effectuées par ses membres de la Compagnie, sous la responsabilité de l'Académicienne Anne-Marie Hattenberger.

Etaient mises en ligne, en mai dernier, les analyses de : 

  • La thèse de Maxime Durand : "Déterminismes physiologiques, morphologiques et moléculaires de l’efficience d’utilisation de l’eau en lien avec la réponse à la sécheresse chez les peupliers : de la feuille à la plante entière", par Hervé Cochard;  
  • La thèse de Mathilde Chen : "Analyse du risque de mildiou de la vigne dans le bordelais à partir de données régionales et d’informations locales collectées en cours de saison", par Guy Waksman.
  • La thèse d’Erwan de Gavelle : "Modélisation de trajectoires acceptables de réarrangement de la consommation de sources protéiques pour augmenter l’adéquation nutritionnelle et impacts sur la durabilité", par Jean-Michel Lecerf.

D'autres l'ont été depuis lors, celles de:

  • Hélène Fargeon : "Effet du changement climatique sur l’évolution de l’aléa incendie de forêt en france métropolitaine au 21ème siècle", par Yves Birot;
  • Adrien Taccoen : "Détermination de l’impact potentiel du changement climatique sur la mortalité des principales essences forestières européennes" par Jean-Luc Peyron;
  • Candy Aabboud : "Inférer et prédire les dynamiques d’espèces invasives, focus sur xylella fastidiosa", par Philippe Stoop;
  • Delphine Acloque : "Conquérir le désert recomposition des acteurs et territoires agricoles en égypte", par Monique Poulot;
  • Mariem Omrani : "Caractérisation des déterminants génétiques et moléculaires de la résistance au dépérissement bactérien de l’abricotier et analyse de risques associés", par Françoise Dosba;
  • Pinhe LIU : "Impacts de la maturité du raisin et du fractionnement au pressage des jus sur la composition des moûts et des vins blancs – Relation avec les propriétés moussantes des vins de base de Champagne" par Jean-Louis Bernard.

Pour revivre cette actualité, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Make IT Agri est "un concours destiné à contribuer à améliorer les pratiques du champ à l’assiette pour accélérer les transitions agricoles et alimentaires en démontrant leur aptitude à lutter contre le changement climatique", organisé par la Fondation Avril, l'Académie d'agriculture de France, AgroParisTech, Terres Inovia, Axereal, Arvalis, Terres innovantes - Le fonds de dotation des jeunes agriculteurs et le Groupe Crédit Agricole. 

Pour participer, il convient de :

  • Etre étudiant en 2e ou 3e année d'écoles d'ingénieurs (tous secteurs confondus);
  • Composer une équipe de 2 à 6 personnes;
  • Concevoir une innovation numérique, informatique ou robotique au service d'une agriculture et d'une alimentation durables;
  • Télécharger le dossier de candidature sur le site du concours : http://makeitagri.org/ et le redéposer à l'adresse : concours@makeitagri.org avant le 15 décembre 2020.

La visioconférence "Pour le Développement des Sciences et de l'Innovation (PDSI)", coorganisée par l'Association française pour l'avancement des sciences, la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, la Société des ingénieurs et scientifiques de France (Ile-de-France) et l'Association Bernard Gregory, a été enregistrée le 9 juillet 2020 et est maintenant en ligne sur YouTube.

L'Académicien y est intervenu aux côtés d'Arnaud Montebourg, Ancien ministre, entrepreneur et co-fondateur de la marque de miels de repeuplement Bleu Blanc Ruche.

Pour revoir la visioconférence sur YouTube, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le symposium "Pour et Sur le Développement Régional (PSDR)" se tiendra à Angers (Maine-et-Loire), le 28-30 octobre 2020, avec comme thème cette année : "Transition pour le développement des territoires".

Il vise à "apporter des éléments de réponse aux enjeux de transition, en faisant le bilan des connaissances nouvelles et des outils de mesure et d’aide à la décision ainsi que des méthodes et processus de co-construction et de mutualisation des expertises scientifiques conduisant à l’élaboration de nouvelles pratiques, de nouveaux modèles productifs et de nouveaux modes de développement des espaces ruraux".

L'Académicien, qui est le Directeur national du programme PSDR et les organisateurs du symposium, souhaitent, dans le cadre de la préparation de cet évènement, que leur soit proposé des communications sur les thématiques suivantes :

  • Usages des sols et pression foncière en zones rurales et périurbaines
  • Usages des sols et pression foncière en zones rurales et périurbaines
  • Transition agroécologique dans les territoires : systèmes innovants de production agricole
  • Transition agroécologique dans les filières : circuits, circularités, bioéconomie
  • Impacts et durabilité de l’agriculture et de la foresterie dans un contexte de changement climatique
  • Nouveaux modèles alimentaires, enjeux de développement durable des territoires
  • Développement territorial et stratégies d’attractivité des territoires
  • Innovations méthodologiques dans la recherche pour le développement territorial
  • Partenariat et valorisation territoriale des résultats de recherche • Renouvellement des enjeux et modalités d’intervention publique pour le développement régional et territorial

Pour en savoir plus sur l'appel à communications et y répondre, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Ils auront pour titre et thèmes :

  • Covid-19 et Agriculture - Une opportunité pour la transition agricole et alimentaire ?
  • La transition agroécologique - Quelles perspectives en France ?
  • Insecticides, insectifuges ? - Enjeux du XXIe siècle

L'Académicienne, qui anime le Comité livres de l'Académie d'agriculture de France (en savoir plus : https://www.academie-agriculture.fr/academie/groupes-de-travail/livres-de-lacademie) en charge de la mise en œuvre de la politique éditoriale d’ouvrages de l’Académie d'agriculture de France, se félicite tout particulièrement de la sortie prochaine de l'ouvrage Covid-19 et Agriculture quelques mois seulement après le début de la pandémie.

Catherine Regneult-Roger rappelle, par ailleurs, que la liste des Livres de l'Académie déjà publiés est accessible ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/livres-academie-agriculture-de-france où il est possible de les commander.

Les analyses de ces ouvrages sont quant, à elles, accesibles ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/les-academiciens-ecrivent/ouvrages

Crise de la Covid-19 oblige, la cérémonie prendra la forme d’une émission, qui sera diffusée mercredi 10 juin prochain, à 18h00, sur YouTube, à cette adresse : https://www.youtube.com/user/EUROFRANCEMEDIAS/ puis en replay à cette adresse : https://www.youtube.com/watch?v=X6XpfYgR4Xo&t=2439s

Pour en savoir plus sur cet évènement virtuel à l'organisation duquel l'Académie d'agriculture de France a été associée, cliquer ici : https://www.agri-mutuel.com/actualites/une-ceremonie-de-remise-des-prix-sous-forme-demission-speciale/  

La Présidente de l'Académie d'agriculture de France a écrit l'article intitulé : "Was Horticulture an alternative crop? A case study of Parisian horticultural suburbs in the nineteenth century" dans la rubrique "Alternative agriculture and the city" de l'ouvrage.

La présentation de l'ouvrage est la suivante :

"The issue of long-term agricultural transformations remains a hot topic in historiography. The texts of this book intend to take this debate seriously into account by putting several models of alternative crops to facts.

The treatment of long-term agricultural transformation remains a lively topic for historians. Much debate arose when agricultural development patterns were discovered that did without a dominant, production-oriented cereal crop, even when it was accompanied by livestock farming.

Joan Thirsk hoped to conclude this debate by putting forward the hypothesis that such "alternative agriculture" was the farmers’ way of responding to the difficulties caused by periods of low agricultural prices. This theory stirred up controversy and arguments both for and against.

The contributions to this volume take this hypothesis seriously and attempt to assess its validity. Examining a large number of "alternative agricultures" over the long term, from the fifteenth to the twentieth century, they discuss the issues encountered in tracing the links between the spread of alternative crops, such as fruits and vegetables, flowers, and industrial crops, and the general economic environment, across a vast swathe of territory stretching from Flanders to Spain and from France, through Italy and Switzerland, as far as Russia."

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"La question des transformations agricoles à long terme reste un sujet d'actualité dans l'historiographie. Les textes de cet ouvrage entendent prendre en compte sérieusement ce débat en mettant en évidence plusieurs modèles de cultures alternatives.

Le traitement des transformations agricoles à long terme reste un sujet brûlant pour les historiens. De nombreux débats sont apparus lorsque l'on a découvert des modèles de développement agricole qui se passaient d'une culture céréalière dominante, orientée vers la production, même lorsqu'elle s'accompagnait d'un élevage.

Joan Thirsk espérait conclure ce débat en avançant l'hypothèse que cette "agriculture alternative" était la façon dont les agriculteurs répondaient aux difficultés causées par les périodes de bas prix agricoles. Cette théorie a suscité des controverses et des arguments pour et contre.

Les contributions à ce volume prennent cette hypothèse au sérieux et tentent d'en évaluer la validité. En examinant un grand nombre d'"agricultures alternatives" sur le long terme, du XVe au XXe siècle, elles examinent les problèmes rencontrés pour retracer les liens entre la diffusion des cultures alternatives, telles que les fruits et légumes, les fleurs et les cultures industrielles, et l'environnement économique général, sur un vaste territoire qui s'étend de la Flandre à l'Espagne et de la France à la Russie, en passant par l'Italie et la Suisse.

Pour en savoir plus sur l'ouvrage et le commander, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous:

Et en anglais, bien sûr !

Ce qui est appréciable pour la visibilité internationale des travaux de la Compagnie.

Les Services de l'Ambassade viennent ainsi de publier, sur leur site Internet, un intéressant article, intitulé : "Water management", qu'ils ont illustré d'une vidéo de la Chaine YouTube de l'Académie d'agriculture de France :https://www.youtube.com/channel/UCxERz8wtBBH9VXfgJOfVODA

D'autres reprises de nos supports de communication sont envisagés par nos compatriotes de l'hémisphère sud.

Nous nous en félicitons...

Pour lire l'article "Water management de l'Ambassade de France en Australie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien sera en ligne à 10h00, en compagnie d'Alain Canet et de David Boudeau, pour aborder "la structure et le fonctionnement de la plante en particulier, ainsi que son lien au sol et avec notre alimentation".

Leurs propos "reprendront volontairement des thèmes des programmes de lycée, replacés dans notre vie courante, pour mieux comprendre aujourd’hui et préparer demain !"

Les intervenants répondront également aux questions des internautes présents dans la salle virtuelle.

Ce chat en direct (durée: 1 heure) est organisé par l’Association des Professeurs de Biologie-Géologie, Arbre & Paysage 32 et Pour une Agriculture du Vivant. Son montage est assuré par Ver de Terre Production.

Pour participer au Webinaire du 20 mai prochain intitulé : "La clé de sol des SVT : du sol à la plante, sauvage ou cultivée", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le jury s'est réuni, en téléconférence le 28 avril dernier.

 Il a désigné les lauréats suivants :

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  • Aurélie BACKÈS, pour ses recherches sur " la lutte biologique pour maîtriser l’helminthosporiose de l’orge".
  • Aurélien CHUARD, pour son "étude des mécanismes viraux et cellulaires liés à une infection par le virus de la maladie de Marek".
  • Alice DANGUY des DÉSERTS, pour ses recherches sur "les apports de la recombinaison dans la prédiction des meilleurs croisements de blé tendre".
  • Émilie DERISOUD, pour ses "études des effets de la parité et de l’âge de la jument sur l’embryon, le développement foeto-placentaire, la lactation et la croissance du poulain à long terme".
  • Audrey GANTEIL, pour ses recherches sur "les méthodes pour gérer la diversité génétique de populations porcines en sélection, et leur intégration dans un schéma de sélection durable".
  • Claire HAUTEFEUILLE, pour son "développement d’un outil d’aide à la décision, pour prévenir les risques de diffusion des virus influenza aviaires hautement pathogènes en lien avec des mobilités humaines et animales, et informer des stratégies de surveillance et de contrôle".
  • Louise PAILLAT, pour ses recherches sur "l'optimisation du microbiote rhizosphérique, clé de voûte vers l’horticulture agroécologique".

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Les lauréats seront invités à une rencontre avec le jury, au cours de laquelle ils présenteront leurs travaux puis recevront leur récompense (une bourse leur permettant de concrétiser leur projet).

Crédit Agricole Île-de-France Mécénat, en partenariat avec l'Académie d'Agriculture de France, a décidé d'attribuer durant 5 ans – à partir de 2020 – des bourses à de jeunes chercheurs travaillant sur des sujets tournés vers les problématiques de l'agriculture en Île-de-France, et pouvant contribuer aux attentes des acteurs professionnels et à la promotion des produits régionaux.

Ces bourses ont pour objet :

- de faciliter un stage dans un centre de recherches ou un service technique, en France et à l'étranger ;

- de permettre la participation d'un jeune chercheur à une manifestation scientifique ;

- d'aider à la présentation de résultats scientifiques ou techniques.

Pour en savoir plus sur les bourses Crédit Agricole Île-de-France Mécénat - Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

France Stratégie (Services du 1er ministre) vient de publier un document où sont présentés les sept domaines clés suivants, qui structurent ce questionnement à la lumière des constats inspirés par la crise sanitaire actuelle :

  1. Quelles attentes à l’égard de la puissance publique face aux risques ?  
  2. Quel modèle social pour "faire avec" nos vulnérabilités ?
  3. Quelles interactions humains-nature, mondialisation et pandémies ?
  4. Quelles relations entre savoirs, pouvoirs et opinions ?
  5. Numérique : nouveaux usages, nouvelles interrogations  
  6. Quelles interdépendances et quelles formes d’autonomie à différentes échelles ? 
  7. Quelle voie pour une économie soutenable ?  

France Stratégie publie régulièrement des analyses de fond et des études de prospective à moyen et long termes, pour contribuer à la décision publique et à l'information de l'opinion.

Pour accéder au document : "COVID 19 : pour un 'après' soutenable : 7 questions pour préparer demain" , télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur France Stratégie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour ce faire, l'Académicien nous propose de visionner une série de petites vidéos, mises en ligne par Vers de Terre Production, de "vulgarisation sur la plante".

"On y découvre la plante, organe par organe", précise-t-il.

Au sommaire de la série de vidéos :

Ce webinaire (séminaire en ligne), réalisé par Ver de Terre production, a été diffusé en direct sur YouTube le 21 avril dernier.

Pour revoir le webinaire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Plan de continuité de la Compagnie en période de crise sanitaire #covid-19 oblige (En savoir plus : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/le-plan-de-continuite-de-lactivite-de-lacademie-se-focalise-sur-la-crise), l'Académie d'agriculture de France s'est associée à son partenaire Agreenium (En savoir plus : https://www.agreenium.fr/) pour mettre en place un nouveau format de transfert de connaissances : "LES WEBINAIRES conjoints ACADEMIE - AGREENIUM".

Le premier de ces Webinaires se tiendra ce mercredi 22 avril 2020 à 17h00.

Hervé This y prendra la parole sur le thème : "Des réactions de... Maillard ? Disons plutôt de glycation".

Pour en savoir plus sur ce PREMIER Webinaire (séminaire en ligne) conjoint Académie-Agreenium, cliquer ici :  https://zoom.us/webinar/register/WN_Mn89HoxwTEu7VneEKLJ2JA

POUR REVIVRE LE WEBINAIRE, QUI DEPUIS LORS A REUNI UNE CENTAINE DE PERSONNES, CLIQUER ICI : https://www.youtube.com/watch?v=F-nLvULSXWw

Pour accéder aux PPT présentés par Hervé This à cette occasion, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

La Compagnie souhaite, ainsi, "participer à l’effort actuel de solidarité nationale", en donnant large accès à un ouvrage écrit, collectivement par plusieurs de ses membres, dans le but "d'aider nos concitoyens à faire la part du vrai et du faux sur les idées reçues et les rumeurs anxiogènes dont font l'objet l’agriculture, l'alimentation ou l’environnement".

Pour télécharger gratuitement l'ouvrage, cliquer ici : https://www.pressesdesmines.com/produit/idees-recues-et-agriculture/

Pour lire le note de lecture académique de l'ouvrage, cliquer ici :  https://www.academie-agriculture.fr/publications/les-academiciens-ecrivent/ouvrages?page=5

Les membres du Bureau de la Compagnie, réunis hier en visioconférence (comme ils le font désormais toutes les semaines), ont décidé que l'Académie d'agriculture de France devait se mettre en "ordre de marche" pour travailler à son propre Retour d’expérience (Retex) de la crise sanitaire mondiale liée à la diffusion du #covid-19.

Ils incitent donc désormais leurs consoeurs et confrères à :

  • débattre du sujet sur un forum interne dédié,
  • émettre des billets techniques pour animer la réflexion,
  • rédiger des articles à destination du plus grand nombre, comme certaines et certains d'entre eux l'ont déjà fait : https://www.academie-agriculture.fr/publications/articles.

A l'issue de cette crise sanitaire, cette "riche matière" pourra donner lieu à la rédaction de "Points de vue d'Académiciens sur..." : https://www.academie-agriculture.fr/publications/publications-academie/points-de-vue-academiciens, voire à la diffusion de rapports ou d'un avis de l'Académie d'agriculture de France : https://www.academie-agriculture.fr/publications/publications-academie/avis.

Les travaux de l'Académie d'agriculture de France, d'ores et déjà entamés sur les importantes thématiques : "#covid-19 et autonomie alimentaire" et "risque d’une crise alimentaire majeure, conséquence du Covid-19 ?", viendront également enrichir les Retex de ses partenaires, qui le souhaitent, comme par exemple le Conseil national de l'alimentation (CNA) et certaines autres Académies.

Message du Service communication de la Société nationale d'horticulture de France (SNHF) :

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Mesdames, Messieurs,

En raison de la situation sanitaire liée au COVID-19, le colloque scientifique de la SNHF organisé par le conseil scientifique, initialement prévu le 15 mai 2020, est reporté au vendredi 25 septembre 2020.

Bien cordialement.

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Pour en savoir plus sur le colloque, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

"J’ai entendu le Président de la République, hier soir : l’heure est grave, nous n’avons pas encore atteint le pic du développement de l’épidémie.

L’essentiel est de se protéger et de protéger les autres dont les plus faibles pour réduire la progression du virus. Il s’agit notamment de Protéger les personnes les plus âgées (au-delà de 70 ans) et les personnes atteintes d’une pathologie grave qui sont les plus vulnérables.

C’est aussi limiter les mobilités pour éviter les échanges et les risques d’accélération des propagations.

Quelles conséquences pour notre Académie ?

• Les séances hebdomadaires (#seanceshebdos) sont suspendues jusqu’à la fin des congés de Pâques soit le 20 avril 2020 (les contenus des diaporamas des interventions prévues seront toutefois mis en ligne sur le site Internet de la Compagnie et valorisés sur les réseaux sociaux; après accord des intervenants);

Les groupes de travail de l'Académie seront conduits en télétransmission (Skype ou autre) et le télétravail des membres sera encouragé pendant la même période;

• Les réunions organisées par le prestaire de l'Académie dans les locaux de la Compagnie se tiendront, le cas échéant, sous sa seule responsabilité avec obligation de désinfection des locaux à l'issue des réunions;

Un service minimum des personnels de l'Académie est organisé (du lundi au jeudi) sous ma responsabilité, afin de limiter les transports et les échanges interpersonnels."

Constant Lecoeur Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France

Pour en savoir plus sur les conséquences sanitaires de la pandémie Covid 19 en France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'édition 2020 de cette journée scientifique se déroulera le 13 mars sur le Campus de la Gaillarde - Montpellier (Hérault).

Organisée par l’Institut des Hautes Études de la Vigne et du Vin (IHEV) de Montpellier SupAgro, elle sera dédiée "au numérique en viticulture et œnologie".

La journée est portée par la Key Initiative MUSE Montpellier Vine&Wine Sciences en partenariat avec #DigitAg, Institut Convergences Agriculture Numérique.

Pour en savoir plus sur la 12e Journée scientifique Vigne-Vin et y participer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

L'Académie d'agriculture de France sera à nouveau présente au Salon international de l'agriculture (SIA), qui se tiendra du samedi 22 février au dimanche 1er mars 2020, au Parc des expositions de la Porte de Versailles de Paris.

Et pour sa 4e année de présence à cette grande rencontre-retrouvaille entre ruraux et urbains, notre Compagnie multipliera ses interventions pour "éclairer la société et les décideurs sur le progrès dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement", sa raison d'exister depuis 1761 !

Comme les années précédentes, l'Académie d'agriculture de France :

  • accueillera ses partenaires et le grand public sur le stand d'AgroParisTech (4D139), où ses membres présents en assureront la coanimation avec les étudiants sur le thème, cette année, de "l'innovation d'hier, d'aujourd'hui et de demain", illustré chaque jour dans des secteurs d'activité différents de l'agroalimentaire,
  • participera activement aux tables d'hôtes que son partenaire AgriDemain organise chaque jour sur son stand (4B20),
  • enverra certains de ses membres répondre à des questions d'actualités sur le plateau TV de son partenaire Le Siècle vert (4B139),
  • fera intervenir des jeunes chercheurs, lauréats de la médaille d'argent de l'Académie et du concours Make it Agri, sur le grand plateau du Ministère de l'agriculture et de l'Alimentation (fond du hall 4), où ils présenteront leurs travaux sous la forme d'un pitch de quelques minutes.

Mais cette année, l'Académie d'agriculture de France :

  • participera aux débats que son partenaire France Agrimer organise sur son stand (4B094) à destination du grand public. Il est notamment prévu l'intervention d'Académiciens à ceux concernant l'alimentation,
  • coorganisera, avec ses partenaires AgroParisTech, Agridemain et Syrpa - Le réseau des agricommunicants, un GOUTER NUMÉRIQUE, permettant aux AgriToubeurs et aux AgriTwitters de se retrouver et d'échanger en toute informalité avec la Présidente de l'Académie Nadine Vivier. Le goûter se déroulera le 25 février à 16h30, sur le stand d'AgroParisTech. Les échanges seront facilités par la verve de l'Académicien Jean-Marie Séronie, présent pour l'occasion.
  • s'associera à l'organisation de l'Agreenstartup 2020 de son partenaire l'Assemblée permanente des chambres d'agriculture (APCA).

Toutes les interventions de l'Académie d'agriculture de France, durant le  #SIA2020, seront relayées sur ses pages sur les Réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn, YouTube et Instagram) avec le tag #AAFohSIA2020!

RETROUVEZ-NOUS SUR PLACE OU VIA LES RESEAUX SOCIAUX !

Pour en savoir plus sur le #SIA2020 et y venir, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Vous avez pour ce faire jusqu'au 31 mars 2020.

Ces bourses annuelles (montant maximal 2000 euros) sont attribuées à de jeunes chercheurs inscrits en vue de la préparation d’un doctorat ou à des techniciens inscrits dans des formations avancées de promotion et poursuivant des travaux originaux.

Les disciplines concernées sont prioritairement : la chimie biologique, la microbiologie, la phytopharmacie, la génétique, la phytotechnie, la zootechnie, la sylviculture, les sciences de la nutrition, la statistique, les nouvelles techniques de l'information et de la communication (NTIC), appliquées à tous les domaines agronomiques, y compris l’économie.

Ces bourses ne sont pas renouvelables.

Dans la continuité des bourses Dufrenoy-Crédit Agricole Île-de-France Mécénat financées paritairement par l’Académie d'Agriculture de France et Crédit Agricole Île-de-France Mécénat, les bourses sont désormais entièrement financées par Crédit Agricole Île-de-France Mécénat.

Les lauréats des bourses sont invités à présenter leurs travaux au cours d'une séance publique de l'Académie.

Pour en savoir plus sur les bourses Crédit Agricole d’Ile-de-France Mécénat, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour accéder au réglement du concours 2020, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

L'Académicienne rapporte que, le 7 février dernier, le centre de l'Institut national de la recherche agronomique (INRAE) en Nouvelle Aquitaine a été officiellement lancé en présence de :

  • Philippe Mauguin, PDG de l'INRAE et par ailleurs membre de l'Académie d'agriculture de France,
  • Olivier Lavialle, nouveau Président du centre INRAE de Nouvelle Aquitaine,
  • Sabine Brun, Directrice de Bordeaux Sciences Agro,
  • Manuel Tunon de Lara, Président de l'Université de Bordeaux,
  • Mohamed Amara, président de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour,
  • Philippe de Guénin, Directeur régional de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt (DRAAF) en Nouvelle Aquitaine.

Quatre thématiques emblématiques de recherche ont été rapidement présentées, à cette occasion :

  • Nutrition et cerveau, 
  • Accompagner la transition socio-écologique par les Sciences Humaines et Sociales,
  • Les défis actuels pour la forêt de demain, 
  • "Bordeaux Plant Science". 

A l'issue de la matinée, conclue par Philippe Mauguin, Hubert de Rochambeau (lui-même membre de l'Académie d'agriculture de France), président du centre (anciennement dénommé INRA Bordeaux Nouvelle Aquitaine), entre 2012 à 2019, a reçu l'insigne de Commandeur du Mérite agricole.

Tel est le retour original et ludique de la journée "Des solutions pour la ville de demain : vers une renaturation des sols" organisée à la Défense-Paris en octobre 2019 par  le Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema), un établissement public tourné vers l’appui aux politiques publiques, placé sous la double tutelle du ministère de la transition écologique et solidaire et du ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales.

Fruit d’une collaboration avec un illustrateur – Mathieu Ughetti –, la BD synthétise les principaux messages à retenir de cette journée d’échanges où des exemples concrets de désimperméabilisation et renaturation des sols ont notamment été présentés.

Pour en savoir plus sur la journée et découvrir la BD, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Les groupes de travail de l'Académie d'agriculture de France sont le lieu d'expertise et de résolution TRANSVERSALES de problématiques précises et d'actualité faisant intervenir des membres de différentes sections thématiques de l'Académie ainsi que des experts extérieurs à al Compagnie. L'importance de leur mise en place a été largement mise en avant dans le projet stratégique 2019-2024 de l'Académie.

Le premier des nouveaux groupes de travail, en cours de constitution, s'attachera à doter l'Académie d'agriculture de France d'une "Charte de déontologie" déclinant et précisant "les principes déontologiques généraux prévus dans le titre VI (articles 31 à 34) du règlement intérieur de la Compagnie".

L'animation de ce groupe de travail est confié à la Présidente de l'Académie, en personne, Nadine Vivier.

Le groupe de travail pourra effectuer une étude de comparaison des documents adoptés par d’autres organismes comme, par exemple, l’Académie des sciences ou le Conseil général de l'alimentation, de l'agriculture et des espaces ruraux du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Ce parangonnage aura pour objectif d’expliciter les critères d’une démarche scientifique et les règles de confrontation des points de vue, de définir les incompatibilités pour des missions d’évaluation et les règles d’utilisation de la mention d’appartenance à l’Académie.

Le deuxième nouveau groupe de travail de l'Académie réfléchira au "statut juridique des animaux" et s'interrogera sur "une évolution possible de ce statut pour les animaux de rente ?". Les réflexions du groupe de travail viseront à :

  •  dresser un état des lieux dans les différents codes juridiques du statut des animaux sauvages et domestiques en France et en Europe, voire dans d'autres parties du Monde, ⁃
  • s’appuyer sur une réflexion interdisciplinaire permettant d’apprécier les enjeux de responsabilité de l’homme vis à vis de l’animal et l’évolution des relations sciences- droit-société,
  • envisager les évolutions possibles du statut juridique des animaux de rente et ses répercussions sur l'élevage, sans exclure de traiter des autres catégories d’animaux,
  • proposer le texte d'un avis.

Le groupe de travail sera animé par Marie-Françoise Chevallier-Le Guyader, Secrétaire de la Section "Sciences humaines et sociales" de l'Académie et Gérard Maisse, Académicien, membre de la Section "Production animale".

Le troisième groupe de travail, en cours de constitution au sein de l'Académie, se penchera sur "la question complexe de la sécurité sanitaire des produits de charcuterie renfermant des additifs conservateurs nitrates/nitrites, en tenant compte des derniers développements scientifiques en la matière".

Il est confié à Gerard Pascal, Membre de la Section "Alimentation humaine" de l'Académie d'agriculture de France.

Pour en savoir plus sur les groupes de travail de l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Conformément aux statuts de la Compagnie, il a été procédé hier en Séance plénière, à l'intallation du Bureau de l'Académie d'agriculture de France, dans sa composition 2020, qui est la suivante :

Dans leurs discours respectifs, le Secrétaire perpétuel a placé ses propos sur le thème du "passage", le Président Jean-Louis Bernard a fermement dénoncé "l'Agribashing" et la Présidente Nadine Vivier a insisté sur "l'ouverture comme solution aux problèmes sociaux".

Patrick Ollivier, qui quittait ses fonctions de Trésorier perpétuel, a, quant à lui, insisté dans "le compte-rendu décapant de son intense activité au sein de la Compagnie" sur la FIERTE qu'il y avait et qu'il devait y avoir d'être ACADEMICIEN !

Pour revivre en vidéos et en photographies la Séance d'installation du Bureau 2020 de l'Académie et lire les discours prononcés à cette occasion, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour construire une  politique de l’alimentation durable, les membres de l’Académie signataires de ce "Point de vue sur...", synthétisant le rapport sur le sujet qu'ils avaient rédigé en 2019, recommandent neuf actions :

  1. L’élaboration d’un cadre stratégique
  2. Une réduction de la précarité alimentaire
  3. Une gouvernance alimentaire
  4. Une plate-forme collaborative autour de l’aliment durable
  5. Une recherche et une expérimentation de pointe
  6. Une formation initiale et professionnelle performante
  7. Une information des consommateurs par des labels
  8. Des incitations financières
  9. Une coopération internationale révisée entre les systèmes alimentaires des territoires

Pour lire le Point de vue d'Académiciens sur... : "La transition alimentaire, les filières et les territoires", cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Le 11 décembre 2019 à AgroSup Dijon, sous la présidence de Jean-Yves Bizot Président du GIP Pôle Bourgogne Vigne et Vin, les Prix AREA 2019 (25e prix) ont été remis à :

  • Yann Raineau - Thèse de sciences de gestion Défis environnementaux de la viticulture : une analyse comportementale des blocages et des leviers d'action (Prix de Thèse de 2500€ ).
  • Véronique Lucas - Thèse de sociologie rurale L'agriculture en commun : gagner en autonomie grâce à la coopération de proximité. Expériences d'agriculteurs français en CUMA à l'ère de l'agroécologie (Prix spécial de 2500€).

> https://www.academie-agriculture.fr/actualites/agriculture-alimentation-environnement/remise-des-prix-area-2019-le-11-decembre-2019

Ces deux thèses avaient l'objet, en parallèle, d'une analyse au sein de l'Académie d'agriculture de France.

La thèse de Yann Raineau a été lue et analysée par Christian Huyghe, membre de l’Académie d’agriculture.

Celle de Véronique Lucas l'a été par Bertrand Hervieu, membre de l’Académie d’agriculture.

https://www.academie-agriculture.fr/publications/jeunes-scientifiques-et-academie/analyses-de-these

Communiqué des organisateurs du concours, dont fait partie l'Académie d'Agriculture de France :

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Un mois après la clôture des inscriptions, voici les 9 équipes finalistes sélectionnées par notre jury :

1) Bouch'Sol - Bastian et Mathieu (Groupe ESA - Angers [officiel])

2) Devana - Laurine, Fanta, Aymeric, Valentin (VetAgro Sup SIGMA Clermont ISIMA - Ecole d'ingénieurs en Informatique d'Auvergne)

3) Végét’eau - Vianney, Justine, Pierrick (ISA Lille)

4) FaunAway - Maxence, Benoit, Hugo, Léa, Hugo (AgroSup Dijon)

5) Connect’eat - Mathias, Valentin, Elise (AgroParisTech MINES ParisTech - école des Mines de Paris Sorbonne Université)

6) Trichodrone - Thibault, Amanda, Matthieu, Manuel, Paul, Grégoire (Centrale Lyon)

7) PGW-1 - Margot, Lorianne, Aurore, Lucas (Polytech Nancy)

8) Pictopo - Guillaume, Antoine, Blandine, Alice (EBI Ecole de Biologie Industrielle - Ingénieurs Bioindustries E.I.S.T.I)

9) Optim'eau - Djibirilou, Arona, Enrique (Campus CESI Le Mans)

Un grand bravo et merci à l'ensemble des participants à la saison 2 du concours.

Rendez-vous en janvier pour une description des projets finalistes...

En attendant, bonnes fêtes de fin d'année à tous !

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Pour en savoir plus sur le concours Make It Agri, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

COMMUNIQUE de l’Association pour les recherches sur l’économie agroalimentaire (AREA) :

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La remise des Prix AREA 2019 (25 ème prix) a eu lieu le 11 décembre à AgroSup Dijon, sous la présidence de Jean-Yves BIZOT, Président du GIP Pôle Bourgogne Vigne et Vin.

Nous avons été accueillis par Claude COMPAGNONE (Directeur adjoint, Professeur de sociologie) qui nous a présenté AgroSup Dijon, issue en 2009 de la fusion entre l’Ecole nationale d’enseignement supérieur agronomique (ENESAD) et l’Ecole nationale supérieure de biologie appliquée à la nutrition et à l’alimentation (ENSBANA) et probablement à la veille d’une nouvelle fusion avec les Ecoles agro de Montpellier et Rennes.

Ensuite, notre président, Ghislain de MONTGOLFIER, a présenté l’AREA « fille adultère de l’INRA », et les Prix AREA.

Après cette phase introductive Jean-Yves BIZOT a dit tout le plaisir qu’il avait eu à lire les travaux présélectionnés par notre jury interne, même si cela l’avait perturbé dans l’avancement de ses lectures de romans de San Antonio ! Puis il a demandé à chacun des deux lauréats de présenter leur travail.

Yann RAINEAU - Thèse de sciences de gestion Défis environnementaux de la viticulture : une analyse comportementale des blocages et des leviers d'action (Prix de Thèse de 2500€ ). Sa recherche avait pour objectif de comprendre le comportement des acteurs (viticulteurs du Bordelais et acheteurs de vins de Bordeaux). Pourquoi les viticulteurs ne réduisent-ils pas la fréquence des traitements et la quantité de produit ? Quel est le comportement des acheteurs vis-à-vis des signaux relatifs à « l’environnement ou à la naturalité » des vins (sulfites, logo Bio, …) ? Quelle est l’acceptation de la technologie ( variétés limitant le recours aux pesticides) par les acheteurs ? Y. RAINEAU a insisté sur l’analyse des pratiques des acteurs et le concept de « nudge » qui en découle : technique ou dispositif qui vise à orienter les choix des acteurs…pour le bien des viticulteurs…ou des acheteurs de vins… (vaste question, mais aussi pratique qui soulève des questions éthiques !). La veille, Jean Yves Brizot avait demandé à Y. Raineau de présenter son travail au bureau du GIP Bourgogne Vigne et Vin ce qui montre l’intérêt de son travail pour la profession viticole. Par ailleurs Y. Raineau vient d’être embauché par la région Nouvelle Aquitaine pour piloter le programme VitiREV (Innovons pour des territoires respectueux de l’environnement) qui a pour objectif d’amener les citoyens et les viticulteurs du Bordelais à « se rencontrer » sur la thématique des pesticides pour réduire leur usage, puis si possible en sortir…

Véronique LUCAS - Thèse de sociologie rurale L'agriculture en commun : gagner en autonomie grâce à la coopération de proximité. Expériences d'agriculteurs français en CUMA à l'ère de l'agroécologie (Prix spécial de 2500€). La grève SNCF n’a pas permis à la lauréate d’être présente à Dijon. Elle a donc présenté son travail depuis Montpellier, par visioconférence. Constitué principalement par 5 études de cas choisies dans différentes régions (Aude, Tarn, Pays Basque, Ain, Touraine) elle y montre une recomposition et un renouveau des CUMA pour développer des pratiques écologiques. Ceci afin de rendre leurs exploitations agricoles plus autonomes et résilientes. Cette recherche d’autonomie vis-à-vis des opérateurs marchands se traduit par le renforcement des liens d’interdépendances entre pairs, selon des modalités de coopération diversifiées : aux échanges au sein de la CUMA se greffent des arrangements d’échanges et des groupes de développement.

C’est un auditoire d’une quarantaine de personnes (professionnels du vin , enseignants-chercheurs, 10 étudiants en dernière année ingénieur ou master) qui a assisté à cette remise des prix. Les membres de l’AREA présents, outre son président, étaient Louis LAGRANGE, Jean-François SOUFFLET, Louis-Antoine SAÏSSET (maître de conférences à Montpellier Sup Agro) et Marie-Hélène VERGOTE.

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Pour en savoir plus sur les prix de l'AREA, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Au programme de ce colloque, placé sous le haut patronage du Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, qui se tiendra le 5 février 2020 à la Fédération nationale du Crédit agricole (Amphithéâtre Tardy)- 48, rue La Boétie - 75008 Paris (métro Miromesnil) :

- Une allocution d'un représentant de Didier GUILLAUME, Ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation.

- Des exposés introductifs de : Nadine VIVIER, Présidente de l’Académie d’agriculture de France et de Jean-Christophe ROUBIN, Directeur de l’agriculture de Crédit Agricole SA.

- Une première partie : "Eclairages", modérée par Jean-Marie SERONIE, membre de l’Académie d’agriculture de France faisant intervenir Nicole OUVRARD, Directrice des rédactions du groupe Réussir partenaire du colloque, Bernard HUBERT, Directeur de recherche émérite à l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) et Directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS), Florence GRAMOND, Directeur Global Client Director BVA Services, Anne SANDER, Députée européenne et Pierre DUPRAZ, Directeur de recherche à l'INRA Rennes.

- La Remise du Prix de l’information scientifique à destination du public 2020.

- Une Deuxième partie : "Témoignages", sous la forme de deux Tables-rondes animées par les journalistes du Groupe Réussir AGRA faisant intervenir :

  • Pour la première: François DESPREZ, Président du Groupement national interprofessionnel des semences et plants (GNIS), Eugenia POMMARET, Directrice de l’Union des Industries de la Protection des Plantes (UIPP), Marianne SELLAM, Adjointe du Directeur scientifique de l’ACTA - Les instituts techniques agricoles et René AUTELLET, membre de l’Académie d’agriculture de France.
  • Pour la seconde : Dominique CHARGÉ, Président de Terrena et de Coop de France, Bruno HÉRAULT, du Centre d’études et de prospective du Ministère l'Agriculture et de l'Alimentation, Mickaël JACQUEMIN, Président de l'Association Nationale pour l’Emploi et la Formation en Agriculture (ANEFA) et Philippe VINÇON, Directeur général de l’Enseignement et de la Recherche, au Ministère l'Agriculture et de l'Alimentation.

- Une Conclusion de la journée par Constant LECOEUR, Secrétaire perpétuel de l’Académie d’agriculture de France.

Pour en savoir plus sur le colloque "État de l’agriculture 2020 : Le métier d’agriculteur face à la transition écologique" du 5 février 2020 et s'y inscrire (INSCRIPTION OBLIGATOIRE), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Dans l’objectif de promouvoir la transition agroécologique des agricultures de demain, la Fondation s’efforce désormais, avec l’approbation de ses membres fondateurs et de son Conseil scientifique, de travailler selon trois axes transversaux :

  1. Agriculture et changement climatique : adaptation et atténuation ;
  2. Conservation et gestion durable de la biodiversité ;
  3. Production et consommation responsables.

C’est dans ce contexte qu’est lancé le nouvel appel à projet de la Fondation, qui encourage les équipes de recherche membres de son réseau à se positionner sur au moins 1 axe et, si possible, sur plusieurs, et ce en identifiant le meilleur axe représentant leur domaine de recherche, interrogeant les enjeux de leurs travaux de recherche, et en étudiant plus particulièrement les interactions et contradictions potentielles entre les ODD et les 3 axes transversaux de la Fondation.

Un montant maximal de 750 000 euros est disponible pour cet appel, qui financera deux types de projets :

  • Les projets de type 1 : de 150 K€ (minimum) à 250 K€ (maximum). Financement global disponible : 450 à 600 K€ Durée du projet : maximum 36 mois
  • Les projets de type 2 : de 20 K€ (minimum) à 25 K€ (maximum). Financement global disponible : 120 à 150 K€

Durée du projet : maximum 1 an La date limite de réponse à l’appel à proposition est fixée au 3/03/2020, minuit, heure de Paris.

Pour en savoir plus sur le nouvel appel à proposition de la Fondation Agropolis, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

COMMUNIQUE DE PRESSE CONJOINT

Paris, le 9 décembre 2019

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La Canopée et les Trophées Jean-Paul Lanly de l’Académie d’agriculture de France récompenseront côte à côte l’innovation dans la filière forêt-bois lors de la 10ème édition du Forum International Bois Construction, le 15 avril 2020 au Grand Palais à Paris.

Le Forum sera une occasion unique de valoriser la filière forêt-bois et son rôle clé face aux enjeux durables du XXIème siècle. A cette occasion, l’innovation sera mise à l’honneur et récompensée par la remise des Grands Prix du premier concours national d’innovation pour la filière La Canopée et par celle des Trophées Jean-Paul Lanly « pour la valorisation du bois français ».

Les Trophées Jean-Paul Lanly, du nom de leur fondateur, récompensent chaque année depuis 2015 deux entités, entreprises ou projets, de taille différente (en principe l’une employant moins de 50 personnes, l’autre ayant un effectif plus élevé) qui transforment du bois français, le font en quantité croissante et selon des méthodes et procédés innovants. Ces deux trophées annuels de l’Académie d’agriculture de France récompensent ainsi des initiatives qui créent dans notre pays de la valeur ajoutée et des emplois, contribuent à améliorer la balance commerciale de la filière forêt-bois nationale, en réduisant les importations de produits finis ou semi-finis et les exportations à faible valeur ajoutée de bois ronds, et valorisent donc les ressources forestières françaises et leur diversité en répondant au défi de la transition énergétique.

Le concours national d’innovation La Canopée est organisé par Forinvest et l’Ecole Supérieure du Bois - sous le Haut Patronage du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. La Canopée distingue des projets ayant des stades de maturité différents avec le Grand Prix Idéation (pour les étudiants et chercheurs), Startup et Entreprise. L’objectif étant d’accompagner et financer l’innovation à tous ces étages pour la filière forêt-bois.

L’action conjointe entre les deux structures nous est apparu évidente. « En effet, comme l’indique Constant Lecoeur, le Secrétaire perpétuel, l’Académie d’agriculture de France s’est donné un projet stratégique d’être à l’écoute des acteurs et de mener des projets en partenariat en mobilisant la communauté scientifique au service de l’innovation». Nous avons un souhait commun de soutenir le développement d’une filière d’avenir. « Le rapprochement entre nous est apparu évident. Nous avons un souhait commun de soutenir le développement d’une filière d’avenir » nous dit Eric Toppan, Secrétaire Général de Forinvest.

L’Académie d’agriculture de France, est une société savante nationale fondée il y a plus de 250 ans. Elle a pour protecteur le Président de la République et pour président d’honneur le ministre chargé de l’agriculture. Elle est aussi l’académie nationale de foresterie, et consacre une partie de ses travaux à la conservation, au développement, à la gestion et à la valorisation des ressources forestières. Elle le fait au travers des activités de sa section "Forêts et filière bois", de ses séances publiques, de ses colloques, de ses avis transmis aux autorités compétentes, et de ses productions en ligne sur son site, telles que la série récente de fiches «La forêt et le bois en 100 questions».

Plus d'information sur : https://www.academie-agriculture.fr/  

Forinvest Business Angels est une association loi 1901 qui regroupe des FORestiers INVESTisseurs pour les mettre en relation avec des entrepreneurs de la filière forêt-bois souhaitant lever des capitaux. Depuis la création de Forinvest, 28 entreprises ont été financées par nos adhérents pour un montant de près de 8 millions d'euros. Plus qu’un financement, Forinvest BA permet l’accès à un réseau national grâce à ses adhérents et sa proximité avec les différents organismes de la filière, ce qui permet de faciliter la mise en relation avec les bons interlocuteurs pour favoriser les synergies et élargir les perspectives de développement des entreprises.

Plus d'informations sur : https://forinvest-ba.fr/  

L’Ecole Supérieure du Bois est un établissement d’enseignement supérieur et de recherche privé d’intérêt général (EESPIG) sous contrat avec le ministère chargé de l’Agriculture. L’expertise développée par l’ESB depuis plus de 85 ans lui permet de former chaque année une centaine de jeunes diplômés capables de développer les connaissances sur les propriétés, les technologies et les usages du bois et des matériaux biosourcés.

Plus d'informations sur : https://www.esb-campus.fr/esb/  

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CP AU FORMAT PDF, CI-DESSOUS :

Le document a été signé par Jean-Louis Bernard et Walter Fernandez Rojas, dans les locaux de la Academia de Ciencias, à l'occasion de la mission que l'Académie d'agriculture de France mène actuellement au Costa-Rica.

"L'accord prévoit, entre autres, que les deux sociétés savantes feront tout leur possible pour :

  1. échanger entre elles,
  2. mener des actions et visites communes,
  3. se transmettre leurs publications respectives."

Pour prendre connaissance du contenu (en espagnol) de la convention, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur la mission de l'Académie au Costa-Rica, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Intitulé "Frontiers in Symbiosis", il se tiendra sur le Campus du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) de Gif-sur-Yvette (Essonne).

L'objectif de ce symposium est de "créer un événement scientifique à la pointe de la recherche fondamentale en symbiose".

Le Symposium réunira environ 150 participants "dans une atmosphère plutôt informelle, facilitant les échanges".

Les organisateurs précisent "qu'un programme très attractif moyennant des frais d’inscription modérés est prévu pour donner aux chercheurs - en particulier au début de leur carrière - la possibilité de participer à un événement scientifique de haut niveau passionnant. Les jeunes chercheurs auront l’occasion de présenter leurs travaux avec une affiche".

Marc-André Selosse, membre de 'Académie d'agriculture de France fait partie du Comité scientifique du colloque.

Pour en savoir plus sur le colloque "Frontiers in Symbiosis" et y participer, cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Le document a été signé dans les locaux de l'Université, à l'occasion de la mission que l'Académie d'agriculture de France mène actuellement au Costa-Rica.

"L'accord a pour objectif de développer la coopération académique et scientifique des deux institutions sur la base de l'égalité et de la réciprocité, en vue de promouvoir les capacités de recherche et d'établir une relation stratégique de compréhension mutuelle entre elles".

Il prévoit une coopération ainsi :

  1. Mobilité du personnel enseignant, scientifique et technico-administratif.
  2. Développement de programmes de recherche et / ou d'enseignement en commun.
  3. Coordination et développement de conférences, séminaires, ateliers et autres activités de formation scientifique.
  4. Echange d'informations académiques et de publications.
  5. Tout autre type de collaboration susceptible d'intéresser les parties.

Pour prendre connaissance du contenu (en anglais) de la convention, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur la mission de l'Académie au Costa-Rica, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ces prix de l’Association pour les recherches sur l’économie agroalimentaire (AREA) récompensent, chaque année, des thèses, masters (Recherche et Professionnel) et mémoires d’Ecoles d’ingénieurs

Les lauréats 2019 sont :

  • Yann Raineau (Prix de thèse) pour sa thèse : "Défis environnementaux de la viticulture : une analyse comportementale des blocages et des leviers d'action"
  • Véronique Lucas (Prix spécial) pour sa thèse : "L'agriculture en commun : Gagner en autonomie grâce à la coopération de proximité. Expériences d'agriculteurs français en Cuma à l'ère de l'agroécologie"

Pour en savoir plus sur la cérémonie de remise des Prix AREA du 11 décembre 2019, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur l'AREA, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Ce colloque se tiendra le 28 janvier 2020, de 9h00 à 17h30, à la Cité internationale universitaire de Paris (Espace Adenauer) - 17, Boulevard Jourdan - 75014 Paris (RER B, Cité Universitaire).

Il est organisé par l’Académie d’agriculture de France, avec le concours de l’Association des Amis de l’Académie d’agriculture de France, du DIM 1 Health Ile-de-France et de l’Académie nationale de Pharmacie; à l'occasion de "l'Année internationale de la santé des végétaux".

Réunissant un ensemble d’acteurs professionnels, du monde académique et de la société civile, ce colloque unique "s’attachera à mieux appréhender les enjeux, les spécificités et les implications de la santé des plantes en interaction avec la santé humaine et la santé animale".

Pour en savoir pus sur le colloque "Santé du végétal, une seule santé et un seul monde" et y participer (INSCRIPTION PREALABLE OBLIGATOIRE), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Rédigée par l'Académicien Marc-André Selosse, elle pour titre "Is biological interaction about to supplant the notion of organism?"

Son résumé est le suivant :

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"Une double prise de conscience a émergé en biologie, en ce début de XXIe siècle : les microbes sont partout, et ils tissent, au-delà des maladies ou de la décomposition, des relations vitales, à bénéfices mutuels, avec les plus gros organismes.

L’ensemble des fonctions des plantes et des animaux est affecté par le microbiote qu’ils contiennent et qui influe sur leur nutrition, leur santé et leur développement (et, dans le cas des animaux, leur comportement).

Ce texte est une présentation générale de la présence physique et fonctionnelle des microbiotes, et des modalités d’acquisition de celui-ci.

On y discute la notion d’individu et d’organisme face à l’émergence de l’holobionte, et aussi de la force des interactions et des réseaux d’interactions dans les écosystèmes".

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Les Notes Académiques de l'Académie d'agriculture de France (N3AF) sont un journal d'information et de formation scientifiques.

La revue, dans ses éditoriaux, articles originaux, articles d'actualité, notes de conjoncture, publications de fond, revues de la littérature, synthèses, rapports, commentaires critiques d'ouvrage, opinions étayées, textes de conférences, lettres à la rédaction, etc. donne une information actualisée ayant trait à tous les domaines couverts par les dix sections de l'Académie d'agriculture de France.

La revue est pilotée par un comité éditorial dont Hervé This, Membre de l'Académie et Secrétaire de la Section "Alimentation humaine" est le Secrétaire éditeur.

Pour accéder à la note académique "Is biological interaction about to supplant the notion of organism?", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ces analyses de "thèses de chercheurs présentant un intérêt particulier pour le monde agricole et agroalimentaire" dont l'Académicienne Anne-Marie Hattenberger est la responsable, sont publiées sur le site Internet de l'Académie. 

Elles font l’objet d’une mise en avant dans les différents moyens de communication de l’Académie et sont accessibles gratuitement. Elles sont, notamment, signalées dans le Mensuel électronique de l’Académie, diffusé à 60 000 personnes et accessible en ligne ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/academie-communique/le-mensuel.

Ce processus permet la large diffusion des résultats scientifiques des chercheurs, ainsi que la mise à disposition des membres de l’Académie d’une très grande diversité de travaux de recherches les plus récents dans les nombreux domaines de compétence des dix sections de l’Académie.

Pour prendre connaissance sur des modalités mises à jour d'analyse de thèses de chercheurs par l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ses représentants ont participé au lancement de l'édition 2020 du concours, qui s'est déroulé ce matin dans les locaux, chargés d'histoire cinématographique, du réalisateur Claude Lelouch.

L'Académie d'agriculture de France sera donc à nouveau partenaire du Crédit Mutuel dans l'organisation de la catégorie "Agriculture et territoires".

 "Je filme le métier qui me plait" est le "1er concours pédagogique qui permet de découvrir des métiers en réalisant des vidéos".

Ses créateurs précisent : "il vise les métiers sans jeunes et les jeunes sans métiers".

L'édition 2019 a mobilisé 85 000 jeunes répartis dans 2 210 établissements d'enseignement. 768 films ont été sélectionnés et 150 d'entre eux ont été primés.

Jean Dujardin était le président du jury de cette édition.

Pour prendre connaissance du palmarès 2019 de la catégorie "Agriculture et territoires" du Concours "Je filme le métier qui me plaît", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur l'édition 2020 du Concours "Je filme le métier qui me plaît", télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

L'Académicienne vient de faire les trois annonces suivantes :

  1. Le programme de la demi-journée a été mis à jour. Pour y accéder, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :
  2. Un second amphithéâtre sera ouvert afin d'accueillir davantage de monde. Pour s'inscrire, cliquer ici : https://www.eventbrite.fr/e/billets-le-changement-climatique-lutilisation-des-terres-et-la-securite-alimentaire-65795467013 
  3. Les interventions et débats pourront être suivi en direct sur YouTube. Via ce lien informatique : https://youtu.be/cIW0P5yH61Y

La demi-journée du 12 septembre prochain, rappelons-le, a pour objectif de "présenter les principales conclusions du nouveau rapport spécial du GIEC qui traite des liens entre le changement climatique, la désertification, la dégradation des terres, la gestion durable des terres, la sécurité alimentaire, et les flux de gaz à effet de serre dans les écosystèmes terrestres".

Elle vise, donc, un large public.

La demi-journée est organisée par : l'Académie d'agriculture de France (qui lui a accordé son patronage); AgroParisTech; le Laboratoire d'Excellence BASC; l'Institut Convergence CLAND; l'INRA; l'unité de support technique du Groupe I du GIEC; l'ONERC et l'ensemble des ministères.

Le projet, auquel sont associés les deux Académiciens, est financé par la Commission européenne dans le cadre du programme H2020. Il a débuté le 1er mai 2019 pour une durée de 48 mois.

RURALIZATION vise à "développer les connaissances et à soutenir l'élaboration de politiques répondant à la menace de développement inégal des zones urbaines et rurales dans l'Union européenne et plus spécifiquement à faciliter l'arrivée de nouveaux arrivants et de nouveaux agriculteurs dans les zones rurales".

En particulier, le projet améliorera la compréhension de la "régénération" rurale, y compris la question de l'accès à la terre, définira des instruments et des stratégies innovants pour faciliter le renouvellement générationnel dans l'agriculture et le développement rural et soutiendra l'élaboration de politiques visant à concrétiser les rêves ruraux pour les nouvelles générations rurales.

Le projet s’appuie sur la participation de 18 organisations de 12 pays européens, dont des universités, des instituts de recherche, des Petites et moyennes entreprises (PME) et d'autres acteurs tels que cinq membres du réseau Accès à la terre.

Ce consortium pluridisciplinaire met en place des activités de recherche et d'innovation assurant la participation des agriculteurs, des jeunes et des entrepreneurs ruraux, selon une approche multi-acteurs.

Elles le sont jusqu'au 06 décembre 2019.

Les Cours gratuits commencent, eux, le 14 octobre 2019.

Ce Massive open online course (MOOC), en français Formation en ligne ouverte à tous (FLOT), propose "une formation généraliste en aviculture destinée à un public étudiant bac+3 à bac+5 ou professionnel, de France ou de pays francophones".

Il fera "découvrir les multiples dimensions de l’aviculture (organisation des filières, physiologie de l’animal, modes d’élevage, transformation des produits, sans oublier les enjeux techniques, sanitaires et sociétaux)".

Multidisciplinaire, ce projet collaboratif a fédéré 21 intervenants de 10 établissements apportant chacun des compétences complémentaires.

Agrocampus Ouest en est le porteur.

Pour en savoir plus sur le MOOC "L'Aviculture, une filière d'avenir" et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le site Internet de l'Académie d'agriculture de France est l'outil de stockage, de présentation et de diffusion du SAVOIR de notre Société savante qui, depuis plus de 250 ans..., a "comme passion connaître et comme ambition transmettre" les #Factcheck dans les domaines de l'Agriculture, de l'Alimentation et de l'Environnement.

Il a pour cible LE PLUS GRAND NOMBRE D'ENTRE VOUS CHERS INTERNAUTES !

Y "surfer" est des plus simples...

Notre site est, en effet, conçu comme un "mille feuilles de la connaissance".

En Home Page, vous trouvez :

En cliquant sur les onglets du haut de la Home Page, vous avez accès :

  • Aux modalités de fonctionnement de l'Académie (sa gouvernance, ses sections, ses groupes de travail),
  • Aux actualités de l'Académie,
  • A un annuaire en ligne de l'Académie,
  • Aux prix et médailles que l'Académie décerne,
  • A toutes les publications de l'Académie (Avis, Rapport, Notes Académiques, Points de vue sur, Ouvrages,...), 
  • Au très riche Fonds documentaire de l'Académie,
  • A un formaulaire contact pour poser vos questions à l'Académie,

Ces onglets donnent accès à des sous-onglets qui permettent d'accéder aux informations spécifiques. Ainsi, par exemple :

Ces exemples ne sont qu'une toute petite illustration de "ce que à quoi les sous-onglets donnent accés" !!!

Les journalistes ont, quant à eux, leur rubrique dédiée ici : https://www.academie-agriculture.fr/presse

Enfin, un moteur de recherche permet, "aux plus curieux", d'aller piocher dans le contenu du site Internet à l'aide de mots-clefs.

Etre Académicienne ou Académicien, c'est "avoir l'honneur de rejoindre" une Société savante, fondée en 1761 par Louis XV.

Constituée de personnalités parmi les plus éminentes de l'époque dans le domaine de l'agronomie (Duhamel du Monceau, Buffon, Lavoisier, Malesherbes, la lignée des Vilmorin...), cette Société savante a vu le jour au Siècle des Lumières, à un moment où il devenait essentiel de développer l'agriculture du pays, en utilisant et en améliorant les techniques disponibles. Vers 1785, elle adopte pour devise : "DE L’UTILITÉ VIENT L’HONNEUR".

L'Académie d'agriculture de France est désormais un Établissement reconnu d’utilité publique, qui a pour mission de contribuer, dans les domaines scientifique, technique, économique, juridique, social et culturel à l’évolution de l’agriculture et des territoires ruraux.

Elle étudie sous leurs aspects nationaux, européens et internationaux :

  • La production, la transformation, la consommation et l’utilisation des produits de l’agriculture et de l’élevage, de la forêt, de la pêche et de l’aquaculture,
  • L’utilisation et la gestion des ressources naturelles, afin de préserver et améliorer l’environnement, la protection et la restauration de la biodiversité, en tenant compte de la conséquence de ces choix sur la qualité de vie de la population,
  • Les évolutions sociales, économiques et culturelles dans les domaines de l’agriculture, la forêt, le bois, la pêche, l’alimentation, l’eau et l’environnement,
  • Les rapports avec la société et entre ruraux et citadins.

En 2018-2019, son programme de travail est centré autour de six thématiques principales :

  • Produire mieux et plus pour nourrir les hommes
  • Adapter la gestion des écosystèmes agricoles et forestiers aux changements globaux
  • Intégrer les politiques agricoles, environnementales et territoriales
  • Contribuer au débat sur les innovations et leur acceptabilité sociale.
  • Diffuser des connaissances
  • Approfondir des concepts

Sa devise est désormais : "UNE PASSION CONNAITRE, UNE AMBITION TRANSMETTRE".

Pour devenir Académicienne ou Académicien, il faut d'abord être élu.

Et avant d'être élu, il faut avoir été "repéré", par d'autres membres de la Compagnie, pour ses qualités professionnelles.

L’Académie est composée de 120 membres titulaires, 180 membres correspondants, 60 membres et 60 correspondants associés originaires d’une cinquantaine de pays et de plus d’une centaine de membres émérites et honoraires.

La grande diversité des compétences et des origines de ses membres explique la richesse des réflexions menées par l'Académie. Sont ainsi représentés les milieux de la recherche, de l'agriculture, de la foresterie, de l'industrie, de la haute fonction publique, de la banque et de l'économie, de la médecine humaine, de la médecine vétérinaire, de la presse, des organisations socioprofessionnelles, des organisations parapubliques, du monde de la politique et des organisations internationales.

Ces membres ont été élus Intuitu personae et non pour défendre les positions des entreprises ou organismes auxquels ils appartiennent ou ont appartenu.

Les Académiciennes et Académiciens, ne sont pas rémunérés ni indemnisés de leurs frais de déplacements.

Il est au contraire fait régulièrement appel à "leur générosité", car l'Académie peine actuellement à boucler son budget annuel.

Etre Académicienne ou Académicien implique de participer aux travaux de l'Académie et de s'en prévaloir.

Les membres de l'Académie sont répartis en dix sections thématiques :

  • Productions végétales (section 1)
  • Forêts et filière bois (section 2)
  • Production animale (section 3)
  • Sciences humaines et sociales (section 4)
  • Milieux & êtres vivants (section 5)
  • Sciences de la vie (section 6)
  • Environnement et territoires (section 7)
  • Alimentation humaine (section 8) 
  • Agrofournitures (section 9)
  • Économie et politique (section 10)

Un grand nombre d'entre eux participent aux groupes de travail transversaux mis en place par l’Académie pour prendre  en compte les préoccupations de la société dans de nombreux domaines, comme par exemple : l'Agroécologie, la Politique agricole commune, le Gaspillage alimentaire, la Consommation de viande, l'Antibiorésistance, les Risques alimentaires et la Transition alimentaire, les Nouvelles biotechnologies agricoles et alimentaires,...

Certains d'entre eux sont, par ailleurs, membres des organes de gouvernance de l'Académie :

  • La Commission académique, compétente en termes d'orientations générales et d'organisation,
  • La Commission des programmes, en charge de la définition des thèmes de réflexion, d'études de séances publiques, de colloque et de visites dans les territoires,
  • La Commission des finances, en charge des questions budgétaires et de la gestion des biens de l'Académie,
  • Le Bureau, organe exécutif de l'Académie, qui prépare puis met en oeuvre les décisions des différentes commissions.

Au jour le jour, être Académicienne ou Académicien, c'est contribuer activement à l'élaboration des "productions du savoir de l'Académie".

Au rang desquelles :

  • les Séances hebdomadaires #seanceshebdos (dont des séances communes avec d’autre académies) et les colloques publics,
  • les Avis, les Rapports et les Points de vue d'Académicien sur,
  • les Notes académiques,
  • l'ENCYCLOPEDIE de l'Académie,
  • les Livres de l'Académie,
  • les Articles,...

Mais c'est aussi, pour certains d'entre eux :

  • participer aux dispositifs mis en place par l'Académie afin de récompenser par des prix, bourses et médailles; les auteurs de travaux qui contribuent à l’avancement des sciences, des techniques et de l’économie, relatives à l’agriculture, à l’agroalimentaire, à la filière bois, à l’environnement et à l’information scientifique;
  • assurer des liaisons avec des institutions françaises et étrangères sur des problématiques communes en Europe et avec les pays d’Afrique principalement,
  • faciliter les relations entre Académie et Enseignement supérieur agronomique
  • voire, contribuer à l’étude de l’histoire de l’agriculture et du monde rural, en relation avec l’Association pour l’étude de l’histoire de l’agriculture (AEHA).

Enfin, au jour le jour, être Académicienne ou Académicien c'est enrichir les supports de communication de l'Académie :

Au rang desquels :

  • Le site Internet,
  • La Revue,
  • Le Mensuel,
  • Les pages sur les Réseaux sociaux.

Pour en savoir plus sur les Académiciennes et les Académiciens, ainsi que sur leurs travaux, télécharger le fichier PDF ou cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

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Le 8 Août 2019 un nouveau rapport spécial du GIEC est sorti. Il traite des "liens entre le changement climatique, la désertification, la dégradation des terres, la gestion durable des terres, la sécurité alimentaire, et les flux de gaz à effet de serre dans les écosystèmes terrestres".

Nous vous invitons à une demi-journée de présentation de ce rapport le 12 Septembre 2019, 16 rue Claude Bernard (Paris 5ème) à AgroParisTech, de 9h30 à 13h-13h30.

Cette présentation est dédiée à un large public, et présentera les principales conclusions du rapport.

Elle est organisée par : l'Académie d'agriculture de France (qui lui a accordé son patronage); AgroParisTech; le Laboratoire d'Excellence BASC; l'Institut Convergence CLAND; l'INRA; l'unité de support technique du Groupe I du GIEC; l'ONERC et l'ensemble des ministères.

La séance sera enregistrée et téléchargeable - vous pourrez également (en principe) la suivre en temps réel.

Vous trouverez le programme, en pièce jointe.

Pour s'inscrire, obtenir les mises à jour du programme et les liens pour suivre en visio la conférence : https://www.eventbrite.fr/e/billets-le-changement-climatique-lutilisation-des-terres-et-la-securite-alimentaire-65795467013

SVP Si vous êtes inscrits et ne pouvez pas venir PREVENEZ-NOUS ! Car nous avons un nombre limité de place...

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Nathalie de Noblet-Ducoudré

Membre de l'Académie d'Agriculture de France

Laboratoire des Sciences du Climat et de l’Environnement;

Unité Mixte CEA-CNRS-UVSQ, Université Paris-Saclay Co-Coordinatrice du LabEx BASC (Biodiversité, Agrosystèmes, Société, Climat)

Cet évènement, organisé en partenariat avec le Conseil National de l’Alimentation, se tiendra le 10 octobre 2019 de 9h00 à 17h30, en salle des séances de l’Académie d’agriculture de France - 18, rue de Bellechasse – 75007 Paris (Métro : Solférino).

Les sujets abordés et la qualité des intervenants pour les traiter laissent supposer une affluence importante.

OR, L'ACCES AU COLLOQUE EST GRATUIT ET LE NOMBRE DE PLACES EST LIMITE A 100.

Nous ne pouvons donc que vous inciter vivement à vous inscrire dès à présent.

Pour ce faire, c'est simple, il vous suffit d'envoyer un mél à : philippe.kim-bonbled@academie-agriculture.fr, en précisant votre nom, votre prénom et votre origine professionnelle.

Pour prendre connaissance du programme du colloque "Le Droit à l’Alimentation pour Tous : Où en sommes-nous ? ", cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

3 prix ont été décernés par le Jury du Concours Make it Agri, que l'Académicien présidait :

  • Premier prix au Projet PHERODRONE de l'équipe Centrale Lyon.
  • Deuxième prix au Projet HEXAPODE de l'équipe AgroParisTech, Centrale, Supélec.
  • Troisième prix au Projet GOPASTURE de l'équipe 100% féminine ISA Lille.

Les lauréats se verront remettre leur récompense, le 26 septembre prochain lors de la rentrée solennelle de l'Académie d'agriculture de France

Pour revoir sur YouTube la divulgation des résultats du concours, cliquer ici : https://www.youtube.com/watch?v=xPYVVE5MQyU

Juste avant l'intervention de Philippe Gate, Constant Lecoeur, Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France, avait rappelé pourquoi la Compagnie a souhaité être un partenaire très actif du concours.

Pour revoir sur YouTube l'intervention du Secrétaire perpétuel, cliquer ici : https://www.youtube.com/watch?v=spOd6vmUUro&t=12s  

Pour en savoir plus sur le concours Make IT Agri, dont l'édition 2020 est d'ores et déjà une réalité, cliquer sur le lien Internet ci-dessous : http://makeitagri.org/

La structure de coordination thématique entre enseignement supérieur et recherche, a été créée en 2015, pour promouvoir l’offre française dans le domaine des sciences agronomiques et vétérinaires à l’international.

En quatre ans, Agreenium a développé ses actions autour de 3 axes principaux :

  • la formation et la recherche,
  • l’enseignement numérique,
  • l’action à l’international.

Son bilan "montre que le travail coopératif mené avec ses membres a permis de développer la visibilité des formations et des unités de recherche de ses membres grâce à la construction de bases de données. Les réflexions engagées et les projets mutualisés portés par Agreenium ont permis de stimuler l’innovation pédagogique, le lien formation-recherche et la mise en lisibilité du collectif des membres".

Pour accéder au bilan d'activités et à la vidéo anniversaire d'Agreenium, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Les dossiers de candidature doivent parvenir à l’Association pour la valorisation de la recherche en économie et gestion agroalimentaires (AREA) au plus tard le 31 décembre 2019.

Les prix internationaux AREA récompensent des thèses, masters (recherche et professionnel), mémoires d'écoles d'ingénieurs ou autres écoles et instituts.

Le champ des travaux concernés s'étend "des intrants et de l'environnement des productions agricoles, alimentaires et agro-industrielles, artisanales et industrielles, aux services et aux consommations finales, alimentaires ou non".

Les travaux doivent comporter une approche économique pour être recevables. Les aspects territoriaux et internationaux sont appréciés. La qualité académique ayant déjà été jugée, des qualités d'innovation et des perspectives concrètes sont attendues.

Pour lire l'appel à candidatures pour les Prix AREA 2020, cliquer sur le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur l'AREA, cliquer sur lien Internet, ci-dessous :

Ce Tour de France a été diffusé hier à 21 h, par "Thierry agriculteur d'aujourd'hui" sur sa chaîne Youtube: https://www.youtube.com/channel/UCKpXbgTztfWrrNLx4w1EYKw , à l'occasion de son 14e RDV agri.

Y ont participé : Gilles, Jean-Loup, Benji, Théo ou encore Gaël...

RDV agri est une émission de "Thierry agriculteur d’aujourd’hui", dont Terre-net est partenaire. Elle est diffusée en direct sur sa chaîne Youtube un lundi sur deux à 21 h. Pendant une heure, Thierry "reçoit un agriculteur et/ou un expert pour traiter d'un sujet agricole à destination des professionnels". L’émission se compose de deux parties:

  • Une partie discussion d’une durée de 45 minutes, durant laquelle les spectateurs peuvent interagir avec les invités.
  • Une partie magazine d’une quinzaine de minutes durant laquelle divers sujets sont traités.

Pour en savoir plus, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Avec le soutien du think tank agrIDées, l'Université de Bourgogne ouvrira cette session à Paris le 18 octobre 2019.

Elle sera dispensée par des spécialistes de renom.

Son programme (sous réserve de modifications) est le suivant :

Vendredi 18 octobre 2019 Introduction :

  • Sources du droit de la vigne et du vin
  • Notion d’activité viti-vinicole
  • Organisation de la filière viticole
  • Enjeux économiques, sociétaux et environnementaux

Vendredi 25 octobre 2019 :

  • La maîtrise du foncier et la réglementation en matière de plantations viticoles
  • Les baux viticoles
  • Viti plantation

Vendredi 8 novembre 2019 :

  • Société
  • Transmission
  • Coopérative comptabilité
  • Fiscalité

Vendredi 15 novembre 2019 :

  • Matin : La traçabilité de la production : déclarations à la Douane et procédure d’un contrôle de cave
  • Après-midi : Règlementation étiquetages mentions obligatoires et facultatives

Vendredi 29 novembre 2019 :

  • Matin : Communication et publicité
  • Après-midi : La vente du vin

Vendredi 6 décembre 2019 :

  • Matin : International / droit comparé/environnement
  • Après-midi : de 14 h à 15 h : examen et de 15 h 30 à 17 h 30 : dégustation de vins

La formation se déroulera dans les locaux d'agrIDées, partenaire de l'Académie d'agriculture de France : 8, rue d'Athènes - 75009 Paris.

Son coût est de 1700 € (hors droits d'inscription universitaire).

Prérequis :

  • Etre titulaires d'un diplôme de niveau Bac+2, justifiant de 3 années d'expérience professionnelle.
  • A défaut, l'accès peut être envisagé après validation des acquis, spécialement pour les candidats ayant acquis une expérience significative de 5 ans.

Nombre de places limitées à 15 personnes

Pour en savoir plus sur la session du diplôme universitaire (DU) "Droit de la vigne et du vin" 2019, prendre contact avec Philippe Gonod à partir du 22 août 2019. Secrétariat des formations de Droit rural Courriel : philippe.gonod@u-bourgogne.fr  Tél. : 03 85 21 94 22

L'Académie d'agriculture de France, "société savante" créée en 1761, est un établissement reconnu d'utilité publique dont le Président d'honneur est le ministre de l'Agriculture.

La Compagnie a donc, par nature, des relations privilégiées avec le Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Pour renforcer ces relations et leur donner un "trame d'actions concertées", une convention d'un "nouveau genre" vient d'être signée par les deux instances.

Outre la poursuite du versement d'une dotation financière de fonctionnement, le texte prévoit, pour l'année 2019 :

- l'organisation par l'Académie de deux colloques sous le patronage du Ministère,

- la rédaction, comme le souhaite le Ministère, d'un avis de l'Académie sur la "réécriture du génome, éthique et acceptabilité sociétale",

- la diffusion par l'Académie de documents auprès des établissements d’enseignement agricole et un lien régulier vers les plus de 30.000 étudiants,

- la poursuite de la diffusion par l'Académie, notamment sur son site Internet et son compte Twitter, des informations importantes du Ministère, qui relèvent des domaines de compétence de la Compagnie,

- la confirmation de la mise à disposition de l'Académie, par le Ministère, d'un cadre supérieur, chargé d'assurer le développement de la communication grand public de la Compagnie.

L'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France est un document, "interactif et évolutif" dans le temps, conçu à l’attention du plus grand nombre (politiques, enseignants-chercheurs, professionnels, journalistes, grand public,…).

Son contenu, issu des réflexions et de l’expérience avérée des membres de la Compagnie, a pour vocation de rétablir une forme de vérité (#factchecking) sur des sujets d’actualité dans les secteurs de l’Agriculture, de l’Alimentation, de l’Environnement, dont certains font "débat" voire font l’objet d’informations erronées (#fakenews).

Ce contenu ne laisse pas indifférents certains détracteurs des évidences scientifiques, en témoignent certaines attaques dont ont fait l'objet quelques chapitres de l'Encyclopédie, récemment dans une certaine forme de presse.

L’Encyclopédie de l’Académie d’agriculture de France comporte les parties "hiérarchisées" suivantes :

  • Les Comptes-rendus de l’Académie : "mémoire" de toutes les séances publiques hebdomadaires de la Compagnie,
  • Les Potentiels de la science pour une agriculture durable : écrits "faisant état des connaissances scientifiques" en ce domaine complexe,
  • Les Questions sur … : "synthèses techniques et scientifiques" sur un sujet d’actualité, prolongeant celles commencées dans la filière Forêt Bois, à destination d’un public "averti",
  • Les Repères : "fiches pédagogiques et ultra-synthétiques" (sous forme : 1 graphique, 1 explication, 1 bibliographie) sur un sujet d’actualité, à destination de TOUTES et TOUS.

Pour accéder à l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet ci-dessous:

Les Bourses annuelles de recherche Jean et Marie Dufrenoy, Crédit Agricole Ile-de-France Mécénat sont attribuées, chaque année, à de jeunes chercheurs inscrits en vue de la préparation d’un doctorat ou à des techniciens inscrits dans des formations avancées de promotion et poursuivant des travaux originaux. Les disciplines concernées sont prioritairement : la chimie biologique, la microbiologie, la phytopharmacie, la génétique, la phytotechnie, la zootechnie, la sylviculture, les sciences de la nutrition, la statistique, les nouvelles techniques de l'information et de la communication (NTIC), appliquées à tous les domaines agronomiques, y compris l’économie.

Ces bourses ne sont pas renouvelables.

Depuis 2014, le financement de ces bourses est assuré paritairement avec le Crédit Agricole d’Ile-de-France Mécénat. Les lauréats de la bourse Dufrenoy sont invités à présenter leurs travaux au cours d'une séance publique de l'Académie.

Pour découvrir la Palmarès 2019, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Un concours ainsi titré sera lancé en septembre 2019 par le Groupement d'intérêt scientifique (GIS) Avenir Elevages, avec le soutien du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation - Direction générale de l'enseignement et de la recherche (DGER).

Les équipes participantes auront pour objectif de "créer des jeux sérieux pour expliquer comment fonctionne l’élevage aujourd’hui en France aux élèves des filières générales".

Le concours est ouvert aux élèves des établissements d’enseignement agricole secondaire, publics ou privés durant l’année scolaire 2019-2020.

Chaque équipe (groupe d’élèves d’une même classe ou non, classe complète) doit s’inscrire par l’intermédiaire d’un enseignant référent.

Pour en savoir plus sur le concours "Un jeu sérieux pour expliquer l’élevage" et y participer, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Du 15 juillet au 30 août 2019, sous le hashtag "#FOCUSESTIVAL", l'Académie d'agriculture de France mettra en avant, chaque jour ouvré de la semaine, sur son site Internet et sur ses pages sur les Réseaux sociaux : "un document, un fait, une activité,..., qui a marqué son actualité durant le premier semestre 2019".

NE RATEZ PAS CE FOCUS ESTIVAL !

La deuxième édition du HackTaFerme a lieu du vendredi 30 août (accueil vers 11h-12h) au dimanche 1er septembre 2019 (clôture vers 17h) à L’Isle-Jourdain (près de Toulouse, dans le Gers).

L’évènement se compose en trois temps forts (horaires à confirmer) :

#1 Welcome et 1, 2, 3… pitchez !

Vendredi 30/08 (12h-14h)

Accueil des participants et foire aux pitchs. Les équipes ou les porteurs d’idées présentent leurs projets sous forme de pitch de 3 minutes. Les équipes se forment pour défendre une idée précise. Les participants qui n’ont pas d’idées rejoignent les équipes en formation selon leurs compétences techniques.

#2 Ça code, ça code !

Vendredi 30/08 (15h) jusqu’au dimanche 01/09 (12h)

Les équipes sont accueillies chez les agriculteurs. Pour les quelques moments de repos, pensez à emmener vos tentes ! Il y a aussi des possibilités d’hôtels ou de gîtes à proximité des fermes. Les nuitées sont à votre charge. Les repas sont pris en charge par l’organisation du HackTaFerme.

#3 A vous de jouer !

Dimanche 01/09 (13h-17h)

Les équipes défendent leurs idées devant un jury composé d’agriculteurs, d’acteurs du monde agricole, et de l’AgTech. Les prix sont attribués. Enfin, un buffet festif clôturera le HackTaFerme.

HackTaFerme est organisé par l’Association de coordination technique agricole (Acta), les groupes coopératifs Arterris et Val de Gascogne, et les Chambres d’agriculture d’Occitanie, et soutenu par #Digitag, Agri Sud-Ouest Innovation, API-AGRO, 3DS Outscale et Fermes Leader.

Pour en savoir plus et participer "au codage dans le Gers", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Dominique Mignot, Président du jury du Prix, vient d'annoncer qu'il a été attribué à Camille Billion, pour sa thèse intitulée :"Rôle des acteurs du commerce et de la distribution dans le processus de gouvernance alimentaire territoriale", thèse qu'il a soutenue à l'Université Clermont Auvergne sous la direction de Sylvie Lardon (Directrice de Recherche à l'Institut national de la rechreche agronomique).

Camille Billion a exposé la portée, les résultats et les enjeux de sa thèse lors du colloque ASRDLF 2019 de Iasi, Roumanie, le 6 juillet dernier.

Le 56ème colloque de l’Association de Science Régionale de Langue Française (ASRDLF), qui s'est tenu à l’Université Alexandru Ioan Cuza de Iasi (Roumanie), du 4 au 6 Juillet 2019, avait pour objectif de "débattre de l’adaptation des nouvelles dynamiques spatiales et des politiques territoriales à la durabilité à travers le monde, à l’Est comme à l’Ouest, au Nord comme au Sud".

André Torre, membre de l'Académie d'agriculture de France y est intervenu sur le thème :"Les moteurs du développement territorial".

Pour en savoir plus sur le Colloque ASRDLF 2019, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le "teaser" du film est le suivant :

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Les agriculteurs de demain sont “Entre deux mondes”. Ils ont la vie devant eux et notre avenir entre leurs mains.

Pendant deux ans, une équipe de France 3 Bourgogne Franche-Comté et de Seppia Film a suivi huit étudiants en BTS agricole.

Travailler pour nous nourrir tout en préservant la planète, c’est leur défi et celui de l’agroécologie.

Depuis 2014, leurs professeurs enseignent à produire autrement. L’agroécologie est désormais au cœur des programmes de ce BTS ACSE ( Analyse et conduite de systèmes d'exploitation). Entre les habitudes héritées de leurs familles et l’enseignement de méthodes innovantes, ces étudiants sont "Entre deux mondes".

Ces huit étudiants ont préparé leur diplôme entre 2016 et 2018, dans deux lycées agricoles de Franche-Comté. L’un, le lycée LaSalle est à Levier dans le Haut-Doubs, l’autre, le lycée Granvelle est à Dannemarie sur Crête près de Besançon (Doubs).

Comment ces étudiants s’apprêtent-ils à vivre cette transition écologique ? C’est ce que nous découvrirons dans ce film réalisé par Isabelle Brunnarius et coproduit par Seppia Film et France télévisions.

L'équipe a voulu prendre le temps de comprendre comment ils s’apprêtaient à vivre cette transition écologique en rencontrant régulièrement ces jeunes tout au long de leur formation du jour de la rentrée à celui de l'annonce des résultats du diplôme de BTS .

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Pour visionner le documentaire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ils seront plus de 100 participants à rejoindre l’Ecole Nationale Supérieure de Formation de l'Enseignement Agricole (ENSFEA) de Toulouse-Auzeville(Haute-Garonne, venant de différents pays francophones, pour exposer leurs travaux de recherche contemporaine en éducation.

L’objectif de la journée est d’établir un état des lieux sur les changements récents qui contribuent à redéfinir le champ de la recherche en éducation à partir de cinq thématiques : les postures et partenariats, les pratiques d’enseignement, les espace(s) de travail formateur(s) et les expériences de formation, les relations en éducation.

Les communications seront présentées selon deux modalités originales : 

  • une communication dans un des cinq ateliers proposés, en s’appuyant sur des supports artistiques de nature très variée (affiche, photographie, vidéo peinture, musique, performance, théâtrale lecture, poème, collage, etc.) ; 
  • une communication sous forme de capsule vidéo.

La journée des jeunes chercheur-e-s est organisée par le Laboratoire Junior d’EFTS (LJEFTS) et des doctorants et docteurs de l’UMR EFTS. Elle sera le début d’une semaine de symposium et de colloques qui s’inscrivent dans le cadre de la 16ème édition des rencontres internationales du réseau de Recherche en Éducation et en Formation (REF) et qui se dérouleront à l’Université Toulouse Jean-Jaurès.

Le Réseau REF fête également à cette occasion ses 30 ans !

Pour en savoir plus sur cette journée à l'ENSFEA, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

La médaille d’argent est destinée à récompenser une thèse de grande qualité, dont l’analyse, réalisée par l’Académie, est publiée sur le site de l’Académie d’agriculture de France. Peuvent être candidats, des personnes ayant soutenu leur thèse dans la période commençant au début de l’année académique précédant l’année d’attribution de la médaille.

La liste des médaillés 2019 est disponible ici :

https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/medaille-argent-academie

Les heureux récipiendaires présenteront leurs travaux le 26 septembre 2019 à 8h45 dans les locaux de l'Académie.

Pour y venir, cliquer ici :

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/autre/academie/presentation-des-theses-pour-la-remise-des-medailles-dargent-1

Le prix annuel (3 000 euros) de la Fondation Xavier-Bernard (reconnue d’utilité publique) est destiné à récompenser, dans l’esprit novateur de son fondateur, les auteurs des meilleurs travaux de recherche pouvant contribuer au développement durable de l’agriculture en répondant aux attentes de la société dans le domaine de l’alimentation, de l’économie et de l’environnement.

La liste des lauréats 2019 est disponible ici :

https://www.academie-agriculture.fr/prix-medailles/prix-fondation-xavier-bernard

Les heureux récipiendaires présenteront leurs travaux le 26 septembre 2019 à 9h00 dans les locaux de l'Académie.

Pour y venir, cliquer ici :

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/autre/academie/presentation-des-memoires-de-fin-detudes-recompenses-par-la-0

Intitulé "Entre deux mondes" le synopsis de ce documentaire de 52' d'Isabelle Brunnarius est le suivant :

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"Septembre 2016. Ils ont une vingtaine d’années et font leur rentrée au lycée agricole Lasalle de Levier (Doubs). À quelques kilomètres de là, d’autres élèves reprennent également les cours au Centre de Formation des Apprentis du lycée agricole de Dannemarie-sur-Crête (Doubs). Pendant deux ans, ils vont préparer leur BTS : Analyse, conduite et stratégie de l’entreprise agricole. Ils s’apprêtent à aller en cours, en stage et pour certains chez leurs maîtres d’apprentissage.

Certains sont fils ou filles d’agriculteurs. Leur projet de vie est de reprendre une exploitation qu’elle soit familiale ou non. Céréaliers, producteurs laitiers, éleveurs… tous seront pris en tenaille entre la loi des marchés internationaux et les exigences environnementales.

Leurs professeurs, eux, doivent appliquer le nouveau programme : Enseigner à produire autrement, lancé depuis 2014 par le ministre de l’Agriculture Stéphane Le Foll. L’Etat veut engager l’agriculture française sur la voie de l’agroécologie. Autrement dit, il s’agit de produire dans une logique qui remet en cause les pratiques et les certitudes des agriculteurs qui ont été formés dans les années 60. Pendant deux ans, nous sommes aux côtés de certains de ces élèves.

Nous les suivons en cours, sur la ferme de leur lycée, en stage, chez eux. Comment appliquer cet enseignement qui remet en cause leurs certitudes, celles de leurs parents, de leur maître d’apprentissage ? Quels sont les blocages ? Cette transition bouscule aussi les repères des enseignants. De la rentrée 2016 à la remise des diplômes en 2018, nous aurons observé leurs enthousiasmes, leurs résistances, leurs doutes et nous aurons aussi cherché à comprendre de l’intérieur cette transition du monde agricole".

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Le documentaire de 52' a reçu le soutien du Centre national du cinéma et de l'image animée, de la Région Bourgogne Franche-Comté et du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Pour en savoir plus sur le documentaire "Entre deux mondes", cliquer ici : https://www.francetvpro.fr/bourgogne-franche-comte/communiques-de-presse/entre-deux-mondes-25116180  

Pour visionner sa bande-annonce, cliquer ici : https://seppia.eu/fr/entre-deux-mondes/  

Pour accéder au livre de photos des jeunes agriculteurs en formation, par ailleurs, paru aux Editions Educagri, cliquer ici : https://editions.educagri.fr/livres/5465-entre-deux-mondes-9791027503155.html

Ce dispositif est proposé aux doctorants des établissements membres d'Agreenium (En savoir plus : https://www.agreenium.fr/).

Un enseignant–chercheur les accompagnera tout au long de la semaine dans les différentes activités et les prises de contacts qui les intéressent.

La conférence annuelle de l'European Federation of Animal Science (EAAP) 2019 a lieu à Gand (Belgique), du 26 au 30 août, sur le thème "Animal farming for a healthy world". Elle s’articule autour de thématiques variées telles que : bien-être animal, efficacité de la ressource, diversification, agro-écologie, changement climatique et qualité du produit. 1200 participants, scientifiques et experts industriels y sont attendus.

Les doctorants intéressés par l'accompagnement doivent s'inscrire avant le 15 juillet 2019 sur le site Internet d'Agreenium.

Pour en savoir plus sur l'accompagment d'Agreenium à l'EAPP 2019 et s'inscrire, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

La séance, intitulée "Modification ciblée des génomes par la technologie CRISPR-Cas9 : nouveaux développements, nouveaux problèmes", s'est tenue le 16 avril 2019 de 14h30 à 17h00 en Grande salle des séances de l'Institut de France - 23, quai Conti - 75006 Paris. En savoir plus :https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/inter-aca...

Les Académiciens sont intervenus sur les thèmes suivants :

  • "Réécriture génomique pour la sélection végétale", pour ce qui concerne Georges Pelletier
  • "Les ruminants d'élevage sur le front des connaissances" Jean-Paul Renard

Pour visionner leurs interventions enregistrées en vidéos, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le colloque se tiendra les 6 et 7 juin 2019 à Toulouse (Haute-Garonne).

Il a pour objectif de "développer des échanges entre les écoles d’ingénieurs, de diffuser les bonnes pratiques, de permettre une réflexion générale sur des problématiques actuelles afin d'élaborer ensemble des axes stratégiques de développement".

Au travers de conférences plénières et d’ateliers thématiques, ce colloque abordera les sujets suivants :

  • Éthique et numérique
  • Technologies et genre
  • Éthique et données de la recherche
  • Politique industrielle, territoires et écoles d’ingénieurs
  • Trajectoires de formation
  • Nouvelles pédagogies et éthique
  • Stratégie de développement à l’international
  • L’éthique dans les formations d’ingénieurs : les écoles au cœur de la transformation du monde.

La Conférence des directeurs des écoles françaises d’ingénieurs (CDEFI), qui l'organise représente l’ensemble des 200 écoles françaises d’ingénieurs accréditées par la Commission des titres d’ingénieur. Ces écoles rassemblent près de 142 000 élèves-ingénieurs.

Pour en savoir plus sur ce colloque, qui s’adresse à l’ensemble des membres des équipes de direction des écoles françaises d’ingénieurs, aux partenaires de la CDEFI, et aux représentants des associations étudiantes, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La salle des séances était comble et son public jeune, voire fort jeune, pour l'occasion, mardi 21 mai 2019 matin.

Un public au demeurant très à l'aise dans les murs, pourtant imposants, de la Compagnie.

Après les quelques mots d'accueil de :

  • Jean-Louis Bazille, Président de la Fédération du Crédit Mutuel Agricole et Rural,
  • Constant Lecoeur, Secrétaire perpétuel de l’Académie d'agriculture de France,
  • Philippe Vincent, Doyen de l’inspection de l'enseignement agricole au ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation,

Les films des cinq finalistes de la catégorie Agriculture et Territoires du concours (organisée par le Crédit mutuel avec l'appui de l'Académie d'agriculture de France) ont été visionnés.

Au programme :

Des diplômes d'encouragement de l'Académie d'agriculture de France ont été remis aux jeunes réalisateurs et..., interprètes. 

La matinée s'est terminée par des photographies dans l'escalier de l'Académie, une présentation de son Fonds ancien et un pot dans sa Bibliothèque, laissant la part belle aux fraises Tagada. A revoir ici :

https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations...

L'après-midi les classes se sont rendues au Grand Rex de Paris, pour assister à la remise officielle des claps (Diamant, Or, Argent et Bronze) du concours "Je filme le métier qui me plait" en présence de l'acteur Jean Dujardin.

Sous les acclamations de quelque 2700 spectateurs, "Ecureuil… pas bête !" du Collège Olympe de Gouges s'est vu remettre le clap d'or de la catégorie Agriculture et territoires et "Apiculteur : le miel de la colère" du collège Malraux s'est vu remettre, des mains mêmes de Jean Dujardin, un des deux Claps de Diamant, toutes catégories confondues. A revoir ici : https://twitter.com/AcademieAgri

FELICITATIONS AUX HEUREUX VAINQUEURS !

2412 films étaient en compétition cette année.

Pour en savoir plus sur le concours" Je filme le metier qui me plait", cliquer sur le lien internet ci-dessous :

L'appel à des "reportages sur la santé des végétaux présentant un intérêt humain" de l’Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) et du Secrétariat de la Convention internationale pour la protection des végétaux (CIPV) a été lancé lors de la 14e session de la Commission des mesures phytosanitaires (CMP), qui s'est tenue tout récemment.

Il a pour but de "promouvoir des histoires réelles sur l’impact de la santé des végétaux sur la vie de nombreuses personnes dans tous les secteurs".

Les organisatueurs précisent que "les histoires seront utilisées pour inciter les gens à agir".

La date limite pour indiquer son intention de répondre à l'appel est fixée au 30 juin 2019.

La date limite pour envoyer les histoires finalisées est fixée au 30 septembre 2019.

Pour en savoir plus sur "l'appel à des reportages sur la santé des végétaux" de la CIPV et de la FAO, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Cette séance publique (#seancehebdo) de l'Académie d'agriculture de France, accessible gratuitement à toutes et tous, sans inscription, a pour thème : "La communication chez les végétaux : mythe ou réalité ?"

Elle fait d'ores et déjà l'objet de bon nombre de citations sur les Réseaux sociaux, et tout particulièrement sur Twitter.

Il faut dire que l’objectif de cette séance est de "présenter les derniers résultats scientifiques concernant la réaction de nombreux végétaux, dont les arbres, à divers paramètres de leur environnement : phénologie et photopériode, croissance et fertilité du milieu, photosynthèse et sécheresse édaphique, ou interactions avec les organismes environnants; et la manière dont ces résultats scientifiques peuvent influencer notre vision des végétaux, et éventuellement notre gestion des écosystèmes forestiers".

La séance est organisée conjointement par les sections "Forêts et filière bois" et "Sciences de la vie" de l'Académie.

Sa Labellisation internationale lui donnera, certainement, encore plus de visibilité et de notoriété. Nous nous en réjouissons et nous en félicitons !

La cinquième journée internationale de célébration des plantes : “Fascination of Plants Day” 2019 (FoPD 2019), est lancée par des scientifiques du monde entier sous l’égide de l’Organisation européenne pour la science végétale (European plant science organisation - EPSO). Son but est de "faire en sorte que le plus grand nombre de personnes autour du globe soient fascinées par les plantes et conscientes de l’importance des sciences végétales pour l’agriculture et la production durable de nourriture, ainsi que pour l’horticulture, la foresterie et des productions non alimentaires à base de plantes, telles que le papier, le bois de construction, l’énergie et des molécules utiles à l’industrie chimique et pharmaceutique. Le rôle des plantes dans la conservation de l’environnement est également un message clé".

Sa "National Coordinator" est Marie-Jeanne Sellier, Saclay Plant Sciences network (SPS), Institut Jean-Pierre Bourgin, Institut national de la recherche agronomique (INRA) - Centre Île-de-France Versailles-Grignon (Yvelines).

Pour en savoir plus sur “Fascination of Plants Day” 2019 (FoPD 2019, cliquer ici : https://plantday18may.org/category/europe/france/  

Pour en savoir plus sur notre #seancehebdo labellisée du 29 mai 2019, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/academie/la-communication-chez-les-vegetaux-mythe-ou-realite

La journée de restitution du projet RedAb, qui se tiendra le 23 mai 2019 de 9h30 à 16h45 au Centre national interprofessionnel de l'économie laitière (CNIEL) - 42 rue de Châteaudun - 75009 Paris, s'efforcera de répondre à cette question.

Elle permettra de "présenter des outils innovants et de formuler des recommandations pour inciter les différents acteurs de l’élevage à diffuser des messages et à mettre en place des actions collectives et/ou individuelles pour une meilleure utilisation des antibiotiques dans les élevages bovins laitiers voire dans d’autres filières. Elle sera l’occasion de faire participer/réfléchir les participants afin de s’approprier les concepts clés du changement de pratique. Mais également s’approprier les outils disponibles".

La journée est destinée aux acteurs de terrains (décideurs professionnels, intervenants en élevage) et aux enseignants qui souhaitent développés des parcours de formation sur la réduction des antibiotiques.

Au programme :

  • 9h30 - Accueil des participants
  • 10h - Réduction des antibiotiques : contexte, enjeux et le projet RedAb
  • 10h30 - Comment aborder cette thématique en formation initiale et continue ?
  • 11h30 - Un accompagnement innovant à destination des éleveurs : parcours et classes virtuelles
  • 14h - Comment apporter des connaissances et lever les freins chez les éleveurs ?
  • 14h30 - Changements de pratiques et de postures : éléments clés Atelier participatif pour identifier les principaux leviers et freins au changement de pratiques
  • 15h30 - Et après ? Réflexion sur le déploiement des outils
  • 16h30 - Conclusion et perspectives

Pour en savoir plus sur la journée de restitution du projet RedAb du 23 mai 2019 et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La date limite d'envoi est fixée au 10 avril 2019.

Le colloque, organisé par Adebiotech, se tiendra les 14, 15 et 16 mai 2019 à Biocitech Romainville-Grand Paris (Seine-Saint-Denis).

Son objectif, selon ses organisateurs, est de "permettre à des professionnels de différents horizons d’échanger objectivement sur les Intrants durables au service des sols agricoles urbains et périurbains. Un focus sera fait sur certains produits, notamment les composts de boues, les biochars, les struvites et autres produits minéraux issus de biomasses, les frass, les digestats et les substances humiques. Les intérêts agronomiques de ces intrants (effet fertilisant, amendant, biostimulant) seront présentés ainsi que les outils et méthodes pour les évaluer dans les sols (agricoles, urbains et périurbains). L'impact de ces nouveaux intrants sur les sols et la qualité des productions alimentaires sera largement abordé. Enfin, une réflexion aura lieu sur les évolutions de la réglementation et leurs impacts (développement de ces nouveaux intrants, aspects économiques, développement durable)".

Pour en savoir plus sur le colloque Adebiotech, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Il a pour titre "L’agriculture face à ses défis techniques : L'apport des technologies". Bernard Le Buanec, membre de la Section "Productions végétales" de la Compagnie, en a assuré la direction. Il s’agit d’un ouvrage rédigé par un groupe de travail interacadémique qui regroupe des membres de l’Académie des technologies et de l’Académie d’agriculture de France. Ce groupe de travail s’est réuni régulièrement de 2016 à 2018 sous la direction de Bernard le Buanec, membre des deux académies. À l’issue de ces travaux, vingt-sept académiciens ont souhaité livrer leurs conclusions sur les défis techniques auxquels les agriculteurs sont confrontés aujourd’hui en France et les réponses que les technologies pourraient y apporter. La publication de ce livre a été assurée conjointement par les deux académies.

L'ouvrage "L’agriculture face à ses défis techniques : L'apport des technologies", livrable à partir du 15 avril 2019, fait l'objet d'une offre de souscription valable jusqu'au 16 mai 2019 (hors circuits commerciaux).

Ce 5e opus de la collection des Livres de l'Académie d'agriculture de France fait suite, très peu de temps après, à la publication du 4e qui a pour titre : "Le foncier : Entre propriété et expertise", signé de l'Académicien Gérard Chouquer, membre de la Section "Sciences humaines et sociales" de la Compagnie. Il s'agit d’un livre d’auteur qui, à travers une longue expérience professionnelle, fait part de son point de vue personnel et érudit sur un sujet qui lui tient à cœur. Il livre aux lecteurs ses réflexions en brossant un vaste panorama dans le temps et dans l’espace de la question foncière. S’appuyant sur une démarche épistémologique, juridique et scientifique, il dresse un tableau des enjeux actuels de la propriété foncière et agraire.

La sortie quasi simultanée, aux Presse des Mines, de ces deux livres témoigne du dynamisme du Comité des Livres de l’Académie d’agriculture de France. Un Comité constitué d’Académiciens dont les spécialités présentent un large éventail de champs de compétences (sciences et techniques, sciences agronomiques et du vivant, sciences sociales et humaines, économie et politique), et aux parcours professionnels diversifiés au sein de la recherche, de l’enseignement supérieur, de l’industrie, de l’administration ou de la communication. Présidé par Catherine Regnault-Roger qui dirige également la collection Académie d’agriculture de France publiée par Presses des Mines, il est composé à ce jour de Jean-Louis Bernard, Jean-François Colomer, Noëlle Dorion, Christian Férault, André Fougeroux, Léon Guéguen, Philippe Kim-Bonbled, Jean-François Morot-Gaudry et Nadine Vivier, membres des sections Productions végétales, Sciences humaines et sociales, Interactions milieux-êtres vivants, Sciences de la vie, Agrofournitures et Economie et Politique, ainsi que de la communication. Le Comité examine les propositions de publications que les Académiciens lui soumettent dans une volonté d’accompagnement des projets.

Pour en savoir plus sur la collections des Livres de l'Académie d'agriculture de France, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/livres-academie-agriculture-de-france

Pour commander les Livres de l'Académie d'agriculture de France, cliquer ici : https://www.pressesdesmines.com/categorie-produit/default-category/academie-dagriculture-de-france/ 

Pour bénéficier de l'offre de souscription sur l'ouvrage : "L’agriculture face à ses défis techniques : L'apport des technologies", télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Cette conférence débat du 18 mars 2019, qui s'est tenue à Bordeaux Sciences Agro, était organisée par l’Académie d’agriculture de France (AAF) en région Nouvelle Aquitaine, l’association les Amis de Cap Sciences et une équipe de Bordeaux Sciences Agro.

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La soirée a été articulée comme les séances de l’Académie, à savoir : une introduction sur le thème choisi (B. Laquièze AAF) et trois interventions de chercheurs ou acteurs dans le domaine animal et végétal :

  • Régis Ribereau-Gayon, Président du Conservatoire des races d’Aquitaine, a présenté des éléments de l’Histoire des races locales et de leur évolution, l’état de la situation, le risque de disparition d’espèces domestiques et l’intérêt de la conservation d’un patrimoine génétique diversifié
  • Xavier Bouteiller de l’UMR 1202 BIOGECO (thèse sur la dissémination du robinier dans le monde) sur la problématique complexe des plantes invasives, les processus de dissémination, les moyens, parfois contre-productifs de lutte contre l’invasion,
  • Brice Giffard, enseignant chercheur en écologie des communautés et entomologie à Bordeaux Sciences Agro s’est attaché à présenter ses travaux et ceux de membres de l’UMR SAVE sur les écosystèmes dans le vignoble, notamment quelques résultats des recherches issus de la thèse de Lucile Muneret permettant la comparaison de la richesse spécifique des auxiliaires de cultures entre système viticole conduit en mode conventionnel ou biologique et montrant une réalité très complexe et contrastée qu’il convient d’aborder sans a priori.

Un débat et une conclusion rapide (Louis Julien Sourd, Agronome, Amis de Cap sciences) a précédé un moment très convivial d’où sont nés beaucoup de contacts et quelques projets régionaux, dont des collaborations concrètes avec l’Association Française d’Agronomie en Nouvelle Aquitaine (Président Francis Macary IRSTEA).

Après un premier évènement qui avait eu lieu en novembre à Cap Sciences avec la participation d’agriculteurs, de viticulteurs et de sylviculteurs engagés dans des pratiques agroécologiques, une troisième opération est prévue après Pâques avec un ou plusieurs lycées agricoles et leurs partenaires professionnels, hors Bordeaux grâce à l’implication de la très dynamique Cheffe de mission arbo-maraîchage de la DRAAF, Marie-Agnès Godin.

Bordeaux 20/03/19

Brigitte Laquièze – AAF section 4 – Relais de l’AAF en Nouvelle Aquitaine

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Pour en savoir plus sur la Conférence-débat “Biodiversité et Anthropocène : cohabitation ou incompatibilité” ?, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :  

Une dizaine d'étudiants d'AgroParisTech sont venus, ce 18 mars, à l'Académie d'agriculture de France pour visiter les prestigieux locaux, prendre connaissance de l'activité de la Compagnie et découvrir la richesse du fonds documentaire.

Ils ont été accueilli par le Secrétaire perpétuel, Constant Lecoeur, en personne.

Puis, André Fougeroux leur a parlé d'illustres anciens de la Compagnie, tels Lavoisier et Dupont de Nemours, avant de leur présenter quelques "trésors" de la Bibliothèque, comme le célèbre "Théâtre d'agriculture et ménage des champs", année Olivier de Serres oblige...

Un bien intéressant moment d'échanges intergénérationnels, qui a enchanté nos juniors et nos séniors des secteurs de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement.

Pour revivre l'instant, cliquer sur les deux liens Internet suivants :

https://www.youtube.com/watch?v=QaghCzz9xoY&t=17s

https://www.youtube.com/watch?v=H3U9eomLrKo

Une séance plénière avait été organisée, pour ce faire, le 13 mars dernier.

Les membres de la Compagnie s'y sont rendus en grand nombre et y ont mené un riche et dense débat, mettant en exergue leurs diverses préoccupations :

  • préserver le collectif comme l’indépendance intellectuelle,
  • réfléchir au long terme tout en répondant à des urgences,
  • donner des avis et des points de vue sur..., sous contrôle de la commission académique,
  • s’ouvrir aux controverses et aux systèmes en transition.

A l'issue de ce débat les Académiciens et Académiciens présents ont adopté, à l’unanimité des votants moins une abstention, le texte présenté par le Groupe projet stratégique (GPS), qui a mené, pour ce faire, une année pleine de travaux à un rythme soutenu.

L'Académie d'agriculture de France se fixe désormais 5 défis pour les années à venir :

❶ Traiter des thèmes en phase avec les besoins de la société, voire les anticiper,

❷ Développer la transversalité des productions,

❸ Poursuivre l’ouverture à des partenaires et à l’international,

❹ Assurer la valorisation et la diffusion des productions,

❺ Assurer la pérennité financière et patrimoniale de l’Académie.

5 défis, qu'elle relèvera, grâce à un plan d’actions ad hoc.

Lors de la séance plénière du 13 mars 2019, une synthèse de l’exploitation des 31 premières auditions (réalisées en novembre 2018 et février 2019) des partenaires de l'Académie d'agriculture de France, permettant de connaître la perception qu'ils ont de la Compagnie, a par ailleurs été présentée et commentée.

Les thèmes traités dans ces "fiches pédagogiques" sont variés et d'actualité.

En voici la liste :

1. Économie et politique rurale : le couple "produit / territoire", les potentiels du numérique

2. Qu'est-ce qu'un "système alimentaire" ?

3. L'irrigation agricole en France

4. Production, consommation et échanges de viande de volailles, dans le monde

5. Le marché mondial des produits laitiers

6. Le marché mondial des viandes bovines

7. Les origines premières de la Politique Agricole Commune

8. Diagnostic socio-économique de l'Agriculture des années 2020 : un secteur désarticulé

9. La politique française de la montagne : la plus ancienne politique de soutien à l'activité agricole

10. Quelle histoire des derniers 150 ans de politique agricole française ?

11. Quels sont les grands moments de l'histoire de l'agriculture ?

12. Importance sanitaire des infections d'origine alimentaire

13. Aliments et pratiques impliqués dans les infections d'origine alimentaire

14. Émulsifiants, tensioactifs, surfactants : de quoi s'agit-il ?

15. Quels nutriments consommons-nous vraiment ?

16. Comment ont évolué les métiers de la conception des paysages ?

17. Quels rôles de la politique publique des Trames Vertes et Bleues dans les régions urbaines françaises ?

18. Pourquoi les agriculteurs devraient-ils s'intéresser à leurs paysages ?

19. Pourquoi et comment améliorer la biodiversité dans les paysages agricoles ?

20. Les paysages agricoles peuvent-ils devenir des patrimoines ruraux ?

21. Comment faire avec la conflictualité paysagère ?

22. Le paysage : un outil majeur de la démocratie ?

23. Qu'est-ce que le paysage ?

24. Le paysage en dix questions

25. La réalité de l'accaparement mondial des terres : risques et opportunités ?

26. Les sols et l'Europe, quelles perspectives ?

27. Quelles connaissances des sols des régions intertropicales ?

28. Ingénierie écologique des sols : quelles perspectives pour réhabiliter des sols dégradés ?

29. Le rôle des sols dans la transition climatique : peuvent-ils amplifier certains risques? (partie 1)

30. Le rôle des sols dans la transition climatique : peuvent-ils amplifier certains risques? (partie 2)

31. Quels effets des structures des paysages ruraux sur les sols et sur les eaux ?

32. Peut-on lutter contre l'érosion des sols ? (partie 1)

33. Peut-on lutter contre l'érosion des sols ? (partie 2)

34. Comment évaluer l'état de dégradation des sols ?

35. Mutants et mutagénèse dans le domaine végétal

36. La prolifération des normes nuit-elle à l'innovation ?

37. La conception de la propriété dans les pays de droit latin, germanique et anglo-saxon

38. La conception de la propriété dans les pays de droit latin, germanique et anglo-saxon

39. Les revenus de la terre et la rente foncière

40. La filière viande bovine française : quelles caractéristiques, quels enjeux ?

41. Aquaculture & pisciculture : quelles caractéristiques, quels enjeux ?

42. La lutte contre les épizooties : quels grands principes ?

43. Quelle transition agro-écologique pour l'élevage en France métropolitaine ?

44. Le pluralisme juridique en matières foncière et agricole

Les "Questions sur..." de l'Académie d'agriculture de France ont pour ambition de rétablir les faits (#factchecking), à partir d'éléments scientifiquement étayés, dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement, afin de contribuer à la lutte contre le dénigrement infondé de ces secteurs professionnels responsables et compétents (#agribashing #foodbashing).

Pour accéder aux "Questions sur..." de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Tel est le thème de la première "Grande conférence" de l'Académie des sciences qui se tiendra, du 12 au 14 mars 2019, dans l’Auditorium André et Liliane Bettencourt de l'Institut de France à Paris.

L’Académie des sciences a choisi ce thème pour faire savoir aux acteurs scientifiques, mais également aux acteurs de la société civile, que "les insectes, fortement impactés par les changements environnementaux, sont plus que jamais un formidable objet d’étude".

La rencontre abordera ainsi, à travers les exposés d’experts reconnus, les sujets-clés de la biologie de ces animaux passionnants, depuis leurs relations avec l’environnement jusqu’à leur utilisation dans le domaine biomédical.

Pour en savoir plus sur cette première "Grande conférence" de l'Académie des sciences et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Elles le sont depuis le 26 février dernier.

Ce cours en ligne (MOOC) de l'Institut agronomique, vétérinaire et forestier de France (Agreenium), fruit de la collaboration de plusieurs équipes de recherche françaises reconnues sur ces sujets, a pour objectif "d’accompagner le développement durable de l’apiculture en proposant des ressources numériques de qualité, permettant une flexibilité d’apprentissage et favorisant la création de communautés d’intérêt".

Il s’adresse aussi bien au grand public, qu’aux décideurs et aux acteurs des territoires qui prennent part à l’animation des débats de société autour des abeilles.

Il est composé des séquences suivantes :

  • Séquence 1 : les bases de la biologie des abeilles et ses particularités
  • Séquence 2 : les abeilles dans leur environnement
  • Séquence 3 : les pratiques apicoles
  • Séquence 4 : les enjeux de santé des abeilles
  • Séquence 5 : la filière apicole

La durée de la formation est de 5 semaines et exige 2h30 de travail par semaine.

Pour en savoir plus sur le MOOC Abeilles d'Agreenium, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

40 consœurs et confrères, assistés de l'équipe communication, se sont mobilisés durant le Salon international de l'agriculture 2019 (#SIA2019), qui a fermé ses portes il y a peu.

Leurs journées ont été longues, diversifiées et "bien remplies".

Elles et ils ont, en effet, entre autres :

- assuré des permanences dans la Maison du Biosourcé (stand d'AgroParisTech), où l’intergénérationnel était de mise,

- discuté avec plusieurs ministres (Jean-Michel Blanquer, François de Rugy, Julien Denormandie, Mounir Mahjoubi),

- accueilli une délégation de membres de l’Académie d’agriculture de Bulgarie,

- soutenu la candidature de Catherine Geslain-Lanéelle au poste de Directeur général de la FAO,

- rencontré de nombreux partenaires de la Compagnie et participé aux événements qu’ils organisaient,

- fait présenter des thèses en 180 secondes sur le stand du ministère de l'Agriculture et de l’Alimentation, devant un public abondant,

- prononcé des exposés dans les espaces AgriDébats et Ferme Digitale du Salon,

- dialogué avec des agriculteurs, des éleveurs et le public à la table d'hôte Agridemain ; et enregistré des vidéos sur YouTube à cette occasion :

- enregistré des émissions TV sur les plateaux Siècle vert, Public Sénat, Acteurs publics.

Cette mobilisation a particulièrement "porté ses fruits" cette année. Car, aux dires de nos partenaires, "jamais notre Compagnie n'a été aussi VISIBLE sur leurs stands au Salon, sur les plateaux TV des organes de presse présents au Salon et sur les Réseaux sociaux".

Une visibilité qui se prolonge, par ailleurs, dans la presse écrite avec la récente publication :

- d'une tribune dans le Monde, initiée par Gil Kresmann,

- d'un dossier dans le Figaro, citant Philippe Mauguin, Gérard Pascal et Christian Huyghe,

- d'un article dans l'Express, citant Agnès Ricroch et Bernard Le Buanec.

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Pour suivre au jour le jour sur Twitter l’activité des Académicien(ne)s, cliquer ici : https://twitter.com/search?q=%23AcademieauSIA2019&src=typd  

Pour revivre en photographie l'activité des Académicien(ne)s, cliquer ici : : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations-visites/sia-2019

Ce lancement aura lieu lundi 18 Mars 2019 de 14h à 17h à Agroparistech - 16, rue Claude Bernard - 75005 Paris (Amphithéatre Coléou).

Au programme de la manifestation :

  • "L’école de la proximité : enjeux et résultats", exposé d'André Torre et Damien Talbot
  • "Challenges et perspectives d’avenir des analyses de la proximité", tables rondes et discussions, avec Claire Aragau, Pierre-Alexandre Balland, Gwenael Doré, Maryline Filippi, Delphine Gallaud, Claude Lacour, Jacques Perrat, Alain Rallet et Jean-Benoit Zimmermann

Pour en savoir plus sur le lancement du numéro spécial "25 ans de Proximité" de la Revue d’économie régionale et urbaine et s'y inscrire, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

En tapant ce hashtag (mot-dièse permettant de marquer un contenu partagé sur les réseaux sociaux) sur Twitter, vous pourrez suivre toute l'activité de nos membres au jour le jour, et ce, durant tout le temps du Salon international de l'agriculture (SIA) 2019.

>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>>> https://twitter.com/search?q=%23AcademieauSIA2019&src=tyah

L'ouvrage est en cours d'impression et sortira dans deux ou trois semaines.

Il est toutefois possible de l'acheter dès à présent, en bénéficiant d'une offre de souscription, valable jusqu'au 30 mars 2019.

Pour en accéder à la boutique en ligne des Presses des Mines, cliquer ici : https://www.pressesdesmines.com/categorie-produit/default-category/academie-dagriculture-de-france/

Pour en savoir plus sur la collection des livres de l'Académie, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/publications/livres-academie-agriculture-de-france

Pour bénéficier de l'offre de souscription à l'ouvrage le Foncier, signé de Gérard Chouquer, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Ces bourses ont pour but "d'aider des jeunes à réaliser des travaux de recherche en France ou à l’Etranger, de préférence dans le cadre de la préparation d’un doctorat". 

Les candidats doivent être de nationalité française (conformément au legs) et âgés de moins de 30 ans. 

Les travaux doivent correspondre, au moins pour une part importante, à des domaines touchant à l’agriculture : productions (y compris les forêts et l’aquaculture d’eau douce), transformations et utilisations des produits, équipements, aménagement de l’espace, protection de l’environnement. 

Les disciplines concernées sont prioritairement les suivantes : Chimie biologique, Microbiologie, Phytopathologie, Génétique, Phytotechnie, Zootechnie, Sylviculture, Sciences de la Nutrition, Statistique et Informatique, appliquées à tous les domaines de l’Agronomie y compris l’Économie. 

Montant maximal d’une bourse est de 2.000 €.

La date limite du dépôt des candidatures est fixée au 1er Octobre 2019

Pour en savoir plus sur les Bourses Dufrenoy – Crédit agricole d’Ile-de-France mécénat, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La Fondation Avril et ses partenaires dans l'organisation du concours, dont l’Académie d’agriculture de France, donnent rendez-vous au Salon international de l'agriculture (SIA) 2019 pour rencontrer les équipes d’étudiants ingénieurs finalistes de Make IT Agri, des experts de l’agriculture, du numérique et de la création d’entreprise.

Ces rendez-vous sont les suivants :

- Lundi 25 février de 14h à 15h30 : Partage d’expérience "Innovation agricole et Entrepreneuriat" sur le Stand La Ferme Digitale.

- Mardi 26 février de 11h à 12h : Table ronde  "Numérique et Agriculture" sur l'Espace de Conférence du Crédit Agricole.

- Mardi 26 février de 15h30 à 16h : Intervention sur le thème "Innovation et Enseignement" sur le Stand Ministère de l’Agriculture et de l'Alimentation.

Inscrivez-vous dès maintenant aux différents rendez-vous sur https://goo.gl/forms/pLb6B6Y8ShJQihmE2

Pour en savoir plus sur le déroulé et les intervenants de chaque rendez-vous, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Chaque année, l'Association française pour l'étude du sol (AFES) propose une aide financière aux jeunes chercheurs francophones, les Bourses Albert Demolon, pour leur permettre de participer aux meilleurs colloques internationaux.

Les Bourses Demolon sont destinées aux jeunes scientifiques francophones qui proposent une communication (poster ou oral) en premier auteur dans le domaine des sciences du sol, dans une manifestation internationale se déroulant avant le 31 décembre 2019.

Cette année l’Afes a décidé d’attribuer 3 types de bourses :

  • Aqsss : une aide, à hauteur de 1100€ maximum, visant à soutenir la participation d’un (une) jeune chercheur/chercheuse basé(e) en France en vue du congrès de l’Aqsss (Association québécoise de spécialistes en sciences du sol).
  • France : une aide, à hauteur de 900€ maximum, visant à soutenir la participation d’un (une) jeune chercheur/chercheuse basé(e) à l’étranger en vue d’un événement situé en France.
  • Classique : une aide, à hauteur de 50 % maximum du budget total, visant à soutenir la participation de jeunes chercheurs/chercheuses basé(e)s en France en vue d’un événement situé à l’étranger. Et ce, pour un montant total de 1500€.

Les dossiers sont à soumettre en ligne dès à présent et jusqu’au 15 mars 2019 sur la plateforme Demolon du site de l’Afes : http://www.afes.fr/depots-des-candidatures-bourses-demolon-2019/.

Pour en savoir plus sur les Bourses Albert Demolon, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Sur proposition de Florence Val, référente d’Agrocampus Ouest au groupe de travail Académie d'agriculture de France-Enseignement supérieur agricole (GT AAF-ESA), des Académiciens ont vécu une première expérience en participant au module d’enseignement de première année Ingénieur agronome, intitulé "Initiation à la démarche scientifique" porté par les enseignantes-chercheuses Florence Val et Dominique Barloy.

Ce module plurisdisciplinaire est basé sur l’élaboration de sujets scientifiques dans diverses sciences agronomiques à traiter en 20h sur 3 semaines (avec expérimentations à concevoir et réaliser, ou données à traiter et interpréter…) avec quelques références. Les groupes d’étudiants par 4 à 6 rapportent leur travail dans un poster, type congrès; et un exposé dans un mini-colloque qui a eu lieu le 7 février 2019.

Leur travail a été évalué par les enseignants et des personnalités extérieures, chercheurs, professionnels. Cette année, ce sont une quinzaine d’académiciens de plusieurs sections qui ont participé à cette évaluation.

Les 3 groupes ayant obtenu les meilleures marques ont reçu un prix des mains du Directeur général d’Agrocampus Ouest, l'Académicien et co-animateur du GT AAF-ESA, Grégoire Thomas.

Cette année étant la première année où l’Académie était impliquée, Michel Dron –autre co-animateur du GT AAF- ESA, a présenté l’Académie d’agriculture de France aux étudiants de 1ère année à cette occasion et a représenté l’Académie à Agrocampus Ouest pour la séance finale de proclamation des palmarès de prix de posters.

La participation et la contribution des Académicien(ne)s a été très appréciée par l’équipe d’enseignants, les étudiants et l’Ecole qui souhaite renouveler cette opération.

Pour en savoir plus sur Agrocampus Ouest, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ces Journées portes ouvertes virtuelles de l’Ecole nationale supérieure de formation de l’enseignement agricole (ENSFEA) se dérouleront du 11 au 15 février 2019.

Elles permettront aux étudiant(e)s et à toute personne souhaitant se réorienter ou développer ses compétences, de découvrir une offre de formation niveau Master. Les formations proposées visent à se préparer aux métiers de l’enseignement, de l’éducation et de la formation dans l’enseignement agricole ainsi qu’à d’autres métiers tels que responsables de formation dans des centres de formation ou des services de gestion de ressources humaines.

Pour en savoir plus sur ces Journées portes ouvertes, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour accéder à ces Journées virtuelles en ligne, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Tel est le titre du colloque organisé, dans leurs locaux, par les élèves ingénieurs de l'Ecole nationale supérieure agronomique de Toulouse (Haute-Garonne), le 14 février 2019.

Il y sera question de :

  • Changements climatiques en Occitanie
  • Maladies animales
  • Mondialisation des marchés agricoles
  • Transmission des exploitations
  • Pâturage tournant dynamique
  • Agriculture de conservation des sols
  • SWAP
  • Marque Lou Béthêt
  • Réseau Inn'ovin

Pour ne savoir plus sur ce colloque et s'y inscrire, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Les sujets traités dans ces "synthèses techniques et scientifiques sur un sujet d’actualité, prolongeant celles commencées dans la filière Forêt Bois, à destination d’un public averti" sont les suivants :

  • Quelle transition agro-écologique pour l'élevage en France métropolitaine ?
  • Mutants et mutagénèse dans le domaine végétal
  • Aquaculture & pisciculture : quelles caractéristiques, quels enjeux ?
  • Quels nutriments consommons-nous vraiment ?
  • Émulsifiants, tensioactifs, surfactants : de quoi s'agit-il ?
  • La lutte contre les épizooties : quels grands principes ?
  • Économie et politique rurale : le couple "produit / territoire", les potentiels du numérique
  • La filière viande bovine française : quelles caractéristiques, quels enjeux ?
  • La Prolifération des normes nuit-elle à l'innovation ?
  • Bioatténuation
  • Les revenus de la terre et la rente foncière
  • Les origines premières de la Politique agricole commune (PAC)

Pour lire la douzaine de "Questions sur..." de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce Forum "pour aider au développement de la recherche et de l’emploi scientifique dans le domaine des Industries Alimentaires et Agricoles, des Biotransformations, de la Chimie verte", se tiendra le 1er février 2019 à l'Asiem – Salle Guyot - rue Lapparent – 75007 Paris.

La journée est destinée aux Etudiants en Master, aux Thésards et aux Jeunes docteurs ou Post-doctorants.

Pour prendre connaissance du programme du 5e Forum Agoriales, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour s'inscrire au Forum (le nombre de places étant limité l’inscription est gratuite mais obligatoire), cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

L'appel à candidatures est ouvert jusqu'au vendredi 1er février 2019 inclus.

Le Prix Philippe Aydalot de l'Association de la science régionale de langue française (ASRDLF) récompense le travail de jeunes chercheurs sur les champs de l'économie, de la géographie, de l'aménagement, de la sociologie, de l’analyse spatiale, de l’urbanisme, de la gestion,...

La condition d’éligibilité pour être candidat, quelle que soit sa nationalité, est d’avoir soutenu sa thèse dans l’année 2018.

Le dossier de candidature qui fera l’objet de deux expertises se compose des éléments suivants :

  1. thèse, pré-rapports de thèse et rapport de soutenance ;
  2. fiche d’inscription (nom du fichier Aydalot 2019_nom du candidat).

Tous les fichiers électroniques doivent porter la mention "Aydalot 2019 Nom du ou de la candidat(e) fiche ou pré-rapports ou rapport de soutenance".

Le dossier doit être adressé à Dominique Mignot, Président du Comité du Prix Aydalot par voie électronique uniquement : dominique.mignot@ifsttar.fr

Un exemplaire papier pourra être demandé ultérieurement.

Pour en savoir plus sur l'ASRDLF, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ont été attribuées, cette année :

  • Une Bourse de 2.000 € à Kévin BAUDRY, pour participer à la Gordon Research Seminar couplée à la Gordon Research Conference : Chloroplast Biotechnology 2019, en Californie aux Etats-Unis du 5 au 11 janvier 2019.
  • Une Bourse de 1.500 € à Céline GENTIL, pour effectuer une présentation orale à la Conferencia Internacional Analisis de Ciclo de Vida en 2019 à Cartago au Costa-Rica du 15 au 20 juillet 2019.
  • Une Bourse de 1.500 € à Julie PITCHERS, pour réaliser un séjour de 4 mois de recherche au laboratoire du professeur Thomas Sinclair à l'Université d'Etat de Caroline du Nord à Raleigh.
  • Une Bourse de 1.000 € à Frédéric JEHL, pour participer à la conférence "Plant and Animal Genome" (PAG) XXVII qui aura lieu du 12 au 17 janvier 2019 à San Diego, Etats-Unis.
  • Une Bourse de 1.000 € à Marlène LEFEBVRE, pour faciliter un stage doctoral de 3 mois (de février à avril 2019) dans le laboratoire du professeur J. Stella de l'Université de New York.
  • Une Bourse de 1.000 € à Maxime LOUZON, pour présenter des résultats sur les valeurs guides de contaminants dans les escargots au congrès de la SETAC (Society of Environnemental Toxicology and Chemistry) dans une communication orale en anglais qui se déroulera à Helsinki du 26 au 30 mai 2019.
  • Une Bourse de 1.000 € à Mélanie MUNCH, pour réaliser un stage de 3 mois (mars à mai 2019) dans le laboratoire du professeur Andrea Passerini, de l'unité DISI de l'Université de Trente (Italie).
  • Une Bourse de 1.000 € à Cléo OMPHALIUS, pour effectuer une présentation orale au 6ème EAPP (International Symposium on Energy and Protéin Métabolim and Nutrition) du 9 au 12 septembre 2019) à Belo Horizonte (Brésil) et d'autre part sous forme d'un article scientifique dans le "Journal of Dairy Science".

Pour "revivre" une partie de la cérémonie sur YouTube, cliquer ici : https://www.youtube.com/watch?v=w74Os551NHU&t=12s

Les Bourses annuelles de recherche Jean et Marie Dufrenoy, Crédit Agricole Ile-de-France Mécénat sont attribuées, chaque année, à de jeunes chercheurs inscrits en vue de la préparation d’un doctorat ou à des techniciens inscrits dans des formations avancées de promotion et poursuivant des travaux originaux. Les disciplines concernées sont prioritairement : la chimie biologique, la microbiologie, la phytopharmacie, la génétique, la phytotechnie, la zootechnie, la sylviculture, les sciences de la nutrition, la statistique, les nouvelles techniques de l'information et de la communication (NTIC), appliquées à tous les domaines agronomiques, y compris l’économie.

Ces bourses ne sont pas renouvelables.

Depuis 2014, le financement de ces bourses est assuré paritairement avec le Crédit Agricole d’Ile-de-France Mécénat. Les lauréats de la bourse Dufrenoy sont invités à présenter leurs travaux au cours d'une séance publique de l'Académie.

Pour en savoir plus sur les Bourses de recherche Jean et Marie Dufrenoy, Crédit Agricole Ile-de-France Mécénat, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce Massive open online course (MOOC) - cours en ligne ouvert et massif offre une formation généraliste, est destiné à tout public intéressé par les semences (certifiées, fermières, paysannes, en conventionnel ou en bio).

Il est proposé par Agrocampus Ouest, l’Interprofession des semences – le Gnis et Agreenium.

Sur 6 semaines, le MOOC  fera découvrir les grandes étapes de la vie des semences et plants de plantes cultivées :

  • Diversité cultivée et les ressources phytogénétiques
  • Sélection (conventionnelle, participative, paysanne)
  • Production (semences certifiées et semences de fermes)
  • Contrôle et certification
  • Distribution et utilisation

Multidisciplinaire, ce projet collaboratif a fédéré environ 60 intervenants de plus de 30 établissements différents , reflètant la grande diversité des acteurs du secteur :

  • Des écoles et universités
  • Des instituts de recherche
  • Une dizaine d’agriculteurs
  • Des entreprises semencières
  • Des jardiniers amateurs
  • Des organisations professionnelles
  • Des représentants des services de l’Etat et membre du Parlement

Construit sur 6 semaines, le cours est structuré en 6 chapitres, chacun dédié à un thème particulier.

Le MOOC sera en ligne du 20 mars au 8 mai 2019.

Pour en savoir plus sur le MOOC "Semences végétales, quels enjeux pour notre avenir ?" et s'y inscrire, dès aujourd'hui, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

La séance a débuté le matin par une présentation des membres de ce Bureau, par Constant Lecoeur, nouveau Secrétaire perpétuel de la Compagnie. A revoir sur You Tube ici : https://www.youtube.com/watch?v=GUHoBh5ZorQ

Elle s'est poursuivie par l'accueil, très convivial, des nouveaux membres correspondants de l'Académie d'agriculture de France, par Constant Lecoeur et Dominique Parent-Massin, nouvelle Vice-secrétaire de la Compagnie. L'occasion pour Constant Lecoeur, en remettant leurs diplômes à ces membres dont il a souligné le rajeunissement et la féminisation, de leur préciser "qu'être Académicien donne des droits mais impose aussi des devoirs".

L'après-midi, Gérard Tendron, Secrétaire perpétuel sortant, a fait le bilan de ses 7 années passées à ce prestigieux poste. Son intervention a donné lieu à de longs applaudissements de la salle, particulièrement comble pour l'occasion. Patrick Ollivier, Tésorier perpétuel, lui a, quant à lui, rendu un vibrant hommage dans la foulée.

Bertrand Hervieu, Président sortant et Jean-Louis Bernard, nouveau Président ont, ensuite, prononcé leur discours respectifs.

Enfin, Constant Lecoeur a rappelé les grandes lignes de son programme d'action, cohérent avec les axes du projet stratégique 2019/2024 de la Compagnie. Il a, par ailleurs, accueilli avec Dominique Parent-Massin la promotion de membres de l'Académie d'agriculture de France, devenus titulaires en 2019.

Pour prendre connaisance des discours prononcés, cliquer ici :  https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seances-solennelles

Pour revivre la journée en photographies, cliquer ici  : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations-visites/seance-dinstallation-du-nouveau-bureau-de-lacademie-et

Pour revivre l'après-midi en vidéos, cliquer ici : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/academie/seance-dinstallation-du-nouveau-bureau-de-lacademie-0?090119

Son titre :

Le Foncier : Entre propriété et expertise

Son angle rédactionnel :

L’expertise foncière bute souvent sur des difficultés qui génèrent des blocages de projets, parce qu’on n’a pas pris le temps d’en dénouer les contradictions. Au cœur du sujet, les questions juridiques, la distinction entre l’immatriculation et la publicité foncière française, la méconnaissance du cadastre et de la fiscalité, l’ambiguïté des droits de propriété et des faisceaux de droits, les investissements massifs dans les terres, la notion de portage foncier, auxquelles s'ajoutent les décalages entre pays riches et pays pauvres, entre professionnels et chercheurs et entre disciplines scientifiques. Cet ouvrage dresse un inventaire de ces questions à travers un vaste panorama dans le temps et dans l’espace. Il examine l’évolution des concepts juridiques de Rome à nos jours en s’appuyant sur des moments clefs de l'histoire de la propriété foncière en Angleterre, en France et dans les empires coloniaux. Il compare et interprète ce qui prévaut dans différents espaces géographiques dans les pays anglo-saxons et en France, mais aussi dans les pays en développement (Madagascar, Tunisie, Liban, Sierra Leone, Haïti), et s'interroge sur les enjeux juridiques face à la montée du droit de l'environnement et de la notion de Bien commun. Cet ouvrage aidera tous ceux, chercheurs, politiques ou praticiens, qui abordent les questions foncières sans en être a priori spécialistes.

Son auteur :

Gérard Chouquer : Directeur de recherche honoraire au CNRS, membre correspondant de l’Académie d’agriculture de France, historien de la propriété et du cadastre et spécialiste des questions foncières contemporaines.

Préface :

Jean-François Dalbin, président du Conseil supérieur l’Ordre des géomètres-experts.

Avant-propos et préambule :

Gérard Tendron et Catherine Regnault-Roger

Offre de souscription (hors circuits commerciaux) :

20 euros au lieu de 25 euros

Cette proposition est valable jusqu'au 30 mars 2019

Livraison à partir du 15 mars 2019

Pour bénéficier de l'offre de souscription, télécharger le fichier PDF ci-dessous :

Pour en savoir plus sur l'ouvrage et l'éditeur, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le colloque de la Société française d'économie rurale, se tiendra à Reims (Marne), les 4 et 5 juin 2019.

Deux types de contributions (en français ou anglais) sont envisageables :

  • Les contributions "recherche" présentent des travaux de recherche originaux. A partir d'un résumé long de 2 ou 3 pages, elles seront évaluées sur la base de leur qualité scientifique : pertinence/clarté/originalité des enjeux théoriques et empiriques, de la problématique, du cadre d’analyse, de la méthodologie, des résultats et de la discussion.
  • Les contributions de type "faits et chiffres" présentent des études empiriques pas nécessairement construites comme un article de recherche, mais s’appuyant sur l’analyse de données chiffrées, d’études de cas, d’enquêtes originales ou de témoignages. Les contributions de type « faits et chiffres » n'exigent pas de texte écrit outre un résumé pouvant être plus court que les contributions « recherche » (1 page). Ces contributions s'adressent également aux professionnels de la bioéconomie qui souhaiteraient participer au colloque.

Les soumissions se font en ligne sur la plateforme : https://cmt3.research.microsoft.com/BIOECONOMIE2019/  

Il est aussi possible de proposer des sessions organisées ou des tables rondes autour d’un thème en envoyant avant le 25 février 2019 à nicolas.befort@neoma-bs.fr  et maryline.thenot@neoma-bs.fr  un texte court expliquant l’objectif de la session et les noms de 4 ou 5 intervenants. Si la session est jugée pertinente, les participants à la session seront invités à soumettre le résumé de leur intervention sur la plateforme, comme pour les soumissions classiques.

Pour en savoir plus sur le Colloque SFER, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Gilles Van Kempen, agriyoutubeur (17 000 abonnés) du Loiret, membre du jury national du concours « Je filme le métier qui me plait », pour la catégorie « Agriculture et Territoires », tout comme notre Compagnie, a pour ce faire réalisé une vidéo (près de 5000 vues) détaillant ses motivations à participer au jury.

Pour visionner la vidéo, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour ce faire, avec ses partenaires du Crédit agricole et de la France agricole, elle organise un colloque, qui se tiendra de 9h00 à 17h00 dans les locaux de la Fédération nationale du crédit agricole - 48, rue de la Boétie - 75008 Paris.

Le fil rouge du débat sera de positionner "les agriculteurs face au changement".

Des "éclairages" seront apportés le matin :

  • "Retour sur l’année agricole 2018", par Eric MAERTEN (Groupe France agricole),
  • "Les chiffres-clés de l’agriculture française. Sa place dans la compétition mondiale", par Thierry POUCH (Assemblée permanente des chambres d'agriculture),
  • "Comment l’agroécologie permettra de répondre aux besoins de compétitivité et aux défis sociétaux et environnementaux", par Christian HUYGHE (Institut national de la recherche agronomique),
  • "De nouvelles formes d’entreprises agricoles pour de nouveaux défis", par François PURSEIGLE (ENSAT),
  • "L’évolution de la demande des consommateurs", par Pascale HEBEL (CREDOC).

Et l'après-midi "les filières témoigneront" sur :

  • "Les réponses à apporter aux attentes des citoyens et des consommateurs ?". Parmi les intervenants confirmés : Claude RISAC (Directeur de la communication du Groupe Casino), Yves de la FOUCHARDIERE (Directeur des Fermiers de Loué) et Bruno DUFAYET (Président de la Fédération nationale bovine).
  • "Les moyens de trouver de la valeur ajoutée dans les filières industrielles et à l’export ?". Parmi les intervenants confirmés : Michel BOUCLY (Directeur général délégué Groupe Avril), Guillaume ROUÉ (Président d’INAPORC) et Carole HERNANDEZ-ZAKINE (Directrice des Affaires publiques Bioline by Invivo).

A 12h30, l'Académie remettra son prix 2019 de l’information scientifique à destination du public.

Pour en savoir plus sur ce colloque et s'y inscrire (inscription obligatoire), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Il a été rédigé par l’équipe de recherche BioCom de l’UMR Agroécologie de Dijon (Institut national de la recherche agronomique-INRA, Université de Bourgogne Franche Comté, AgroSup Dijon), qui souligne que "les microorganismes du sol sont responsables des grandes fonctions impliquées comme la minéralisation de la matière organique, la dégradation des polluants, l’amélioration de la structure du sol, le stockage du carbone, la barrière aux pathogènes opportunistes…"

Au travers de fiches synthétiques, l'ouvrage "dévoile pour la première fois les aires de répartition géographique des grands groupes bactériens et les facteurs de l'environnement qui les influencent (type des sol, climat, mode d'usage, géomorphologie) sur de grandes étendues spatiales".

"L'Atlas français des bactéries du sol" est co-édité par les éditions Biotope et les éditions du Muséum National D’Histoire Naturelle (MNHN).

Il est destiné :

  • aux étudiants et aux chercheurs afin de mieux connaitre la microbiologie des sols,
  • aux usagers du sol afin de mieux apprécier leur patrimoine microbiologique et l’impact de leurs pratiques,
  • aux décideurs et acteurs des politiques publiques afin de mieux orienter les politiques de protection et d’aménagements rural et urbain,
  • à tous les citoyens souhaitant découvrir et en savoir plus sur ce patrimoine mystérieux et invisible.

A l'occasion de la parution de l'ouvrage, l'UMR Agroécologie de l'INRA Dijon organise un symposium sur la microbiologie des sols français le 18 janvier après midi à l'auditorium de la Grande galerie de l'évolution (MNHN Paris). Ce symposium,dont les inscriptions sont closes, a pour objectif de faire le bilan des connaissances en microbiologie des sols dans un contexte naturaliste mais aussi de transition agroécologique. Ce symposium a aussi pour objectif de présenter les outils modernes (génomique environnementale) et les travaux de recherche qui ont servi à élaborer l'Atlas français des bactéries du sol.

Pour commander "l'Atlas français des bactéries du sol" cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Par communiqué de presse en date du 14 décembre 2018 :

"Mme Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et M. Didier Guillaume, ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation souhaitent réaffirmer l’importance qu’ils attachent à la mission de l’enseignement supérieur agronomique en matière de soutien aux transitions de l’agriculture, de l’alimentation, de la pêche et de la forêt françaises. L’enseignement supérieur agronomique participe activement aux politiques de site et contribue à la constitution de grandes universités de recherche. Ces établissements, en mesure de mobiliser des compétences pluridisciplinaires, peuvent ainsi répondre aux défis scientifiques et sociétaux de notre temps.

Les deux ministres confirment leur soutien au projet d’un établissement « leader » dans les sciences et industries du vivant et de l’environnement, AgroParisTech, membre d’une université de premier rang international, l’Université Paris-Saclay.

Ils soutiennent également l’apparition d’un établissement « leader » sur les questions d’agriculture, alimentation et environnement, composé d’écoles fortement ancrées dans les territoires et en lien avec les filières. Ce second établissement devrait naître dès 2020 du rapprochement de Montpellier SupAgro et d’AgroCampus Ouest. Il sera fortement associé à l’Université de Montpellier.

Ces deux ensembles complémentaires ont vocation à structurer l’enseignement supérieur agronomique en France.

Les deux ministres entendent recevoir début 2019 les Directeurs des établissements concernés pour suivre l’avancée de ces rapprochements et réaffirmer leur soutien aux sites de Saclay, de Montpellier et aux projets menés dans le grand Ouest".

Pour télécharger le communiqué de presse au format PDF, cliquer ci-dessous :

(Illustration : fresque de Delage, dans la Salle des conseils d'AgroParisTech)

Les 4 nouveaux "Repères" de l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France, mis en ligne ce jour, ont pour titre :

  • "Taux d’irrigation des surfaces plantées en vigne de cuve à travers le monde",
  • "Progression comparée des rendements moyens français du blé tendre et du maïs grain (1960-2017)",
  • "Évolution des surfaces incendiées et du nombre de feux de forêt en France métropolitaine (1985-2015)"
  • "Production française de betterave à sucre : Evolution de la consommation des produits phytopharmaceutiques (1997-2017)"

Le "Repères" mis à jour est le suivant :

  • "France : Part de la superficie des grandes cultures semée sans labour préalable (2001-2014)".

Les "Repères" de l'Académie d'agriculture de France sont, rappelons-le, des "fiches pédagogiques et ultra-synthétiques" (sous forme : 1 graphique, 1 explication, 1 bibliographie) sur un sujet d’actualité, à destination de TOUTES et TOUS ! Ils sont particulièrement appréciés sur les Réseaux sociaux, où ils contribuent à rétablir "la vérité et la réalité" (#factchecking) des filières agricoles et alimentaires.

Pour accéder aux 5 "Repères" mis à disposition, ce jour, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Toute personne intéressée (ingénieur de recherche, conseiller technique, responsable agronome, enseignant-chercheur, acteur de terrain..) souhaitant faire connaître ses travaux ou résultats récents est invitée à proposer sa communication et à la transmettre au COMIFER au plus tard le 17 décembre 2018, par mél à : s.droisier@comifer.fr  en précisant "Proposition de Communication_14èmes Rencontres 2019".

Réponse sera donnée aux candidats avant fin janvier 2019.

Organisées tous les 2 ans par le COMIFER (Comité français d'étude et de développement de la Fertilisation Raisonnée) et le GEMAS (Groupement d'Études Méthodologiques pour l’Analyse des Sols), avec la participation de l’AFES (Association Française pour l’Etude du Sol), les rencontres de la fertilisation raisonnée et de l'analyse visent à "renforcer les liens entre tous les acteurs de la fertilisation raisonnée et la fertilité des sols et permet d’actualiser connaissances et savoir-faire en matière d’innovations, applications scientifiques et techniques".

Pour en savoir plus sur l'appel à communications, cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Les organisateurs du concours (Fondation Avril et Académie d'agriculture de France) viennent de la diffuser, par communiqué de presse, en date du 12 décembre 2018 intitulé "Succès de la première édition du concours Make IT Agri !" (23 dossiers de candidature ont, en effet, été déposés provenant de 19 écoles différentes et fédérant plus de 100 étudiants ingénieurs).

Les finalistes du concours sont les suivants:

1. ENSMM Besançon : Compteur de varroa pour sauver les abeilles à miel

2. Ecole Centrale de Lyon : Pose d’anneaux de phéromones par drones pour lutter contre le carpocapse

3. UniLaSalle Beauvais : Plateforme collaborative pour modéliser et optimiser l’espace des chemins ruraux et des chemins d’exploitations

4. AgroParisTech / Centrale Supélec : Quantification et reconnaissance d’insectes par analyse d’image et d’algorithmie

5. Ecole Centrale d’Electronique de Paris : Système permettant d’échanger de l’électricité d’origine renouvelable entre particuliers

6. Montpellier SupAgro : Outils GPS low-cost qui permet le suivi des animaux au pâturage dans des conditions d’élevages extensives

7. UniLaSalle Beauvais : Application pour développer les circuits de collecte des biodéchets méthanisables mettant en lien les propriétaires de méthaniseurs et les collectivités

8. ENSAM : Optimisation et Automatisation des interventions sur les exploitations maraîchères (sélectives de semis, dépose d’engrais, désherbage…) par un essaim de robots

9. Isa Lille : Outil d’aide à la gestion numérique du pâturage intégrant les effets du climat (fortes températures) sur la santé de l’animal

10. AgroParisTech / Institut d’Optique / HEC / 42 : Neutralisation des frelons asiatiques aux abords des ruches par impulsion lumineuse

Ces finalistes devront présenter un prototype de leur projet au jury le 20 juin 2019 pour tenter de remporter l’un des trois prix du concours (1er prix 3000€. 2ème prix 2000€. 3ème prix 1500€).

Ils seront, par ailleurs, présents sur le stand d'AgroParisTech - Académie d’agriculture de France, lors du Salon international de l’Agriculture.

Pour en savoir plus sur le concours Make IT Agri, cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

La N3AF-2018 (5) a pour titre : "Thomas Jefferson et Pierre Samuel Dupont de Nemours". Rédigée par les académiciens : Nadine VIVIER, Jean-Louis BERNARD et Jean-Paul CHARVET, elle reprend les textes de la séance publique de l'Académie d'agriculture de France du 13 décembre 2017, consacrée à : "L’amitié franco-américaine de ces deux agronomes ".

La N3AF-2018 (6) a pour titre :  "Dupont de Nemours et le Comité d’administration de l’agriculture (1785-1787)". Rédigée par l'Académicien Jean-Louis BERNARD, elle commente la genèse de ce comité né en réaction à la sécheresse du printemps 1785 et s'intéresse au rôle que Dupont de Nemours y a joué.

La N3AF-2018(7) a pour titre : "Jefferson et Dupont de Nemours : les valeurs communes de deux savants à travers leur correspondance". Rédigée par l'Académicienne Nadine VIVIER, elle analyse l'estime réciproque des deux hommes, qui se sont se côtoyés à Paris de 1783 à 1789, puis ont entretenu une correspondance suivie de 1801 à 1817.

La N3AF-2018 (8) a pour titre : "Thomas Jefferson : vers une démocratie de petits propriétaires fonciers indépendants et instruits. Le township and range system, projection territoriale d’un projet de société". Rédigée par Jean-Paul CHARVET, elle présente le modèle spatial sur lequel a été fondé, à la fin du XVIIIe siècle, le découpage territorial, toujours bien visible aujourd’hui, des trois quarts de l’espace rural américain.

Pour lire ces Notes académiques, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette journée se déroulera le 19 Décembre 2018 dans l’amphithéâtre de l’Institut national de la recherche agronomique (INRA) - 147, rue de l’Université – 75007 Paris.

Elle sera l’occasion de présenter et de mettre en discussion ses axes de travail, d’illustrer les travaux du GIS à partir de la restitution des stages de Master 2 financés par le GIS Élevages Demain en 2017 et 2018, et de présenter l’appel à idées lancé par le GIS sur la thématique « "Animal x Elevage x Territoire" .

Prenant la suite des GIS AGENAE et Élevages Demain, le GIS Avenir Élevages fédère des partenaires de la recherche, de la formation, du développement et du secteur de l’élevage. Le GIS Avenir Élevages a l’ambition de promouvoir une dynamique forte apte à jeter les bases d’une nouvelle ère d’innovation et de progrès pour les systèmes de production animale, s’inscrivant dans la perspective du développement et d’une alimentation durable. Dans ce contexte, le GIS Avenir Élevages se donne pour mission principale de créer et diffuser de la connaissance sur des thématiques innovantes allant de la compréhension des processus à l’innovation terrain pour un élevage durable et créateur de valeur ajoutée.

Pour en savoir plus sur le 1ère journée scientifique du GIS Avenir Élevages à Paris et s'y inscrire (l'inscription est obligatoire), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Vous êtes ingénieur de recherche, conseiller technique, responsable agronome, enseignant-chercheur, acteur de terrain…, contribuez à la réussite de la 14e édition des Rencontres de la fertilisation raisonnée et de l’analyse, en proposant une contribution avant le 17 décembre 2018 !

Les Rencontres se dérouleront du 20 au 21 novembre 2019 au Centre des Congrès de Dijon (Côte-d'Or). Elles sont organisées tous les 2 ans par le Comité français d'étude et de développement de la Fertilisation Raisonnée (COMIFER) et le Groupement d'Études Méthodologiques pour l’Analyse des Sols (GEMAS).

Ce RDV incontournable des professionnels de la fertilisation, vise à renforcer les liens entre tous les acteurs de la fertilisation raisonnée et la fertilité des sols et permet d’actualiser connaissances et savoir-faire en matière d’innovations, applications scientifiques et techniques.

Pour en savoir plus, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

120 personnes, dont 7 journalistes, ont participé à ce colloque, qui s'est tenu jeudi 22 novembre 2018 dans les locaux de la Société nationale d'horticulture de France (SNHF).

La matinée a été consacrée à des interventions permettant, notamment, de (re)préciser :

  • ce que sont les nouvelles biotechnologies.
  • ce qu'elles peuvent apporter à l'agriculture et à l'alimentation.
  • pourquoi elles suscitent une aversion de la société françaises ?
  • quelles réglementations s'appliquent à elles ?

L'après-midi a essentiellement laissé le temps aux Start up invitées d'enrichir le débat avec la salle à la lumière de leurs "expériences concrètes de terrain".

Un débat, que les jeunes participants ont reproché à l'Académie d'agriculture de France de "ne pas être assez contradictoire, car n'ayant pas permis aux opposants des nouvelles biotechnologies de s'exprimer".

Pour retrouver l'essentiel de la journée, taper #AcadémieAgroBiotech sur Twitter, ou cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien, membre de la Section "Sciences de la vie" a signé son contrat avec le Président de l’Université le 29 octobre dernier.

Cette nomination s’accompagne de la création d’un laboratoire Tree Microbiome à l’Institut de Microbiologie de cette prestigieuse université chinoise.

Pour en savoir plus sur l’Université forestière de Pékin, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académie d'agriculture de France a "une passion : connaître et une ambition : transmettre" son savoir, notamment aux jeunes générations.

Cette transmission "intergénérationnelle", affirmée par la Compagnie au travers sa présence sur le stand d'AgroParisTech au Salon international de l'agriculture, va s'intensifier, au vu des conclusions de la réunion du Groupe de travail "Relations Académie/Enseignement supérieur agronomique", désormais présidé par les Académiciens : Grégoire Thomas et Michel Dron, qui s'est tenue le 08 novembre dernier.

Le principal sujet à l'ordre du jour de la réunion était, en effet, de réfléchir à "ce qu'apporte l'Académie d'agriculture de France aux jeunes de l'Enseignement supérieur agricole et surtout comment elle pourrait mieux dialoguer avec eux".

Les membres du Groupe de travail ont, pour ce faire, écouté un exposé de Marie Rigouzzo, Présidente de Tellus.com, intitulé "Avoir-été et devenir un chercheur en 2018 : Deux métiers totalement différents…ou pas? Quelques idées d’interaction possibles Académie d’agriculture et étudiants-chercheurs".

Durant ce "passionnant" exposé, les 5 constats suivants ont été mis en exergue :

  • Constat 1 : Les jeunes sont ultra-connectés
  • Constat 2 : Les "Milleniums" sont pragmatiques, ils vont essayer différentes approches jusqu’à trouver la solution
  • Constat 3 : Les jeunes ont une nouvelle vision du travail
  • Constat 4 : Les jeunes ont un positionnement ambigu envers la science
  • Constat 5 : Les "Milleniums" sont très anti Fake News, mais sont aussi capables d’adhérer les yeux fermés à des causes qui leur semblent justes

Ces constats, les établissements d'enseignement supérieur agricole du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation les prennent en compte au travers la "pédagogie inversée", qui consiste à "élaborer un cours à partir des questionnements de l'élève".

Ces constats, l'Académie d'agriculture de France doit les intégrer également désormais dans son programme de travail, en allant régulièrement à la rencontre des jeunes dans leurs établissements d'Enseignement supérieur agricole, afin de REPONDRE A LEUR QUESTIONNEMENT sur des sujets de LEUR CHOIX.

C'est, en tous les cas, ce que proposera le Groupe de travail "Relations Académie/Enseignement supérieur agronomique", aux instances ad hoc de la Compagnie.

Une révolution se prépare pour nos sachants" !

Pour prendre connaissance de l'exposé de Marie Rigouzo, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur le Groupe de travail "Relations Académie/Enseignement supérieur agronomique" de l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le Crédit Mutuel, qui organise la nouvelle catégorie "Agriculture et Territoires" du concours, en partenariat avec l'Académie d'agriculture de France, encourage donc les candidats à s'inscrire très rapidement.

Pour participer à ce concours, il faut "réaliser, seul ou en équipe, une vidéo de 3 minutes maximum, du scénario au montage, sur un de ces métiers ou secteurs : ouvrier agricole, ingénieur en expérimentation végétale, fromager, vétérinaire, œnologue, mécanicien en matériel agricole, conseiller agricole... Il convient, pour ce faire "d'enquêter, de comprendre, de reformuler, de synthétiser, de faire exprimer, de restituer, de suggérer".

Placé sous le haut patronage du Ministère de l’Education nationale, du Ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche et de l'Innovation, et du Ministère du Travail, parrainé par des noms prestigieux, soutenu par des partenaires économiques engagés, le concours "Je filme le métier qui me plaît" est une "occasion unique pour les élèves de découvrir le monde professionnel de s’approprier des codes, des savoir-faire et savoir-être spécifiques aux différents métiers, et pourquoi pas de découvrir leurs propres talents et leur voie".

Pour en savoir plus sur le concours, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour tout renseignement sur la nouvelle catégorie "Agriculture et Territoires" du concours écrire à : agricontact@creditmutuel.fr

Ce cycle est intitulé "Toxiques".

Le premier débat de demain 8 novembre, qui se déroulera de 18h00 à 20h00 sur le Campus AgroParisTech Paris Claude Bernard, traitera des "Atmosphères".

Il fera "le point sur les pollutions atmosphériques liées aux activités agricoles, en posant plusieurs questions" :

• quelles sont les principales sources d’émissions ?

• comment se combinent-elles avec les autres formes de pollutions atmosphériques ?

• quel impact ont les pollutions urbaines et routières sur l’agriculture ?

• comment résoudre le problème des pics de pollutions saisonniers ?

• quels leviers pour diminuer l’exposition des personnes les plus exposées, agriculteurs et proches résidents ?

Y interviendront :

• Erwan Personne (AgroParisTech)

• Matteo Redaelli (ANSES)

• Karine Leger (AirParif )

• Sophie Agasse (APCA)

Les Disputes d’AgroParisTech sont des séries de débats ouverts au grand public. Autour de sujets d’actualité, souvent controversés, elles réunissent des scientifiques, mais aussi des acteurs des mondes politique, associatif, économique ou culturel.

Pour en savoir plus, cliquer sur lien Internet, ci-dessous :

L'Académicienne intervient en qualité d'animatrice du Relais territorial Grand Sud-Ouest de la Compagnie et a préparé la rencontre avec les Amis de Cap Sciences et Bordeaux Sciences Agro.

Le thème de cette rencontre est "Priorité à la biodiversité dans les vignes et forêts d’Aquitaine".

Elle se tiendra dans les locaux de Cap Sciences à Bordeaux (Gironde).

La soirée rencontre sera animée par Daciana Papura et Brice Giffard  enseignants chercheurs de Bordeaux Sciences Agro, avec l’amicale participation de Gilles Boeuf, président du Conseil Scientifique de l'Agence Nationale de la Biodiversité et sous la houlette d'Alain Ribet, modérateur, qui dirigera les débats.

Des acteurs aquitains de terrain témoigneront de leurs pratiques plus favorables à la défense de la Biodiversité.

Pour en s savoir plus sur 18ème rencontre Cap Sciences du 12 novembre 2018, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Cette présentation se fera le 21 novembre 2018 à 15h00 dans l’amphithéâtre de l’Assemblée permanente des chambres d'agriculture (APCA) - 9, avenue Georges V - 75008 Paris, en présence du Président de l'APCA, Claude Cochonneau, de Benoit Presles, Président de NUFFIELD France et de Kelvin Meadows, Président Canadien de NUFFIELD International.

Les rapports présentés seront les suivants :

  • "Combiner agriculture de conservation et agriculture bio, la quête du Graal", par Maxime Barbier,
  • "Développement d'une filière théicole en France", par Stéphanie Chanfreau,
  • "La valeur ajoutée territoriale de l'élevage, par Yolène Pagès.

L'après-midi se clôturera par l'annonce de la sélection des candidats à la bourse 2019.

Pour en savoir plus sur la cérémonie, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur les bourses NUFFIELD, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Les dossiers de candidature doivent parvenir à l'Association pour la valorisation de la recherche en économie et gestion agroalimentaire (AREA) au plus tard le 31 décembre 2018.

Les prix de l'AREA récompensent des thèses, masters (recherche et professionnel), mémoires d'écoles d'ingénieurs, autres écoles et instituts.

Le champ des travaux concernés s'étend des intrants et de l'environnement des productions agricoles, alimentaires et agroindustrielles, artisanales et industrielles, aux services et aux consommations finales, alimentaires ou non.

Les travaux doivent comporter une approche économique pour être recevables. Les aspects territoriaux et internationaux sont appréciés. La qualité académique ayant déjà été jugée, des qualités d'innovation et des perspectives concrètes sont attendues.

Pour en savoir plus sur ces prix, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Ces stages, de niveau Master 2, seront réalisés dans des laboratoires de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA).

Les sujets des stages devront s'inscrire dans les thématiques d'intérêt du Groupement d'intérêt scientifique (GIS), ci-après : 

  • Adéquation entre le type génétique des animaux et les systèmes (ou les pratiques) d’élevage
  • Services rendus par l’élevage 
  • Phénotypage des caractères d’efficience, de robustesse des animaux et d’émission de méthane 
  • Attractivité des métiers de l’élevage 
  • Acceptabilité sociale de l’élevage.

Chaque sujet proposé devra être construit en partenariat entre au moins deux membres du GIS.

Le stagiaire sera co-encadré par un maître de stage INRA.

Pour en savoir plus sur ces stages, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Des scientifiques de renom représentant plus de 85 centres et instituts européens de recherche sur les plantes et les sciences de la vie ont approuvé, ce jour, un document qui "appelle instamment les décideurs européens à préserver l'innovation en phytologie et en agriculture".

Les scientifiques se disent  "profondément préoccupés par la récente décision de la Cour de justice des Communautés européennes relative aux techniques modernes de modification du génome qui pourraient conduire à une interdiction de facto de la sélection de cultures innovante".

Ils s'inquiètent car "les agriculteurs européens pourraient être privés d'une nouvelle génération de variétés de cultures plus résilientes au climat et plus nutritives, qui sont nécessaires de toute urgence pour répondre aux défis écologiques et sociétaux actuels".

Pour lire la déclaration (en anglais), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette rencontre, organisée par les Archives nationales, l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), leCentre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD) et l'Académie d'Agriculture de France (AAF),  aura lieu le 21 novembre 2018 dans les locaux des Archives nationales (Salle des Commissions 2) - 59, rue Guynemer - 93383 Pierrefitte-sur-Seine.

La rencontre sera "l’occasion d’une réflexion historique sur la contribution de l'Académicien (présent pour l'occasion), à la politique de la recherche et la politique agricole, à la recherche agronomique, et plus largement à l’agriculture".

Raymond Février (né en 1920) a fait don de ses archives aux Archives nationales en 2012. Désormais inventoriées et librement communicables dans leur quasi-intégralité, celles-ci comprennent trois grands ensembles documentaires : des dossiers de travail constitués dans le cadre des fonctions de chercheur, d’inspecteur général et de directeur général qu’il exerce successivement, de 1946 à 1978, à l'INRA.

Pour en savoir plus sur cette rencontre et y participer, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

L'article signé de Lynnette M.A. Dirk and A. Bruce Downie (Department of Horticulture, Plant Science Building, 1405 Veterans Drive, University of Kentucky, Lexington, KY 40546-0312, USA and UK Seed Biology Group), paru le 20 octobre 2018 dans le magazine Seed Science Research de l'Université du Royaume-Uni, fait en effet référence au "Job's Rule operational" (travaux des époux Job sur les mécanismes requis pour la germination des graines).

L'Académie d'agriculture de France, dont Dominique Job est membre (section "Sciences de la vie"), l'en félicite vivement et s'en enorgueillit.

Pour lire la publication dans laquelle les travaux de Dominique Job sont cités, télécharger le fichier PDF ou cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le Vice-président de l'Académie d'agriculture de France a été invité à le faire lors du 33e Petit-déjeuner de la science et de l'innovation, qui s'est tenu à Paris, le 18 octobre 2018.

Après avoir retracé la saga du désherbage et l'histoire des herbicides en France et dans le monde, Jean-Louis Bernard a conclu son exposé en pointant les écueils, à son sens, d'un retrait du Glyphosate en France, listés ci-dessous :

  • distorsions économiques considérables entre pays utilisateurs et non utilisateurs,
  • énormes regressions des techniques de travail simplifié du sol; utiles au stockage de la matière organique et du CO2,
  • peu de solutions herbicides alternatives contre les vivaces,
  • recours massif au travail mécanique renforçant la consommation de carburants émettant du C02 et augmentant l'érosion des sols,
  • risque de délocalisation de certaines productions (les semences, par exemple).

Les Petits-déjeuners de la science et de l'innovation sont coorganisés par l'Association française pour l'avancement des sciences, le Rayonnement du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), la Société d'encouragement pour l'industrie nationale et la Société des ingénieurs et scientifiques de France.

Pour visionner la conférence dans son intégralité, cliquer ici : https://www.pscp.tv/w/1lPKqkMrrlYJb

Pour écouter et voir l'intervention de Jean-Louis Bernard, consulter la page Twitter de l'Académie d'agriculture de France, en cliquant ici : https://twitter.com/AcademieAgri

Pour prendre connaissance des PPT présentés par l'Académicien, lors de son intervention, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur l'AFAS, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien l'a fait lors du Forum Bioresp intitulé " Nouvelles boussoles pour la transition bioéconomique", qui s'est tenu, ce jour, dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France.

Son intervention s'intitulait "La photosynthèse tremplin de l'économie de demain". L'occasion pour ce membre de la Section "Sciences de la vie" de la Compagnie de rappeler, tout d'abord, que :

  • la photosynthèse est la source principale de la biomasse de la Planète.
  • la photosynthèse est la source principale de l’oxygène de l’atmosphère.
  • la photosynthèse recycle le CO2 émis par les oxydations de toute sorte.
  • et qu'au final, "La photosynthèse est un don du Soleil, moteur de la vie qui assure une production de matière organique propre et durable"
  • l’économie de la photosynthèse, donc du carbone renouvelable, se caractérise par un recours à la biomasse, au sens large, comme matière première à destination de l’énergie, de la chimie, des matériaux biosourcés et de l’alimentation.

L'Académicien s'est ensuite déclaré persuadé que "la France est sans doute le pays européen qui possède le meilleur potentiel intellectuel, agricole, forestier et industriel pour relever les défis de ces rencontres de la chimie et de l’agriculture". Et qu'il était donc "impératif de valoriser ce potentiel", mais que c’était "une question très dépendante du contexte économique, politique et social".

Jean-François Morot-Gaudry a conclu son exposé en listant les questions à résoudre pour relever le défi :

  • Quel est le cycle de vie des composés biosourcés?
  • Quelles sont les incidences de la chimie biosourcée sur le climat et le paysage ?
  • Déchets organiques et sols?
  • Champs de plantes exotiques?
  • Quels sont les aspects économiques et sociétaux de la chimie biosourcée?
  • Quelles en sont les contraintes économiques ?
  • Quelles sont les Incitations des Etats?
  • Compétition des prix entre produits biosourcés / produits issus de la pétrochimie?
  • Les produits biosourcés vont-ils créer de nouveaux marchés et emplois ?
  • Les produits biosourcés vont-ils compromettre les équilibres satisfaction alimentaire / produits industriels ?
  • Quelles plantes cultiver ?

Pour prendre connaissance de l'exposé de Jean-François Morot-Gaudry, télécharger le fichier PDF, ci-dessous,  ou aller sur notre page Twitter  : https://twitter.com/AcademieAgri

Pour en savoir plus sur le Forum Bioresp, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce Centre d'innovation collaborative pour l'agriculture est, à l'image des Living FabLabs anglo-saxons, un "lieu destiné à faciliter les rencontres, le partage, les échanges de savoirs et les compétences techniques de ses utilisateurs".

Son concept est "centré sur l'UTILISATEUR AGRICULTEUR qui vient avec son besoin et y trouve une solution collective et collaborative".

Accompagné par une équipe, l'agriculteur et ses partenaires pilotent les projets.

L'AgriLab d'UniLaSalle, situé sur le campus de Beauvais (Oise) a quatre périmètres d'action :

  • les productions animales et végétales,
  • les nouveaux produits agricoles (alimentaires ou non),
  • les procédés de première transformation,
  • les énergies renouvelables.

Aussi, l'agriculteur qui vient à l'AgriLab peut aussi bien travailler sur l'amélioration d'un soc de charrue ou d'un dispositif d'alimentation de ses animaux, que mettre au point un logiciel de pilotage plus performant de son drône de surveillance de ses cultures.

L'Académie d'agriculture de France, qui a visité le site la semaine dernière, a été particulièrement "impressionnée" par le lieu, et par l'état d'esprit qui y règne...

Pour en savoir plus sur l'AgriLab cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

A l'Académie d'agriculture de France, "l'intergénérationnel" est une priorité, c'est pourquoi nous relayons, ci-apès, le message de : Léna MOMUS, Etudiante AgroParisTech (parcours Bioraffinerie & Chimie Verte), Chargée Qualité à AgroParisTech Service Etudes, tél : +33 6 89 15 37 33, mél : lena.momus@agroparistech.fr  

ET VOUS INCITONS VIVEMENT A Y REPONDRE !

Merci d'avance pour elle !

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Que vous connaissiez, utilisez ou non des produits de biocontrôle en agriculture, vous ne pouvez être insensible à la progression de ces aides dans le monde agricole. Afin d’en mesurer les évolutions, l’Association française des entreprises de produits de biocontrôle associée à la Junior Entreprise ASE d’AgroParisTech réalise une enquête nationale auprès d’exploitants de toutes les filières agricoles.

Les résultats de cette enquête seront présentés lors d’un grand colloque sur le biocontrôle qui aura lieu en 2019 sur 8 sites simultanément (Lille, Reims, Paris, Angers, Clermont-Ferrand, Avignon, Toulouse et Bordeaux).

De plus, pour vous remercier de votre participation à notre enquête, vous recevrez directement et personnellement les résultats de celle-ci.

Afin qu’elle soit représentative et le plus bénéfique possible à la filière, nous avons besoin de votre participation à cette étude qui vous prendra moins de 10 minutes.

Il vous suffit pour cela de cliquer sur le lien ci-dessous : https://goo.gl/forms/CCauUGT3Unhk6oY82

Je me tiens à votre disposition pour de plus amples renseignements, et vous remercie par avance de votre participation.

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Elle est signée André-Jean Guérin et Jean Jouzel, membres de l'Académie d'agriculture de France.

Ce qu'il faut en retenir :

  • L’origine anthropique des récents changements climatiques est solidement étayé.
  • Le rôle de la végétation sur le taux de dioxyde de carbone atmosphérique est lui aussi connu de longue date.
  • Le secteur des terres, avec notamment l’agriculture, la forêt et les espaces naturels, de puits est devenu source de carbone.
  • Des pistes existent pour inverser cette évolution récente et permettre à ce secteur une contribution substantielle à l’atténuation des causes du réchauffement climatique.

Les "Questions sur... " de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, sont, rappelons-le, des "synthèses techniques et scientifiques sur un sujet d’actualité, à destination d’un public averti".

Pour accéder à la "Questions sur..." la Bioatténuation, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Il a pour titre "Cinquante années d’évolution des rendements moyens mondiaux pour des cultures importantes pour l’alimentation des populations - Comparaison 1961 et 2011".

Son auteur André Neveu, Membre de l'Académie d'agriculture de France analyse l'opinion répandue selon laquelle : "Le rendement / ha des grandes productions végétales n’évolue que très peu dans les régions sud-sahariennes".

Pour accéder à ce nouveau "Repères" de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Make IT Agri s’adresse à vous, toutes spécialités confondues, pendant l’année universitaire 2018/2019 !

Le Concours se déroule en deux phases :

- Phase de présélection : les équipes (2 à 6 personnes) déposent leur dossier de candidature décrivant leur idée d’innovation sur http://makeitagri.org  avant le 15 novembre 2018.

- Phase finale : A partir du 6 décembre 2018, les équipes sélectionnées pourront commencer à travailler sur leur prototype et en feront une présentation devant le jury le 20 juin 2019.

Le 1er prix est de 3 000€. Le 2ème prix est de 2 000€. Le 3ème prix est de 1 500€.

L'Académie d'agriculture de France a tenu sa séance solennelle de rentrée 2018, le 26 septembre après-midi, dans la superbe salle de l'Assemblée permanente des chambres d'agriculture (APCA) sise 9, Avenue George V - 75008 Paris. Cliquer ici pour accéder au reportage photographique : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations-visites/seance-solennelle-de-rentree-lapca

L'après-midi a commencé par un discours de bienvenue du Président de l'APCA, Claude Cochonneau.

Stéphane Travert, ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, a fait ensuite une intervention (retransmise par vidéo) fort appréciée des participants, notamment parce qu'il a clairement exprimé ses attentes (fortes) à l'égard de la CompagnieCliquer ici pour revoir l'intervention du ministre : https://youtu.be/Y9NRhyggztI  

Puis Gérard Tendron, Secrétaire perpétuel de l'Académie a procédé au traditionnel exercice du compte-rendu d'activités et programme de travail de l'Académie. Un exercice qui était son dernier, puisque Gerard Tendron, atteint par la limite d'âge, quittera ses fonctions à la fin de l'année. On retiendra de son discours la volonté de la Compagnie de jouer plus que jamais son rôle d'éclaireur de la Société dans les domaines de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement. Cliquer ici pour revoir l'intervention du Secrétaire perpétuel :  https://youtu.be/85DAcET0WY0

Bertrand Hervieu, Président en exercice de l'Académie d'agriculture de France, lui a succédé à la tribune, pour prononcer un discours (cliquer ici, pour le lire : https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seances-solennelles ) dans lequel il a tenu à appeler l'attention de son auditoire sur deux chiffres et livrer ensuite, à leur propos, quelques brefs commentaires.

La séance solennelle s'est poursuivie par la proclamation des récompenses décernées en 2018 par l'Académie et ses partenaires, orchestrée de main de maître par le Vice-président de l'Académie, Constant Lecoeur, le Trésorier perpétuel de l'Académie, Patrick Ollivier, l'Académicien Jean-Paul Lanly, dont un trophée porte son nom, assistés pour ce faire de Corinne Migné. Cliquer ici pour découvrir le "riche et diversifié" palmarès 2018 : https://www.academie-agriculture.fr/system/files_force/seances/seances-solennelles//palmares2018.pdf?download=1

En fin de séance, les participants se sont retrouvés autour d'un cocktail offert par la Société MARTELL MUMM PERRIER-JOUET.

Par le biais de ces bourses, le Groupement d'intérêt scientifique (GIS) Avenir Élevages propose de "soutenir des stages étudiants d’une durée de 6 mois (niveau Master 2 ingénieur ou recherche) sur ses thèmes d’intérêt".

Les critères d’éligibilité sont les suivants : 

  • Stage réalisé dans un laboratoire de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA) et encadré ou co-encadré par un maître de stage INRA, 
  • Sujet de stage inscrit dans les thématiques de travail du GIS Avenir Élevages, 
  • Partenariat effectif impliquant dans l’encadrement ou le suivi rapproché du stage une unité INRA et au moins un membre du GIS Avenir Élevages hors INRA.

Pour en savoir plus sur les bourses du GIS Avenir Elevages, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'équipe en charge de l'opération est fébrile !

L'objectif ?

Contribuer à l’avenir du vin en sauvant notre patrimoine viticole !

Comment ?

En réalisant un document facile d’utilisation pour les scientifiques, pour les viticulteurs et pour les amateurs de bon vin commentant la "Collection des planches de Redouté sur la vigne" : 83 planches sur vélin réalisées à partir de l’année 1807 par le peintre Pierre-Joseph Redouté et son équipe.

Car, l'Académie d'agriculture de France en est persuadée, le recours à ces cépages anciens illustrés par Redouté est une des solutions permettant à la viticulture de s’adapter au réchauffement climatique.

Pourquoi se tourner vers le financement participatif ?

L’Académie fait le choix du financement participatif, car elle est persuadée que se préparer aux conséquences du réchauffement climatique est un acte citoyen, qui nous « engage toutes et tous ».

Elle a choisi pour ce faire un partenaire spécialiste du Crowdfunding agricole : BlueBees.

L'ambition ?

Lever 40 000 euros

VOTRE CONTRIBUTION FINANCIERE VOUS SERA DEMANDEE A PARTIR DE SAMEDI PROCHAIN !

Fort de 560 salariés et de 187 enseignants-chercheurs, le réseau de grandes écoles d’ingénieurs Fésia change de nom en 2018 pour devenir France Agro.

Le groupement, qui souhaite susciter de nouvelles vocations parmi les bacheliers, augmente régulièrement ses effectifs depuis plusieurs années (+10%) et gagne en visibilité lors de son intégration à la plateforme d’admissions Parcoursup en devenant la référence Ingénieur Agronome post-bac.

Ce changement d’identité intervient dans le contexte à forts enjeux des Etats généraux de l’Alimentation. Demain, plus que jamais, l’ingénieur agronome occupera une place décisive dans les entreprises de la filière alimentaire, notamment dans des métiers qui n’existent peut-être pas encore aujourd’hui. Face aux nouvelles attentes des consommateurs, les jeunes diplômés sont attendus dans des fonctions diverses (R&D, conseil, évaluation, management environnemental, supply chain, management de la qualité, marketing, commerciales et technico commerciales, etc.).

Pour en savoir plus, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Du 16 juillet au 31 août 2018, profitant de la trêve estivale, l'Académie d'agriculture de France avait décidé "d'occuper le terrain médiatique" en proposant à ses partenaires de (re)prendre connaissance de la très grande variété de son activité durant les mois passés, au travers la diffusion, chaque jour, week-end compris, d'une information sous le hashtag : #jeminformegracealacademie.

Le défi a été relevé et apprécié !

Les informations ont été diffusées sur le site Internet de la Compagnie et au travers les Réseaux sociaux.

Ont ainsi été, entre autres, (re)mis en avant :

  • des prises de position de l'Académie ou d'Académiciens sur des sujets d'actualité,
  • des évènements organisés par l'Académie ou auxquels la Compagnie a participé,
  • des fiches de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie,
  • des analyses de thèses,
  • des communications de recherche,
  • des notes de lecture d'ouvrages par des Académiciens,
  • la remise de prix et médailles par l'Académie,
  • la présence de l'Académie sur les Réseaux sociaux,
  • la remise d'un prix de l'information scientifique à destination du public,
  • ...

Pour retrouver les "Infos de l’Académie à la une" diffusées durant l'été 2018, cliquer sur ce lien Internet :

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/actualites-academie   

ou taper #jeminformegracealacademie sur Twitter :

https://twitter.com/search?q=%23jeminformegracealacademie&src=typd

Les thèmes abordés dans ces « fiches pédagogiques et ultra-synthétiques » (sous forme : 1 graphique, 1 explication, 1 bibliographie) de l'Encyclopédie en ligne de la Compagnie, sont les suivants :

• Rendement moyen national du maïs grain en France 1998-2015

• Production de céréales : France comparée aux grands exportateurs mondiaux en matière de surfaces

• Production de céréales : la France comparée aux grands exportateurs mondiaux en matière de productivité

• Production française de betterave à sucre : Consommation des engrais azotés minéraux et évolution du rendement moyen par hectare (1975-2017)

• Les maladies de la betterave : Nombre moyen d’interventions fongicides

• Production française de betterave à sucre : Evolution du rendement moyen par hectare (1945-2017)

• France métropolitaine : occupation physique des sols

• France - Part de la superficie des grandes cultures semée sans labour préalable (2001-2011)

• Nombre d’espèces d’insectes potentiellement nuisibles aux cultures introduites en France métropolitaine pour les trois périodes de référence

• Evolution de la quantité des insecticides et acaricides commercialisés en France par rapport aux autres substances actives (1990-2014)

• Les minéraux naturellement présents dans l’eau de mer : Nombre d’éléments retrouvés selon la sensibilité des méthodes d’analyse

• France métropolitaine : artificialisation des sols

• Evolution temporelle du nombre d’espèces d’arthropodes terrestres introduites par an en Europe de 1500 à 2008

• Les livraisons d’engrais minéraux en France (1886-2016)

• Limites maximales des mycotoxines de Fusarium dans l’alimentation humaine

• Evolution de la production agricole comparée avec les livraisons d’azote minéral (1976-2017)

• Les acteurs mondiaux des céréales

• Nombre de variétés cultivées en France pour la production de semences (2001 à 2016)

• Culture de la betterave à sucre et consommation d'engrais azotés minéraux

• Evolution du commerce extérieur français pour la branche semences et plants (2007-2015)

• Le rendement moyen national du blé tendre d’hiver en France 1998-2015

Pour accéder aux "Repères" de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Dans cet ouvrage collectif de la Collection des Livres de l'Académie d'agriculture de France, publié aux Presses des Mines, sous la direction des Académiciens Catherine Regnault-Roger, Louis-Marie Houdebine et Agnès Ricroch, dix auteurs d'horizons différents abordent "l’avenir des biotechnologies à travers les nouvelles techniques d’édition du génome qui créent des Organismes génétiquement édités (OGE), comme par exemple le CRISPR-Cas9".

Mais surtout, ils apportent leur éclairage sur les questions suivantes : "En quoi ces nouvelles techniques, qui provoquent des changements contrôlés dans le génome des organismes de manière beaucoup plus précise, sont-elles différentes des techniques utilisées pour l’obtention d’Organismes génétiquement modifiés (OGM) ? Quelles sont leurs applications en productions animales et végétales et quelles perspectives ouvrent-elles dans une agriculture mondialisée ? Quels sont les termes du débat sociétal et éthique qu’elles suscitent et les enjeux de la réglementation qui leur sera appliquée ? Comment faire porter ces travaux dans la décision publique à un moment où la rationalité scientifique est de moins en moins audible ?".

Offre de souscription jusqu'au 10 octobre 2018 (hors circuits commerciaux) : 20 euros au lieu de 25.

Livraison à partir du 20 septembre 2018.

Pour en savoir plus sur ce livre de l'Académie et le commander, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Je me rappelle que l'Académie d'agriculture de France est partenaire, avec la Fondation Avril et AgroParisTech, du "concours d’innovation en agriculture" Make IT Agri > https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/lacademie-la-fon...

Mais surtout, si je suis é́tudiant d'une Grande école d’ingénieurs française intéressé par ce Concours, je (re)note dans mon agenda que j'ai entre le 1 septembre et le 15 novembre 2018 minuit, pour déposer mon dossier de candidature décrivant mon idée d’innovation sur le site internet du Concours.

Pour en savoir plus sur le concours Make IT Agri, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

La fiche de cette rubrique de l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France, publiée le 28 août 2018, a été rédigée par Catherine Regnault-Roger, Membre de l’Académie d’agriculture de France et Membre de l’Académie nationale de Pharmacie.

Elle s'intitule : "Produits de biocontrôle en 2018 : réalités et défis".

Son auteur la résume ainsi : "Le biocontrôle est un vocable récent qui rassemble beaucoup de techniques et technologies connues depuis longtemps. Depuis une dizaine d’années, les pouvoirs publics particulièrement en France ont décidé de promouvoir cette approche de protection des plantes pour réduire la consommation des molécules phytopharmaceutiques de synthèse. En conséquence, le marché des produits de biocontrôle connaît une croissance fulgurante. Mais sont-ils à même de répondre aux attentes ? Après avoir défini ce qu’on entend par biocontrôle et les produits qui y sont classés, puis donné des éléments sur sa commercialisation actuelle, cet article examine les principales stratégies qui s’appuient sur les produits de biocontrôle dans un exercice d’évaluation bénéfices/risque à partir d’exemples connus de succès et d’échecs".

Pour lire la fiche, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ils traitent des sujets suivants :

  • Evolution de la production agricole comparée avec les livraisons d’azote minéral (1976-2017)
  • Limites maximales des mycotoxines de Fusarium dans l’alimentation humaine
  • Les livraisons d’engrais minéraux en France (1886-2016)
  • Les acteurs mondiaux des céréales
  • Culture de la betterave à sucre et consommation d'engrais azotés minéraux
  • Nombre de variétés cultivées en France pour la production de semences (2001 à 2016)
  • Evolution du commerce extérieur français pour la branche semences et plants (2007-2015)
  • Le rendement moyen national du blé tendre d’hiver en France 1998-2015

Les "Repères" sont des "fiches pédagogiques et ultra-synthétiques (sous forme : 1 graphique, 1 explication, 1 bibliographie)" faisant le point sur un sujet d’actualité, à destination de TOUTES et TOUS !

Ils sont parties intégrantes de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France, un document "interactif et évolutif" dans le temps, conçu à l’attention du plus grand nombre (politiques, enseignants-chercheurs, professionnels, journalistes, grand public).

Le contenu de l'Encyclopédie est issu des réflexions et de l’expérience avérée des membres de la Compagnie. Il a pour vocation de rétablir une forme de vérité (#factchecking) sur des sujets d’actualité dans les secteurs de l’Agriculture, de l’Alimentation, de l’Environnement, dont certains font « débat » voire font l’objet d’informations erronées (#fakenews).

Pour accéder aux "Repères" de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette médaille récompense annuellement "an outstanding contribution to research in plant science".

Le gagnant reçoit un prix de £2000 (GBP) et rédige "a short Tansley insight review that will be published in New Phytologist".

"The New Phytologist Tansley Medal" est une opportunité pour les scientifiques "in the early stages of their career".

Pour en savoir plus sur la New Phytologist Tansley Medal, cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Organisé dans le cadre du Mastère spécialisé®  "Innovations et politiques pour une alimentation durable" de Montpellier SupAgro et du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad), ce séminaire de formation de la Chaire Unesco Alimentation du monde se tient chaque mois d’octobre et ce, depuis 2012.

Il est ouvert à tous sur les enjeux contemporains de l’alimentation.

Les séances sont diffusées en streaming et peuvent donc être suivies sans se déplacer à Montpellier (Hérault).

Les intervenants des matinées (9h30-12h, Montpellier SupAgro) du séminaire de 2018 sont les suivants :

  • Mercredi 10 octobre : Benoît DAVIRON
  • Jeudi 11 octobre : Nicolas BRICAS
  • Jeudi 18 octobre : Claude FISCHLER
  • Vendredi 19 octobre : Pierre-Henri GOUYON
  • Jeudi 25 octobre : Sophie THOYER
  • Vendredi 26 octobre : (Intervenant à confirmer)

Pour en savoir plus sur ce séminaire et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Je (re)découvre que l’Académie d’agriculture de France a pris l’initiative de publier sur son site Internet des analyses de thèses de chercheurs présentant un intérêt particulier pour le monde agricole.

Les candidats à cette publication sont invités à adresser leur thèse au secrétariat de rédaction du service des publications de l’Académie pour enregistrement de la demande (christine.ledoux@academie-agriculture.fr).

Madame Anne-Marie Hattenberger (am.hattenberger.alfort@wanadoo.fr), Académicienne, responsable des analyses de thèse, propose, alors, en relation avec les secrétaires de section, un académicien référent pour procéder à l’analyse de la thèse. Le document d’analyse, dont la rédaction est libre, doit comporter 1500 à 3000 signes environ.

Après échanges éventuels entre les différents intervenants et validation finale par l’Académicien référent, l’analyse est publiée sur le site de l’Académie, avec le titre de la thèse, le nom de l’auteur et celui de l’Académicien référent.

Cette analyse fait l’objet d’une information par les différents moyens de communication de l’Académie et est accessible gratuitement. 

Ce processus permet la valorisation des résultats scientifiques des chercheurs, ainsi que la mise à disposition des membres de l’Académie d’une très grande diversité de travaux de recherches les plus récents dans les nombreux domaines de compétence des dix sections de l’Académie.

Les thèses des jeunes chercheurs analysées récemment par l'Académie sont les suivantes :

  • Mesurer et compenser l’impact de l’éolien sur la biodiversité en milieu agricole (Kévin BARRÉ )
  • Conservation des communautes de papillons de jour dans les paysages forestiers heterogenes : effets de la qualite, de la diversite et de la fragmentation des habitats (Inge Van HALDER)
  • Incentive payments for biodiversity conservation : a dynamic and spatial analysis (Emeline HILY)
  • Invasion du capricorne asiatique anoplophora glabripennis : génétique, traits d’histoire de vie et écologie (Marion JAVAL)
  • Approches de modélisation pour évaluer et comparer les impacts sur l’environnement et sur la santé humaine des pesticides utilisés dans des systèmes de culture conçus pour réduire l’usage des pesticides (Sabine Karen)
  • Amélioration de la croissance et de la production fruitière de ziziphus mauritiana lam. par l’inoculation mycorhizienne dans deux vergers au sénégal (Babacar THIOYE)
  • Production et traitement de données omiques hétérogènes en vue de l'étude de la plasticité de la paroi chez des écotypes de la plante modèle arabidopsis thaliana provenant d'altitudes contrastées (Harold DURUFLÉ)
  • Hommes, milieux, brebis et laits à la croisée des fromages : l’ancrage territorial des ovins laitiers en Corse et en Pyrénées-atlantiques depuis la fin du xxe siècle (Morgane MILLET)
  • Devenir des virus entériques de l’homme dans les eaux et les sols ; vers une comparaison de scénarios de rejets et de recyclages (Vincent TESSON)

Pour en savoir plus sur le processus d'analyses de thèses de chercheurs par l'Académie et lire ces analyses, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Rédigée par Jean-Marc Boussard, Académicien, en juillet 2018, elle a pour thème : "Les revenus de la terre et la rente foncière".

L'auteur propose de retenir de cette "Questions sur…" que :

  • La rente foncière fait partie d'un ensemble de prix (les rentes) spécifiques : comme les autres prix, ils relèvent de la rareté de certains biens – ici la terre – mais leur valeur ne peut pour autant inciter à les produire, puisqu'ils ne sont pas susceptibles de production.
  • Les discussions développées depuis le XVIIIe s. sur l'attribution et le partage de la rente foncière viennent de cette particularité. Elles ne sont pas closes. À l'heure actuelle, dans les pays développés, la rente foncière est répartie entre le propriétaire, l'éventuel locataire, et l'Etat.
  • La rente foncière est déterminée par la valeur des productions une fois déduite la rémunération des autres facteurs de production. Elle évolue dans le temps, mais pas toujours à la hausse contrairement à ce que pensaient les auteurs du XIXe siècle. Elle dépend beaucoup des techniques agricoles utilisées : l'intensification tend à la faire baisser, l'extensification à l'augmenter.

Pour lire la "Questions sur... Les revenus de la terre et la rente foncière" et la télécharger au format PDF, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous:

Et surtout si je suis enseignant ou étudiant, je (re)visite la rubrique-focus du site internet de l'Académie d'agriculture de France, spécialement conçue à mon intention !

J'y (re)découvre les rubriques suivantes :

  • A la Une du secteur de l’enseignement
  • Pour enrichir vos connaissances ...
  • Pour valoriser votre parcours professionnels...
  • Pour enrichir votre réseau professionnel

J'y ai, par ailleurs, accès à des liens Internet utiles.

Enfin, j'y suis incité à rejoindre la grande communauté de l'Académie sur les réseaux sociaux .

Pour accéder directement à la rubrique-focus "Etudiants et Enseignants" du site Internet de l'Académie, cliquer ci-dessous :

Il a pour intitulé : "Herbivore nutrition supporting sustainable intensification and agro-ecological approaches".

Ce symposium est "un rendez-vous majeur pour les scientifiques travaillant sur la nutrition des herbivores et plus largement sur leur élevage face aux enjeux mondiaux de l’augmentation de la demande en produits animaux, du changement climatique, de la nécessité de limiter l’impact environnemental des élevages et de répondre aux préoccupations sociétales croissantes sur le bien-être des animaux d’élevage".

Il permettra de faire "le point sur les dernières avancées scientifiques dans le domaine de la nutrition des herbivores au service de la mise en œuvre de systèmes d’élevage durables mobilisant les leviers de l’agroécologie".

La tenue de ce symposium dans la préfecture du Puy-de-Dôme est "une forte reconnaissance des recherches menées à l’Institut national de recherche agronomique (INRA) de Theix sur l’Elevage et la Nutrition des Herbivores depuis plusieurs décennies.

Pour en savoir plus sur ce symposium, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Et plus particulièrement à quelques semaines de la rentrée !

Sur cette "véritable plateforme de services", l'Institut agronomique, vétérinaire et forestier de France (Agreenium), qui réunit 14 établissements d'enseignement supérieur agricole et 4 instituts de recherche et d'expertise, met à la disposition de toutes et tous, des :

  • offres de formation,
  • écoles d'été,
  • formations par la recherche,
  • massive open on line courses (MOOC).

Le site Internet aborde aussi les questions récurentes suivantes :

  • métiers et insertion,
  • dispostifs de recherche,
  • comment venir étudier en France ?

Pour consulter le site Internet Agreenium, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Elle traite "des origines premières de la Politique agricole commune (PAC)" et a été rédigée par Michel-Jean Jacquot, membre de l'Académie d'agriculture de France, malheureusement décédé quelques jours après.

"Questions sur …" est l'un des formats de l'Encyclopédie en ligne de l'Académie d'agriculture de France. Ce sont des "synthèses techniques et scientifiques sur un sujet d’actualité à destination d’un public averti, prolongeant celles commencées dans la filière Forêt Bois".

Pour lire cette première "Questions sur..." de l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le Bureau national de l'Association des professeurs de biologie et géologie (APBG) vient, en effet, d'inviter la Compagnie, à participer, comme l'an dernier, à l'exposition de matériels scientifiques, de documents pédagogiques et de livres scolaires, qui se déroulera le samedi 17 novembre 2018, dans le cadre des Journées nationales de formation "Evolution de l'Homme et dynamique des interactions avec son environnement", que l'association organise, cette année, les 17 et 18 novembre.

Il sera mis gratuitement à disposition de l'Académie d'agriculture de France, un stand (table et chaise) et un branchement électrique, afin qu'elle puisse, à nouveau, "se présenter" aux professeurs visitant l'exposition et surtout leur faire découvrir "la richesse de ses publications et ressources pédagogiques".

L'exposition se déroulera, de 9h à 17h, au Centre Universitaire des Saints-Pères - Faculté de médecine Paris-Descartes - 45, rue des Saints-Pères - 75006 Paris.

A noter, que le dimanche 18 novembre à 9h15, Jean Jouzel, membre de l'Académie des Sciences et de l'Académie d'agriculture de France, interviendra sur le thème du "réchauffement climatique".

Pour en savoir plus sur les Journées nationales de formation "Evolution de l'Homme et dynamique des interactions avec son environnement" des 17 et 18 novembre 2018, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Je (re)consulte les pages que l'Académie d'agriculture de France anime sur les Réseaux sociaux (Twitter, LinkedIn, Facebook).

L'occasion de lire nos "messages à chaud" sur divers sujets et de prendre connaissance des réactions de nos partenaires.

Je (re)découvre les "Communications de recherche" de l'Académie d'agriculture de France, dont le but est de promouvoir les travaux des jeunes chercheurs.

Ces documents, publiés sur le site Internet de la Compagnie, après examen d'un Académicien, peuvent "rapporter des travaux de recherche scientifiques, des innovations technologiques, des éléments issus de travaux de thèse, des travaux de fin d'études d'écoles d'ingénieur ou des sujets de master soumis par des jeunes chercheurs".

Les derniers sujets de recherche "communiqués" sont les suivants :

  • La protéose peptone 5, une inhibitrice potentielle de la lipolyse spontanée du lait,modulée par l'alimentation de la vache laitière,
  • Trajectoires d’évolution des sols et des agroécosystèmes de montagne de l’Holocène à l’Anthropocène,
  • La protéomique de nouvelle génération pour la surveillance écotoxicologique des environnements aquatiques,
  • Génération de nouvelles variétés de haricot résistantes à la graisse commune basée sur les tale.

Pour lire les "Communications de recherche" de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Son titre lui sera remis, le vendredi 28 septembre 2018, par le directeur général de l'école (Ampithéatre Matagrin - 65, rue de Saint-Brieuc - 35000 Rennes).

A cette occasion, le membre de l'Académie d'agriculture de France (Section "Interactions milieux-êtres vivants") donnera une conférence, entre 10h30 et 12h30, sur le thème "Matières organiques des sols : aux fondements de la vie et de l'agronomie".

Et plus spécialement, si je suis étudiant ou enseignant, je (re)découvre que l'Académie d'agriculture de France décerne, chaque année des médailles d’argent récompensant des thèses de grande qualité, dont les analyses, réalisées par des Académiciens, sont publiées sur le site Internet de la Compagnie.

Pour en savoir plus sur les Médailles d'argent de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le premier de ces évènements, programmés par l'Association française de protection des plantes (AFPP), est un colloque scientifique sur les "bioagresseurs du buis", les 16 et 17 octobre 2018, à Tours (Indre-et-Loire). Il a pour objectif "d’apporter des informations scientifiques sur la pyrale du buis, les nématodes et le dépérissement du buis cultivé et sur les buis sauvages".

Le second évènement est une "Université de la protection des plantes", les 23 et 24 octobre 2018, à la Station d’expérimentation Boigneville d’ARVALIS-Institut du végétal (Essonne). Il s'agit "d'une formation destinée aux enseignants en protection des cultures, afin qu’ils puissent mettre à jour leur connaissance en ce domaine et d’échanger avec les différents formateurs. Les grandes cultures sont la thématique de cette édition".

Pour en savoir plus sur les deux évènements organisés par l'AFPP et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Gérard Tendron, Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France, vient de confier à Patrick Ollivier, Trésorier perpétuel de la Compagnie, l'animation d'un groupe de travail ayant pour objectifs prioritaires de : 

  • susciter, auprès des sections, les fiches, qui progressivement constitueront l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France,
  • mettre en forme ces fiches, selon l'esprit et les modèles définis par l'Académie et, ce, en collaboration étroite avec les responsables du site Internet, de façon à ce que ces documents s'insèrent bien dans la communication générale de la Compagnie,
  • insérer ces fiches dans les chapitres, qui constitueront "l'épine dorsale" de l'Encyclopédie,
  • associer à chaque fiche les mots-clés, qui permettront une recherche accessible depuis l'extérieur, par les personnes consultant le site Internet de l'Académie,
  • maintenir les fiches à jour, au fil du temps.

Pour en savoir plus sur l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

L'Académicien y "emmène les auditeurs dans un univers invisible et pourtant essentiel à la vie, celui des microbes".

Pour ré-écouter l'émission de France inter, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

(Photographie © Getty)

Cette opération a pour but de faire (RE)DECOUVRIR la richesse du contenu du site Internet de la Compagnie.

Chaque jour, durant cette période estivale propice à "la réflexion approfondie et apaisée", un article de la rubrique "Infos de l’Académie à la une" mettra en avant, un document mis en ligne dans une des nombreuses autres rubriques du site Internet de l'Académie d'agriculture de France.

Cet article sera promu sur les Réseaux sociaux à l'aide du hashtag (marqueur de métadonnées couramment utilisé sur Internet où il permet de marquer un contenu avec un mot-clé plus ou moins partagé) #jeminformegracealacademie.

Si nos articles, ainsi signés, vous satisfont et notamment contibuent, à votre sens, à combattre l'#agribashing, FAITES-LE SAVOIR EN FAISANT CONNAITRE NOTRE HASHTAG ESTIVAL !

La décision a été prise, ce 9 juillet 2018, lors d'une réunion entre les deux partenaires, qui étaient à ce jour associés dans l'organisation du concours "Cultures" Agri : http://www.culturesagri.fr/.

Pour donner "plus d'ampleur" à son concours, le Crédit Mutuel a rejoint depuis quelques semaines la plate-forme euro-france médias, qui a créé le concours "Je filme le métier qui me plaît", dans laquelle il sera en charge de l'organisation de la nouvelle catégorie "Agriculture et Territoires", visant à être, en quelque sorte, un concours Cultures Agri d'ampleur bien plus importante.

L'Académie d'agriculture de France, pour qui "le transfert intergénérationnel des savoirs est une priorité", accompagnera le Crédit mutuel dans cette "nouvelle aventure pédagogique".

La Compagnie, entre autres :

- contribuera à faire connaître le concours "Je filme le métier qui me plaît" dans ses réseaux professionnels, y compris en région par l'intermédiaire de ses relais territoriaux,

participera au jury de sélection des films dans la catégorie "Agriculture et Territoires",

- organisera une "réception off spéciale Agriculture et Territoires" à destination des participants, le matin de la cérémonie officielle au Grand Rex.

Pour en savoir plus sur le transfert du concours "Cultures" Agri" vers le concours "Je filme le métier qui me plaît", télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur le concours "Je filme le métier qui me plaît", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce bulletin de veille propose, tous les deux mois, "une selection d'articles et d'évènements traduisant les avancées dans le domaine des technologies numériques appliquées à l'agriculture".

Pour lire ce bulletin, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

D'une part, ISTE Editions vient de faire paraitre la série de 6 volumes : "Les sols au cœur de la zone critique", coordonnée par Christian Valentin, membre de l'Académie d'agriculture de France.

Cette série est composée des volumes suivants, dont la conception a été dirigée par plusieurs Académiciens :

- Volume 1 : Fonctions et services

- Volume 2 : Enjeux de société

- Volume 3 : Circulation de l’eau

- Volume 4 : Qualité de l’eau

- Volume 5 : Dégradation et réhabilitation

- Volume 6 : Écologie

Pour commander la série de 6 volumes : "Les sols au cœur de la zone critique", cliquer ici : https://iste-editions.fr/

D'autre part, le n° 91 de la série "Responsabilité et environnement" des Annales des Mines, de Juillet 2018, est intitulé "Sols en danger : réduire l’artificialisation". Ce numéro est coordonné par Dominique Dron et André-Jean Guérin, membre de l'Académie d'agriculture de France.

Au sommaire du numéro, les articles suivants, dont certains ont été corédigés par des Académiciens :   

- Les sols : préservons ce socle de la vie pour les prochains siècles !

- Les sols au cœur de la zone critique de la Terre

- Fertilité des sols : la qualité par la vie

- L’état des sols en France l’artificialisation et les autres sources de dégradation

- Les sols, facteurs d’atténuation ou, au contraire, d’aggravation du changement climatique

- Le statut juridique des sols face à l’artificialisation : état des lieux et perspectives 

- Orientations et outils de gestion de la consommation d’espace au plan national

- Les friches industrielles : une nouvelle ressource secondaire ?

- Favoriser la réutilisation des friches commerciales

- La fiscalité peut-elle contribuer à limiter l’artificialisation des sols ?

- Avis du CESE (du 13 mai 2015) : « La bonne gestion des sols agricoles, un enjeu de société »

- La réhabilitation des terres dégradées dans les zones sèches

- La consommation d’espaces naturels en Île-de-France : bilan, enjeux, outils

- Préserver la terre, stimuler l’activité agricole : 30 ans d’aménagement et d’urbanisme dans le département des Bouches-du-Rhône

- Quelle gouvernance pour les relations des villes avec leur hinterland ?

- Réduire l’étalement urbain : mission (im)possible ?

- Après la remédiation, le double enjeu de la restauration et de la requalification des sols

Pour en savoir plus sur le n° 91 de la série "Responsabilité et environnement" des Annales des Mines, de Juillet 2018 cliquer ici :  http://www.annales.org/lettre-info/2018/lettre68/lettre68.html

Dans un communiqué, en date du 28 juin 2018, elles "s’insurgent des propos d’Henri JOYEUX qui, se prévalant de la levée de sa radiation du Conseil National de l’Ordre des Médecins, prétend - qu’il a raison - concernant ses positions sur la vaccination".

Pour le lire le communiqué des : Académie des Sciences, Académie d’Agriculture de France, Académie nationale de chirurgie-dentaire, Académie nationale de médecine, Académie nationale de Pharmacie et Académie Vétérinaire de France, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Il sera reprogrammé à une date ultérieure.

Les coordonnateurs de ce numéro des Annales intitulé : "Sols en danger: réduire l'artificialisation", André-Jean Guérin pour l'Académie et Dominique Dron, pour les Annales, vous prient de les en excuser.

Pour en savoir plus sur ce numéro Sols des Annales des Mines, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

(Photographie Ademe)

Le premier de ces documents est un rapport intitulé : "De l'agroécologie à la bioéconomie : des alternatives pour la modernisation du système agricole et alimentaire des Outre-mer". Il est signé d'Harry Ozier-Lafontaine (Inra Antilles-Guyane), Roselyne Joachim (Chambre d’Agriculture de la Martinique), Jean-Pierre Bastié et André Grammont (Académie d’agriculture de France). Le rapport est "le fruit d’un travail de prospective sur l’agriculture des Outre-mer, dans l’objectif de proposer de nouvelles perspectives de développement agricoles pour chacun de ces territoires. Il s’inscrit dans un contexte local, régional, national et européen favorable à l’exploration de pistes nouvelles pour un enjeu sociétal majeur : l’alimentation durable des populations dans la prise en compte des impératifs économiques et environnementaux. Le rapport propose une vision intégrée du développement qui tient compte à la fois de l’économique, du social, du vivant, de l’environnement et des paysages".

A consulter sur : https://www.academie-agriculture.fr/publications/publications-academie/avis

Le second document de #factchecking est un point de vue d'académiciens sur..., les réponses à donner à cette question d'actualité : "La dose ne ferait-elle plus le poison?" Il est signé de Gérard Pascal, Hervé Lafforgue et Dominique Parent Massin , membres de la section "Alimentation humaine" de l'Académie d’agriculture de France. Le Document est ainsi conclu : "La tentation est forte, pour certains, de considérer que toutes les molécules pourraient présenter des courbes non monotones, ce qui revient à remettre en cause la notion de DJA et DJT basée sur la dose sans effet ou la Benchmark Dose. On glisserait alors de la gestion sur la base de l’évaluation du risque à la gestion sur la base du danger. La réalité est toute autre et ces cas sont très rares. Les relations dose effet sont beaucoup plus complexes qu’il n’y parait et, bien que certains composés présentent un comportement particulier, remettre en cause le principe de Paracelse 'sola dosis fecit venenum', seule la dose fait le poison, sur lequel ont reposé jusqu’à ce jour les évaluations du risque en sécurité des aliments, serait une grave erreur. Bien entendu, il ne s’agit pas d’ignorer les effets aux faibles doses, de même que les effets des mélanges, ces éléments feront partie des défis à relever par les toxicologues dans le futur".

A consulter sur : https://www.academie-agriculture.fr/publications/publications-academie/points-de-vue-academiciens

Leur crainte en la matière ? Ce sont les "malentendus".

Le document est signé de Barbara Dufour, Jeanne Grosclaude, Gilbert Jolivet et Gérard Maisse et approuvé par quelque 30 membres de l'Académie d'agriculture de France.

Il inaugure la nouvelle rubrique ouverte sur le site Internet de la Compagnie, intitulée "Points de vue d'Académiciens sur...".

Pour lire le document, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

La Professeur émérite de l’Université Pierre et Marie Curie, physicienne, climatologue et membre de l'Académie d'agriculture de France a, en effet, été sollicitée lors de la rédaction de l'épisode 15 : "année 2030" de la BD dont le pitch est le suivant : "Encore une catastrophe climatique. Les 4 amis se sentent impuissants face aux conséquences du changement climatique. On ne parle plus de végétarien ou pas, on parle simplement d'humain et de survie".

"Manger vers le futur" est un projet initié et porté par la chaire partenariale d’AgroParisTech : Aliment Nutrition Comportement Alimentaire (ANCA). Elle a pour vocation de "sensibiliser le plus grand nombre à une alimentation saine et durable".

La Chaire ANCA est gérée par la Fondation AgroParisTech, sous égide de la Fondation ParisTech et est soutenue par Danone Nutricia Research et la Fondation Louis Bonduelle.

Pour lire l'épisode 15 de la BD "Manger vers le futur" et voir l'interview de Katia Laval, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Il est désormais "coutume" sur Twitter de promouvoir, le vendredi, un document sous le "hashtag #VendrediLecture".

L'Académie d'agriculture de France "joue le jeu" et propose à la lecture de ce jour l’article de l'Académicien Jean Dunglas intitulé : "Production agricole en milieu fermé, artificialisé et isolé", tout juste mis en ligne sur le site de l’Académie dans la rubrique "Encyclopédie", sous-rubrique "Potentiels de la science pour une agriculture durable", chapitre "Itinéraires techniques (phytotechnie, zootechnie et systèmes de culture) et mécanisation".

BONNE LECTURE !

Pour accéder à l'article, cliquer sur le lien Internet ou télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Ce déplacement, qui s'est déroulé les 7 et 8 juin 2018, fait date à "plusieurs titres".

  • En termes de "fréquentations", tout d'abord.

17 membres de la Compagnie étaient présents. Un représentant de la Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture, et de la forêt (DRAAF) et deux professeurs agronomes du lycée agricole de l’Isle-sur-la-Sorgue (Vaucluse), se sont joints à eux.

  • En termes de "thématiques abordés", ensuite.

Les représentants du parc de Camargue ont, entre autres, souligné l’importance de la rizière, support trophique indispensable pour des espèces emblématiques comme la grue cendrée, le héron pourpré, le butor étoilé et bien évidemment les flamants roses, malgré des préjudices aux rizières, plus réguliers et sensibles au fur et à mesure que le nombre de flamants roses augmente et que la surface en riz diminue.

L'impact de la riziculture sur les émissions des gaz à effet de serre et le changement climatique a également été largement abordé, avec en contre point les conséquences des perspectives d’un réchauffement climatique sur la riziculture qui permettrait de voir les rendements augmenter si la disponibilité en eau du Rhône n’est pas réduite et les stress biotiques sous contrôle.

Par ailleurs, deux stress biotiques ont été bien soulignés pour illustrer le plafonnement des rendements constaté qui réduit les performances économiques de la filière. Le principal est lié au contrôle des adventices, contrôle devenu plus problématique avec la réduction de la diversité des herbicides et la résistance de certaines espèces aux herbicides disponibles. L’arrivée récente et le développement du charançon aquatique menace également la production de riz mais de façon moindre dans l’immédiat. En revanche la plupart des autres stress biotiques historiques ont été résolus avec l’amélioration variétale (pyriculariose et pyrale du riz) et le Centre français du riz a développé une forte expertise privilégiant des moyens de bio-contrôle pour les gérer.

  • En terme de "transmission des savoirs", enfin.

Les membres de l'Académie d'agriculture de France ont, en effet, pu échanger durant deux jours, avec, entre autres, des professionels de terrain, de jeunes chercheurs et des étudiants.

C'est pourquoi, ce déplacement a trouvé écho sur les réseaux sociaux et dans la presse locale :

https://www.agropolis.fr/actualites/retour-visite-academie-agriculture-de-france-2018.php     

https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/academiciens-dans-la-presse

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/colloque/academie/journees-camargue-et-riziculture-7-et-8-juin

Pour prendre connaissance des exposés faits au cours de ce déplacement, cliquer sur le lien Internet, ci-dessus

Pour voir le reportage photos des visites, cliquer sur le lien ci-dessous

Cette audition aura lieu le 12 juin 2018, à 14h00 dans l'amphithéâtre de l'Académie d’agriculture de France (18, rue de Bellechasse – 75007).

Elle aura pour thème : "Les relations entre alimentation et santé, leur impact et leurs perspectives d’évolution".

Le Pr Serge Hercberg est président du Programme National Nutrition Santé (PPNS) https://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Hercberg

Pour écouter et voir son intervention, cliquer ici : https://www.youtube.com/watch?v=ijK8-Hf7qn4

Pour télécharger sa présentation et en savoir plus sur le Groupe de travail "Transition alimentaire, filières et territoires", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ont été aperçus, parmi les nombreux participants à cette matinée de débats, les membres suivants de la Compagnie : Michel Candau (Président sortant), Daniel-Eric Marchand (Vice-trésorier), Andrée Corvol-Dessert (section "Forêts et filière bois") et Gil Kressmann (section "Agrofournitures"), accompagnés de Philippe Kim-Bonbled, Chargé de la coordination de la communication de l'Académie d'agriculture de France.

Mais surtout, Carole Hernandez-Zakine (section "Sciences humaines et sociales") est intervenue à la table ronde "Faut-il rémunérer les agriculteurs pour leurs actions vis-à-vis de l'environnement et de la biodiversité ?" Elle y a, notamment, expliqué que la "contractualisation privée" était un des moyens d'y parvenir...

Ce colloque a été ouvert par François de Rugy, Président de l'Assemblée nationale.

Luc Smessaert, Président du Forum des agriculteurs responsables respectueux de l'environnement (FARRE), a précisé, en introduction de cette matinée de débats, qu'elle était celle "DE TOUS LES AGRICULTEURS".

Pour voir le reportage photographique, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Plusieurs de ses membres ont participé, jeudi 31 mai 2018 dans les locaux d'AgroParisTech, à la réunion de lancement et de mise en ligne de cette BD imaginée par la Chaire Alimentation Nutrition Comportement Alimentaire (ANCA), une chaire partenariale d'AgroParisTech.

Etaient  présents : Gilles Trystram (par ailleurs, directeur d'AgroParisTech), Daniel-Eric Marchand et Jean-Marie Séronie, accompagné de Philippe Kim-Bonbled en charge de la coordination de la communication de la Compagnie

La BD numérique "Manger vers le futur" s'efforce de répondre aux questions suivantes : "Comment nourrir 9 milliards d’habitants en 2050 ? Que mangerons-nous demain ? Faut-il limiter notre consommation de produits animaux ?; en proposant, pour ce faire, un scénario fictif de l’évolution possible des pratiques et représentations alimentaires entre 2018 et 2050.

La BD est diffusée sur Instagram et sur Internet. On y suit l'histoire de "Ana, Raman, Edgar et Inès, quatre amis jeunes diplômés, se promettant, avant de se séparer pour entamer leur vie d’adulte, de se retrouver au moins une fois par an autour d’un repas".

La BD propose de "suivre leurs péripéties personnelles, relationnelles et alimentaires avec comme toile de fond une société et un monde en mouvement : changement climatique, décisions politiques majeures, apparition de nouvelles technologies et habitudes de consommations, etc.)".

Katia Laval, membre de la Section "Environnement et territoires" de l'Académie d'agriculture de France est associée à la rédaction d'un des épisodes.

Il est, par ailleurs, "envisagé" de soumettre l'intégralité de la BD à l'exercice "note de lecture" de l'Académie, dont Christian Ferault, membre de la Compagnie, assure la supervision.

Pour en savoir plus sur la BD numérique "Manger vers le futur", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Marion Guillou, présidente du Conseil d’administration d'Agreenium et membre de l'Académie d'agriculture de France, écrit dans son édorial du document  : "ce troisième rapport d’activité depuis la création de l’Institut agronomique, vétérinaire et forestier de France (Agreenium), en avril 2015, montre le chemin parcouru en moins de 3 ans. Agreenium et ses membres ont consolidé en 2017 les fondations autour de la formation doctorale, de la mise en visibilité des formations et des métiers, de la rénovation du référentiel de formation vétérinaire, des supports d’enseignement numérique et des projets à l’international. Notre réseau national permet à ses membres (14 établissements d’enseignement supérieur et 4 organismes de recherche) de se regrouper pour développer des actions partagées qui contribuent à la qualité et l’efficience du secteur agronomique, agroalimentaire, vétérinaire et forestier français avec le souci des enjeux environnementaux et de santé publique. C’est ainsi qu’Agreenium et ses membres se sont impliqués dans les Etats généraux de l’alimentation et s’engagent pour ouvrir à des publics élargis l’accès aux meilleures formations".

Pour lire le rapport d'activité 2017 d'Agreenium, cliquer sur le lien, ci-dessous :

Le Professeur a fait, à cette occasion, un exposé sur le thème : "Modélisation mathématique de la croissance des plantes : succès et défis", dans le cadre des séminaires de la section Sciences de la Vie 'Aux frontières de la connaissance'.

Depuis quelques décennies, le travail conjoint des biologistes, agronomes, mathématiciens et informaticiens a permis le développement des modèles de croissance de plantes. S'il existe une typologie assez variée, en particulier en fonction des échelles de description et des processus étudiés, ces modèles partagent l'ambition d'offrir un cadre pour l'analyse de l'interaction génotype-environnement.

L'exposé de Paul-Henry Cournède a permis à la section de s'informer de l'actualité de ses travaux.

Paul-Henry Cournède est ingénieur de Centrale Paris (1997) et a reçu le Certificate of Advanced Studies in Mathematics de l'Université de Cambridge. Il a soutenu en 2001 un doctorat en Mathématiques Appliquées effectué entre Centrale et le CEA-DAM, sur des problèmes d'EDP et d'Analyse Numérique en mécanique des fluides. Devenu Maître de Conférences au laboratoire de Mathématiques Appliquées de Centrale, il a découvert le domaine de la modélisation de la croissance des plantes et a cofondé en 2004 avec Philippe De Reffye (Cirad-AMAP), l'équipe projet Digiplante, entre Centrale, le CIRAD et l'INRIA. Il s'est particulièrement spécialisé dans le développement des méthodes mathématiques et numériques pour l'analyse de ces modèles et leur évaluation statistique. En 2010, il est devenu Professeur à Centrale Paris (désormais CentraleSupélec), et dirige depuis 2016 le laboratoire de Mathématiques et Informatique pour la Complexité et les Systèmes, ainsi que l'équipe Biomathematics de celui-ci. Il a été professeur invité à à l'Université de Washington, à l'Institut d'Automatique de l'académie des sciences de Chine à Pékin, et à l'Université de Göttingen. En 2011, il a également participé à la création de la société CybeleTech, qui est spécialisée dans le développement de technologies numériques pour le végétal, société qu'il conseille.

Pour en savoir plus sur la section "Sciences de la vie" de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien ci-dessous :

Ce séminaire, intitulé : "Enquêter sur les transitions écologiques", se tiendra à l'Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS) - Centre de la Vieille Charité - 2, rue de la Charité - 13002 Marseille.

L'Académicien, membre de la section "Sciences humaines et sociales" de la Compagnie, interviendra sur le thème : "Changement climatique, biodiversité, sécurité alimentaire : entre singularités et universalisme, une science globale pour des situations locales ?"

Le séminaire est ouvert aux étudiants du master (M1 et M2) de la mention Recherches Comparatives en Anthropologie, Histoire et Sociologie (RCAHS), master et formation doctorale de sciences sociales (Marseille).

Pour tout renseignement, contacter : valeria.siniscalchi@ehess.fr  ou laure.ginod@univ-amu.fr

1 000 exemplaires ont été vendus en 1 mois !

Les 4 mousquetaires qui ont écrit ce livre pour "ferrailler contre les idées reçues sur les pesticides" et pour "promouvoir une santé du végétal durable", sont satisfaits...

Une preuve, s'il en était besoin, du rôle sociétal de l'Académie d'agriculture de France en matière de #factchecking dans ses domaines de compétence.

Pour en savoir plus sur la collection de livres de l'Académie, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce groupe de travail, dont les animateurs sont le Académiciens : Jean-Louis Rastoin et Michel Candau, débat d'un sujet particulièrement placé "sous les feux de l'actualité".

Pour ce faire il auditionne, experts et personnalités du #factchecking en matière d'alimentation.

Sont d'ores et déjà intervenus devant le groupe de travail :

- Pascale Hébel (Acadicienne, directrice au CREDOC) sur les sujets : "Consommation alimentaire en France" et "Vers du prêt à consommer nutritionnel et bon pour l'environnement et les générations futures",

- Jean-Louis Peyraud (Académicien, directeur à l'INRA) sur le sujet : "Des controverses ciblant l'élevage".

Pour prendre connaissance de leurs passionnants exposés, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette séance était organisée par le Comité livres de l'Académie d'agriculture de France, présidé par l'Académicienne Catherine Regnault-Roger et avait été rendue possible par les organisateurs de l'exposition "Cité du siècle vert : 100 ans de protection des cultures".

Les éditeurs de la collection des livres de l'Académie, Presses des Mines et Editions Quae, avaient gentiment répondus présents.

La séance a été précédée par :

- une présentation de la collection des livres de l'Académie par le Secrétaire perpétuel de la Compagnie, Gérard Tendron et par le Secrétaire perpétuel de l'Académie nationale de pharmacie, Agnès Artiges, (à voir sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=cU8SKmUhYm8 ), 

- une visite guidée de l'exposition par le très pédagoque Académicien André Fougeroux, (à voir sur : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/manifestations-visites/la-cite-du-siecle-vert )

- un débat sur le thème "Transmettre la parole scientifique, notre bien commun", animé par Jean-Paul Krivine (Rédacteur en chef de la Revue Sciences & Pseudosciences), durant lequel sont intervenus l'ancien député Jean-Yves Le Déault et la sociologue Virginie Tournay (à voir sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=EXuN2O4VyCs ).

Pour en savoir plus sur la collection des livres de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous : 

Un début ENCOURAGEANT pour cette chaîne créée en octobre 2016 afin de rendre très accessibles les enregistrements vidéos des #seanceshebdos de l'Académie d'agriculture de France.

Le 100ème abonné est http://www.hiphen-plant.com/

Un grand merci à ce nouvel abonné !

A ce jour, la chaîne est riche de quelque 90 vidéos, qui ont fait l'objet de plus de 4.000 vues.

Pour vous abonner à la chaîne YouTube de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Les deux académiciens succèdent à Michel Candau, président sortant de l'Académie d'agriculture de France, qui animait jusqu'à présent ce groupe de travail important pour la Compagnie, qui fait de la "transmission intergénérationnelle de son savoir", une priorité .

Le groupe de travail « Relations Académie/enseignement supérieur agronomique » est en effet chargé d'étudier les actions à conduire, associant l'Académie, les Grandes écoles et les formations universitaires relevant de ses domaines de compétence, pour le rayonnement de l'enseignement supérieur agronomique français et la valorisation des travaux de l’Académie.

Plusieurs priorités d'actions ont été fixées aux Coanimateurs, par Gérard Tendron, Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France :

- Définir les moyens pour mieux valoriser les productions et les activités de l'Académie, notamment les séances publiques, via ses différents outils de communication, avec des lieux et fenêtres temporelles adaptés dans les établissements, encadrés ou non, dans le cadre d'unités ou de cycles d'enseignement ciblés.

- Impliquer les étudiants et leurs enseignants (enseignement supérieur, enseignement technique, écoles doctorales) dans l'organisation et le fonctionnement de colloques régionaux et d'ateliers prospectifs recherche.

- Organiser via les relais territoriaux de débats/controverses intergénérationnels dans les établissements faisant écho à des questions sociétales.

- Proposer de nouvelles thématiques de formation (climat, interactions biologie mathématiques, sécurité alimentaire...) et impliquer des académiciens dans la transformation numérique de la pédagogie.

- Explorer et définir des voies d'accompagnement pour les diverses mobilités et les années de césure des étudiants, grâce aux membres et correspondants étrangers.

POUR L'OBTENIR TELECHARGER LE FICHIER PDF, ci-dessous :

NON, le plus ancien ouvrage conservé à l'Académie d'agriculture de France n'est pas "Théâtre d'agriculture et mesnage des champs" d’Olivier de Serres daté de 1646 !

Il s'agit, depuis ce vendredi 20 avril 2018, de l'ouvrage de Lemne Levin "Les occultes merveilles et secretz de nature avec plusieurs enseignements des choses diverses", daté lui de 1567...

Cette découverte a été faite dans le cadre de l'énorme travail de recensement des "trésors cachés" du fonds documentaire ancien de l'Académie d'agriculture de France, mené par son nouveau responsable, l'Académicien André Fougeroux, aidé de Marion Durand-Viel, recrutée pour ce faire durant un an, grâce à une dotation Crédit Agricole Mécénat. 

Les fins limiers ne désespèrent pas de trouver un ouvrage encore plus ancien, dans les semaines qui viennent... Et pourquoi pas un portrait de Lemne Levis ?

Pour en savoir plus sur le fonds documentaire de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Ce concours est organisé chaque année depuis 2011 par Jeunes Agriculteurs. Il est porté par le fonds de dotation Terres innovantes et financé par des mécènes désireux de soutenir et encourager les pratiques innovantes.

Cette année 2018, il récompense les agriculteurs "acteurs de nos territoires".

Terres Innovantes, Fondation Avril et Académie d'agriculture de France ont décidé, à cette occasion, de créer une catégorie dédiée "à la préservation des sols et à la lutte contre le réchauffement climatique".

Pour en savoir plus sur "Graines d'agriculteurs", cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette présentation des ouvrages de la Compagnie, publiés par les Presses des Mines et par les Editions Quae, aura lieu à partir de 16h00Les auteurs présents dédicaceront leurs opusA cette occasion, Jean-Paul Krivine, Rédacteur en chef de la Revue Sciences et Pseudosciences prendra la parole sur le thème "Transmettre la parole scientifique, notre bien commun".

Le Siècle vert est un lieu éphémère, mis en place du 14 au 27 mai 2018, en plein cœur de Paris (Galerie Joseph Turenne - 116, rue de Turenne - 75003), par l’Union des Industries de la Protection des Plantes (UIPP), en partenariat avec plusieurs institutions, dont l'Académie d'agriculture de France. Ouvert gratuitement à toutes et tous, ce lieu unique sera consacré à la découverte, à l’information et aux partages d’idées, notamment autour des pesticides.

Pour être informé(e) sur cet événement, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur la "collection des ouvrages de l'Académie d'agriculture de France", cliquer sur le lien Internet ci-dessous : 

Ce cercle est composé d'Académiciens "disposés à partager leurs connaissances en participant à des conférences, rencontres ou débats".

Il est animé par Christian Lévêque et Michel Morel.

Ce cercle est à votre service ! "Parce que jamais le paysage industriel n'a été aussi mobile, dans les champs de l'alimentation, de l'agriculture ou de l'environnement. Parce que les cellules de veille sont coûteuses. Parce que les 'vrais' experts sont rares. Parce que l'innovation est la clé du développement industriel "

N'hésitez à contacter ses membres, tous "spécialistes reconnus" dans leurs domaines de compétence.

Pour en savoir plus sur ce Cercle et sur le profil de ses membres, télécharger le livret (fichier PDF) rédigé par Hervé This, ci-dessous :

La cérémonie s'est déroulée le 5 avril 2018 dans les locaux de la Compagnie. Elle était présidée par le Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France, Gérard Tendron et François Imbault, Président du Crédit Agricole IIe-de-France.

Les bourses suivantes ont été attibuées :

> Bourse de 2.600 € à Lauriane HENNET, pour une mission de trois mois au sein du laboratoire de Ian Godwin à l’université du Queensland en Australie, pour l’acquisition des méthodes de transformation génétique du sorgho.

> Bourse de 2.100 € à Lucie FARRERA, pour un séjour à l’international à la station expérimentale du Cirad en Guyane, afin de réaliser différents tests de fermentation et de collecter des échantillons de fèves de cacao.

> Bourse de 2.000 € à Anthony BERNARD, pour un séjour de trois mois à l’Université de Davis en Californie, pour effectuer du génotypage SNP et pour créer une collaboration entre ce partenaire et le CTIFL de Lanxade.

> Bourse de 1.500 € à Mathieu ARNAL, pour participer au World Congress on Genetics Applied to Livestock Production (WCGALP) 2018 à Auckland en Australie pour présenter ses travaux sur le contrôle laitier en ferme chez la chèvre.

> Bourse de 1.500 € à Kévin MURET, pour participer et présenter au congrès Plant & Animal Genome Conference (PAG XXVI) qui s’est tenu en janvier à San Diego (USA) un poster scientifique mettant en valeur ses travaux sur l’analyse de données RNA-Seq en lien avec le métabolisme des lipides avec un focus particulier sur les ARN de type « longs non-codant ».

> Bourse de 1.500 € à Mariem OMRANI, pour participer au congrès Plant & Animal Genome Conference (PAG XXVI) qui s’est tenu en janvier à San Diego (USA) afin de valoriser ses travaux de thèse portant sur la caractérisation « des déterminants génétiques et moléculaires de la résistance au chancre bactérien de l’abricotier » sous la forme d’un poster et/ou communication orale.

> Bourse de 1.000 € à Cécile THOMAS, pour effectuer une communication orale lors du 11e Congrès mondial de phytopathologie-ICCP à Boston (USA) en juillet et août 2018.

> Bourse de 1.000 € à Florian LAMOUCHE, pour participer et présenter ses travaux de thèse au 5e Congrès European Nitrogen Fixation qui aura lieu en août 2018 à Stockholm en Suède.

Pour en savoir plus sur ces bourses annuelles, attribuées à de jeunes chercheurs inscrits en vue de la préparation d’un doctorat ou à des techniciens inscrits dans des formations avancées de promotion et poursuivant des travaux originaux, cliquer sur le lien Intrenet, ci-dessous :

Cette lettre, qui sortira trois fois par an, fera le point sur "les actualités de la recherche, les projets, les portraits de chercheurs et de doctorants ainsi que sur les nombreux rendez-vous scientifiques de l’Ecole nationale supérieure de formation de l’enseignement agricole (ENSFEA)".

Au sommaire de ce premier numéro, le panorama de l’ensemble des recherches menées à l’ENSFEA à travers les trois axes du projet scientifique :

- Dynamique des territoires

- Transition agro-écologique

- Transition pédagogique

Pour lire la lettre, télécharger le fichier PDF, ci-dessous:

Pour en savoir plus sur l'ENSFEA, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le synopsis de ce dernier film de Dominique Marchais est le suivant :  "Chaque homme est un morceau du continent, une partie de l’ensemble. Ce film est un voyage en Europe, de la Méditerranée aux Alpes, où l’on découvre des hommes et des femmes qui travaillent à faire vivre localement l’esprit de la démocratie et à produire le paysage du bon gouvernement. Des agriculteurs de la coopérative les Galline Felici en Sicile aux architectes, artisans et élus des Alpes suisses et du Vorarlberg en Autriche, tous font de la politique à partir de leur travail et se pensent un destin commun. Le local serait-il le dernier territoire de l’utopie ?"

Lucien Bourgeois, membre de l'Académie qui vient de voir ce film témoigne : "Ce qui est vraiment intéressant c’est que ce n’est pas un film de militants, mais l’écoute attentive de quelques expériences faites dans d’autres pays européens de développement local qui semblent résister au temps et apporter un début de réponse au sentiment d’abandon des zones rurales. Ces expériences semblent même redonner du sens à la Démocratie. Ce film vaut le détour !

Pour en savoir plus sur ce film, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Sa section "Productions végétales" et son "relais Grand Sud" organisent, en effet, en juin 2018 trois journées consacrées aux recherches sur le riz et à la riziculture, en Camargue.

Le 6 juin se déroulera à Montpellier (Hérault) et fera le point sur les avancées des recherches en biologie et génétique du riz, avec les partenariats du Cirad, de Montpellier SupAgro, d’Agropolis International et d’Agropolis Fondation ... Les séminaires de l’après-midi seront ouverts à l’ensemble de la communauté scientifique.

Les 7 et 8 juin, les Académiciens seront accueillis en Arles par le Centre Français du riz pour une série d’exposés et de visites.

Pour en savoir plus, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Jeunes chercheurs francophones, qui exercez dans le domaine des sciences du sol, vous pouvez concourir aux Bourses Demolon, édition 2018, de l'Association Française pour l’Étude du Sol (Afes).

L’objectif de ces bourses est "d’aider les doctorants et les post-doctorants à présenter leurs travaux à un niveau international dans des congrès internationaux".

ATTENTION: LES CANDIDATURES SERONT CLOSES LE 2 AVRIL 2018 A MINUIT !

Pour en savoir plus, téléchargez le fichier PDF, ci-dessous :

Initié il y a un peu plus de 4 ans par la section 2 "Forêt et filière bois " de l'Académie d'agriculture de France, ce livre numérique est effectivement bien désormais constitué de CENT fiches.

La raison d’être de cet ouvrage s’inscrit au cœur des missions de l’Académie : "mettre à disposition la connaissance pour éclairer les concitoyens et nourrir le dialogue science-société". Il vise, en effet, à répondre sans parti pris et sur des bases scientifiques et techniques avérées, et les plus actuelles, à des questions souvent exprimées dans l’opinion publique, les médias ..., ou qui peuvent surgir dans l’esprit de citoyens curieux.

La cible visée est un "public large éduqué (Bac + 2)".

L’ouvrage se présente sous forme de courtes fiches de quatre pages, répondant chacune à une question. Les questions sont groupées au sein de dix chapitres couvrant les problématiques les plus importantes du domaine de la forêt et du bois, qu’elles soient économiques, environnementales, sociétales ou liées à la gouvernance. Les fiches sont conçues pour pouvoir être lues indépendamment les unes des autres, mais des liens entre elles sont indiqués lorsque c’est pertinent.

Le travail réalisé est très important : c’est une "somme de 400 pages" qui a impliqué plus de 60 auteurs, dont plus de la moitié sont des académiciens, et les autres des experts extérieurs.

Le livre "La forêt et le bois en France en 100 questions" n’existe aujourd’hui que sur Internet. En effet, ses concepteurs pensent que le caractère éminemment évolutif de la connaissance impose que sa diffusion soit assurée de manière elle-même dynamique. Ceci passe par des mises à jour régulières de fiches existantes et/ou l’addition de nouvelles fiches en réponse à de nouveaux questionnements. C’est donc pour l’Académie un "chantier permanent".

Pour consulter l'ouvrage, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Les trois établissements ont annoncé leur volonté de "se regrouper", tout en conservant une autonomie sur chaque site.

La future école, opérationnelle dès le 1er janvier 2020, rassemblerait 6.000 étudiants et 500 enseignants-chercheurs. Cet établissement serait formé des trois écoles internes. Un statut qui n'existe pas encore, mais très attendu. Promis par le gouvernement, il fait partie du projet de loi "pour un État au service d'une société de confiance", présenté par Gérald Darmanin, ministre de l'Action et des Comptes publics, à partir du 13 mars au Sénat.

Mais ce regroupement ne s'arrête pas là. Le projet a vocation, "à terme, à intégrer toutes les grandes écoles agronomiques publiques", à en croire le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, tutelle de ces établissements. Cela pourrait donc concerner AgroSup Dijon, Oniris Nantes, Bordeaux Sciences Agro, ou encore Vet AgroSup.

Des regroupements "désormais indispensables"

Dans ses lettres de mission aux directions des trois écoles qui ont été rendues publiques, le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation indique que c'est le Premier ministre qui lui a demandé "d'assurer le rapprochement des écoles d'agronomie", en août 2017 . En effet , "face à l'ampleur des enjeux et des grandes transitions à l'œuvre, des regroupements sont désormais indispensables pour en tirer le meilleur parti ". Avec cette fusion, le ministère affiche plusieurs objectifs, parmi lesquels la constitution d'un "ensemble de premier rang mondial , au bénéfice des étudiants, des communautés scientifiques, des entreprises et des politiques publiques", ainsi que le " renforcement de l'ensemble de l'enseignement supérieur et de la recherche agricoles français ". Autrement dit, il s' agit de " constituer un champion mondial de l' enseignement supérieur agronomique ".

Une autonomie pour "s'impliquer dans les dynamiques de sites"

Malgré tout, "ce grand établissement d'enseignement supérieur" permettra aux trois écoles de conserver "une autonomie leur permettant notamment de s'impliquer activement dans les dynamiques de sites", souligne le ministère. AgroParisTech, qui avait décidé d'intégrer la nouvelle mouture du projet de l'Université Paris-Saclay , n'aura donc pas à choisir entre sa Comue et ce nouvel établissement. D'après le calendrier prévu par Stéphane Travert, le ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, les trois établissements devront élaborer le projet, gérer la question des marques et l'articulation avec les politiques de site, mais aussi travailler sur le futur rapprochement avec les autres écoles d'agronomie, d'ici mai 2018 , tout en créant un comité de pilotage. Il vise une publication de décret au Journal officiel, créant ainsi l'établissement aux trois écoles internes, avant juillet 2019.

Le nom de ce futur grand établissement n'est pas encore connu.

Laura Makary Publié le 13.03.2018 à 17H04

Cette journée, qui se tiendra le jeudi 5 avril 2018 à Montpellier SupAgro - Campus la Gaillarde - 2, place Viala - 34000 Montpellier (Amphithéâtre Lamour et salles annexes), est organisée par les participants au Mastère spécialisé® IPAD et au diplôme d'ingénieur spécialisé ISAM, formations co-construites et co-pilotées par Montpellier SupAgro et le Cirad, en partenariat avec la Chaire Unesco Alimentations du monde et avec le soutien de la Fondation Daniel et Nina Carasso.

L'entrée est libre, dans la limite des places disponibles. L'inscription est obligatoire. La date limite d'inscription est le jeudi 29 mars 2017 minuit.

Pour en savoir plus sur cette journée et s'y inscrire, cliquer sur le lien Intrenet, ci-dessous : 

VetAgro Sup lance en ce début d’année un MOOC (Massive Open Online Courses)* sur l’agriculture biologique intitulé MOOC BIO.

Porté par VetAgro Sup et co-construit avec Agreenium et l’Institut national de la recherche agronomique (INRA), cette formation en ligne s’adresse à un large public : étudiant, élu local, salarié, citoyen, consommateur, agriculteur…

Cette toute première session est organisée autour d'un tronc commun de 4 séquences thématiques et d’une question transversale au choix qui fait débat dans la société. Des bases du cahier des charges, à la production agricole, en passant par la diversité, les dynamiques des territoires et les questions de controverse, la pédagogie est fondée sur la simplicité, la rigueur scientifique et l’interactivité.

A travers le partage du savoir-faire et de l’expertise de 8 auteurs de différentes écoles d’ingénieurs agronomes (AgroParisTech, Bordeaux Sciences Agro, ISARA Lyon et VetAgro Sup), de la recherche et du développement (INRA et ITAB), et de très nombreux partenaires, le MOOC BIO permettra de se forger un avis éclairé et argumenté sur l’Agriculture Biologique…

Au coeur du dispositif : exposés, animations, enquêtes sur le terrain, travaux collaboratifs... Des exercices et des tests variés permettront, en complément, de conforter les concepts abordés.

Le MOOC BIO complètera la gamme de formations de haut niveau proposée par l’enseignement agricole supérieur.

*On peut traduire MOOC par « Cours en ligne gratuit et ouvert à tous ». Ces cours sont d’un niveau universitaire ; ils sont diffusés sur internet, sont gratuits et libre d’accès. Aucun prérequis n’est exigé de la part des participants. Le nombre d'inscrits par cours peut atteindre plusieurs milliers.

Pour en savoir plus sur le MOOC BIO, cliquer sur le lien Intrenet, ci-dessous :

Telle est l'accroche de l'article et de la vidéo, portrait, qu'a consacré France 3 Ile-de-France, le 04 mars 2018, à Océane Lachaussée, future ingénieure agronome, étudiante en deuxième année d’AgroParisTech (Paris), qui assurait l'accueil des visiteurs sur le stand AgroParisTech - Académie d'agriculture de France, durant le Salon international de l'agriculture (#SIA2018).

Pour lire l'article et visionner la vidéo, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce concours intitulé "Make it Agri" vise à sensibiliser les étudiants ingénieurs de tous secteurs aux opportunités que peuvent apporter les nouvelles technologies au secteur agricole pour la lutte contre le changement climatique.

L’ambition de ce concours est d’apporter des solutions concrètes au monde agricole pouvant déboucher sur une amélioration des pratiques, une reconnaissance de l’importance de l’agriculture dans la lutte contre le changement climatique et par la suite, la création de startup innovantes en France.

La première édition du concours se tiendra pendant l’année scolaire 2018/2019.

Les étudiants auront à présenter une solution pour l’agriculture en utilisant les nouvelles technologies permettant une meilleure gestion des sols, de l’eau, de la biodiversité…

Pour ce faire, ils devront constituer des équipes de 2 à 6 participants intra ou inter- écoles.

Les équipes devront remettre à un jury d’experts en octobre 2018 un mémoire explicatif présentant leur projet. Ce mémoire devra justifier en quoi le projet permet aux agriculteurs de limiter leur impact sur le climat grâce à une meilleure gestion des sols, de la biodiversité, de l’eau et en quoi leur projet est innovant.

L’annonce officielle des équipes sélectionnées pour la deuxième phase aura lieu le 10 décembre 2018 en présence des équipes sélectionnées. Ils auront ensuite jusqu’au 31 août 2019 pour créer une première version concrète de leur innovation (version bêta, prototype, plateforme, capteurs…, qu’ils présenteront devant le jury en septembre 2019.

Le jury décidera des trois lauréats fin septembre 2019 à l’issue de la présentation de chacun des projets.

Le 1er prix est de 3 000€. Le 2ème prix est de 2 000€. Le 3ème prix est de 1 500€. Des prix en nature pourront être remis aux candidats en fonction des partenaires associés au concours.

Une mise en relation avec des fonds d’amorçage sera rendue possible selon les degrés de maturité des projets présentés.

Pour en savoir plus sur ce concours, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur le Fondation Avril, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Cette année, les trois classes finalistes mises à l'honneur dans les Locaux de l'Académie d'agriculture de France, qui patronne ce jeu du Crédit Mutuel, sont dans l'ordre :

- Bac professionnel aménagements paysages- Campus de Pouilllé (49)

- Bac professionel forêt et gestion des milieux naturels et de la faune - Lycée André Alquier (81)

- Terminale STAV - Lycée de Bel Air (69)

La cérémonie de remise des diplômes s'est déroulée le 27 février 2018, dans une "belle ambiance de convivialité", en présence de personnalités du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, de l'Académie d'agriculture de France, d'Engie, de la société de voyages Agrilys et, bien sûr, du Crédit Mutuel.

Pour en savoir plus, sur ce jeu, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous:

Tel est le thème du "Petit-déjeuner de la science et de l'innovation" du jeudi 15 mars 2018, de 9h à 10h30 à l'Hôtel de l'Industrie - 4, place Saint-Germain-des-Prés - 75006 Paris, en présence de Daniel-Eric Marchand, Membre de l’Académie d’agriculture de France et François-Xavier Dugripon, Directeur général de Valbio.

Les Petits-déjeuners de la science et de l’innovation donnent la parole à l’industrie et à la recherche, qui font le point sur une innovation technologique susceptible d’avoir un impact fort sur nos économies et nos sociétés. Coorganisés par l'Association française pour l'avancement des sciences, la Société d'encouragement pour l'industrie nationale, le Rayonnement du CNRS et la Société des ingénieurs et scientifiques de France (Ile-de-France).

Pour en savoir plus sur ce Petit-déjeuner et s'y inscrire (inscription préalable obligatoire, dans la limite des places disponibles), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Le jury mixte Académie d'agriculture de France / Groupement interacadémique de développement a choisi les tweets suivants comme les plus "pertinents" pour relater l'activité de l'Académie au #SIA2018 :

Samedi 24 février 2018 :

Gagnant :

@bonbledph  : "Avec cette photo sur le stand @AcademieAgri @AgroParisTech je devrais gagner aujourd’hui à #jetweetelacademieauSIA2018 ? Non @Fragritwittos @Agridemain ?" (cf. photographie sur Twitter)

Mention du jury :

@BT64000 : "Nos agriculteurs sont utiles au pays de manière inversement proportionnelle à du mercurochrome sur une jambe de bois !"

Dimanche 25 février 2018 :

Gagnant :

@Agridemain : "Les #académiciens ne sont pas encore réveillés mais faudra repasser les voir au #SIA2018 hall 4 car l’#agriculture de demain se construira avec l’expertise #scientifique des aînés"

Mention du jury :

@ChristianHuygh1 : "Prêt à intervenir au Village des Professionnels du SIA Hall1. Venez nombreux. Diversité des Agricultures et durabilité"

Lundi 26 février 2018

Gagnant :

@GuyotVincent02 : " #jetweetelacademieauSIA2018 pour qu'elle me vérifie que #Bio est juste un mode de production et non une garantie du + sain et + goûteux"

Mention du jury :

@matthieuh3050 : "Raison de plus d'aller visiter le stand @AgroParisTech et @AcademieAgri! Semez votre #lin dès fin mars" (cf.photographie sur Twitter, merci à la filière Semences de lin)  

Mardi 27 février 2018

Gagnant :

@jmseronie : "Séparation vente et conseil de produits phytos - on en débat à 10H15 Plateau @FranceAgricole @VillageSemence avec @NegoceAgricole @lacoopagricole @agrodisT @StTRAVERT @Agribuzztv @Agri_BI" (cf. photographie sur Twitter)

Mention du jury :

@Pollifouge : "les abeilles et la pollinisation un enjeu pour l'agriculture"  

Mercredi 28 février 2018

Gagnant :

@AgroParisTech : "Merci à @Herve_This pour son show scientifique et culinaire sur notre stand au #SIA2018 ! #cuisinenoteanote" (cf. photographie sur Twitter)

Gagnant ex aequo :

@Agridemain : "La #cuisine c’est de l’#art de l’#amour et de la #technique pour Hervé This de l’#académie d’#agriculture" (cf.photographie sur Twitter)

Jeudi 1er mars 2018

Gagnant :

@GIDGroupe : "L’agriculture, un enjeu majeur pour l’Afrique. Le @GIDGroupe s’y emploie avec ses Académies membres et partenaires, et la collaboration étroite de l’@AcademieAgri #GID-Agri #FastDev #SIA2018 @Min_Agriculture @StTRAVERT @murielpenicaud" (cf. photographie sur Twitter)

Mention du jury :

@PascaleHebel : "En réponse à @AcademieAgri @AgroParisTech et 5 autres très beau stand au #SIA2018" (cf. photographie sur Twitter)

Vendredi 2 mars 2018

Gagnant :

@svaxelaire : "#SIA2018 Jour 7 : j’ai enfin trouvé le stand @AcademieAgri juste pour que #jetweetelacademieauSIA2018" (cf.photographie sur Twitter)

Pour en savoir plus sur le jeu #jetweetelacademieauSIA2018, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Cette rencontre s'est tenue dans les locaux de l'Académie d’agriculture de France, le vendredi 23 février 2018 de 15h à 15h50, à l'initiative du ministre français de l’Agriculture et de l’Alimentation, Stéphane Travert, qui a invité tous ses collègues ministres chargés de l’agriculture en Afrique au Salon International de l’Agriculture de Paris (#SIA2018).

Stéphane Travert a souhaité, durant cette séquence consacrée au projet GID-Agri, porté depuis plus d’un an par le Groupe Interacadémique pour le Développement (GID), dont l’Académie des Sciences et l’Académie d’Agriculture de France sont membres fondateurs; "travailler à la mise en place d'un environnement général favorable à l’emploi des jeunes sur tous les territoires agricoles africains concernés", à savoir :

- une bonne gestion du foncier,

- des ressources en eau,

- l'accès à l’énergie et aux infrastructures,

- des financements adaptés,

- un encadrement technique et sanitaire,

- un réseau de télécom,

- de la formation professionnelle…

OBJECTIF ATTEINT ! Comme en témoigne la vidéo de la rencontre en ligne sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=cOMsF8tYIZU

L’objectif principal du projet GID-Agri est d’améliorer l’emploi des jeunes africains en redonnant de l’attractivité aux métiers de l’agriculture en l’Afrique sub-saharienne, en particulier grâce à une plate-forme internet présentant des réussites agricoles bénéficiant d’une caution académique.

Un premier forum d’échanges à Abidjan 'Coôte-d'Ivoire) en novembre 2017 a réuni plus de 100 professionnels et permis la présentation de 14 témoignages enthousiastes de réussites agricoles. Ce forum a confirmé le vif intérêt de ce projet, mais aussi l’importance d’un soutien des pouvoirs publics et politiques. 

Pour en savoir plus sur le Forum d'Abidjan, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour participer au jeu, il vous suffit de tweeter durant une des nombreuses activités de l'Académie d'agriculture de France, durant le Salon international de l'agriculture 2018 (#SIA2018), en citant "#jetweetelacademieauSIA2018".

Chaque soir, 5 membres du personnel de l'Académie d'agriculture de France et du Groupement interacadémique de développement (GID), choisiront le tweet qu'ils trouvent le plus représentatif de l'activité de l'Académie durant la journée et le mettront en ligne sur le site Internet de leur Compagnie respective (www.academie-agriculture.fr et https://g-i-d.org/)

Pour être choisis, "le tweet devra rapporter, par le texte et/ou l'image, un moment privilégié de l'activité de l'Académie au #SIA2018". "Les critères de sélection du tweet seront la véracité du contenu et le ton décalé de la forme".

Pour connaître le programme d'activités de l'Académie d'agriculture de France au #SIA2018, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Jean-Robert Pitte, y salue notamment la volonté du climatologue Jean Jouzel, membre de l’Académie des sciences et de l'Académie d'agriculture de France, conjointement avec l’économiste Pierre Larrouturou, de "permettre à tous de comprendre les questions liées au climat".

Canal Académie, propose, à cette occasion une série d’émissions consacrées au climat et à ses mutations anciennes et nouvelles.

L'ouvrage de Jean Jouzel et Pierre Larrouturou, a fait l'objet d'une analyse de l'Académie d'agriculture de France, consultable en cliquant sur le lien Internet, ci-dessous :

L’Académie d’agriculture de France sera à nouveau très active durant le Salon international de l’agriculture, édition 2018 (#SIA2018).

Comme l’année précédente, la Compagnie :

> Assurera « des permanences sur le stand d’AgroParisTech (4B133) »

Le principe : « Répondre aux questions des visiteurs et des médias »

Quelques sujets abordés : Présentations des divers outils de communication de l’Académie : Site Internet, Encyclopédie, Revue, Mensuel, Pages Réseaux sociaux

Plusieurs académiciens se relaieront chaque jour pour accueillir les visiteurs

> Mènera « des dialogues intergénérationnels sur le stand d’AgroParisTech (4B133) »

Le principe : « Faire dialoguer un sénior avec des juniors, sur des sujets d’actualité en présence du public »

Quelques sujets abordés : Agriculture urbaine, gaspillage alimentaire, polyculture près des villes, forêts- bois, bioéconomie, épigénétique, génie génétique, filière houblon, semences paysannes, coopération avec l’Afrique, Abeilles, Bien-être animal, la cuisine note à note,…

Parmi les Académiciens intervenants : François Papy, Hélène Jammes, Hervé Jactel, André-Jean Guérin, Marc-Andé Selosse, Jean-Claude Mounolou, Hervé This, André Grammont, le ministre de l’agriculture du Sénégal Papa Abdoulaye Seck, Jean-Louis Rastoin, Lucien Bourgeois,…

> Interviendra « dans les ateliers pratiques du Village des professionnels du Pavillon 1 »

Le principe : « Faire un exposé technique de 20 minutes et répondre aux questions d’un public intéressé »

Quelques sujets abordés : Antibiorésistance, gaz à effet de serre, bioéconomie, agroécologie, élevage, volatilité des prix agricoles, droit de l’alimentation, qualité de l’eau, big data, propriétés des données,…

Parmi les Académiciens intervenants : Arlette Laval, Jean-Louis Peyraud, Daniel-Eric Marchand, Christian Huyghes, Guillaume Dhérissard, Philippe Chalmin, Philippe Gates,…

> Interviendra « dans l’espace Agri’Recrute du Pavillon 4 »

Le principe : « Susciter des vocations chez les jeunes dans des secteurs qui recrutent ou recruteront »

Quelques sujets abordés : Communication en agriculture, métiers de la filière bois,…

Parmi les Académiciens intervenants : Guy Waksmann, Xavier Déglise

> Interviendra « dans l’espace Agri’4.0 du Pavillon 4 »

Le principe : « Faire un exposé technique de 20 minutes et répondre aux questions d’un public intéressé »

Quelques sujets abordés : Big data, élevage de précision, intelligence artificielle,…

Parmi les Académiciens intervenants : Philippe Gates, Daniel Sauvant, Philippe Stoop,…

> Et prendra « d’autres initiatives…»

Comme :

« Remettre son Prix de l’information scientifique à destination du public »

« Participer à la Remise des Prix du concours ‘Cultures Agri’ du Crédit Mutuel »

« Co-organiser une rencontre avec des ministres de l’agriculture africains autour de la problématique de l’installation des jeunes locaux dans les secteurs agricoles »

« Lancer un Concours sur Twitter : #jetwittelacademieausia2018 »

Le programme de la participation de l'Académie d'agriculture de France au #SIA2018 est en ligne sur ce site Internet, rubrique ACTUALITES, pour y accéder cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

C'est le défi relevé par Constant Lecoeur, Vice-secrétaire de l'Académie d'agriculture de France, lors de son accueil des jeunes ingénieurs de l'agroalimentaire venus participer aux dernières Agoriales, le vendredi 2 février 2018, dans les locaux de la Compagnie, qui en patronnait l'organisation.

Pour visionner cette présentation synthétique, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

L'Académicienne a accepté, pour ce faire, de se prêter au délicat exercice du "Pitch en quelques minutes" devant de potentiels jeunes futurs houblonniers, de l'association Houblons de France .

Cette présentation s'est déroulée lors du Comice du Houblon du 02 février 2018, que l'Académie d'agriculture de France patronnait cette année.

Les échanges, durant la présentation, ont montré la convergence d'actions possible entre l'Association et la Compagnie, pour inciter de jeunes chercheurs à entreprendre des travaux sur la culture du Houblon. Des travaux scientifiques, qui font actuellement cruellement défaut à la jeune et dynamique filière du houblon français.

Pour prendre connaissance de l'exposé d'Anne-Marie Hattenberger, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur Houblons de France, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce jury se tenait le 24 janvier 2018 dans les locaux parisiens de la Caisse nationale du Crédit Mutuel.

La Compagnie, qui patronne le concours, y était représentée par Daniel Dattee, Académicien et Philippe Kim-Bonbled, responsable de la coordination de la Communication.

15 établissements avaient été sélectionnés par les Internautes. Le jury a retenu 3 lauréats, qui seront invités à venir visiter le Salon international de l'Agriculture et à se voir remettre leurs diplômes lors d'une cérémonie, qui se tiendra à l'Académie d'agriculture de France.

Qui seront ces 3 lauréats ? Réponses dans quelques semaines sur ce site Internet.

En attendant, découvrez dès à présent les vidéos des 15 finalistes, en cliquant sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce Forum organisé par l'Association des chimistes, ingénieurs et cadres des industries agricoles et alimentaires (ACIA) en partenariat avec la Société scientifique d’hygiène alimentaire (SSHA) et l'Académie d'agriculture de France, se tiendra le vendredi 2 février 2018, de 10h15 à 16h30, dans les locaux de la Compagnie, 18 rue de Bellechasse, 75007 Paris.

Il a pour objectif "d'aider au développement de la recherche et de l’emploi scientifique dans le domaine des Industries Alimentaires et Agricoles (IAA), des Biotransformations, de la Chimie verte".

Cette journée est destinée aux étudiants en Master, aux thésards et aux jeunes docteurs ou post-doctorants.

Michel CANDAU, Président de l’Académie d’agriculture de France et Jean-Louis RASTOIN, membre de l'Académie d'agriculture de France, professeur honoraire à Montpellier SupAgro, fondateur et conseiller scientifique de la chaire UNESCO en Alimentations du monde; y prendont la parole.

Pour s'inscrire (inscription obligatoire) à ce Forum, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

EN AVANT-PREMIERE !

L'Académie d'agriculture de France est fière de vous annoncer sa seconde participation au Salon International de l'Agriculture (#SIA).

Comme l'année dernière, elle assurera des permanences sur le stand d'AgroParisTech, son "précieux partenaire" et y entamera des dialogues intergénérationnels avec les étudiants présents, sur des thèmes d'actualité dans les secteurs de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement.

En concertation avec Comexposium (organisateur du Salon), l'Académie prendra la parole dans les Ateliers Pratiques du Pavillon 1 du SIA, sur les six grands thèmes qui y seront abordés :

- Bien-être animal,

- Bioéconomie ,

- Agricultures émergentes (urbaines, bio, fondées sur la permaculture,…),

- Prix agricoles (volatilité, fixation, juste prix),

- Signes officiels de qualité,

- Digitalisation et nouvelles technologies.

L'Académie interviendra également dans la Ferme 4.0 et sur l'espace Agri Recrute, mis en place par Comexposium.

Elle devrait également lancer un concours du "meilleur tweet relatant sa présence au SIA: #jetweetmonacademieausia".

Par ailleurs, avec son partenaire  le Groupe interacadémique de développement (GID), elle organisera une réunion des ministres de l’agriculture africains en présence de S Travert, ministre français de l'Agriculture et de la l'alimentation, pour faire entrer dans le concret le projet FastDev qui vise à "réinstaller des jeunes en agriculture" sur le continent africain.

UNE CINQUANTAINE D'ACADEMICIENNES ET D'ACADEMICIENS EST DEJA MOBILISEE, pour permettre à notre Compagnie d'aller à la rencontre du public, car rappelons-le "notre passion c'est connaître, notre ambition c'est transmettre".

Transmettre de l'information relative aux réalités des secteurs de l'agriculture, de l'alimentation et de l'environnement, permettant notamment de lutter contre les fausses nouvelles (#fakenews), couramment colportées à l'encontre de ces secteurs.

Il sera remis par Christiane Lambert, membre de la Compagnie et Présidente de la Fédération nationale des syndicats d'exploitants agricoles (FNSEA), durant du Salon international de l’agriculture (SIA).

Le règlement du prix vient d'être envoyé aux journalistes candidats.

Le jury présidé par Paul Vialle, ancien Président de l’Académie et responsable du prix, vient dêtre constitué. Il compte dans ses rangs :

3 académiciens :

- Jean-François Colomer,

- Marie-Françoise Chevallier-Leguyader,

- Catherine Aubertin.

3 journalistes : 

- Mac Lesgy (LinkProduction),

- Frédéric Karpyta (Ca m’intéresse),

- Philippe Pavard (La France agricole).

Ce jury délibérera tout début février prochain.

Les dossiers à instruire sont d'ores déjà arrivés dans nos locaux.

Pour en savoir plus sur le Prix, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour prendre connaissance du réglement du Prix, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Ce colloque, organisé par l’Académie des Sciences, l’Académie des Sciences et Lettres de Montpellier, ainsi qu'Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse, se tiendra à Toulouse, le 15 mars 2018.

Il traitera des "différents aspects de la qualité" et des "moyens d'améliorer la qualité" des produits agricoles.

Pierre Feillet, Membre de l'Académie d'agriculture de France (Section "Alimentation humaine" ) y interviendra.

Pour en svoir plus sur ce colloque, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour s'inscrire au colloque (l'inscription est nécessaire le nombre de places étant limité), cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Pour son 7e rendez-vous annuel, qui se déroulera dans l'Amphithéâtre Philippe Lamour de Montpellier SupAgro, la Chaire Unesco Alimentations du monde abordera, en effet, "la question du voyage des aliments et des pratiques et cultures culinaires qui y sont associées".

Pour en savoir plus sur ce colloque et s'y inscrire (INSCRIPTION OBLIGATOIRE), cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Tel est le thème du colloque organisé par les "Agrotoulousains", le 2 février 2018, à l'École nationale supérieure agronomique de Toulouse (ENSAT), qui s'efforcera de répondre aux questions suivantes :

"- Avec son bagage scientifique, quel rôle prend l’ingénieur agronome dans les débats et controverses complexes du monde agricole et agroalimentaire et plus largement dans la société ?

- Comment peut-il s’inscrire, s’adapter et contribuer aux enjeux d’aujourd’hui et de demain ?

- Comment sa formation l’aide et pourrait encore mieux l’aider à appréhender ces sujets ?

- Comment le réseau peut-il aider les agros en postes dans leur mission sociétale ?"

Ce colloque s’adresse aux étudiants et aux professionnels, mais est également ouvert, au-delà de la sphère « agro », à tous les décideurs, prescripteurs, conseillers d’orientation intéressés.

Pour prendre connaissance du programme du colloque, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour s'inscrire au colloque (inscription gratuite obligatoire), cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Intitulé : "Idées reçues et agriculture : Parole à la science", il a été rédigé par une dizaine d'Académiciens sous la direction de Catherine Regnault-Roger.

Sa préface est signée Gérard Tendron, Secrétaire perpétuel de l'Académie d'agriculture de France.

Ce livre était attendu des nombreux partenaires de l'Académie, qui attendent que la Compagnie soit "un phare éclairant la société dans la mer des fausses informations (#fakenews)".

En effet, comme le précise les auteurs : "L’heure est à l’inquiétude. Les questions concernant l’agriculture, notre alimentation ou l’environnement sont au centre du débat sociétal sur l’avenir que nous voulons construire. Des idées reçues, des rumeurs anxiogènes circulent sur des sujets auxquels les connaissances scientifiques peuvent apporter une réponse. Biodiversité, abeilles, pesticides, alimentation bio, perturbateurs endocriniens, OGM : savons-nous faire la part du vrai et du faux ?"

Pour commander ce livre, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Réduction de 25% jusqu'au 28 février 2018 avec le code promotionnel indiqué sur le bulletin PDF, à télécharger ci-dessous :

Venez nombreux et nombreuses à ces « moments privilégiés de dialogue avec des experts de renom » ! L’accès est gratuit et ouvert à toutes et tous. Ces séances et colloques se tiennent habituellement dans les locaux de la Compagnie : 18, rue de Bellechasse 75007 Paris (Métro Solférino). Les #seanceshebdos sont retransmises par vidéo. =============================================================

Mercredi 17 janvier 14h30 : « L’Afrique peut-elle nourrir l’Afrique ? »

Mercredi 24 janvier 14h30 : « La propriété foncière aujourd'hui, pourquoi est-il utile d’en faire un état des lieux ? »

Mercredi 31 janvier 14h30 : « La PAC en débat »

Mercredi 7 février 14h30 : « Apport des observations spatiales pour l’agriculture »

Jeudi 8 février 14h30 : « L’histoire de la fertilisation » (colloque organisé par l’AEHA se tenant à AgroParisTech)

Mercredi 14 février 14h30 : « Recherche agronomique et politiques publiques, des années Poly à aujourd’hui » (exceptionnellement SUR RESERVATIONS, séance se tenant au Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation)

Du samedi 24 février au dimanche 4 mars : « Interventions diverses au #SIA2018 » (cf. programme spécifique)

Mardi 27 février 17h00 : « Remise des prix du concours Cultures Agri » (en partenariat avec le Crédit Mutuel)

Mercredi 7 mars 14h30 : « Fertilisants et fertilité des sols »

Mercredi 14 mars 14h30 : « Regard sur les Etats généraux de l’alimentation »

Mercredi 21 mars 14h30 : « Réévaluation des additifs alimentaires par l’EFSA »

Mercredi 28 mars 14h30 : « Epidémiologie des rouilles des céréales : gestion des variétés et du risque »

=============================================================

Pour en savoir plus sur ces séances et colloques, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Pour obtenir une version imprimable du programme, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

L'avenir de la Politique agricole commune (PAC) mobilise, en effet, actuellement beaucoup des "forces vives" de l'Académie d'agriculture de France.

Les rédacteurs du "Rapport PAC de la Compagnie" ont, tout d'abord, fait part de leur réflexion au Commissaire européen en charge de l'Agriculture, le 28 septembre 2017 :

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/lueaa-actuellement-presidee-par-michel-thibier-va-rencontrer-le-commissaire   

Puis, ces mêmes rédacteurs ont présenté les conclusions de leurs travaux aux représentants du Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation, le 3 octobre 2017 :

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/autre/academie/presentation-du-rapport-sur-la-reforme-de-la-pac?031017   

Enfin, certains membres de l'Académie, dont Michel-Jean Jacquot (ancien très haut fonctionnaire européen), ont participé à la Conférence "Cap sur la Pac 2020" organisée par le ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, le 19 décembre 2017 :

https://www.academie-agriculture.fr/publications/articles

Ce n'est pas tout, au début de l'année prochaine, l'Académie d'agriculture de France tiendra (le 31 janvier) une séance publique (#seancehebdo) intitulée " La PAC en débat" :

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/academie/la-pac-en-debat-0

Par ailleurs et en parrallèle de ces travaux post #PAC 2020, la Compagnie co-organisera le 14 février 2018, avec l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), une séance publique (#seancehebdo) intitulée : "Recherche agronomique et Politiques publiques, des années Poly à aujourd’hui. Synergies et tensions":

https://www.academie-agriculture.fr/actualites/academie/seance/academie/recherche-agronomique-et-politiques-publiques-des-annees-poly?140218

>>> programme dans le fichier PDF ci-dessous :

Cet avis en date du 18 décembre 2017 a été rédigé par des membres de l’Académie d’agriculture de France, de l’Académie des Technologies et de l’Académie des Sciences.

Il affirme en introduction que "la découverte récente de la possibilité de modifier avec précision le génome lui conférant de nouvelles propriétés est un atout important pour relever les défis agricoles, qui complète les diverses approches utilisées jusqu’à présent pour l’amélioration des plantes".

Pour lire l'avis, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Ce colloque, qui se tiendra les 22 et 23 Fév 2018 au Collège des Bernardins à Paris, a pour objectif "de solliciter les chercheurs internationaux en sciences sociales (sciences économiques, sciences de gestion, sociologie, droit, anthropologie, histoire, géographie, sciences politiques, philosophie, agronomie des territoires, …) et les partenaires du monde agricole (agriculteurs, Chambres d’agriculture, assureurs, coopératives, pouvoirs publics, banques, firmes agro-industrielles, experts agricoles…) afin de répondre à plusieurs questions qui se posent en agriculture".

Les questions auxquelles il sera, entre autres, répondu sont :

- Quelle est l’offre et la demande en instruments de gestion du risque ?

- Comment les agriculteurs perçoivent-ils les risques aujourd’hui ?

- Quelles différentes stratégies de gestion des risques adoptent-ils (stratégies propres à l’exploitation comme le lissage de la consommation ou du revenu, ou stratégies de marché faisant appel notamment aux assurances ou aux produits dérivés) ?

- Comment les agriculteurs gèrent les risques ex ante (diversification, contrats de production ou de commercialisation, assurances...) et ex post (stratégies d’adaptation après la survenance d’un évènement) ?

- Comment rendre l’exploitation plus robuste, plus résiliente pour faire face à des évènements extrêmes ?

- Quel doit être le rôle d’une politique agricole en matière de gestion du risque ?

- Que penser des politiques agricoles en place dans les divers pays du globe ?

Le colloque permettra de faire le point sur l’état des connaissances en management des risques en agriculture, en bénéficiant du retour d’expérience des acteurs et partenaires du monde agricole et des résultats des chercheurs internationaux en sciences sociales travaillant sur cette thématique de recherche.

Il a pour vocation de servir aux agriculteurs et décideurs pour une agriculture plus résiliente et viable.

Pour visionner la vidéo de présentation du colloque, cliquer ici > https://www.youtube.com/watch?v=Flgb0jXm0os

Pour en savoir plus sur le colloque et s'y inscrire, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Avec plus de 42 demandes d’inscription et 70 confirmées, la 8ème saison du concours, organisé par le Crédit Mutuel en partenariat avec les Réseaux de l’enseignement agricole est prometteuse.

Beaucoup d’étudiants n’ont pas attendu pour déposer leur inscription et commencer à, d'ores et déjà, réfléchir sur les thèmes de leurs vidéos. Leur profil est très varié: allant de l’étudiant en Bac Pro au futur technicien...

L’Académie d’agriculture de France et l’équipe de "Cultures Agri"  sont, quant à elles, en "pleine effervescence". Les responsables régionaux des marchés agricoles du Crédit Mutuel sont actuellement présents sur l’ensemble du territoire français pour rencontrer les jeunes lycéens et promouvoir ce concours à destination de l’ensemble de l’enseignement agricole.

L’aventure continue jusqu'au 8 janvier 2018, date du dépot de clotûre des inscriptions !

Par ailleurs, cette année, un Jeu-concours de Noël (du 8 au 22 décembre 2017) permet, en plus, de gagner des places pour le Salon international de l'agriculture.

Pour en savoir plus sur "Cultures Agri", cliquer sur le lien Internet ci-dessous ou aller sur la page Facebook https://www.facebook.com/culturesagri/ :

Elle s'enorgueillit d'être partenaire sur Twitter, de Franceagritwittos (@Fragritwittos) "le premier rassemblement de twittos #agriculteur et paraagricole français, #convivialité #echange #partage #FrAgTw".

C'est en effet, la reconnaissance du "rôle d'influenceur reconnu", que la Compagnie joue désormais sur les Réseaux sociaux.

L'Académie d'agriculture de France, forte de son expérience de 256 ans au service de l'agriculture, l'alimentation et de l'environnement, se devait de rejoindre les Réseaux sociaux pour y diffuser "ses" informations afin de lutter contre "la" désinformation, assez courante, dans ces nouveaux moyens de communication.

C'est chose faite depuis plus d'un an !

L'Académicien était présent à ce forum organisé à l’occasion du Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales d’Abidjan (SARA).

Ce forum d’échanges, annoncé en mars 2017 lors d’une manifestation organisée par l’Académie d'agriculture de France, lors du Salon international de l’Agriculture de Paris, avait pour objectif de redonner de l’attractivité aux métiers et aux entreprises de l’agriculture envers les jeunes africains.

L’Académie a pris une part très active dans la préparation de ce forum, en particulier avec le Groupe de travail "sur les agricultures africaines".

 Au final le Forum, est qualifié de "beau succès" par Jacques Brulhet, qui souligne notamment que :

- Une centaine de professionnels y ont participé,

- 14 témoignages de réussites agricoles, de 8 pays du Sénégal à l’île Maurice, y ont été présentés : allant de la petite production au champ, à la seconde transformation de produits agricoles,

- 3 tables rondes ont permis de focaliser des premières réflexions sur les problématiques importantes : l’accès au financement, les structures de formation, l’utilisation des NTIC,

- 16 académiciens, de 11 académies africaines et françaises, s'y sont déplacés,

- Des discours des 2 ministres de Côte d’Ivoire chargés de l’agriculture et de l’Ambassadeur de France y ont été prononcés.

Par ailleurs, un stand du GID FastDev-Agri a été tenu pendant tout le SARA, attirant beaucoup de monde, notamment des jeunes, avec plus de 300 contacts à suivre.

Jacques Brulhet ajoute que la délégation française a aussi découvert quelques opérations sur le terrain, en Côte d’Ivoire et au Bénin.

Les actes de ce Forum sont en cours d’élaboration et un plan d’action va être élaboré dans les prochains mois.

A l'issue du forum, François Guinot, Président du Groupement interacadémique pour le développement (GID) et Jacques Brulhet ont accordé une interview à Terre.TV, diffusée sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=vJ0zOaW4vSg&feature=youtu.be

Pour en savoir plus sur le GID, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Il s'agit la fiche 10.10 intitulée : "Quels sont les métiers liés aux industries du bois ?" et rédigée par Xavier Deglise, membre de l'Académie d'agriculture de France.

L'Encyclopédie en ligne de la Compagnie s'enrichit à nouveau !

Pour accéder aux 95 fiches Forêt Bois, cliquer sur le lien internet ci-dessous :

Trois académiciens : M Candau, C Lecoeur et Ch Saber, assistés de Ph Kim-Bonbled, ont tenu un stand lors de l'exposition organisée, ce samedi 18 novembre, par l'Association des professeurs de biologie et de géologie, à l'occasion de son Assemblée générale.

Une belle opportunité pour notre Compagnie de se faire connaître des enseignants et surtout de se positionner comme "source d'informations" à leur attention !

Pour en savoir plus sur l'APBG, cliquer sur le lien internet, ci-dessous :

Le(a) stagiaire sera placé(e) sous la responsabilité de la chargée de mission de la Fondation Avril, responsable de la gestion du projet de concours et devra travailler étroitement avec les équipes de l’Académie d'agriculture de France et l’ensemble des partenaires du projet.

Dans le cadre de sa mission, le(a) stagiaire interviendra sur :

- la rédaction de l’ensemble des contenus du concours en mobilisant des experts;

- la sensibilisation des écoles d’ingénieurs et de leurs équipes pédagogiques pour engager les étudiants à participer au concours;

- la constitution des outils de communication (internet, plaquette, affiches, …) nécessaires pour faire connaître le concours;

- l’encadrement des outils numériques;

- la recherche de partenaires financiers;

- la communication auprès des partenaires du projet : écoles d’ingénieurs, bailleurs, pouvoirs publics, et auprès de tout organisme intervenant dans le projet;

- la communication externe en organisant les évènements publics liés au concours, notamment le lancement du concours au SIA 2018 et en mobilisant les médias;

- la coordination des parties prenantes lors du lancement des phases du projet;

- tout événement et tâche nécessaire pour la préparation du concours.

Le Profil recherché est un étudiant ingénieur agronome ou école de commerce en dernière année ou en année de césure.

La durée du satge est de 6 mois renouvelables – année de césure.

Pour prendre connaissance de la fiche de poste, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Pour en savoir plus sur la Fondation Avril, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

C'est le moins qu'on puisse dire ! En effet, à ce jour :

- sa page LinkedIn intéresse plus de 20 400 relations,

- son compte Twitter est suivi par plus de 2 600 abonnés,

- sa page Facebook est suivie par près de 2 000 amis,

- et nombreux sont, celles et ceux, qui visionnent ses vidéos sur sa chaîne You Tube et ses photographies sur son compte Instagram.

Pourquoi "un tel intérêt" ?

Parce que, dans ses pages sur les Réseaux sociaux, l'Académie d'agriculture de France "rend compte chaque jour de son activité, de son actualité et de ses réflexions, en toute objectivité".

Venez-vite vous abonner aux pages de notre "Société savante" afin de, vous aussi, commenter et partager nos informations !

Depuis que l’homme a domestiqué les plantes et les a améliorées, il a utilisé tous les moyens à sa disposition pour le faire.

Durant les 60 dernières années, avec le progrès des connaissances en biologie, notamment en génétique, de nouveaux outils, appelés "biotechnologies vertes", sont apparus et sont de plus en plus utilisés.

Un groupe de travail de l'Académie d’agriculture de France a évalué l’utilisation des biotechnologies vertes et identifié leur potentiel de développement à l’horizon 2030 pour répondre au triple défi de l’agriculture :

- faire face à la sécurité alimentaire,

- mieux respecter l'environnement,

- s'adapter aux changements climatiques.

Il a, à l'issue de ce travail, rédigé un rapport intitulé "Les biotechnologies vertes : un enjeu stratégique pour l'avenir de la filière semencière française " qui présente des informations originales issues d’une enquête menée en 2016 auprès de 80 centres français de sélection des plantes, privés et publics, qui ont été interrogés sur l'utilisation de ces outils.

Pour lire ce rapport, cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

Les membres de la Compagnie, choisis par leurs pairs, parce qu'ils sont des "experts de haut niveau dans leur domaine de compétence", sont régulièrement sollicités pour écrire des articles ou donner des interwiewes dans la presse.

Par ailleurs, nombre d'entre eux contribuent activement à la rédaction de l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France.

Car l'Académie a "une passion : connaître et une ambition : transmettre"

Les articles que les Académicien(ne)s rédigent sont accessibles sur ce site Internet aux onglets "Publications et/ou Travaux". En cliquant sur : https://www.academie-agriculture.fr/publications/articles, vous pourrez y lire les articles récemment mis en ligne, comme par exemple :

- "L’agriculture au défi des nouvelles biotechnologies. Les enjeux économiques, environnementaux, sanitaires et éthiques des biotechnologies à la lumière des nouvelles pistes de recherche" par Jean-Paul JAMET In Paysans n°365 septembre-octobre 2017

 - "Comment «démocratiser» l'accès à la science ?" par Marie-Françoise CHEVALLIER-LE GUYADER In L'Humanité du 10 octobre 2017

- "Alimentation : le risque chimique est-il évalué ?" par Dominique PARENT-MASSIN In Science et pseudo-sciences n°322 (octobre/décembre 2017)

- "Comment prévenir le risque de mycotoxines dans la production agricole ?" par Catherine REGNAULT-ROGER In Science et pseudo-sciences n°322 (octobre/décembre 2017)

- "Les plantes génétiquement modifiées : l'alimentation et la santé" par Bernard LE BUANEC In Science et pseudo-sciences n°322 (octobre/décembre 2017)

- "Transition énergétique pour accompagner les personnes et territoires"  par André-Jean GUÉRIN et Philippe VESSERON In Passages (3ème trimestre 2017)

- "Les services rendus par le glyphosate en agriculture" par Jean-Louis BERNARD, Bernard AMBOLET, Jacques GASQUET 

- "FIPRONIL et FBI" par Lucien BOURGEOIS In A vrai lire - La Lettre du réseau AGIRAGRI Modifier Télécharger 27/09/2017

- "Mycotoxines des grains : séance à l'Académie" par Marc DÉLOS In Phytoma (Août-sept.2017 N°706)

Les interwiewes que les Académicien(ne)s donnent à la presse sont désormais accessibles en cliquant sur : https://www.academie-agriculture.fr/academie/presentation/academiciens-dans-la-presse , vous pourrez y lire, par exemple, la citation de Léon Gueguen, dans le Monde (version numérique) daté du 14 octobre 2017, dans un article intitulé "La qualité nutritionnelle, grande absente des débats sur l’alimentation".

Les dernières mises à jour, par les Académicien(ne)s, de l'Encyclopédie de l'Académie d'agriculture de France sont accessibles en cliquant sur :

- https://www.academie-agriculture.fr/publications/academie-communique/comptes-rendus , pour ce qui concerne les "Comptes-rendus de l'Académie",

- https://www.academie-foret-bois.fr/ , pour ce qui concerne "La Forêt et le Bois en France en 100 Questions",

- https://www.academie-agriculture.fr/academie/groupes-de-travail/potentiels-de-la-science-pour-une-agriculture-durable , pour ce qui est des "Potentiels de la science pour une agriculture durable" où vous pourrez notamment lire "Protéger la nature ? Oui mais laquelle ?" de Christian LEVEQUE, qui fait actuellement l'objet d'un "gros Buzz" sur les Réseaux sociaux.

BONNE LECTURE A TOUTES ET TOUS !

Les membres de l'Académie d'agriculture de France "aiment lire ou écrire" des ouvrages traitant de leurs domaines d'expertise : agriculture, alimentation, environnement, biologie, sociologie,...

Une rubrique du site Internet de la Compagnie est consacrée à la promotion des ouvrages qu'ils viennent "d'écrire" ou de "lire et commenter (au travers une analyse écrite)".

N'hésitez-pas à la consulter régulièrement !

Viennent ainsi, entre-autres, d'être catalogués dans cette rubrique "Ouvrages" :

- "Plant responses to environmental stimuli - the role of specific forms of plant memory" de Michel THELLIER,

- "Abécédaire citoyen des Sciences" de Marie-Françoise CHEVALLIER-LE GUYADER ,

- "La démocratie des crédules" de Gérald BRONNER,

- "La biodiversité, avec et sans l’homme" de Christian LÉVÊQUE  - Collection Les Livres de l'Académie,

- "La vie secrète des arbres" de Peter WOHLLEBEN , qui fait l'objet d'une note de lecture établie par le Secrétaire et la section "Forêts et filière bois" de l'Académie,

- "Questions d'agriculture, d'environnement et de société : 100 ans d'évolution des connaissances et des pratiques au travers des Comptes Rendus de l'Académie d'agriculture de France"  de Christian FERAULT, Jean-Louis BERNARD , Émile CHONÉ et Jean-Paul LANLY,

- "Biocontrôle en protection des cultures - Périmètre, succès, espoirs" de Jean-Louis BERNARD.

Pour découvrir la rubrique "Ouvrages" du site Internet de l'Académie d'agriculture de France, cliquer sur le lien, ci-dessous :

Les ouvrages écrits par des Académiciens sont également promus sur les pages Twitter, Facebook et LinkedIn de l'Académie d'agricultue de France, ainsi que sur le Mensuel de la Compagnie.

Depuis des siècles, ce sont des innovations qui ont permis de relever des défis alimentaires successifs.

Or, actuellement les craintes et les phobies alimentaires sont nombreuses.

La question est même souvent désormais posée : nos aliments sont-ils plus ou moins sûrs qu’il y a un siècle ?

C'est pourquoi, à l'occasion des Etats généraux de l'alimentation (#EGalim), l'Académie d'agriculture de France et l'Association des Amis de l'Académie d'agriculture de France (4AF), organisent, le 30 Novembre 2017, dans la salle des séances de l'Académie (18, Rue de Bellechasse - 75007 Paris), un colloque sur le thème "L’alimentation, entre innovation et peurs".

L'ordre du jour en sera le suivant :

- 9 h 30 : Introduction, Gérard Tendron, Secrétaire Perpétuel de l’Académie d’Agriculture,

- 9 h 45 : "De la subsistance à l’abondance, pourquoi faut-il toujours innover ?", Pierre Combris, Directeur de Recherche Honoraire à l’Institut national de la recherche agronomique (INRA),

- 10 h 15 : "Peurs des consommateurs et mécanismes concurrentiels du marché", Jean-François Molle, Consultant et Membre de l’Académie d’agriculture de France,

- 10 h 45 "Demain, le projet 'note à note', de la ferme à la maison en passant par l’industrie ? Questions de stratégie en vue d’une transition indispensable" : Hervé This, Directeur de Centre International de Gastronomie Moléculaire INRA-AgroParisTech et Membre de l’Académie d’Agriculture,

- 11 h 30 "Des manœuvres écologiques aux anomalies des comportements alimentaires", Gérard Pascal, Directeur Scientifique Honoraire à l’INRA et Membre de l’Académie d’agriculture de France,

- 12 h 00 : "Nos aliments sont-ils plus ou moins sûrs qu’en 1905 ?", Dominique Parent-Massin, Professeur Honoraire en Toxicologie Alimentaire et Membre de l’Académie d’agriculture de France,

- 12 h 30 : Conclusion, Patrice Desmarest, Membre de l’Académie d’agriculture de France.

Coût de la participation (incluant documentation, pause, cocktail) : 20 € (payable par chèque à l’inscription).

Pour en savoir plus sur ce colloque de la 4AF et s'y inscrire (inscription obligatoire, du fait du nombre de places limité) avant le 15 novembre 2017cliquer sur le lien Internet, ci-dessous :

(Crédit photographique : ministère de l'agriculture et de l'alimentation)

Tel est le thème de la Journée d’étude de la Société d’Ethnozootechnie ouverte aux étudiants, qui se tiendra le 21 novembre 2017, dans les locaux d'AgroParisTech - 16, rue Claude Bernard - 75005 Paris.

En 1974, la Société d’Ethnozootechnie organisait sa première journée d’étude des "races en péril", jouant ainsi un véritable rôle de lanceur d’alerte (le terme n’existait pas à l’époque). Depuis, quatre autres journées ont été organisées sur ce thème. La dernière en 2005, a permis de mesurer l’ampleur et l’efficacité des programmes de conservation mis en place et, plus important encore, les dynamiques nouvelles qui se sont développées autour de ces races. Fortes de ce mouvement et dans un contexte de diversification des productions et autres services rendus par les animaux domestiques, ces races sont en plein devenir, ce dont veut rendre compte cette journée.

Pour en savoir plus sur le Journée d'étude du 21 novembre 2017 et s'y inscrire, télécharger le fichier PDF, ci-dessous :

Le secrétaire de la Section "alimentation" de l'Académie d'agriculture de France dédicaçait, en effet, son nouvel ouvrage : "Le terroir à toutes les sauces, un roman philosophique et gourmand avec 100 recettes alsaciennes" (Editions La nuée bleue), mercredi 18 octobre 2017 à la librairie Gibert Joseph de Paris.

Une trop belle occasion, pour l'inventeur de la Cuisine moléculaire et désormais de la Cuisine Note à Note, de jouer avec l'odorat et les papilles gustatives de ses lecteurs.

Pour découvrir les nombreux ouvrages écrits par les Académiciens, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Votre dossier doit être envoyé avant le 21 octobre 2017, au Secrétariat général de l'Association des chimistes, ingénieurs et cadres des industries agricoles et alimenraires (ACIA) - 1, avenue des Olympiades - 91744 Massy Cedex.

Pour en savoir plus sur ce prix, télécharger le fichier PDF ci-dessous : 

Ce concours, organisé par le Crédit Mutuel en partenariat avec les Réseaux de l’enseignement agricole et placé sous le patronage de l'Académie d'agriculture de France, se déroulera du 2 octobre 2017 au 19 janvier 2018.

Toutes les classes des établissements d’enseignement spécialisés en agriculture, du collège à l’enseignement supérieur, de l’enseignement public ou de l’enseignement privé, peuvent y participer.

Le thème du concours cette année est : "Les agricultures du futur" (par exemple : outils d'aide à la décision, agriculture urbaine, drones, robots agricoles, objets connectés, économie collaborative, biostimulants, photovoltaïque, méthanisation, énergies renouvelables, génomique, biocontrôle, ingénierie immunitaire, startups, agridata, circuits courts, GPS, autoguidage, agrinaute, aquaponie, agroécologie, agroforesterie, éco-pâturage, tracteur autonome, ferme connectée, environnement, réalité augmentée…).

Les modalités de participation au concours sont les suivantes :

Etape n°1 (réservée aux établissements ), à partir du 2 octobre 2017 :

▸ Inscription du référent pédagogique et de sa classe sur le site Internet du concours ou auprès d’un conseiller du Crédit Mutuel.

▸ Réalisation des clips vidéo.

▸ Les clips ne doivent pas excéder 1mn30. Chaque classe peut déposer jusqu’à 5 vidéos.

▸ Dépôt en ligne.

▸ Contrôle de modération avant la mise en ligne : Le référent pédagogique est alerté du dépôt de chaque vidéo. L’Académie d’Agriculture de France est alertée du dépôt de chaque vidéo. Un Académicien procède à un contrôle scientifique de chacune des vidéos. Le Crédit Mutuel et son prestataire Terre Net Média s’assurent que le clip vidéo respecte les critères définis par le règlement du jeu. En l’absence de remarques le dépôt se fait par l’intermédiaire de YouTube puis sur le siteInternet du concours.

Etape n°2 (ouverte à tous), à partir du 9 janvier 2018 :

Pendant 10 jours les élèves, les professeurs et les internautes sont invités à voter pour leurs vidéos préférées sur le site Internet du concours.

Puis une présélection est effectuée pour le jury national. La présélection sera composée des dix classes "Coup de cœur des internautes" sélectionnées par les internautes à l’issue de la phase de vote et de cinq autres classes sélectionnées par l’Académie d’agriculture de France pour la qualité de leurs réalisations.

Le 25 janvier 2018, le jury national note les 15 classes présélectionnées.

Les 3 premières classes seront invitées à Paris au moment du Salon international de l’agriculture pour des cérémonies de remise des prix par le Crédit Mutuel et par l’Académie d’agriculture de France. 

L’an passé, ce sont plus de 45 000€ qui ont été mis en jeu.

Des jurys régionaux sont aussi organisés par certaines Fédérations du Crédit Mutuel afin de récompenser les classes gagnantes par région.

Pour en savoir plus sur le concours et y participer, cliquer sur le lien Internet ci-dessous :

Cette "Séance solennelle" annuelle de rentrée de la Compagnie s'est tenue le 28 septembre 2017 après-midi au Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Après un hommage appuyé à Guy Paillotin (qui fut Secrétaire Perpétuel de l'Académie d'agriculture de France), récemment disparu, les nombreux membres présents de la Compagnie et les personnalités partenaires invitées ont été accueillis par Sophie Delaporte, Directrice de Cabinet de Stéphane Travert, Ministre de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Le Secrétaire Perpétuel de l'Académie d'agriculture de France a, ensuite, procédé à la lecture du compte-rendu d'activités 2016-2017 et au programme de travail 2017-2018 de la Compagnie.

Puis les prix et médailles 2017 de l'Académie et de ses partenaires (Fondation Xavier Bernard, Crédit Agricole Ile-de-France Mécénat) ont été décernés aux lauréats. Cette cérémonie a été l'occasion d'écouter le témoignage émouvant de Michel Soufflet (Groupe Soufflet), médaillé d'or.

Enfin, après une présentation par le Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation des premières avancées des Etats généraux de l'alimentation  (#EGalim), le Président de l'Académie d'agriculture de Fance, Michel Candau a prononcé un discours de clotûre sur le thème "Changements de paradigmes, agriculture et territoires".

Pour lire le discours du Président et l'intervention du Secrétaire Perpétuel, cliquer sur le lien ci-dessous (des photographies de la séance solennelle sont aussi disponibles sur ce site Internet - rubrique : academie/presentation/manifestations-visites) :

Cette présentation a eu lieu le 28 septembre 2017 matin, dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France, quelques heures avant que ne leur soient remises leurs médailles, lors de la Séance solennelle de rentrée de la Compagnie, qui s'est tenue l'après-midi au Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation.

Les intervernant(e)s et les thèmes présentés ont été les suivants :

Alix ALLARD (UMR 1334, AGAP CIRAD-INRA-Montpellier SupAgro, équipe AFEF, en collaboration avec l’Université de Wageningen) : "Estimation de la valeur génétique de pommes hybrides pour plusieurs caractères génétiques d’intérêt agronomique et sur la base de leur apparentement"

Julia ZINSMEISTER (UMR 1345 INRA-AO Institut de recherche en horticulture et semences) : "Étude fonctionnelle de trois facteurs de transcription intervenant dans la régulation de la qualité germinative des graines chez les légumineuses : ABI4, ABI5 et HSFA9"

Ophélie SAUZET (AgroParisTech - Institut des sciences et industries du vivant et de l’environnement) : "Quantification par approche micromorphologique, couplée à de l’analyse d’images, de l’effet de la mise en culture et de l’apport de matières organiques sur l’intensité et la dynamique des processus de lessivage et de bioturbation à l’échelle pluri-décennale"

Sanâa WAHBI (Université CADI AYYAD de Marrakech et Université de Montpellier - Unité de recherche du Laboratoire des Symbioses Tropicales et Méditerranéennes et du laboratoire d’Ecologie et Environnement) : " Influence des cultures associées fève/blé sur le potentiel mycorhizien des sols et la structure de la microflore mycorhizosphérique. Conséquences sur la productivité des agrosystèmes au Maroc"

Lucie MICHEL (ACTA, INRA-UMR Agronomie, AgroParisTech, Université Paris-Saclay) : "Mieux valoriser les réseaux d’épidémiosurveillance lors de l’élaboration du Bulletin de Santé du Végétal"

Kevin MOREL (AgroParisTech, Université Paris-Saclay) : "Viabilité des microfermes maraîchères biologiques. Une étude inductive combinant méthodes qualitatives et modélisation"

Jean-Philippe AMAT (ENVA Epidémiologie des maladies animales infectieuses - Université Paris-Est) : "Contribution à l’amélioration des systèmes de surveillance par l’interconnexion : application à trois maladies de la filière équine"

Anaïs OVERNEY (Anses, Laboratoire de Sécurité des Aliments - Université Paris-Est) : "Persistance de Listeria monocytogenes dans les ateliers agro-alimentaires - Influence de facteurs environnementaux et étude des mécanismes d'adaptation aux stress"

Benoît BRANDELET (Laboratoire d'Étude et de Recherche sur le MAtériau Bois, Université de Lorraine - Epinal) : "Caractérisation physico-chimique des particules issues du chauffage domestique au bois"

Antoine DUCASTEL (CIRAD - Université Paris-Sud) : "Cultiver le capital. Une analyse de la financiarisation de l’agriculture en Afrique du sud par les 'filières agro-financières' du private equity"

Pour en savoir plus sur ces travaux, cliquer sur le lien ci-dessous :

La 8ème édition de ce "jeu concours de vidéos", organisé par le Crédit Mutuel, se déroulera du 2 octobre 2017 au 19 janvier 2018.

Toutes les classes des établissements d’enseignement spécialisés en agriculture, du collège à l’enseignement supérieur, de l’enseignement public ou de l’enseignement privé, peuvent y participer.

Cette année les clips vidéo devront avoir pour thème "les agricultures du futur" (outils d'aide à la décision, agriculture urbaine, drones, robots agricoles, objets connectés, économie collaborative, biostimulants, photovoltaïque, méthanisation,…)

L’an passé, ce sont plus de 45 000€ qui ont été distribués aux lauréats.

Pour en savoir plus sur ce jeu concours et y participer, cliquer sur le lien ci-dessous :

La réunion de rentrée de la "Cellule nationale de l'Inspection de l'Enseignement agricole" du Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation, s'est tenue pour la première fois dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France, le 31 août 2017.

Elle a été l'occasion pour ces hauts fonctionnaires de (re)découvrir notre Compagnie et tout particulièrement ses actions en direction des jeunes.

Pour en savoir plus sur l'Enseignement agricole, cliquer sur le lien ci-dessous :  

Le Groupement d'intérêt scientifique (GIS) propose de soutenir, par le biais de cette bourse, des stages étudiants d’une durée de 6 mois (niveau Master 2 ingénieur ou recherche) sur ses propres thèmes d’intérêt.

Date limite des dépôts de candidature : 15 octobre 2017

Fiche de la proposition de stage à adresser à : stephanie.potok@inra.fr

Pour en savoir plus, cliquer sur le lien ci-dessous :

Tel est le titre de l'article rédigé par Bernard Le Buanec, membre de l'Académie d'agriculture de France, paru dans le numéro 256 (juillet - août 2017) du Bulletin Semences.

L'auteur, qui siège à la Section "Productions végétales" de la Société savante, y trace avec précision l'histoire de cette protection en France depuis son "année charnière" en 1970 jusqu'à ses évolutions récentes.

Pour lire l'article, télécharger le fichier ci-dessous :

10 membres de l'Académie d'agriculture de France ont participé activement au lancement des Etats généraux de l'alimentation (#EGalim), le 20 juillet 2017, en présence d'Edouard Phlippe, Premier ministre.

Les faits importants de cette journée ont été rapportés, en continu, sur les pages que la Compagnie anime sur les Réseaux sociaux (Twitter, Facebook, LinkedIn).

Mais il importait de garder une "trace écrite" de cet évènement majeur pour l'avenir de notre agriculture et de notre alimentation.

C'est ce à quoi s'est attaché notre Vice-Secrétaire Constant Lecoeur.

Pour lire le compte-rendu de Constant Lecoeur, cliquer sur le fichier ci-dessous :

Pour en savoir plus sur les #EGalim, cliquer sur le lien ci-dessous :

En produire une synthèse au travers 25 articles, tel est le défi qu'ont relevé des membres de l'Académie d'agriculture de France dans l'ouvrage collectif qu'ils viennent de publier aux éditions L'Harmattan.

Ils ont, pour ce faire, exploité les 130 000 pages des "Comptes Rendus" que la Compagnie publie sans interruption depuis 1915.

Ces 25 articles permettent au lecteur de "prendre la mesure des apports de l'Académie au monde savant, aux professionnels et plus largement à la Société".

Un ouvrage indispensable à qui s'intéresse à l'évolution dans le temps des savoirs dans les domaines agricoles, alimentaires et environnementaux.

Pour en savoir plus sur les articles et commander cet ouvrage, cliquer sur le lien ci-dessous :

Elle y a pris la parole, le 28 juin dernier, pour répondre aux questions du journaliste animateur, Nicolas Martin, sur le thème "La fin des OGM, épi c'est tout !"

Michel Griffon, Académicien, ingénieur agronome et économiste, participait également à cette émission radio.

Pour écouter le podcast de l'émission, cliquer sur le lien ci-dessous :

(Crédits photo : Public Domain)

Vous souhaitez "visualiser clairement" un secteur de l'agriculture ou de l'alimentation ?

Vous voulez "retenir rapidement" les chiffres importants concernant ce secteur ?

Les Infographies du ministère de l'Agriculture et de l'Alimentation sont à votre service et utilisables selon les termes de la licence Creative Commons, à savoir : "citer leur auteur 'infographies.agriculture.gouv.fr', ne pas les utiliser commercialement et ne pas les modifier".

Découvrez vite ces infographies, en cliquant sur le lien Internet ci-dessous :

Une part importante de la réflexion et de la production de l'Académie d'agriculture de France se fait au sein de ses groupes de travail, dont le périmètre et la composition sont régulièrement mis à jour.

Gérard Tendon, Secrétaire perpétuel, vient d'en communiquer la liste et le nom de leurs animateurs(trices) à date du 1er juin 2017 :

Groupes thématiques :

- Eau et sécheresse : Bernard Saugier

- Potentiels de la science pour une agriculture durable : Jean-Claude Pernollet

- Agriculture biologique : Gil Kressmann

- Politique agricole commune : Gilles Bazin et Michel Jacquot

- Biocontrôle : Jean-Louis Bernard

- Agriculture, filières et sécurité alimentaire : Jean-Louis Rastoin

- Relations Académie/Enseignement supérieur agronomique : Michel Candau

- International : Bernard Bourget

- Gaspillage alimentaire : Patrice Robichon

- Sols : Christian Valentin

- Climat et agriculture : Katia Laval

- Nouvelles technologies et agriculture : Bernard Le Buanec

- Nouvelles biotechnologies agricoles et alimentaires : Agnès Ricroch

- Utilisation des drones en agriculture : Patrice Desmarest et Marc Delos

- Agricultures ultramarines : André Grammont et Jean-Pierre Bastié

- Agro-écologie : Denis Couvet et Bernard Hubert

- Développement des agricultures africaines : Jacques Brulhet

- Agriculture et droit de l’environnement : Carole Hernandez-Zakine

- Réécriture du génome, éthique et acceptabilité sociétale : Paul Vialle et Bertrand Hervieu

- Etre agriculteur autrement : Bernard Roux *

Groupes fonctionnels :

- Communication : Jean-Pierre Guyonnet et Philippe Kim-Bonbled

- Livres de l’Académie : Catherine Regnault-Roger

- Notes académiques : Hervé This

Tel est le thème du Colloque scientifique organisé par l'Académie d'agriculture de France et l'Institut des sciences de la vigne et du vin, qui se tiendra à Bordeaux (Gironde), les 22 et 23 juin 2017.

Au programme, entre autres :

- les questions environnementales,

- les maladies du bois de la vigne,

- vin et santé,

- vin et culture,

- oenologie et oenotourisme.

Pour en savoir plus, cliquer sur le lien ci-dessous :

Au sommaire, notamment :

- Les aquacultures du monde

- Un retour sur l'active participation de la Compagnie au SIA 2017

- Un compte-rendu du colloque OCHA "Comprendre l'inquiétude du consommateur"

Cette Revue est également téléchargeaible en cliquant sur le lien ci-dessous :

Le 18 mai 2017, les plantes seront à l’honneur dans le monde entier.

Lancée sous l'égide de l’Organisation européenne des sciences végétales (EPSO, Bruxelles), sous le patronage scientifique de Carole Caranta, directrice de recherche de l’Inra, la Journée de célébration des plantes « Plants Day » est portée par 56 pays, dont les 28 pays européens. Ouvertures de laboratoires, d’entreprises et de jardins botaniques, conférences et animations seront au programme de cette célébration qui sera lancée le 17 mai lors de la séance publique de l’Académie d’Agriculture de France, sur le thème « La sélection variétale et la qualité alimentaire sont-elles contradictoires ? ».

La Journée de célébration des plantes a pour but de rappeler que la science des plantes est d'une importance cruciale pour le paysage social, environnemental et économique, d’aujourd’hui et de demain. Les plantes sont des organismes uniques. Grâce au soleil, au dioxyde de carbone et à l'eau, elles produisent ex-nihilo leur énergie, des sucres. Cette capacité à directement synthétiser leur propre nourriture a permis aux plantes de coloniser, de s’adapter et de se diversifier dans presque toutes les zones de la planète. Les biologistes estiment le nombre total d'espèces végétales à environ 250 000. De fait, les plantes sont les premiers producteurs de biomasse et contribuent ainsi à l’alimentation des animaux et des hommes ; elles ont également une grande importance dans les secteurs de la médecine, de la chimie, de l'énergie...

Cette quatrième édition fait suite au succès de la première « Plants Day » qui a eu lieu en 2012, de la deuxième organisée en 2013, et de la troisième, 2015, pour laquelle 56 pays du monde entier ont organisé 965 événements attirant des nombreux milliers de personnes. Plus de 590 institutions dans le monde, dont l’Inra, des centres de recherche sur les végétaux aux jardins botaniques, participent à cette journée à travers différents événements pour le grand public, les étudiants et les médias, tous étroitement liés à la science fondamentale des plantes, la recherche agricole, la conservation de l'environnement, la biodiversité et l'éducation. Ce sera l'occasion d’échanger avec des scientifiques sur l’univers fascinant des plantes et de découvrir les dernières innovations en biologie végétale.

Dossier de presse INRA, téléchargeable ci-dessous et informations sur le Plants Day, en cliquant sur le lien également ci-dessous :

L'Académicien, membre de la section "Sciences de la vie" a, en effet, participé au numéro du 18 avril 2017 de l'émission de TV5 "Enquête de santé", présentée par Michel Cymes et Marina Carrère d'Encausse, consacrée aux "Super-pouvoirs de l'intestin".

Il y est présenté à juste titre comme "le découvreur, au sein de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), du microbiote intestinal humain, dont les applications sont incroyables en santé humaine et animale".

Sont également, entre autres, abordés au cours de l'émission :

- les interactions multiples intestin-cerveau,

- les conséquences sur les maladies neurodégénératives,

- les premiers essais de transfert de microbiotes à des fins thérapeutiques.

Pour visionner l'émission, cliquer sur le lien ci-dessous :

A l’initiative de la section 1 et en liaison avec la section 9, le projet d’une mission de l’AAF au Maroc a été initié par un groupe de consœurs et confrères qui ont des attaches particulières avec ce pays et qui sont en contact avec des membres et correspondants associés marocains.

La délégation comptait 21 membres de l’AAF dont 11 membres de la section 1, 2 de la section 2, 3 de section 3 et 5 de la section 4, et un certain nombre de personnes accompagnantes.

Le programme comportait deux parties : Programme officiel : du 3 au 8 avril 2017 Programme « Souss » : du 8 au 10 avril 2017.

Cette délégation tenait à rendre compte de sa "riche et intructive" visite d'étude, c'est chose faite dans le document PDF ci-dessous.

Ce point a été fait au cours du Conseil Filières laitières, qui s'est tenu à Montreuil (93), le 5 avril 2017.

Pour consulter le dossier complet cliquer sur le lien ci-dessous.

A cette occasion, elle organise un Colloque intitulé "La variation pour comprendre la permanence de la vie".

Ce colloque se tiendra le mardi 25 avril 2017, dans les locaux de l'Académie d'agriculture de France.

Il offrira une occasion exceptionnelle de débattre avec d'éminents spécialistes sur les sujets suivants :

- Ethique et génétique

- Prions

- Génétique et forêts

- Biologie structurale

Pour en savoir sur ce "temps fort" de notre Compagnie et vous inscrire au Colloque, cliquer sur le lien ci-dessous.

Une manifestation se tiendra en mars 2017 à l'ENESAD à Dijon pour fêter les 60 ans des lois modernisant l'enseignement agricole avec la création des lycées agricoles et les les centres de formation professionnelle et de promotion agricole (CFPPA) qui ont profondément marqués la formation professionnelle du monde agricole et rural.